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Sophie, une grande soeur fantastique

Chapitre 3

Inceste
Pendant que je prépare la pâte à crêpe, je suis assailli de questions. Combien de temps Tata va rester, est ce qu’elle a amenée des cadeaux, est ce qu’elle voudra jouer aux Lego. Je réponds inlassablement de lui poser la question. J’ai commencé à faire cuire les crêpes et alors que je me retourne pour servir tour à tour les garçons, je remarque Sophie qui nous regarde d’un œil attendri appuyée dans l’encadrement de la porte, elle est magnifique, simplement vêtue d’une de mes chemises et d’un boxer.
— Vous êtes beaux les gars.— Installe toi.— Je me suis permise de me servir.— Ça te va à ravir.
Je la sert et ai en retour un magnifique sourire, les garçons sont aux anges, ça semble aussi être le cas de Sophie.
— Vous prévoyez quoi ce samedi ? — Bonne question aucune idée, on va aviser suivant le temps, et toi ? — Si ta proposition de m’héberger tient toujours, il faudrait que j’aille chercher des affaires chez moi, mais l’idée ne m’enchante pas trop. — T’héberger ? Il faudra qu’on en reparle alors. Pour Jerem demande lui de s’absenter le temps que tu puisse prendre ce qu’il faut.— Oui pourquoi pas, il faudrait déjà que je consulte les dix-huit appels en absence, trois messages vocaux et vingt-six SMS non-lus depuis hier soir.— Ah oui quand même, au moins au ne peut pas reprocher à Jérémy de manquer de persévérance.— C’est sûr.— Ça va aller ? si tu veux je sort avec les enfants le temps que tu puisse consulter tout ça.— Non ne chamboule pas tes plans pour moi.
Elle me prend la main et la serre tout en me regardant et sourit en disant cela, j’ai terriblement envie de la serrer contre moi et de l’embrasser à nouveau, elle semble lire en moi et regarde les enfants d’un air gêné avant de retirer sa main doucement.
— Vous avez assez mangé les garçons ?— Oui papa ! — Alors brossage de dents, lavage de main, vous vous habillez et vous pourrez jouer.— D’accord.

C’est moi cette fois-ci qui lui prend la main
— Vous êtes beau tous les trois, je ne réussirais jamais à connaître ça.— Reste là alors !— Oui c’est déjà prévu.— Je veux dire que pendant que je t’héberge tu … tu n’es peut-être pas obligée de chercher un appart… — Mais …— On vient de révéler nos sentiments, tu crois que je vais te laisser filer maintenant ? — Je … je ne sais pas.— Penses y.— Je…— Je n’attends pas de réponse dès maintenant, prends le temps qu’il te faut. Tout ça est tellement nouveau mais pourtant si naturel, tu m’a ouvert les yeux cette nuit Sophie. Gère déjà cette séparation et on s’occupera de nous ensuite, d’accord ?— Ok.— Je vais aider les enfants à se préparer si tu as besoin de quoi que ce soit n’hésite pas ma chérie.— Merci, tu es… un amour.
Je vais aider les enfants à s’habiller et nous entamons un magnifique circuit de train en bois. Les minutes passent agréablement en ce début de week-end. Sophie finit par nous rejoindre une bonne heure plus tard, les yeux brillants et le regard lourd.
— Pourquoi t’es triste tata ? — Tonton Jérémy à été méchant avec moi.— Il va aller au coin ?— Oui il va aller au coin mon grand.
Elle me saisit l’épaule pour attirer mon attention
— Je peux te parler ? — Bien sûr, continuez de jouer les garçons.
On va s’installer dans le salon
— C’était dur ?— Oui, entre ses messages qui passent des excuses aux reproches, ce n’est pas facile cet ascenseur émotionnel. Bon je l’ai appelé en tout cas et il sort toute la journée pour que je prenne tout ce que j’ai besoin dans l’appart.— C’est bien, tant mieux.— Ça m’embête de te demander, mais tu veux pas venir avec moi finalement ? — Pourquoi ça t’embête? Pas de problème, je vais appeler la voisine pour savoir si je peux lui confier les enfants. — Merci.
Je passe l’appel, sans surprise aucun souci, elle accueillera les garçons avec grand plaisir qui vont s’éclater avec leurs enfants. Une fois les "colis" déposés chez la voisine, je remplis la voiture de sacs et valises puis nous partons avec Sophie. Le voyage est silencieux, Sophie perdue dans ses pensées regarde par la fenêtre, les rares fois où je croise son regard, celui-ci est vide et triste, nous arrivons en bas de chez elle.
— Bon on y est, il n’y a plus qu’à monter.— Oui et espérer qu’il ne soit plus là, je n’ai pas envie de le voir.— Tu veux que je lui casse la gueule ?!? — Tu ferais ça ? — Pour toi bien sûr !— T’es mignon petit frère, allez on y va.
L’appartement s’avère vide, Sophie se dirige dans la chambre, ouvre son armoire et commence à prendre ses affaires. Le fait d’être arrivée semble lui permettre de se concentrer sur sa tâche et d’être moins triste. Je l’aide en plaçant les valises à proximité
— Pour m’aider, prend cette grosse valise et prend mes manteaux dans le dressing du couloir s’il te plaît.— Ça marche !
Je suis étonné du nombre de manteaux qu’elle possède, je commence à me demander où on va mettre tout ça chez moi. Je m’applique à les plier le mieux possible pour tout faire rentrer dans la valise afin de gagner le plus de place possible et ne pas les abîmer, Sophie m’appelle.
— Mathieu ! Tu peux venir m’aider s’il te plaît ?— J’arrive !
Je retourne vers la chambre et m’arrête net, bouche bée devant la vision qui s’offre à moi. Ma grande sœur me fait face vêtue d’une magnifique lingerie, sublimée par des bas et des talons aiguilles. Mon sexe durci instantanément alors que mes yeux parcourent cette sublime femme, elle se donne un air faussement timide en baissant un peu la tête et les mains dans le dos. Je ne peux m’empêcher de la dévorer du regard, ses cheveux blonds tombent en cascade sur ses épaules et sur sa poitrine qui est superbement moulée dans une guêpière et une culotte en dentelle bleu sombre et noire qui maintient des bas sur ses jambes magnifique qui paraissent encore plus longues avec les talons qu’elle porte.
— Je suis jolie ? — …— Ça va Mathieu ?— Divine ! — Pardon ? — Tu es… divine ! — Merci.
Je suis figé devant sa beauté et ne peux que l’admirer comme lorsque l’on peut être subjugué par la beauté naturelle et saisissante d’un paysage. Sophie s’approche lentement de moi dans une démarche de mannequin mettant un pied l’un devant l’autre sur une ligne imaginaire, j’ai autant envie de lui sauter dessus que de pouvoir arrêter le temps à jamais sur ce tableau. Elle passe ses bras autour de mon cou et m’embrasse tendrement, je pose mes mains sur ses hanches, sans un mot elle ouvre un par un les boutons de ma chemise et la fait tomber à nos pieds, ses mains glissent sur mon torse, elle y dépose de doux baisers. M’embrasse de nouveau et ouvre la ceinture dont elle me dégage puis ouvre mon pantalon pour y glisser sa main et saisir mon sexe dur et faire glisser sa main dessus. Elle se contente de me sourire d’un air satisfait et de me lancer un regard de braise de ses magnifiques yeux bleus.
Elle s’accroupie alors et fait glisser mon pantalon à mes pieds, reste accroupie et glisse ses doigts dans l’élastique de mon boxer, ne me lâche pas du regard et fait glisser sa langue sur la bosse que dessine ma verge sous le tissu. Je ne peux m’empêcher de trouver ma sœur terriblement sexy, j’ai terriblement envie de la jeter sur le lit et de la prendre sur le champ mais aussi terriblement envie qu’elle aille au bout de ce qu’elle a commencé. Elle fait alors glisser mon boxer à son tour à mes pieds faisant jaillir mon sexe qui ne demandait qu’à sortir de cette prison. Toujours ses magnifiques yeux braqués dans les miens elle saisit avec ses deux mains mon pénis et en rapproche son visage pour y venir poser sa bouche. Elle ouvre sa bouche et me fait glisser en elle toujours sans me lâcher de son regard transperçant, elle commence à aller et venir sur ma verge avec sa bouche tout en faisant coulisser tendrement ses mains.
Je lui caresse la tête sans chercher à lui indiquer le moindre mouvement la laissant totalement maîtresse de la situation. Je n’ai jamais connu une telle fellation, j’ai l’impression de pouvoir jouir à tout moment et d’être maintenu continuellement sur le fil du rasoir. Sophie finit par retirer ses mains qu’elle place sur mes fesses, je sens qu’elle pousse sur mes fesses et cherche à m’enfoncer dans sa gorge le plus loin possible, je n’ai encore jamais connu ça mais elle réussit à m’aspirer quasi en totalité puis se relève et viens m’embrasser.
— Monte sur le lit mon frère adoré, je n’en ai pas fini avec toi.
Je retire mes chaussures et chaussettes puis m’exécute et m’allonge sur le lit. Je remarque qu’elle a profité de cet instant pour retirer sa culotte et elle s’approche du lit de nouveau dans sa démarche féline puis monte s’installer à cheval sur moi, mes mains se placent immédiatement sur ses cuisses gainées de soie, elle place les siennes sur mon torse commençant à me masser, je sens son bassin onduler sur moi, mon sexe plaqué contre le sien qui est trempé et terriblement chaud. Elle s’incline pour m’embrasser, mes mains en profitent pour venir glisser sur ses fesses, les palper, les caresser. Sa langue pénètre dans ma bouche à la recherche de la mienne, je sens sa main saisir mon sexe et le placer à l’entrée du sien, je la sens s’appuyer sur moi, mon gland s’immisce entre ses lèvres intimes que je sens s’ouvrirent de chaque côté de ma verge alors qu’elle abaisse son bassin et m’enfonce tendrement au plus profond d’elle.
Nos langues sont toujours à jouer l’une avec l’autre et son bassin se colle à moi, j’ai l’impression de sentir palpiter son vagin autour de moi et elle commence à aller et venir lentement sur moi. Nos bouches se séparent et ma grande sœur de redresse, à l’aide de ses cuisses, elle contrôle la pénétration de mon sexe en elle me faisant glisser au plus profond de son être, elle gémit longuement de plaisir puis ondule son bassin assise sur moi. Ses ondulations s’intensifient, elle s’appuie sur mon abdomen et jette sa tête en arrière, je sens ma jouissance arriver.
— Chérie, je vais jouir ! — Moi aussi ! Viens ! Viens ! Viens en moi !
Une vague de plaisir me submerge, mes mains agrippées à ses hanches je la plaque contre moi en relevant mes hanches et mon sexe explose en elle, elle m’accompagne dans la jouissance alors que je me déverse abondamment dans son vagin fertile. Chaque contraction de mon sexe me procure une nouvelle vague de plaisir. Ma grande sœur s’écroule sur moi dans un long soupir, ma verge est toujours en elle et je sens son sexe se contracter régulièrement sur le mien. Sa tête nichée dans le creux de mon cou je lui caresse tendrement le cou et le dos, je la sens trembler à chaque fois que son sexe palpite autour du mien. Elle m’embrasse la joue, je sens ma semence lentement couler autour de mon sexe qui perd lentement de sa vigueur.
— Habituellement, ces derniers temps je me retrouvais les jambes en l’air dans ce lit. Mais la j’ai juste envie de continuer à te sentir en moi et contre moi.— N’y pense plus. On s’est enfin trouvés. Câline moi ma grande sœur.
Nous restons ainsi plusieurs minutes, mon sexe fini par être expulsé d’elle et je sens ma semence s’égoutter sur moi puis glisser entre mes cuisses.
— Bon allez on a encore du boulot. Tu peux aller te nettoyer à la salle de bain, tu connais.— D’accord.
Elle se relève et se contente de remettre sa culotte puis de faire ensuite glisser une jolie robe à fleur par-dessus elle. Je vais me faire un brin de toilette et quand je reviens et la voit perchée sur ses talons et dans sa robe je ne peux m’empêcher.
— Tu es magnifique.— Merci mon chouchou.— Bon je vais nettoyer le lit.— Non laisse comme ça, je compte pas tout péter et être hystérique mais ça il l’a bien mérité. Il en a fait autant dans ce lit et peut être plus souvent que nous, ce n’est pas cher payé.— Euh… Bon bah ok.
Je retourne aux vestes. Nous nous affairons pour reprendre toutes ses affaires. Je reconnais des tableaux de famille que je décroche, Sophie prend quelques bibelots et livres auxquels elle tient. La voiture est presque pleine mais nous avons tout. Elle décroche son porte clé et dépose les clés sur la commode puis ferme définitivement la porte de son ancien chez elle.
Le trajet retour est nettement plus gai, Sophie est joyeuse, un poids semble s’être envolé de ses épaules.
— Alors je pose où mes affaires en arrivant ? — Tu as envie de les poser où toi ? — Bah dans ta chambre non ? — … Dans… "notre" chambre tu veux dire non ?
Sophie me regarde d’un énorme sourire radieux et attrape ma cuisse.
— Bon ça semble répondre à ma proposition de ce matin…— Oui mon chéri, mais ça va vite non ? — Peut-être, mais j’en ai envie, pas toi ? — Si, mais je m’inquiète pour les enfants.— Tu es tellement présente dans leur vie que tu es déjà une sorte de seconde mère. Mais on veillera à ne pas en faire trop devant eux.— Et les parents ? — Eh bien on justifiera ton installation chez moi suite à ta rupture. Ça te donne un toit et tu me donnes de l’aide. Ils seront aux anges car aucun de nous deux ne sera seul. La bureau deviendra officiellement ta chambre, tu auras juste à l’aménager à ton goût sauf que tu y mettras principalement tes vêtements hors saison. — Bien vu… et en plus si on s’engueule au moins j’aurai un endroit où me réfugier. — Voilà on l’appellera le refuge !— Il faudra peut-être en faire une chambre pour enfant ? — Euh… — On a pas eu le temps d’en parler ce matin. Je suis en plein pic d’ovulation et on à déjà fait trois fois l’amour en même pas vingt quatre heures.— Tu regrettes ?— Absolument pas, je t’ai d’ailleurs encore moi… Mais si je tombe enceinte ? — Tu aurais préféré que je me retire ou qu’on mette un préservatif ? — … Non, je… J’adore te sentir jaillir au plus profond de moi. Mais il faudrait peut être s’arrêter à une pharmacie pour, tu sais, la pilule du lendemain… — Écoute Sophie, bien sûr que j’y ai pensé et en fait … je n’aurai pas souhaité faire différemment, je n’avais jamais envisagé d’avoir d’autres enfants. Je sais que toi tu en rêve, et je me sens heureux à l’idée que l’on vive ensemble et que … et qu’un… qu’un enfant puisse naître de notre amour et bien je sais pas... Ça me semble normal en fait !... Même si l’idée de perdre à nouveau en couche la femme que j’aime me térifie.— La femme que tu… aimes ...?— …
Je me contente de lâcher des yeux la route et de sourire timidement à ma sœur réalisant ce que je viens de dire sans m’en rendre compte mais en toute honnêteté, je remarque furtivement qu’elle a les larmes aux yeux mais me reconcentre sur la route, elle retire sa main qui était sur ma cuisse pour venir me caresser la nuque.
— Mathieu… ça va tellement vite, mais je crois … je crois que je suis amoureuse de toi aussi.— J’ai envie de te serrer contre moi.— Mais si on a un bébé, c’est pas dangereux pour lui ? Qu’on soit frère et sœur ? — On va se renseigner Sophie.— Et on va dire quoi à papa et maman ? — Ca c’est plutôt simple, Jeremy est le père mais tu ne veux plus avoir affaire à lui et tu n’as d’ailleurs pas eu le temps de lui annoncer.— D’ailleurs si jamais tu es enceinte, comment être sûr qu’il n’est pas de lui?— Aucun risque, on a rien fait depuis mon dernier cycle et le dernier test était négatif la semaine dernière. J’en faisais un chaque mois à force.— Ah ouais carrément, vive la spontanéité ! — La prochaine étape c’était censé être le médecin pour nous guider sans doute vers l’insémination.— Ça casse quand même sacrément la magie.— Oui je ne sais pas si j’aurai eu la force d’aller au bout de tout ça.— Bon c’est de l’histoire ancienne maintenant.— Oui mon petit frère…
Nous continuons notre route en discutant de tout et de rien sur des sujets nettement plus légers, la couleur du refuge, combien d’armoires il allait lui falloir. Tout ça sans trop se poser de questions comme un couple normal le ferait.
Les jours passent, Sophie trouve ses marques dans son nouveau chez soi. Les enfants ne semblent pas étonnés de la trouver régulièrement dans mon lit, elle m’avait si souvent veillé au décès de leur mère que ce n’est en rien une nouveauté. Un matin en les emmenant à l’école je les entends se chamailler derrière
— Non toi.— Non c’est toi qui demande !— Non je ne veux pas, toi ! — Qu’est ce que vous voulez me demander ? — Pourquoi avec Tata Sophie vous faites des bisous sur la bouche ?
Je manque de m’étrangler, je m’attendais à tout sauf à une question pareille, moi qui pensais que nous n’étions pas démonstratifs devant les petits. Je décide de jouer la simplicité avec eux
— Eh bien parce que l’on s’aime beaucoup avec Tata et quand on s’aime beaucoup on aime se faire des bisous.— Comme des amoureux ?— Oui comme des amoureux.— Ça veut dire que Tata Sophie va être notre Maman ?— On n’a qu’une seule maman, vous en avez déjà une qui veille sur vous, mais si vous le voulez Tata Sophie pourra être comme une maman pour vous.— Ah d’accord  !— Bah moi je veux bien qu’elle soit une maman, elle est gentille Tata Sophie, je l’aime bien.— Et bien il faudra lui demander les garçons dans ce cas.— Mais Papa ? Il faut que je l’appelle Maman Sophie maintenant ? — Euuuuhhh, tu fais comme tu veux mon chéri, si tu considère qu’elle est comme une maman pour toi, oui tu peux, demande lui ce qu’elle en pense.— Elle va venir nous chercher à l’école comme les mamans des copains ? — Il faut lui en parler, mais pourquoi pas.— OUAIS Génial !— SUPER !— On est arrivés ! Vous avez d’autres questions par rapport à tata Sophie ? — Vous allez faire un bébé avec Tata Sophie ? Parce que, bah, Hugo il a eu une nouvelle maman et après elle a eu un bébé sa nouvelle maman. Et même que c’est une moitié de frère, il a deux mamans maintenant et qu’une moitié de frère.— Alors c’est un demi-frère pour ton copain, c’est une expression mais on dit demi-frère, pas une moitié, mais c’est un vrai frère en entier. Et pour un bébé je sais pas on verra, vous voudriez avoir un petit frère ou une petite sœur?— Oh ouais une petite sœur ! — Oh non elle va baver partout et prendre les Lego.— Allez on se détache !
Je les accompagnent jusqu’au portail de l’école, j’ai le sentiment de ne pas m’en être trop mal sorti. Une fois qu’ils sont dans l’école, j’hésite entre appeler Sophie ou laisser la spontanéité des enfants faire son œuvre et opte pour cette seconde solution réalisant que j’ai totalement confiance en ma grande sœur qui est d’une douceur et d’une bienveillance inégalable. Le soir venu les enfants n’en parlent pas au cours du repas, tout se passe comme d’habitude, Maxence réclame sa tata au couché, je les entends chuchoter dans le lit.
— Tata ? Papa et toi vous êtes des amoureux ?
J’entends Sophie manquer de s’étouffer.
— Pourquoi tu dis ça mon chéri ?— Bah on vous a vu vous faire des bisous, on a posé la question a papa ce matin et il a dit que vous étiez comme des amoureux.— Eh bien oui il a raison , et ça t’embête  ?— Non pas du tout, j’suis content.— Ah bon ?— Bah oui, parce que tu va rester avec nous.— Bien sûr mon chéri.— Dis ? — Oui ?— Je dois t’appeler Tata ou Maman ? — Tu peux m’appeler comme tu veux mais le plus simple c’est Sophie non ? — D’accord.— Bonne nuit mon chéri.
Sophie me rejoint dans le salon, magnifique, ses fines et interminables jambes qui dépassent d’une nuisette verte qui la met en valeur, elle vient se lover à mes côtés dans le canapé.
— Bon bah les enfants le savent alors ?!?— Oui, ils nous ont vu nous embrasser à un moment où un autre. — Ça n’a pas l’air de les perturber outre mesure ! — Oui tant mieux, c’est rassurant, il y a une autre nouvelle, on a déjà reçu une réponse de l’expert à notre mail, tu devrais lire je crois.— Fait voir !... Tu as vu la dernière phrase !!! “ étant donné les éléments fournis, une analyse du génome bien qu’elle éliminerait tout risque n’apparaît pas obligatoire car le risque de maladie liée à la consanguinité peut être considéré comme mineur car inférieur à ...”— Bien sûr que je l’ai vu !
Sophie me saute dessus et m’embrasse comme une folle furieuse, elle se relève et m’arrache le short qui me sert de pyjama, je n’oppose pas grande résistance, mon sexe en jailli fièrement dressé depuis que je l’avais vu venir vers moi dans sa nuisette. Elle revient à califourchon sur moi dans le canapé, je sens sa main me guider vers son intimité qui est trempée d’excitation et sans attendre elle me fait glisser en elle en me tenant les épaules. Ma grande sœur remue tendrement les hanches montant et descendant sur mon sexe pendant que je caresse ses seins. Je la vois se mordre la lèvre et me sourire, je me laisse aller profitant du moment présent. Mon plaisir monte peu à peu aidé par les va et vient de ma grande sœur, je lui attrape les fesses et pousse mon sexe le plus loin en elle quand la délivrance arrive, elle m’accompagne dans l’orgasme lorsqu’elle commence à sentir les secousses signifiant que ma semence se répand en elle.
Nous restons serrés l’un contre l’autre profitant de cet instant de fusion
— Je t’aime tellement Mathieu.— Je t’aime aussi Sophie. J’ai du mal à réaliser que tout ça soit vrai, tout est pourtant si naturel.— Oui moi aussi, je me rends compte que je n’avais jamais été amoureuse auparavant, c’était tout simplement toi que je cherchais durant toutes ces années.
Nous nous contentons de nous sourire et de nous câliner.
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