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Sophie et son oncle

Chapitre 1

LE COMMENCEMENT

Inceste
CHAPITRE1 - LE COMMENCEMENT.


Tout avait commencé au repas d’anniversaire de Sophie qui avait eu dix-huit ans la semaine précédente. Son oncle, Alex, quarante-huit ans, avait parlé avec sa mère, Lydia, quarante-cinq ans, qui lui était soumise depuis une vingtaine d’années et lui avait dit qu’il pensait offrir à sa nièce, pour ses dix-huit ans, des anneaux de tétons et un œuf vibrant et il avait demandé à sa sœur ce qu’elle en pensait.
— Oui, c’est une très bonne idée, lui avait-elle dit.

Il avait dit à sa nièce que pour ses dix-huit ans, elle aurait une belle surprise. Il lui avait donc fait ces cadeaux pas ordinaires et les avait emballés dans le même paquet.
Sa nièce savait depuis peu que sa mère lui était soumise, depuis très longtemps, à lui, son frère, mais cela ne l’avait pas choquée que cela soit de l’inceste. Elle leva sa jupe, sa fille vu qu’elle ne mettait pas de culotte, qu’elle était bien lisse et elle a pu voir les anneaux qui étaient sur les petites lèvres. Elle lui expliqua que cela était pour y mettre des poids pour les distendre. Son oncle les mit pour que sa nièce voie comment les petites lèvres s’allongeaient en lui disant que s’il la prenait comme soumise, elle aurait, elle aussi des anneaux semblables et devrait porter des poids pour bien les allonger.
Sophie était attirée sexuellement par son oncle et elle lui avait demandé s’il accepterait de la prendre, elle aussi, comme soumise.
Sa mère lui fit voir son large collier en cuir rouge qui portait un médaillon sur lequel était gravé "Soumise à mon frère Alex", ainsi que la date de départ de cette soumission en lui précisant que s’il la prenait comme soumise, elle en aurait un, elle aussi. Elle dit qu’elle avait hâte d’en porter un semblable.
Sa mère lui avait dit que dans ce cas, c’est son oncle qui la déflorerait et qu’elle lui serait, elle aussi, soumise et qu’elle ne pourrait pas refuser qu’il utilise sur elle beaucoup de sex-toys différents.
— Oh, oui Maman, je suis pressée que mon oncle me prenne.— Quand je t’aurai dépucelée, je te poserai la question pour moi savoir si tu veux, toi aussi, devenir ma soumise.— Elle répondit, qu’elle lui sera bien obéissante avec plaisir et qu’il pourra utiliser sur elle tous les sex-toys qu’il voudra.
Sophie ouvrit le paquet de son oncle, une amie se tenant près d’elle. Ne s’attendant pas à recevoir cela lors de son repas d’anniversaire, elle rougit comme une pivoine.
— Tu as bien de la chance que ton Tonton t’offre cela maintenant, même s’il veut tout mettre en place lui-même. J’aimerais beaucoup avoir la même chose, mais dans ma famille, ils sont tous coincés côté sexe.
— Aimerais-tu que je t’offre les mêmes objets ?— Euh... Oui, Monsieur.— Même si je les mets en place moi-même ?— Oui, si vous voulez, Monsieur.— Es-tu vierge, toi aussi ?— Non Monsieur, et je me caresse souvent le clitoris, je me doigte et j’utilise tous les jours.— Et tu jouis ?— Oui, Monsieur, beaucoup et ma fente devient trempée.— C’est très bien Alexia, et par qui as-tu été dépucelée ?— Par accident en faisant un grand écart, Monsieur.— Bien que tu n’aies plus ton hymen, tu es donc encore vierge. Veux-tu que je te baise ?— Oui, Monsieur, avec plaisir.— Continuant vos études, vous étes libres le mercredi et vous viendrez de ce fait chez moi du mardi juste après les cours pour ne repartir que le jeudi matin pour y aller. Cela sera chacune votre tour.
Il leur demanda quelles étaient leurs périodes de menstruations et si elles prenaient la pilule. Tout allant bien de ces côtés-là, il dit que la première sera sa nièce et que son tour viendra ensuite.
Vint le moment de son dépucelage, Sophie arriva chez son oncle le mardi vers vingt heures, elle avait amené anneaux de tétons et son œuf vibrant. Dès son arrivée, il l’embrassa sur la bouche en lui caressant ses petits seins à travers son fin chemisier. Sa nièce ne portant pas de soutien-gorge, il sentit les tétons se tendre sous ses doigts. Pour le bas, elle portait une large jupe, des socquettes blanches et des baskets. Il lui dit tout de suite qu’elle pouvait toujours tout faire arrêter, simplement en disant "Stop", tant que son contrat de soumise ne sera pas signé.
— Bien, merci.— Acceptes-tu que je te photographie, ou fasse des vidéos, aussi bien habillée que nue, y compris lors des actes sexuels ?— Oui, je l’accepte.
Il sortit donc son appareil photo, un beau reflex numérique, et commença à la photographier en la faisant bouger.
Ensuite il l’emmena au salon et lui demanda de se mettre nue. Elle se déshabilla comme sa mère lui avait dit, le bas en premier. Quand elle eu enlevé sa jolie culotte, il lui demanda de la lui donner, la huma et la mit dans sa poche. De très nombreuses photos avaient déjà été faites.
Il l’arrêta dans son effeuillage :
— Depuis quand es-tu bien lisse ?— Depuis ce matin, Tonton. Maman m’a conseillée et m’a demandé si j’acceptaisqu’elle me rase.
Elle était parfaitement lisse, sa fente monte haut sur son pubis plat, de ses grandes lèvres, plates elles aussi, dépassent largement ses petites lèvres assez longues et charnues.
Ensuite elle retira son chemisier, ses petits seins se passaient de tout soutien-gorge. Elle se tint nue, pour la première fois, devant son oncle. Il l’examina et lui dit :
— Tu es très belle, tu as de jolis petits seins aux petites aréoles et petits tétons roses ; mais tes grandes lèvres vont devoir être aspirées pour être bombées. Je vais utiliser un aspirateur de vagin et toute ta vulve restera proéminente environ deux jours.— D’accord Tonton.
Il refit des photos en gros plans.
Elle marmonna, plus qu’elle ne dit sans demander comment il va faire :
— D’accord.
Il la fit s’approcher de lui, lui demanda d’écarter un peu les jambes et de se pencher en arrière. Elle le fit, déjà obéissante, offrant avec plaisir sa vulve aux attouchements de son oncle. Il prit les petites lèvres, les tira fort vers le bas pour en éprouver l’élasticité et les écarta assez fort, découvrant ainsi son clitoris et surtout son hymen. Il lui demanda de les tenir bien écartées, fit un gros plan sur son hymen et il lui dit qu’à partir de maintenant, elle devra toujours être parfaitement lisse et ne plus porter aucun sous-vêtement.
— Je sais Tonton, Maman me l’a dit ce matin, j’aurais quand mes anneaux  ?— Tu sais que dès que tu les auras, tu me seras soumise, es-tu donc si pressée de les avoir ?— Oui.— Très bien ma nièce, nous irons de les faire poser demain matin, ce soir tu va perdre ta virginité et cette nuit tu seras sodomisée, tu auras aussi à me sucer et bien avaler mon sperme, je te préviens, il est très abondant, acceptes-tu ?— Oh, oui, merci.
Décidément sa nièce promettait.
Il l’emmena dans la chambre, une serviette éponge était posée sur le bord du lit, et des coussins vers le milieu. Elle vit aussi l"appareil photo fixé sur un pied. Elle rougit, son oncle lui demanda :
— Ton dépucelage va être filmé, acceptes-tu ?— Oui.— Très bien, il mit la vidéo en route, se mit nu. Elle vit qu’il avait une très longue et grosse verge, et était, lui aussi bien lisse.
Il lui demanda de prendre et bien tirer ses petites lèvres vers l’extérieur elle le fit, sans rien dire. Son hymen était parfaitement visible.
— Prête ?
Il lui pinça les tétons, les fit rouler entre ses doigts, sa nièce haletait. Il positionna son gland contre l’hymen qui gardait l’entrée du vagin. Il le regarda dans les yeux et poussa, très doucement.
Elle poussa un petit cri quand l’hymen céda. Il resta un bref moment, juste le gland entré, puis il poussa doucement jusqu’à ce que leurs pubis se touchent. Il resta un moment bien fiché au fond de son vagin et lui demanda :
— Cela va bien ?— Oh, oui cela m’a fait un peu mal, mais maintenant c’est très bon.
Il fit beaucoup de va-et-vient, sentit les contractions du vagin de sa nièce libérant des flots de cyprine. Il lui dit :
— Tu es une femme fontaine, c’est très bien.
N’y tenant plus il jouit bien au fond de son vagin et elle sentit très bien les soubresauts de la verge de son oncle la remplissant de sa semence. Ils restèrent un long moment comme cela, savourant l’instant présent. Il ne se retira que quand il commença à débander. Un peu de sang mélangé à leurs abondants effluves tacha abondamment la serviette. ll la fit se lever et ils allèrent prendre une douche tous les deux. Il arrêta la vidéo en partant se laver, en profita pour prendre la serviette et la mettre au linge sale.
Il avait préparé un rapide repas, pour le prendre, il s’habilla, mais elle dut rester nue. Il lui indiqua une nouvelle façon de s’asseoir, bien au bord de la chaise, le dos bien appuyé au dossier, les jambes largement ouvertes et que cette position s’appelait la position d’attente. La table étant en verre, il avait une vue parfaite sur ce qu’il nomma la vallée des plaisirs. Il lui dit :
— A partir de maintenant, tu dois toujours t’asseoir comme cela.— D’accord.
Dès le repas pris, il l’amena au salon, fit le branchement et lança le diaporama de toutes les photos et vidéos faites depuis le début.
Elle s’essaya sur le canapé, comme il le lui avait appris, il s’essaya près d’elle, mit une main, sur sa vulve et lui caressa la fente doucement.
Durant la projection, elle inonda le canapé de cyprine, il lui dit :
— Tu es une femme fontaine, c’est rare et j’aime beaucoup c’est très beau de te voir jouir ainsi ; tu auras souvent l’occasion de jouir sur moi et je verrais bien ton vagin battre.— Oui, si tu veux, je crois que je vais aimer aussi.
La projection terminée, ils allèrent prendre un repos bien mérité. Vers le milieu de la nuit, son oncle se leva, il ne la réveilla pas et alla à la salle de bain préparer ce qu’il fallait pour faire un lavement rectal à sa nièce afin de la préparer pour sa première sodomie. Quand tout fut prêt, il alla près d’elle et lui caressa l’anus, cela la réveilla et il dit.
— Le moment de te faire sodomiser est arrivé, mets-toi par terre à quatre pattes, car avant nous allons te faire un lavement rectal pour que tu sois bien propre.
Elle obéit, sans rechigner et ne dit pas "Stop". Posé sur une chaise, elle vit le broc de trois litres muni d’un petit robinet, y était raccordé un long tuyau en plastique souple transparent finissant par une canule. Une fois à quatre pattes, il lui fit écarter ses genoux, il lui mit un doigt dans son vagin, lui massa l’anus avec un peu de vaseline, y présenta la canule qu’il enfonça doucement sur toute sa longueur et il lui demanda :
— Comment cela va-t-il ?— Cela fait un drôle d’effet, mais cela va bien.
Il ouvrit alors le robinet à fond et elle sentit l’eau savonneuse tiède lui envahir son fondement. Une fois le broc vide, il retira la canule, lui dit de conserver ce lavement entre cinq et dix minutes.
Au bout de huit minutes, elle lui demanda pour aller se vider aux toilettes. Il accepta en lui disant de laisser la porte grande ouverte.
Il la regarda se vider, elle ne rougit pas, commençant à s’habituer à ne plus avoir d’intimité devant son oncle.
Une fois vidée, il la fit se remettre comme elle était, il s’agenouilla derrière elle, mit son gland sur l’anus et poussa doucement. Quand le gland entra, elle dit :
— Oh maintenant c’est dans mon cul.— Oui , aimes-tu cela ?— Je crois que oui, mais enfonce le plus pour voir.
Il s’enfonça et ne s’arrêta que quand ses cuisses touchèrent , alors il lui demanda :
— C’est bon, ?— Cela me fait un peu mal, mais oui, c’est bon et j’aime ça.
Il fit quelques va-et-vient et jouit abondamment dans ses entrailles. Elle dit :
— Oh, je sens bien ton foutre qui envahit mon cul, c’est bon.
Il ne se retira que quand il débanda et il l’emmena sous la douche, cette fois le jet serré fut pour son anus ; il la fit le laver et retournèrent au lit. Elle se lova contre lui, il la prit dans ses bras et ils s’endormirent. Le matin elle savait qu’elle allait devoir le sucer, elle commença, lui procurant ainsi un très bon réveil, il lui caressa la tête, éjacula copieusement dans sa bouche. Elle avala tout le sperme, s’en délectant. Ensuite elle lui nettoya bien le gland avec sa bouche. Il ne la fit pas jouir pour qu’elle connaisse la frustration.
Ils allèrent à la salle de bains et en ressortirent habillés, prirent le petit-déjeuner. Il était neuf heures et il lui demanda :
— Es-tu bien sûre de toujours vouloir te soumettre à moi ?— Oui.— Très bien ; il avait préparé un petit contrat reprenant ce qu’elle doit accepter. Il y était dit qu’elle ne devra plus porter que des jupes amples s’arrêtant au-dessus des genoux, qu’elle devra la relever avant de s’asseoir pour ne pas s’asseoir dessus et la poser sur la chaise derrière elle, de la remonter toujours à mi-cuisses, qu’elle ne peut pas refuser utilisation de sex-toys quels qu’ils soient ni de se faire photographier ou filmer lors des actes sexuels.
Il y était stipulé que la durée était de deux ans minimum et qu’au-delà la seule façon pour elle de se libérer de son collier sera de lui présenter une remplaçante, âgée entre dix-huit et vingt-deux ans, vierge de préférence. Elle le lut bien et signa à côté de la signature de son oncle.
Il lui dit :
— A partir de maintenant, tu m’es soumise, tu ne me diras Maître et tu me vouvoieras, quant à moi je t’appellerais comme bon me semble, cela pourra être Soumise, salope, cochonne, mais aussi d’autres insultes ou ton prénom. C’est bien compris cochonne ?— Oui, Maître.
Il lui dit que l’heure était venue d’aller lui faire poser ses anneaux. Elle répondit :
— Merci, Maître.
A suivre.
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