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Sophie, pas si sérieuse que ça

Chapitre 2

Erotique
Le lendemain je me levais après tout le monde. Ayant été le dernier couché, cela n’avait pas grand-chose d’étonnant. En ouvrant les yeux, je remarquais que Sophie avait déjà vidé les lieux. S’étant couchée à 10h, cela me sembla plutôt naturel.Je descendis au petit-déjeuner et je remarquai immédiatement que quelque chose clochait. Tout le monde semblait de bonne humeur pourtant, mais... je les connaissais tous et je voyais bien que quelque chose était faux.L’idée que ce trouble puisse venir de mon déconnage en règle d’hier soir me traversa l’esprit, mais je ne voyais pas comment quiconque pourrait être au courant. Je m’assis donc à la table du petit-déjeuner et attaquais mes tartines en repoussant à plus tard l’élucidation de mes questions.C’est au moment de la vaisselle, alors que je me retrouvais en tête à tête avec Marc, que celui-ci éclaira ma lanterne. A l’aube, alors que tout le monde dormait encore, Sophie s’était levée et avait réveillé Sylvain qui dormait dans la banquette. Marc n’avait pas le détail, évidemment, mais Sylvain (la nuit avait dû lui porter conseil) avait fini par lui dire qu’il voulait rompre. Apparemment elle avait été d’accord et maintenant elle semblait faire comme si de rien n’était : c’est-à-dire qu’elle faisait la plante verte dans son coin. Sylvain quant à lui semblait délivré d’un poids. Du moins d’après Marc.Non seulement cette nouvelle ne m’attrista pas, mais en plus, égoïstement, elle allégea le poids que j’avais sur la conscience. Car même saoul, caresser la copine d’un pote ça ne se fait pas, vous en conviendrez.
Je ne sais pas si Sophie se souvenait de ce qui s’était passé, mais elle faisait comme si de rien n’était. Elle aurait pu décider de partir, nous l’aurions reconduite à la gare. Je suis certain même que Sylvain l’aurait ramenée à Paris. Mais non, elle avait voulu rester. Dieu seul sait pourquoi.La maison que nous avions louée bénéficiait d’une piscine. Le soleil étant radieux, nous avions tous envie d’en profiter, évidemment.Le temps que je prenne mon petit-déjeuner et que je me prépare, étant le dernier debout, je fus le dernier à rejoindre le groupe au bord de l’eau. Et là, en sortant, je vis, assis sur le bord de la piscine, Sophie en maillot de bain. Elle avait gardé sa queue-de-cheval et ses lunettes qui lui donnaient son air si sérieux d’étudiante de 30 ans. Et... comment dire... Elle était sublime.Nous l’avions toujours tous vu habillée dans ses fringues sévères. Je n’avais pas trop fait attention à elle. J’avais évidemment remarqué qu’elle était mignonne ! Mais je ne me serais jamais douté que c’était à ce point. Elle avait un corps de rêve et une poitrine idéale. Ni trop grosse, ni trop petite. Et très ferme d’après mes souvenirs de cette nuit.Je remarquai aussi très vite que je n’étais pas le seul à la regarder. Probablement que tous mes potes la « voyaient » pour la première fois. Mais entre le fait qu’elle venait de rompre avec Sylvain et le fait que la majorité d’entre eux profitait de la piscine avec leur propre copine, les regards restaient discrets... et Sophie restait seule.Sentant venir une érection que j’aurais du mal à cacher sous mon caleçon, je rentrais à la cuisine et me pris une bière dans le frigo. Marc était là et Sylvain me suivit. C’est Marc qui entama la discussion.
— Putain, c’est une bombe atomique Sophie ! Elle porte des fringues spéciales pour le cacher ou quoi ?— Ecoute, vas-y si tu veux répondit Sylvain. J’ai essayé et je peux te dire qu’elle est complètement frigide. Personnellement je ne veux plus en entendre parler. Mais si le cœur vous en dit...— Je suis fidèle à Eva, répondit Marc. Et puis c’est ton ex quand même...— Oui je sais bien... — En plus, si elle a un corps sublime, ce qui est indéniable, elle est trop coincée pour moi, dit Marc. Même s’il n’y avait pas Eva, je ne pourrais pas sortir avec elle.— Je te comprends ! dit Sylvain en explosant de rire. Vous n’imaginez pas le bien que ça m’a fait de rompre. J’avais besoin de prendre du recul, et de pouvoir discuter avec vous hier soir m’a fait beaucoup de bien. Je me sens soulagé... et disponible pour une autre aventure !— Tu ne touches pas à Eva, hein ! dit Marc en rigolant.
Je restais silencieux. J’avais besoin de soulager ma conscience. C’est idiot sans doute, mais c’est comme ça. Je fis signe à Sylvain pour que nous nous isolions et je lui expliquais ce qui s’était passé hier soir. Je minimisais mon rôle et cachais pas mal de choses, m’arrêtant notamment au fait qu’elle s’était frottée contre moi en dormant. Je disais que je n’avais rien fait de mon propre chef, mais qu’avec l’alcool, je m’étais laissé faire. Sylvain m’écouta et se mit à rire à la fin de mon histoire.
— Tu sais, nous ne sommes sortis ensemble qu’un mois, et je n’ai même pas été vraiment amoureux d’elle. Merci pour ta franchise, mais je me sens tellement soulagé que rien ne pourrait gâcher ma bonne humeur. Amuse-toi et si tu y arrives, couche avec elle ! Pour moi, c’est déjà du passé.— Non, non, t’inquiète, je n’ai pas envie de coucher avec elle ! Et le pire c’est qu’à ce moment j’étais sincère.
— Ça ne m’inquiète pas, je m’en fous ! dit-il en repartant vers la piscine.
Je rejoignis le groupe et m’allongeais dans un transat. Après la soirée d’hier, tout le monde comatait au soleil. La journée s’annonçait chaude en cette fin de matinée. J’essayais de somnoler, mais mon aventure d’hier soir ne me sortait pas de la tête. De bête curieuse insupportable, Sophie était devenue progressivement l’objet de mon attention... et de mon désir. J’avoue que j’avais du mal à penser à autre chose.Je décidais de piquer une tête. Une partie de water polo venait de commencer et je me pris au jeu. Quelques instants au moins je réussis ne plus penser à elle. Même si je dois vous avouer que je jetais régulièrement un œil pour voir où elle était.Vers 13h nous sortîmes de la piscine et un groupe se dirigea vers la cuisine pour préparer le déjeuner, tandis que le reste des effectifs s’allongeait de nouveau dans les transats. Je vis qu’elle était sous la douche, au bord de l’eau et décidais sans bien savoir pourquoi d’y aller moi aussi.Pour bien comprendre la situation, il faut que je vous décrive les lieux: la douche était située au bord de la piscine, à l’opposé de la maison. Elle était adossée à un cabanon, servant sans doute à entreposer le matériel du jardin, et un petit muret avait été construit entre la piscine et cette petite douche, sans doute pour protéger ceux qui s’y trouvaient du regard des autres vacanciers. Mais ce muret était suspendu et ne descendait pas jusqu’en bas. Si bien que lorsque vous vous rinciez, on voyait vos jambes jusqu’aux genoux, en bas, et vos épaules jusqu’à la tête, en haut.J’avais ainsi vu que Sophie se rinçait et je me dirigeais à mon tour vers le jet d’eau douce pour en profiter. Je fis le tour du muret et me retrouvais derrière elle. Je remarquais immédiatement qu’elle avait enlevé son soutien-gorge. Elle passait la main dans les cheveux pour les essorer et je profitais du relatif abri que j’avais pour me rincer l’œil. Mon Dieu comme elle était canon.
D’où j’étais je pouvais deviner le côté de sa poitrine, le galbe de son sein. La situation était encore plus excitante que si elle avait été nue devant moi. Je ne voyais rien, je ne pouvais que deviner. Je ne sais pas si c’était un effet de mon imagination, mais j’avais le sentiment qu’elle jouait avec moi, levant les bras, se tournant légèrement, toujours me laissant deviner sa poitrine sans jamais me la montrer.Je pensais que mon arrivée allait l’inciter à me laisser la place. On passe rarement beaucoup de temps sous une douche de piscine... mais non. Elle prenait son temps et je finis par me demander si elle ne prenait pas plaisir à me laisser la regarder ainsi.Pris d’une soudaine impulsion, je posais ma main dans le bas de son dos. L’aire de rien. Quelqu’un au bord de la piscine qui aurait regardé dans notre direction aurait juste vu Sophie sous la douche et moi, un peu derrière elle, qui regardait ailleurs.J’attendais sa réaction. Il ne se passa rien. Elle continua à se rincer. Enhardi par le fait qu’elle ne m’ait pas remis à ma place, je commençais doucement à bouger ma main dans son dos, descendant jusque-là limite de son maillot de bain. Elle se laissait faire. J’eus immédiatement une érection en béton. Je continuais ce petit jeu plusieurs secondes. Sa peau était douce et je la sentais réagir sous mes caresses. J’osais aventurer ma main sur sa fesse, par-dessus sa culotte. Elle me saisit la main, la repoussa et éteignit la douche. Me montrant toujours son dos, elle remit son soutien-gorge puis se tourna vers moi ; elle me fixait du regard en levant les sourcils.
— A quoi joues-tu ? demanda-t-elle.— Je pourrais te retourner la question— J’avoue que je ne comprends pas.— Tu ne... Tu te souviens de ce qui s’est passé hier soir ? Ça m’a beaucoup plu figure toi.
Je la vis rosir instantanément.
— Ce qui s’est passé hier soir ? Mais que...— Tu ne te souviens pas ? Vraiment ?
Je vis à son expression qu’elle ne mentait pas. Elle affichait un mélange de timidité, de gêne et de curiosité, trois sentiments que je n’avais jamais vu chez elle. Je décidais d’en profiter, car son trouble m’amusait.
— Et bien hier soir je me suis couché à côté de toi car c’était la seule place restante. Je n’avais pas d’intention particulière car on n’est pas vraiment pote et aussi car j’étais claqué, vodka oblige... Mais au moment de m’endormir, tu es venue te coller contre moi. Et tu as commencé à te caresser.
Je prenais un certain plaisir à l’observer pendant que je parlais. Son trouble devenait évident. Et le fait qu’elle me croit sans sembler douter de ce que je racontais ajouter aux histoires que m’avait raconté Sylvain (qui l’avait entendue jouir dans son sommeil) me prouvait que ce n’était pas sa première fois et qu’elle voyait très exactement ce qui s’était passé.
— Tu... Tu m’as laissée faire ?— Je n’ai pas vraiment eu le choix. A un moment j’ai approché ma main pour t’arrêter. Tu l’as alors saisie et posée sur ta poitrine. Tu l’as ensuite guidée sur ton corps pour te caresser avec. Je suis un mec quand même et il m’était difficile de résister.— On a... ?
Je décidais de la faire languir, comme si je n’avais pas entendu.
— Tu m’as d’abord guidé sur tes seins, puis sur ton ventre, puis sur ton sexe. Je n’avais jamais connu une expérience aussi excitante, je crois.— Est-ce qu’on a... enfin tu vois, est-ce qu’on est allé plus loin ?— Est-ce qu’on a fait l’amour tu veux dire ?
Elle était maintenant toute rouge, son trouble était terriblement excitant. Je la fis languir quelques secondes avant de répondre :
— Non, on n’est pas allé plus loin que des caresses. Enfin moi en tout cas, car toi tu t’es donné un orgasme.
Elle s’assit sur le petit muret derrière la cabane de jardin. Elle était passée de rouge écarlate à blanche.
— Je suis désolée, dit-elle— Tu plaisantes ? Désolée ? Mais on recommence quand tu veux.— Tu peux garder ça pour toi s’il te plaît ?— J’en ai parlé à Sylvain ce midi. Je me sentais mal à l’aise. Tu comprends ?— Ha... bon. On a rompu de toute façon.— C’est quoi le problème ? Je ne vais évidemment pas en parler à tout le monde. — Je... C’est compliqué. Ecoute, laisse tomber, OK ?
Et elle me planta là. Elle retourna sur son transat et s’exposa au soleil. Et moi je me mis sous la douche pour calmer mon érection. Je ne comptais pas en rester là.
*********
Le soir arriva sans nouvel incident. Sophie était restée au soleil au bord de la piscine et moi j’avais profité de cette journée pour passer du temps avec mes amis. J’étais deux ou trois fois aussi allé discuter avec elle et j’avais été surpris par son accueil. Elle semblait plus chaleureuse. Je ne l’avais jamais connu ainsi. Je commençais à comprendre ce qui avait plu à Sylvain. Nous parlions de choses sans importance. Nous évoquâmes un peu notre passé ? Bref, nous faisions connaissance et je dois avouer que je commençais à tomber sous le charme.
Lorsque la nuit fut tombée, nous prenions tous l’apéro lorsque je vis Sophie seule à côté du barbecue. Je servis une Margarita et la lui amenais.
— Salut fis-je— Salut— Tiens je t’ai apporté un verre.— Merci, mais j’évite de boire de l’alcool. Ça me fait tourner la tête très très vite.— Allez, insistais-je, amuse toi un peu ! Tu n’es pas obligée de te coucher à 10h tous les soirs. Et je lui mis le verre dans les mains. Elle but une gorgée.— Tu sais, me dit-elle, je n’ai pas toujours été comme ça. Je me protège en fait.
Et elle but une deuxième gorgée, comme pour se donner du courage.
— Te protéger de quoi ?— Je veux bien te dire, mais tu dois me promettre quelque chose avant.— Tu veux que je te promette quoi ?— Je te dirais après... tu ne comprendrais pas sinon. Je veux que tu me fasses un serment en blanc. Tu veux bien ? Ca ne concerne que toi et moi, ne crains rien.— Bon, OK.— Tu me le jure ?— OK, OK— Bon, laisse tomber.
Elle commença à s’esquiver. Je l’attrapais par le bras.
— C’est bon ! Je te le jure, voilà.— Ha... Bon. Et bien voilà... Je ne sais pas pourquoi je te dis ça...
Elle laissa passer quelques secondes. Elle semblait lutter intérieurement.
— C’est à propos de hier soir, demandais-je ? Tu peux me parler, je viens de te donner ma parole !— Oui c’est à propos de hier soir. Tu as compris ce qui s’est passé ?
Les quelques gorgées d’alcool qu’elle avait prises semblaient lui donner peu à peu un peu de confiance en elle.
— Heu... non fis-je. Compris quoi ?— En fait j’ai un problème avec les hommes.— Tu préfères les femmes ?— Non, non, ce n’est pas du tout ça. Et bien voilà, j’aime le sexe. Trop même et plusieurs garçons en ont profité par le passé. Ils ne voulaient que me sauter, ils ne m’aimaient pas. C’est pour ça que je me protège en étant distante et hautaine. Tu sais, quand tu as posé ta main dans la douche, cet après-midi, j’avais envie de te sauter dessus.— Et moi donc !— Et voilà. Mais tu as juré.— Oui mais quoi exactement ?— Je veux bien m’amuser avec toi, tu me plais. Mais tu vas me jurer que quoiqu’il arrive ce week-end tu ne m’enlèveras pas ma culotte. Ni ne passeras dessous évidemment ! Jure-le moi...
Son regard était tellement suppliant que j’en fus ému. Elle commençait à me plaire de plus en plus. Je la pris dans mes bras et lui murmurais à l’oreille : « je te le jure ». Elle me serra très fort contre elle. Je reculai un peu et vit une larme couler. Je soulevais ses lunettes, trop sévères à mon goût, et essuyait la traînée argentée sur sa joue. Et nous nous embrassâmes. Ce fut un baiser long, fougueux qui m’enflamma. Et je sentis qu’elle aussi s’enflammait.
— Et bien on ne se gêne pas !
Nous sursautâmes et elle s’éloigna de moi instinctivement. Sylvain venait d’arriver et avait pris un air sévère.
— Désolé Sylvain, commençais-je, je...
Il explosa de rire.
— Je t’avais prévenu ! Bon courage, Sophie est restée une énigme pour moi, dit-il en lui jetant un regard froid. Mais je m’en fous maintenant. Bonne chance !
Sophie rentra dans la maison, gênée.
— Tu es dur avec elle.— Tu as sans doute raison. J’irai m’excuser tout à l’heure. Désolé, mais ces derniers jours avec elle ont été tellement pesants. Elles sont prêtes ces merguez ?
La soirée était maintenant bien avancée et contre toute attente Sophie ne s’était pas couchée. Il devait être 4h du matin et presque tout le monde était parti au lit. Il ne restait dans le salon que Marc, Eva, Sophie et moi. Nous avions tous bien bu, y compris Sophie qui, alors qu’elle me semblait plus détendue, restait toujours aussi discrète. Elle répondait aux questions que nous lui posions, mais intervenait assez peu même si l’alcool l’avait rendue plus loquace. Par deux ou trois fois elle avait même ri ! Son rire éclairait son visage, littéralement, et je la découvrais sous un nouveau jour. Entre sa détresse, son petit minois et l’excitation que provoquait chez moi son corps, je crois que j’étais petit à petit en train de devenir fou de désir pour elle.Je m’assis à côté d’elle et posais ma main dans son dos. Elle était coincée entre l’accoudoir, assez haut et moi, si bien que ni Eva ni Marc ne pouvaient voir ma main. Elle portait une robe blanche d’été très classique, assez courte et qui offrait un large décolleté dans le dos. Le contact avec sa peau fut électrique et je la vis frissonner. Elle fit mine de rien et continua à s’intéresser à la conversation.Sa peau était douce et la caresser ainsi était excitant. Je remarquai qu’elle devait ressentir la même chose car je devinais ses tétons qui pointaient à travers sa robe légère. Je me demandais dans quelle mesure Eva et Marc étaient dupes, mais je ne faisais rien de très répréhensible. Pour l’instant en tout cas.Tandis que la conversation s’étirait, ma main commença à quitter de plus en plus souvent la peau de son dos pour venir caresser très doucement ses fesses à travers sa robe. Elle me laissait faire.Très lentement ma main continua à descendre et à s’attarder plus longtemps sur ses fesses. Je répondais maintenant mécaniquement aux questions car mon attention s’éloignait de notre conversation. Je remarquais au bout de quelques instants qu’elle avait cambré son dos, permettant à ma main de descendre encore plus bas.
Enhardi par son attitude, je tirais tout doucement sa robe. Elle me laissa faire et pas à pas je fis glisser le tissus sous elle jusqu’à découvrir ses fesses. Je jetais un œil vers Marc et Eva, ils ne pouvaient rien voir d’où ils étaient car le devant de sa robe n’avais pas bougé, mais je craignais qu’ils aient aperçu mon manège. Ça ne semblait pas être le cas.Je passais ma main sous elle. Le canapé était très souple, ce qui facilita ma tâche. Mes doigts sentirent le tissu de son sous-vêtement. Elle avait une culotte en coton ! Elle cherchait vraiment à se protéger des mecs...Ma main était coincée et avait du mal à bouger, mais je sentais le tissu sous mes doigts. Mon érection était de retour !Je remarquai que sa respiration s’était accélérée, et je vis que ses cuisses s’écartaient légèrement. Pas beaucoup, mais suffisamment pour permettre à mes doigts d’entreprendre une caresse sur son sexe, à travers sa culotte. Quel pied ! J’avais déjà connu pas mal de femmes, mais les jeux érotiques auxquels nous nous livrions avec Sophie étaient les plus excitants de ma courte existence.Au début je ne sentais pas grand-chose à part le tissu, trop épais à mon goût. J’alternais de petits mouvements de va-et-vient avec des caresses circulaires. Mais progressivement je sentis son plaisir : non seulement je devinais sous ma main un petit mouvement du bassin, qu’elle essayait de contrôler, mais je sentis sa culotte devenir humide et commencer à glisser sur son sexe.Mon excitation était totale. Et devoir se cacher rendait la scène encore plus excitante. Je voyais à des signes à peine perceptible sa respiration s’accélérée et son plaisir monter. J’étais en train de lui donner du plaisir devant Eva et Marc qui semblaient toujours ne rien remarquer.
— ... pour les vacances. Il faut qu’on prenne les billets d’ailleurs. Et toi Sophie ?— Je... je pense que je vais partir dans le sud de la France. J’ai... pardon, j’ai de la famille là-bas.
Son trouble m’amusait. Je continuais de plus belle à la caresser ce qui la fit rosir légèrement. Marc continuait à parler, mais Eva la regardait bizarrement.
— Tu en dis quoi ?
Marc venait de me poser une question que je n’avais évidemment pas entendue. Il allait répéter lorsqu’il se passa simultanément plusieurs choses : profitant qu’ils regardaient dans notre direction, j’accentuais ma pression sur son clitoris que je sentais gonflé à bloc à travers sa culotte, Sophie se contracta et je vis ses mains blanchir sur l’accoudoir, son corps entier se tendit et elle eut un orgasme. Elle le cacha plutôt bien sauf qu’elle ne put s’empêcher d’émettre un petit cri. Elle devint rouge comme une pivoine et se leva immédiatement pour se rendre aux toilettes, sans se rendre compte qu’en se levant elle dévoilait ma main qui était sous elle et légèrement humide.Eva la remarqua immédiatement.
— Eh bien, on ne s’embête pas ! me fit Eva.— De quoi tu parles ? demanda Luc qui n’avait rien vu— Regarde où est sa main, gros bêta.— Noooooon...— Gardez-le pour vous, vous allez la gêner, me crus-je obligé de dire— Il me semblait bien avoir remarqué qu’elle était bizarre depuis cinq minutes. Le garder pour nous ? Pourquoi, on pourrait jouer nous aussi !— Eh oui, ils pourraient jouer eux aussi !
Nous sursautâmes. Sophie venait de revenir et elle nous regardait avec un air nouveau. Un petit sourire se dessinait sur ses lèvres et elle semblait détendue. Elle était tout simplement magnifique. Elle avait enlevé ses lunettes sérieuses qui masquaient ses grand yeux bruns. Ses cheveux, qu’elle venait de lâcher sur ses épaules, masquaient à peine son cou qui était le plus sexy que j’ai jamais vu. Ajouté à ce tableau des lèvres pulpeuses juste comme il faut au milieu d’un visage hyper mignon et vous aurez une idée de la jeune femme que nous étions tous les trois en train de dévisager.Elle ôta ses chaussures et commença à danser lentement, ou plutôt devrais-je dire langoureusement, sur la musique. Eva se leva et se dirigea vers elle. Elle était jolie, mais moins parfaite que Sophie, même si je lui trouvais beaucoup de charme. Un peu plus ronde et moins grande, c’est son regard pétillant et malicieux qui la rendait attirante.
— Votre petit jeu m’a terriblement excité, fit-elle. Moi aussi j’ai envie de jouer !— Tu as trop bu Eva, fit Marc dont le regard semblait inquiet— Ce que tu es vieux jeu fit-elle en faisant une petite moue boudeuse. Puis elle se dirigea vers Sophie en faisant de loin un bisou à Marc qui semblait signifier : « suis-moi si tu le peux ».
A ce moment de la soirée, je me demandais sincèrement ce qui allait se passer. Et Marc semblait encore plus perplexe que moi.Les filles commencèrent alors une danse langoureuse, même si ce terme est en dessous de la vérité. Eva, excitée par l’alcool, et Sophie dansaient l’une contre l’autre. Leurs mains étaient en perpétuel mouvement sur leur corps, se caressant l’une l’autre. C’est Eva qui était la plus entreprenante, mais Sophie se laissait faire volontiers. Le dos, les fesses, le cou... leurs caresses restaient soft, mais étaient très excitantes, toutes en sensualité.Progressivement leurs mouvements devinrent vraiment plus chauds. Tout en dansant, Sophie se tourna et Eva, qui était dans son dos, posa ses mains sur son ventre avant de commencer à les remonter lentement. Elle passa une première fois sur la poitrine de Sophie mais continua son ascension jusqu’à son cou. A travers la robe de Sophie, d’où j’étais, je voyais nettement ses tétons pointer si bien que je me demandais si elle portait un soutien-gorge. Je n’allais pas tarder à être fixé sur la question.Eva redescendit ses mains et cette fois-ci s’arrêta pour caresser la poitrine de Sophie à travers sa robe. Sophie semblait en redemander. Elle collait son dos contre Eva et se laissait enlacer de façon très excitante. Marc et moi avions les yeux rivés vers elles.Eva franchit encore une étape lorsqu’elle descendit une main sur le ventre de Sophie, lentement, avec une volonté non dissimulée de ne pas s’y arrêter. La direction était évidente. Mais au lieu de protester, Sophie écarta un peu les jambes et laissa la main d’Eva la caresser à travers la robe. La façon dont elle bougeait le bassin ne laissait aucune ambiguïté sur le plaisir qu’elle commençait à ressentir.
Marc n’en revenait pas.
— On n’est censé faire quoi, là ? demanda-t-il— Ne pas intervenir pour l’instant je pense, répondis-je. Sauf si tu es jaloux...— Jaloux évidemment ! Mais excité aussi. C’est la première fois que je vois Eva faire quelque chose comme ça ! Il parla sans réussir à détacher son regard des deux nymphes qui dansaient devant nous.
Sophie semblait sentir de plus en plus de plaisir. Son souffle s’était accéléré et, la musique n’étant pas forte à cause de tous ceux qui dormaient, nous pouvions l’entendre pousser parfois de petits gémissements. Eva accentua ses caresses.J’imaginais que nous étions déjà allés loin et qu’elles ne tarderaient pas à s’arrêter, quand Eva remonta ses mains au niveau du coup de sa partenaire, fit coulisser les bretelles de sa robe et la laissa tomber par terre. Sophie était maintenant lovée cotre Eva, debout devant nous en sous-vêtements lorsque les caresses reprirent. Comment vous dire à quel point le corps presque dénudé que nous avions sous les yeux était sublime ? Sa poitrine ferme et généreuse se devinait à travers un soutien-gorge sans bretelles, son ventre plat se contractait en rythme avec les caresses, son cou tellement sexy s’étirait vers l’arrière pour permettre à sa tête de reposer sur les épaules d’Eva. Son corps était offert à nos yeux, autant qu’aux caresses d’Eva. Elle frôla son ventre, puis remonta lentement sur sa poitrine. Sa main jouait avec le sous-vêtement de Sophie, l’effleurant de l’extérieur, passant à l’intérieur, par-dessus, dans des caresses de plus en plus pressantes.Leur jeu dévoilait parfois un bout de téton que nous devinions rose clair puis les caresses reprenaient. Marc et moi n’en pouvions plus, mais nous sentions l’un comme l’autre qu’il ne fallait pas bouger pour ne pas rompre le charme du moment.Eva fit entrer plus franchement sa main droite dans le bonnet gauche d’Eva et dû lui saisir le bout du sein. Nous ne pouvions que deviner, mais elle devait pincer son téton. Sophie se mit à haleter de plus en plus fort, ce qui excita Eva car elle descendit sa main gauche en direction de la culotte en coton blanc de sa partenaire. Elle recommença par des frôlements et accentua progressivement ses caresses. Sophie maintenant se tortillait entre les mains expertes d’Eva. Son plaisir semblait intenable. Ses jambes se serraient, se desserraient, se croisaient... Je la croyais proche de l’orgasme. Eva glissa sa main dans le dos de Sophie et d’un geste expert fit tomber le soutien-gorge sur le sol, nous révélant une poitrine encore plus belle que ce dont j’avais rêvé. Les tétons étaient petits, durs, roses pâles et ils pointaient très fort. Les seins avaient une forme de grosse poire magnifique et ils tenaient parfaitement bien. Eva s’en saisit d’un cette fois à pleine main et le pressa tout en pinçant le téton, tandis que son autre main faisait coulisser son index à travers sa culotte entre les lèvres du sexe de Sophie.
Malgré le plaisir intense qu’elle ressentait, Sophie resta maître d’elle-même et lorsqu’Eva voulut glisser une main dans sa culotte, elle la lui saisit pour l’en empêcher. Elle se retourna, prit les deux mains d’Eva et la fit reculer jusqu’à un mur contre lequel elle l’appuya. Elle leva ensuite les deux mains d’Eva, qui se retrouva bras tendus au-dessus de la tête contre le mur. Sophie la regardait dans les yeux et semblait lui dire : « à ton tour » et Eva répondit par un sourire.Marc fit un mouvement pour se lever mais Eva lui fit comprendre par le regard de ne pas bouger. Je ne sais pas exactement ce qui le retint, mais il resta dans le canapé à la regarder. Je jetais un œil à Marc, un peu gêné par avance de voir la copine de mon meilleur ami dans cette posture mais il ne bougea pas. Je me crus autorisé à rester.Mon caleçon était depuis un moment déjà devenu trop petit. Et voir Eva se faire caresser par Sophie n’arrangeait pas les choses. Comme je l’ai dit déjà, Eva est jolie, même si sa beauté est moins parfaite que celle de Sophie. Son charme vient notamment de ses grands yeux, et pour l’instant on pouvait y lire un mélange d’envie, de plaisir mais aussi d’inquiétude. Ça devait être une première pour elle aussi et elle semblait moins à l’aise dans cette position que dans la précédente. Mais cela ne dura pas.La position dans laquelle se trouvait Eva lui laissait peu de marge de manœuvre pour bouger. Eva commença par déboutonner le chemisier de sa victime consentante et elle défit immédiatement son soutien-gorge. Je ne pouvais pas voir ses seins complètement, mais je les devinais lorsque les pans de son chemiser bougeaient ou s’écartaient. Ils étaient petits, mais plus ronds que ce que j’avais imaginé. Sophie colla alors son corps presque nu contre Eva et l’embrassa sur la bouche. C’était un baiser fougueux, excitant. Elle ondulait son corps contre celui d’Eva, lui caressant les seins avec ses propres seins, tandis que ses mains lui caressaient le dos et le cou. Eva gardait pour l’instant ses bras en l’air. Puis Sophie s’écarta légèrement et commença à faire descendre ses baisers dans le cou d’Eva, sur le haut de son buste puis sur sa poitrine. Elle tourna quelques secondes autour d’un de ses tétons avant de l’aspirer d’un coup dans sa bouche. Eva eu un hoquet de plaisir. Sophie semblait aspirer le téton, puis le mordiller, puis le lécher en faisant des petits ronds avec sa langue, avant de recommencer.
Le plaisir ressentit par Eva descendit immédiatement dans le bas de son ventre et nous vîmes son bassin faire des mouvements d’aller-retour.Les mains de Sophie se glissèrent ensuite sous la jupe de sa partenaire qui se laissa enlever sa culotte sans rien dire. Et tandis que sa bouche continuait à jouer avec ses tétons, nous vîmes les mains de Sophie repasser sous la jupe pour lui caresser les hanches et les fesses.
Je jetai de nouveau un coup d’œil à Marc. Il ne bougeait pas. Craignant à mon tour de rompre le charme, je m’abstins de tout commentaire.Sophie recommença ensuite à descendre. Elle embrassait le ventre d’Eva lorsque celle-ci lui posa les mains sur la tête semblant la retenir timidement. Même si l’intention était là, elle manquait de volonté et Sophie s’en rendit compte. Elle écarta doucement les mains d’Eva et recommença sa progression vers le bas.Vous avez compris que depuis le début le sexe d’Eva nous était caché par sa jupe et la tête de Sophie, qui passa dessous, disparut à son tour.Nous ne pouvions que deviner ce qui se passait, même s’il n’est pas nécessaire d’être grand clerc. La tête de Sophie faisait une bosse à travers la jupe et nous pouvions remarquer de légers mouvements. Les mains de Sophie étaient passés sous la jupe et étaient visiblement posées sur ses fesses.Sophie quant à elle avait légèrement écarté les jambes et incliné le bassin vers l’avant. Elle avait posé ses mains, à travers la jupe, sur la tête de Sophie et les pans de sa chemise, qui s’ouvraient en rythme avec ses mouvements, nous laissaient entrevoir sa poitrine. Les gémissements qu’elle poussait étaient de plus en plus forts.Honnêtement je pensais que nous étions arrivés au point d’orgue de la soirée, mais je me trompais. Pas tout à fait en tout cas, même si mon érection était déjà en béton armé.
Après quelques minutes de ce traitement, Sophie s’écarta et ressortit la tête de sous la jupe d’Eva, dont le regard à ce moment-là semblait supplier de continuer pour recevoir l’orgasme qu’elle n’avait pas eu. Sophie planta son regard dans le sien et glissa une main sous sa jupe. Je vis sa main rentrer sous la jupe, s’arrêter, puis recommencer à avancer mais plus lentement cette fois. Les yeux d’Eva s’ouvrirent en grand et se refermèrent en un souffle. A ce moment précis elle émit un gémissement qui ressemblait à une longue plainte.Puis la main de Sophie commença un mouvement de va-et-vient, ponctué à chaque fois par un petit cri de sa suppliciée. Elle gardait son regard planté dans celui d’Eva.Ne rien voir était en fait vraiment très excitant. Nous ne pouvions que deviner ce qui se passait sous la jupe et j’avais une envie folle d’aller y jeter un œil. Mais je doutais que les filles nous laissent faire.La main de Sophie s’activait, alternant des mouvements rapides avec des mouvements plus lents. Eva avait les yeux dans le vague et prenait un pied terrible, jusqu’au moment où elle eu un violent orgasme, assez bruyant même, mais qu’elle ne chercha pas à cacher. Son corps fut pris de petits spasmes, bref mais vigoureux et la main de Sophie commença des caresses plus amples avant de sortir de la jupe. Elle se redressa et embrassa longuement Eva qui semblait revenir sur terre.Posément, Sophie enfila sa robe et Eva reboutonna son chemisier. Elles n’avaient pas remis leur soutien-gorge et leurs seins se devinaient encore à travers leurs vêtements. Surtout ceux d’Eva. Puis elles revinrent vers nous, se tenant par la main :
— Ca va les gars ? Vous avez aimé vous aussi ?
Marc et moi restions comme deux idiots, la bouche entrouverte et ne sachant que dire. Elles explosèrent de rire ensemble.
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