Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 505 J'aime
  • 13 Commentaires

Sophie, une grande soeur fantastique

Chapitre 2

Inceste
Je dors depuis maintenant six ans seul, j’ai perdu l’habitude de partager mon lit avec quelqu’un et ne réussis pas à trouver le sommeil à moins que ce soit dû à l’excitation ressentie quelques minutes plus tôt. Sophie se retourne vers moi.
— Tu ne réussis pas à dormir ? — Non pas trop.— Moi non plus, je peux te poser une question ? — Oui bien sûr.— Ça fait six ans depuis le décès d’Emilie, tu n’as pas pensé à refaire ta vie ?— Oui et non, mais pas franchement en fait.— C’est-à-dire ? Ca veut rien dire ta réponse.— Tout est passé si vite, du jour au lendemain quelques jours après la naissance de Maxence, je me retrouve père célibataire à devoir gérer son arrivée, continuer à éduquer Jules, devoir organiser les funérailles de ma femme, galérer au boulot, avec les enfants, galérer toujours. C’est comme si quelque chose s’est cassé en moi à ce moment-là malgré toute l’aide que tu as pu m’apporter. Et en fait maintenant, j’ai trouvé mon équilibre dans ma vie comme ça, mais oui parfois, je me sens seul tout de même. — Mais tu veux rencontrer personne ou c’est les opportunités qui manquent ?— Les deux, entre le boulot et les enfants, il ne reste plus beaucoup de temps et je ne cherche pas particulièrement à faire des rencontres, je n’ai pas trouvé de femmes suffisamment intéressantes. — Tu as connu personne d’autre depuis Emilie ? Tu dois avoir un paquet de prétendantes, je suis sûre.— J’ai senti que deux mamans de l’école se sont intéressées à moi, j’ai essayé de nouer quelques liens, mais j’avais le sentiment qu’elle cherchait à me réparer plutôt que vouloir construire quelque chose, alors j’ai rapidement pris mes distances sans que ça aille plus loin que de la dragouille.— Ah oui d’accord.— Tu n’avais pas connu beaucoup de filles non plus avant ?— Suffisamment à mon goût.— Et niveau sexe, tu n’as plus connu de femmes depuis six ans ? — Oui même plutôt sept, la grossesse d’Emilie avait été très compliquée, bien que j’avais très envie d’elle, je la laissais tranquille, j’essayais de me mettre à sa place.— Ça ne te manque pas ? — Pas plus que ça, je me soulage de temps en temps et ça me suffit.— Tu es sûr ? Comment tu m’as regardée et touchée tout à l’heure, j’avais l’impression que tu brûlais de désir.— N’importe quoi ! Tu es ma sœur, je t’aime, mais d’un amour fraternel, je ne peux avoir envie de toi !— Ce n’est pourtant pas ce que disait ta bite !— T’es conne !
— Oh ça va je rigole, je te taquine petit frère.— C’est bon de te voir rire Sophie  !— Et toi aussi, j’ai l’impression que ce n’était pas arrivé depuis une éternité.— Tu as pas chaud ? Je suis en train de cuire, tu es une vraie chaudière sous cette couette ! — Bah non regarde.
Sophie me plaque ses pieds glacés sur mes jambes
— Argh, mais comment tu fais pour être gelée à ce point !!!— Hi hi hi.— Oh j’en peux plus, je peux retirer mon tee-shirt ?— Bah oui bien sûr.
J’enlève alors mon tee-shirt qui file à côté du lit, j’ai l’impression de revivre. Je sens la main de Sophie se poser sur mon torse.
— Oh t’es bouillant, je peux me coller contre toi ? — Euh oui.
Sophie se rapproche immédiatement et se colle à moi, elle m’enserre avec son bras par dessus la poitrine, je sens ses seins s’écraser contre mon bras, et passe une jambe par-dessus les miennes.
— Ahhhhh trop bien.— Mais ça m’arrange pas ça, à part tes pieds glacés, tu es bouillante.— Ppfffffff bon OK je retourne dans mon coin.— Non, mais reste, tant pis c’est sympa de t’avoir contre moi quand même, ça faisant longtemps qu’on ne s’était pas câliné.— Aaahh merci mon petit frère chéri.
Je sens les lèvres de Sophie se poser sur ma joue, tout proche de mes lèvres pour me faire un doux bisou.
— Tu pensais vraiment ce que tu as dit ? Que j’étais parfaite ? — Oui tout à fait, tu l’es. Tu es la femme de mes rêves, belle, intelligente, tendre, gentille, rigolote... enfin en général.— Merci toi aussi tu es parfait à mes yeux.— Merci beaucoup.— Tu veux dormir ? — Ça va.— Je peux te poser une autre question ? — Bien entendu.— Émilie me ressemblait beaucoup tu ne trouves pas ? — Mouais il y avait quelques traits communs.— Tes copines avant aussi non ? — Tu veux en venir où avec tes questions ?— Nulle part, je me demandais juste si tu en avais conscience. — J’apprécie beaucoup les grandes blondes oui et alors ?— Rien tout va bien. Je peux te poser une autre question ? — Mais c’est un vrai interrogatoire dis donc ! Mais oui tu sais que je ne peux rien te refuser. — Ton PC n’était pas éteint... Tu regardes souvent ça ? — Euh... tu as vu quoi exactement ? — Bah la vidéo que tu avais mise en pause... sur le site porno.— Désolé que tu aies vu ça ... euh oui ça m’arrive régulièrement quand je me caresse, le porno ça m’aide un peu quand même.— Non, mais c’est plutôt, enfin... je veux parler du titre de la vidéo qui était en pause "A sister begs his brother to cum in her pussy" — ... — Ça va t’inquiète, c’est que ça m’a surprise, surtout que l’actrice est une grande blonde c’est... c’est un peu déroutant quand même.— Bah, euh, euh non, oui, enfin ça dépend des fois quoi, je suis tombé dessus par hasard, je n’ai pas fait attention.— Je n’aurais pas dû t’en parler, je suis désolée, je t’ai mis super mal à l’aise.— SI ! Si si ! Enfin non. Non, mais si ! Mais c’est que...— “C’est que” ?!? je comprends pas, excuse-moi.— Bon oui j’avoue, je fantasme un peu sur ce genre de relations oui c’est vrai, voilà !— Ah... — Mais, mais... mais... mais ça n’a rien à voir avec toi, c’est juste du porno. C’est juste que j’aime bien cette actrice en fait.— Mais tu viens de dire que tu fantasmes sur ce genre de relations pourtant, c’est ça ou c’est l’actrice alors ? — Oui, oui, oui tout à fait ! Mais c’est que enfin... Mais là, en fait, oui, mais non !— Oh mon pauvre, je suis désolée de te torturer comme ça !
Sophie pose alors sa main sur mon visage et approche ses lèvres des miennes et m’offre un baiser d’une douceur et d’une tendresse incroyable. Ses lèvres sont très douces et agréables. Je réalise soudainement ce qu’il se passe, mais ne peux pas me résoudre à mettre fin à ce baiser incestueux, mais prodigieux. Sophie décolle ses lèvres des miennes et pose sa tête à côté de la mienne.
— Ca faisait tellement longtemps que je voulais goûter à tes lèvres mon frère.— ...
Je ne sais pas quoi dire, je n’y crois pas, mais ma raison reprend finalement le dessus.
— Mais tu es ma sœur, on peut pas s’embrasser.— Si, on vient de le faire, ça ne t’a pas plu ? — Si, mais il ne faut pas et puis... — Laisse-toi aller un peu... Émilie ne reviendra plus. Je suis à l’aube de mon quarantenaire, il est temps que je vive vraiment, et toi aussi.
Sophie m’embrasse alors de nouveau et je réponds cette fois-ci à son baiser. Ma bouche s’ouvre et je sens sa langue venir à la rencontre de la mienne. Sa main glisse vers mon boxer et se pose sur la bosse qui est en train de s’y former de nouveau puis elle commence à le caresser au travers du tissu.
— Je vais terminer ce que tu avais commencé petit frère.— Je... non ! ... — Si mon frère, ça va aller.— Tu es sûre ? ... On ne devrait pas.
La seule réponse que j’ai est un sourire puis de sentir alors ses doigts se glisser sous l’élastique de mon boxer et venir saisir ma verge qui est maintenant totalement dure. Ce contact interdit m’électrifie et je tremble lorsqu’elle atteint son but, j’ai l’impression que je vais jouir instantanément, ne me souvenant même plus quand la dernière fois où une femme m’a pris le sexe ainsi. Elle commence alors à faire coulisser sa main sur ma verge.
— Tu as un très beau sexe mon petit frère. D’ailleurs, tu as aussi un corps magnifique, tu as gardé celui de tes vingt ans.— ... Merci.
Je me force à me contrôler pour ne pas jouir immédiatement sous les caresses de ma sœur.
— Ça te plaît ? — Oui beaucoup.
Sophie m’embrasse de nouveau, plongeant sa langue dans ma bouche, elle en profite pour faire glisser mon boxer, je l’aide en soulevant les hanches.
— Avoue-moi, ça fait combien de temps que tu fantasmes sur ta grande sœur ? — Hmmm, ce n’est pas ce que tu penses !— Ah bon ? Alors je dois t’avouer que de mon côté, ça doit faire depuis mes vingt ans et que tu as commencé à ressembler à un homme et t’ai aperçu par erreur nu sous la douche, je me suis beaucoup caressée en pensant à toi quand on était encore chez les parents.
Je suis choqué de cette révélation totalement inattendue.
— Mais... Sophie ? — Quoi ? Tu pensais être le seul à éprouver du désir pour moi, que tu étais tordu, anormal, qu’il fallait chasser ces idées de ta tête, qu’il fallait consulter un psy ? Car j’ai ressenti ça pendant des années et... je le sens encore aujourd’hui, mais j’ai enfin décidé de passer outre en voyant que ce je refoulais est en fait partagé.— Mais... je pensais pas que toi aussi. Depuis la puberté... — Laisse-toi aller mon chéri.
Sophie continue de me masser le sexe avec dextérité et application, presque avec amour... sûrement avec amour. Je sens la jouissance arriver, je ferme les yeux en savourant l’instant. Je sens Sophie se déplacer à mes côtés, elle continue de me branler. Puis sens ses lèvres se poser sur mon gland, s’ouvrir lentement et glisser le long de mon pénis.
— Sophie, non ! Je vais venir.— ...
Les mouvements de sa bouche s’arrêtent, je sens ses lèvres entourant uniquement mon gland alors que sa main glisse avec énergie sur ma queue. Je me retiens, mais mes testicules et mon sexe se contractent et je me libère dans la bouche de ma grande sœur jouissant bruyamment et abondamment. Elle ne se retire pas, prenant toute ma semence longuement retenue. C’est un véritable raz de marée émotionnel qui me submerge d’un orgasme que je n’ai jamais atteint, ma grande sœur m’emmène aux portes du paradis, ses caresses deviennent insoutenables tellement mon sexe devient sensible, j’en tremble, elle le comprend et me garde uniquement en bouche, caressant mon gland avec sa langue. Je redescends sur terre, je ne crois pas avoir déjà joui ainsi au cours d’une fellation. Sophie finit par reposer mon sexe qui commence à débander et vient reprendre sa position contre moi.
Elle me fait un bisou sur la joue et c’est moi qui vais chercher sa bouche pour l’embrasser, elle sent le sexe et mon sperme, mais je m’en fous totalement.
— Oh Sophie, c’était... fou, incroyable, inattendu.— Je suis ravie que ça t’ait plu.— On est des fous.— Totalement.— Bonne nuit petit frère.— Bonne nuit grande sœur.
Nous nous endormons ainsi, épuisés, ma sœur contre moi qui suis maintenant nu, ayant terminé de retirer mon boxer qu’elle avait fait descendre à mes genoux.
Je dors à moitié, je suis gêné par mon érection et les cheveux de Sophie qui me chatouillent le visage. Je suis sur le côté dans son dos dans la position des cuillères, mon bras passe par-dessus elle, mon autre bras est sous l’oreiller. Je réalise que j’ai en main son sein au travers du tee-shirt que je lui ai prêté, je fais glisser ma main sous le tee-shirt et la fais glisser sur son sein. Il est incroyablement doux, cela n’améliore pas mon érection qui est bien solidement calée entre ses fesses, je continue mes caresses et sens son téton durcir sous mes doigts, je retire alors ma main pour humidifier mes doigts avec ma salive puis ramène ma main sur son sein faire glisser son téton entre mes doigts. Je suis toujours à demi conscient et continue mes caresses, je sens Sophie onduler ses fesses contre mon sexe, j’embrasse son dos pendant que je continue de jouer avec son mamelon, cela libère ma verge de ses fesses qui vient se plaquer contre son entrejambe.
Je m’éveille peu à peu et ouvre les yeux, Sophie a les yeux clos, je l’entends dans un mélange de soupirs et gémissements alors qu’elle recommence à faire onduler son bassin contre mon sexe. Je lâche alors son sein et fais glisser ma main sur ses côtes, jusqu’à ses hanches, je glisse par dessus le boxer et prends sa fesse en main. Elle est ferme, musclée par la course à pied, je continue à faire courir ma main en descendant le long de sa jambe et suis ses mouvements avec mon bassin me frottant contre elle. Je remonte la main et repasse sur sa fesse au travers du tissu, je m’arrête sur ses reins à la lisière de l’élastique et glisse lentement mes doigts dessous pour aller saisir la chair si agréable de sa fesse, la cajolant avec des caresses. J’entends une nouvelle soupirer ma grande sœur qui semble être très sensible aux caresses.
Je remonte ma main sans quitter le boxer, passe sur sa hanche et bascule vers son pubis, Sophie relève un peu la jambe, me laissant l’accès à son intimité vers laquelle ma main plonge. Elle soupire encore quand ma main glisse sur son entrejambe imberbe jusqu’à atteindre son clitoris, ma main continue la découverte du corps de ma sœur et va à la rencontre de ses lèvres intimes qui sont bouillantes et trempées, je glisse mes doigts le long de sa fente, les humidifiant de nouveau et remonte cajoler son clitoris. Ma sœur se cambre en gémissant, elle passe son bras par-dessus nous et m’attrape la fesse, m’invitant à reprendre mes mouvements et à me frotter contre elle alors que je continue de lui caresser le clitoris. Je l’entends gémir.
— Hmmmmmmmm.
Je finis par remonter ma main et saisis l’élastique du boxer que je lui ai prêté et l’abaisse, lui découvrant d’abord les fesses, elle se dandine un peu pour m’aider à l’amener sur ses jambes puis jusqu’à ses genoux. Elle s’en dégage et le pousse vers le fond du lit. Ma main retrouve le chemin de son sein, ce qui plaque mon sexe dressé contre son intimité que je découvre moite et brûlante. Je ne peux pas m’empêcher de remuer mon bassin contre elle qui continue d’accompagner mes mouvements. Elle gémit encore et je sens sa main venir appuyer sur mon gland pour accentuer la pression contre ses grandes lèvres et m’enduire de sa cyprine. Mes caresses sur sa poitrine intensifient, les mouvements de son bassin également.
Je prends conscience que je suis sur le point de faire l’amour à ma propre sœur. J’en tremble, chacun des battements de mon cœur me fait trembler. Je fais basculer un peu mon bassin vers le haut et mon sexe se trouve maintenant en face de l’entrée de son vagin, je sens ses doigts me guider vers son puits d’amour, j’avance mon bassin et elle du bout des doigts pousse mon gland entre ses lèvres intimes que je sens s’ouvrir. Elle repousse son bassin vers moi, me faisant glisser lentement en elle, je sens sa fleur s’ouvrir et m’accepter. J’amène ma main sur sa hanche et de pénétrer lentement en elle, savourant chaque centimètre parcouru. Nous gémissons de concert quand je la possède alors totalement.
— mmmhhhh Mathieu, j’ai tellement rêvé de ce moment.— Je... je... c’est trop bon.
Je commence à aller et venir lentement en elle toujours dans cette position des cuillères. Je caresse ses seins, lui embrasse l’épaule, elle tourne la tête vers moi, je l’embrasse d’un long baiser, le sexe planté au plus profond d’elle. Je fais glisser ma main vers son entrejambe, lui caresser de nouveau le clitoris et ainsi accompagner les aller-retour de ma verge à l’intérieur de ma grande sœur. Je suis tellement excité que je pourrais exploser à tout moment.
— mmmhhhh c’est trop bon mon chéri.
Je continue de lui faire tendrement l’amour, Sophie commence à accompagner mes mouvements avec son bassin. J’entends son souffle s’accélérer, son bassin fait de même sur mon sexe, elle vient poser sa main sur la mienne entre ses jambes et commence à trembler puis se met à jouir, je sens son vagin se contracter autour de ma queue.
— Ooohhh mon ammmoouurrrr.
C’en est trop pour moi, je ne me pose aucune question et je m’enfonce au plus profond d’elle, sentant mon sexe se contracter, je l’accompagne dans son orgasme en déversant un énorme flot de sperme tout au fond de son vagin.
— Hhhaaannnnn ! — Sopphhiieeee !
Nous tremblons tous les deux, terrassés par nos orgasmes, je suis parcouru de soubresauts à chaque fois que ma verge et mes testicules se contractent, déversant ma semence dans ma sœur. Je reste planté en elle tandis qu’elle ramène ma main sur sa poitrine et entrelace ses doigts avec les miens. Elle m’embrasse tendrement la main.
— C’était merveilleux Mathieu.— Oh oui.
Je sens encore son vagin palpiter alors que nous nous câlinons. En demi molle, je suis toujours en elle, mais sans doute plus pour très longtemps. Nous restons ainsi, profitant du moment. Nous nous embrassons puis sombrons rapidement dans un sommeil réparateur toujours en cuillère.
Quelques heures plus tard, j’entends les enfants commencer à se réveiller et émettre quelques sons, il y a encore plusieurs minutes avant qu’ils ne se réveillent. J’émerge de mon sommeil, je suis toujours collé à ma sœur, je remarque qu’elle s’est débarrassée du tee-shirt pendant la nuit et est nue à mes côtés. Une belle érection matinale est en train de poindre, j’écoute attentivement, je pense avoir encore du temps devant moi. Je m’accroupis et couvre Sophie de baisers, je m’attarde une nouvelle fois sur ses seins et aspire ses mamelons, jouant avec ma langue une fois en bouche. Sophie soupire et s’étire et commence à me caresser les cheveux, elle se met sur les dos, laissant l’accès à son autre sein, je ne veux le rendre jaloux du traitement donné à son frère jumeau pendant la nuit et me jette avec avidité dessus, ses soupirs se transforment en gémissement et je sens sa main saisir ma verge et glisser dessus.
Ma sœur m’excite, elle est tellement belle malgré le peu de sommeil que nous nous sommes accordé et ses cheveux emmêlés. Elle dirige mon sexe vers le sien et le frotte entre ses lèvres, je sens qu’elle est déjà humide et brûlante de désir et est en train d’enduire mon gland de sa propre cyprine. Elle me guide, m’aidant à fusionner avec elle sans difficulté, bien aidé par ma semence toujours présente en elle, puis alors que je pénètre en elle, s’agrippe à mes fesses accompagnant mon mouvement et gémit fortement une fois que je la remplis totalement.
— Mmmhhhhh, quel réveil ! — Tu es tellement belle que je n’ai pas pu résister à de nouveau te faire l’amour.
Je vais et viens tendrement en elle, savourant chaque instant de ce moment interdit et irréel, nous nous embrassons, nos langues se trouvent facilement et jouent l’une avec l’autre, je sens ses doigts s’enfoncer dans mes fesses
— Oh c’est trop bon de t’avoir en moi.— Je vais venir Sophie, c’est trop bon.—...
Je n’ai pas de réponse, mais sens ses mains serrer mes fesses et m’inviter à accélérer mes mouvements. En seulement un aller-retour, je me sens défaillir, elle s’agrippe à mes fesses, plongeant mon sexe au plus profond du sien, je vais chercher sa bouche et me libère dans son puits d’amour. Je sens son corps se contracter et ses doigts s’enfoncer profondément dans la peau de mes fesses quand mon éjaculation inonde son vagin, elle semble jouir silencieusement. Je reste allongé sur elle pendant qu’elle me caresse les cheveux et m’embrasse la joue.
— Tu as joui ? — Oui quand je t’ai senti exploser en moi, cela m’a fait jouir à mon tour, pas l’orgasme de l’année comme cette nuit, mais très agréable quand même.
Nous nous sourions puis nous embrassons à nouveau. Elle brise le silence dans ce moment de tendresse.
— Il va falloir qu’on parle de ce qui est en train de nous arriver.— Laissons-nous porter, et vivons ce qu’on s’est toujours refusé à voir, qu’en penses- tu ?— D’accord ça me va, mais en fait, j’étais un peu plus terre à terre en fait.— C’est-à-dire ? — Eh bien, tu te souviens ? Je suis en plein... — TATTTAAAAA !— OUAIS GENIAL !— Mes chéris !
Les deux canailles débarquent sans crier gare et se joignent à nous dans le lit, heureusement ils restent au-dessus de la couette et font les foufous très heureux de retrouver leur tante.
— Allez les morpions on va déjeuner  ! Tata Sophie va aller se laver, je vais vous faire des crêpes. — OOUUUUAIIISSS.
Les voilà déjà en train de foncer vers la cuisine, j’enfile mes fringues au pied du lit fais un bisou à Sophie. Elle me regarde l’œil rieur.
— Moi aussi j’ai droit aux crêpes ? — Bien sûr, ma grande sœur chérie, va te laver et t’habiller et rejoins-nous dans la cuisine.
Je lui fais un dernier baiser rapide avant de filer dans la cuisine.
Diffuse en direct !
Regarder son live