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Sophie, Queen of spades

Chapitre 1

Comment tout a basculé

SM / Fétichisme
Pour commencer, vous me connaissez sous le prénom Caroline, mariée à Thierry depuis 8 ans. Vous avez lu le début de notre histoire que mon mari a publié sous le pseudo ‘Thierry6977’ dans une première série « Action ou Vérité » à la fin de laquelle il a décidé de réaliser mon fantasme le plus fou, à savoir qu’il devienne mon Maître. Puis dans une deuxième série « Quand fantasme devient réalité », nous vous avons raconté comment à la suite d’un grave accident de la route, il a dû faire appel à un couple de dresseur, Monsieur Jean et Madame Irène, pour parfaire mon éducation de soumise.Mais mon vrai prénom est Sophie. Si aujourd’hui, je le divulgue, c’est sur ordre de mon nouveau Maître qui a fait de moi une QOS, a « Queen of Spades », une « Dame de Pique », une femme blanche mariée qui, avec la permission de son mari, adore avoir des relations sexuelles régulières avec plusieurs hommes à la fois, essentiellement des noirs bien membrés, BBC (Big Black Cock). Je vais vous raconter comment cela est arrivé, aidée par ‘lammergeyer’ que je remercie et qui va publier mes nouvelles aventures sous son pseudo, puisque certaines choses que j’ai faites et que je continue de faire sont toujours à ce jour inconnues de mon mari Thierry. 
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Nous avons été invités l’hiver dernier au Sénégal par nos amis Monsieur Jean et Madame Irène. Nous devions y rester initialement un mois, mais nous avons dû prolonger notre séjour de 15 jours. Depuis son accident Thierry a encore du mal à marcher, mais surtout il n’a plus les érections qu’il avait auparavant. Les médecins disent que cela va revenir avec le temps et qu’il faut être patient. Les premiers jours sont idylliques, soleil, plage et farniente. Nous sommes traités avec respect, même si bien sûr, je reste la soumise de Mr Jean et de Mme Irène. C’est ainsi, qu’un soir, nous sommes invités à une réception, où il y a beaucoup de monde, des notables, de très belles femmes, mais aussi des hommes très virils.Thierry me choisit pour l’occasion une robe portefeuille légère avec porte-jarretelles et string et sans soutien-gorge. Une fois arrivés, nous ne passons pas inaperçus, étant les seuls blancs présents ce soir-là. Thierry est félicité par beaucoup qui le jalouse d’avoir une compagne aussi belle. Aussi je suis bien vite invitée à danser par de nombreux hommes et quelques femmes également. La soirée se déroule bien. Je suis heureuse et Thierry est fier de moi. La soirée bascule quand un grand gaillard s’approche de moi avec une démarche d’homme sûr de lui qui obtient toujours ce qu’il veut. Quand il me regarde droit dans les yeux, je suis comme hypnotisée. Lorsqu’il avance sa main vers moi, je la saisis machinalement. Il m’entraîne aussitôt sur la piste. C’est un très bon danseur. Ses premiers mots me désarçonnent : — Je suis Pacôme. Je te veux comme esclave. Je le regarde sans rien dire, mais je sens dans son regard qu’il est déterminé et pense vraiment ce qu’il dit. J’ai très envie de lui dire oui. Pendant que j’hésite encore, il me colle contre lui et je sens son énorme queue, ce qui a pour effet immédiat de me faire mouiller. Il poursuit :— Je vais te fouetter, t’offrir à des amis, te faire subir mille et une épreuves où tu souffriras, mais surtout où tu jouiras comme jamais, comme une chienne en chaleur. Pendant qu’il me parle, il passe sa main dans ma robe pour jouer avec un de mes seins et pincer fortement mon téton. Je gémis instinctivement, mais j’aime la façon dont il me traite. Là il me propose carrément de passer la nuit avec lui. Je lui dis que je suis avec mon mari et que je ne peux pas accepter sans son accord. Il me dit qu’il comprend et qu’il m’attend 10 mn à l’entrée. Si je ne le rejoins pas d’ici-là, il partira. Je suis donc allée dire à Thierry qu’un homme veut baiser avec moi. Sans lui dire bien sûr, ce qu’il compte me faire. Aussi, il accepte et me souhaite de bien prendre mon pied. Je l’embrasse pour le remercier. Je me précipite vers la sortie. Pacôme est adossé à sa voiture. Quand il me voit, il sourit. Lorsque je m’arrête devant lui, il ouvre ma robe pour arracher mon string en disant que je n’en aurais plus besoin. Mais quand je veux refermer ma robe, il me dit que non et que je dois rester dénudée comme ça. Dorénavant, je dois l’appeler Maître quand je m’adresse à lui. Nous partons. Pendant le trajet, il me branle en me disant qu’il était sûr dès le premier regard que je serais une bonne chienne et qu’il va prendre du plaisir à me transformer en esclave. Il me demande alors comment je vois le Maître qui va me prendre comme esclave. Je lui réponds sans réfléchir, trop concentrée sur les doigts qui jouent avec ma chatte :— Je veux qu’il soit pervers, vicieux et intransigeant. Il rit et dit que je suis bien tombée car il est justement très vicieux et pervers. A notre arrivée chez lui, nous sommes accueillis par une servante à qui il me confie pour qu’elle me lave et me prépare. Un peu étonnée, je la suis sans rien dire dans le dédalle de cette grande maison jusqu’à la salle de bains. Sans un mot, elle me déshabille et me lave entièrement avant de me sécher. Avant de sortir, elle me pose 4 bracelets et un collier auquel elle accroche une corde. Elle tire ensuite dessus pour que je la suive jusqu’à un salon où il m’attend. Elle lâche alors la corde et nous laisse seuls. Je suis nue debout devant lui en attente de ses ordres. Il se lève et prend la corde pour me faire rentrer dans une grande pièce où il y a des anneaux au plafond, au mur et au sol, ainsi qu’une croix de saint André et un pilori. Toujours sans parler, il m’attache les bras au plafond et les jambes écartées au sol. Là, il me dit que c’est la première étape de mon dressage. Pour commencer, il va me fouetter pour me montrer qui est le Maître. Il promène d’abord son fouet sur tout mon corps qui en frissonne d’excitation. Puis il prend ses distances pour m’assener les premiers coups de fouet. Au début, j’ai très mal, mais par la suite je sens mon excitation monter au fur et à mesure. Quand il estime que mes fesses et mon dos sont suffisamment marqués, il me fait arquer le corps vers l’avant de façon à bien faire ressortir mes seins et ma chatte. Il commence par viser mon ventre, puis mes seins. Cela fait mal, mais paradoxalement j’aime cette douleur. Puis il se met en face de moi et me fouette la chatte. Cela fait vraiment très mal, cette fois. Je crie très fort, mais finis par le supplier de continuer car à ma grande surprise, je jouis.Il détache mes jambes et me demande de le regarder dans les yeux. J’entends alors le bruit d’un zip. Puis il me soulève par les jambes pour bien les écarter. Je sens alors son énorme bite rentrer en moi. Je gémis de plus en plus au fur et à mesure qu’il me pénètre. Une fois bien en place, il me soulève pour me faire retomber sur sa bite. Je gémis, crie mon plaisir. Je jouis vraiment comme une chienne en chaleur. Quand il estime que cela suffit, il me demande si j’ai aimé son traitement. Je ne peux répondre que oui et que c’était même divin. Il me détache alors et me ramène dans le salon où nous buvons un verre, lui assis dans un fauteuil et moi par terre à ses pieds. Tout en me caressant les cheveux, il me dit qu’il tient de plus en plus à m’avoir comme esclave attitrée. Il m’emmène dans sa chambre et me demande de le déshabiller entièrement. C’est la première fois que je vois sa bite. Effectivement elle est bien la plus grosse que je n’ai jamais vue. Je le suce avec délectation pour le faire jouir. Puis il me prend en levrette. Je crie mon bonheur d’être autant remplie. Aussi, quand il veut se retirer de ma chatte, je lui dis non. Mais il a, semble-t-il, l’idée d’investir un autre de mes trous, car je sens bientôt son gland contre ma rosette qui tente d’y entrer. Je pousse alors mon cul sur ce dard pour qu’il me pénètre par la petite porte cette fois. Il m’encule un long moment comme un métronome. Je suis au paradis. Lorsqu’il finit par se répandre dans mes entrailles, il me dit que je suis définitivement noircie. Nous nous endormons ensuite toujours enlacés. Au réveil, je suis seule dans le lit. Je prends une douche. Un petit-déjeuner m’attend, ainsi qu’une lettre : « Ma chère Sophie,
Après une telle nuit, je peux vous dire que vous êtes vraiment faite pour être dresser et devenir une esclave à blacks. Ne vous mentez pas, vous savez que j’ai raison. Vos jouissances successives sont là pour le prouver. Je m’absente 4 jours. A mon retour, soit vous vous présentez nue devant mon entrée et cela voudra dire que vous acceptez d’être entièrement dressée. Dans ce cas, vous direz à votre Maître et mari que vous ne rentrerez que dans 15 jours. Si vous n’êtes pas là à mon retour, j’en déduirais que vous refusez votre futur et je vous laisserai suivre votre chemin.Ton futur propriétaire,Maître Pacôme. » Je garde finalement le mot, car pour moi c’est le départ d’une nouvelle vie. Je sais déjà que je serais au rendez-vous. Mais avant cela, il me faut convaincre Thierry de me laisser devenir l’esclave d’un autre Maître que lui. J’en parle à Madame Irène qui est ravie de cette nouvelle et va donc m’aider à convaincre Thierry. Cela s’avère finalement plus facile que je ne le pensais, car il veut surtout mon bonheur qu’il ne peut m’offrir pour l’instant. Aussi, quatre jours plus tard, je suis excitée quand Madame Irène me dépose nue devant chez Maître Pacôme. Je lui demande de ramener mes vêtements car je n’en aurais sans doute plus besoin. Lorsque la porte s’ouvre, la servante m’accueille en me passant directement un collier. Pour la première fois, j’entends sa voix me dire :— Bienvenue chienne. Je la suis jusqu’à mon nouveau Maître, consciente du nouveau départ dans ma vie sexuelle. En effet, il m’annonce que désormais j’ai moins de valeur que ses serviteurs qui auront tout pouvoir sur moi pendant son absence. Il m’énonce ensuite tous les sévices que je vais devoir subir et surtout qu’il va me faire sauter par beaucoup d’hommes et de femmes. Je suis conduite ensuite dans une cellule où l’on m’attache à une chaîne. Mon premier repas est servi dans une gamelle dans laquelle je dois manger comme une chienne sans l’aide de mes mains sous le regard de la servante. Lorsqu’on vient enfin me chercher, je ne sais plus quelle heure il peut bien être.On m’attache de nouveau là où je l’ai été la première fois que je suis venue. Maître entre alors avec deux autres hommes et me présente comme sa nouvelle pute. J’en suis flattée tout en étant un petit peu inquiète pour la suite des événements. Il me fouette plus durement que la première fois, mais une fois encore cela me plait beaucoup. Puis les deux hommes me prennent en double. Je jouis comme une chienne. Mon Maître me prend à son tour. Je suis aux anges, malgré les insultes. Pendant plusieurs jours, je suis fouettée et prise comme une pute que je suis. A chaque fois, il y a un homme de plus. La servante vient me voir régulièrement pour que je la fasse jouir avec ma langue. Elle se contente juste de soulever sa robe pour que j’accède à son minou odorant, puis me repousse du pied, une fois qu’elle a joui. Elle aussi se montre méprisante envers moi, mais cela ne me fait rien. Je suis heureuse de mon sort.Un soir pendant que je suis fouettée, mon Maître demande à la servante de me fister la chatte pendant qu’il continue de me zébrer le dos. Puis ils inversent leurs positions. Elle me fiste le cul quand il me fouette de face. Enfin, j’ai droit à un double fist vaginal et anal en même temps. Lorsque je sens sa main rentrer, je jouis comme jamais et crie mon plaisir. Aussi, quand elle la retire, je pousse un grognement qui les fait bien rire. Pour mon cul, cela est plus douloureux, mais tellement bon aussi. Je ne sais bientôt plus depuis combien de temps, je suis entre leurs mains, mais au fond de moi je ne veux plus que cela s’arrête. C’est le pied total quand elle me fiste doublement.Quand ils me détachent enfin, je suis complètement avachie, épuisée d’avoir tant joui, mais heureuse comme jamais. J’en ai complètement oublié les invités qui n’ont rien loupé du spectacle que je viens de leur offrir. Mon Maître leur dit que je suis totalement prête pour leurs assauts et qu’ils peuvent donc me prendre en double, mais avec consigne de ne jouir uniquement que dans ma bouche de pute. C’est alors l’hallali, je subis mes premières doubles vaginales et même anales et dois boire énormément de sperme. Les jeunes blacks d’une trentaine d’années qui m’entourent ont un sexe long et plus fin (25/5) que celui de Maître. Mais leurs bites sont suffisamment grosses pour bien les sentir quand ils se mettent en mouvement. Jamais de ma vie, je n’aurai cru possible de prendre deux BBC en même temps dans chaque trou. Je suis tellement bien à ce moment-là que je crie littéralement mon plaisir. Les jouissances se succèdent à un tel rythme que je crois en mourir. Je finis par nettoyer leurs belles bites et avaler tout leur foutre avec délectation. Quand ils sont tous partis, je me retrouve allongée par terre dans l’impossibilité même de bouger, tellement j’ai joui sous leurs coups de bites énormes. Je suis si épuisée que je finis par m’endormir là, à même le sol.A mon réveil, comme chaque matin, je suis lavée à l’eau froide par la servante avant d’être amenée à mon Maître. Et là quelle surprise de découvrir Thierry, mon mari, en train de discuter avec Maître. Je n’y comprends plus rien. Il m’explique alors que comme il ne peut plus me faire l’amour pour que je puisse jouir comme je le mérite, il a demandé à Madame Irène si elle ne connaissait pas par hasard un Maître qui saurait faire de sa femme une bonne pute à blacks. Il connait en effet mes préférences pour les BBC. J’aurai dû lui en vouloir pour cette révélation, mais je l’ai au contraire remercié. Une autre surprise m’attend quand ils m’informent que Thierry ne sera plus mon Maître principal, mais seulement le second et que pour l’officialiser, une soirée sera organisée prochainement. Puis on me ramène à ma cellule, sans que je puisse dire quoique ce soit. Le soir même, la servante vient me chercher pour me laver, puis m’emmener toujours nue dans le grand salon où beaucoup de monde m’attend déjà. Il y a, entre autres, Thierry, Monsieur Jean et Madame Irène bien sûr. Maître demande le silence avant d’annoncer qu’à partir de ce soir je deviens son esclave. Puis Maître me tend un papier que je dois lire devant tout le monde et qui stipule que j’accepte officiellement d’être l’esclave de Maître Pacôme et qu’il a désormais tous les droits sur moi et qu’il peut dorénavant modifier mon apparence comme bon lui semble selon son humeur. Après avoir lu et été applaudi par l’assemblée, je vois arriver une dame avec un plateau. Mon Maître me fait alors prendre la position de soumise, à savoir : debout jambes écartées, les mains croisées derrière la tête. La dame au plateau commence par étirer mes tétons avant de sentir une piqûre sur un téton, puis sûr l’autre. Elle vient de me poser des anneaux pour montrer à tous ma nouvelle condition de soumise. Elle en profite pour échanger mon collier par un définitif avec la mention « Queen of Spades ». Puis elle me fait mettre à genoux avant de me raser complètement le crâne pour que je prenne bien conscience de mon état d’esclave. Enfin, Maître Pacôme me dit qu’une fois rentrée en France, je serais confiée à un de ses cousins qui me fera tatouer les symboles de ma nouvelle condition à trois endroits : sur le sein gauche, juste au-dessus du pubis et sur la cheville gauche.Bien entendu, une fois ce cérémonial terminé, mon nouveau Maître invite tous ceux qui le souhaitent à venir me baiser comme une chienne au milieu de l’assistance. Je n’ai jamais été aussi heureuse de ma vie.Durant les deux derniers jours de mon dressage chez Maître Pacôme, il a bien entendu continué de me baiser ou me faire baiser comme une pute à blacks que je suis devenue. Je l’en ai remercié d’avoir ainsi découvert en moi ma véritable nature. Thierry et moi sommes rentrés quelques jours plus tard. J’ai remercié mon mari pour ce séjour qui m’aura apporté tout ce qui me manquait. Depuis nous sommes paradoxalement encore plus proches qu’avant.Il me reste maintenant à contacter le cousin de Maître Pacôme.
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