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Sophie, une grande soeur fantastique

Chapitre 11

Inceste
Un soir en rentrant du boulot particulièrement tard, je fais attention à ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller les enfants. Une fois la porte refermée, j’ai l’impression d’entendre des bruits étouffés, je me déchausse et range ma veste puis me dirige vers la chambre toujours en faisant attention au bruit que je fais. En rentrant dans la chambre je découvre Sophie et Natacha en ciseaux à se donner du plaisir l’une à l’autre, elles sont belles toutes les deux à faire l’amour comme ça. Aucune ne m’a remarqué et je reste à les mater dans l’embrasure de la porte, mon sexe a gonflé mais je n’ai pas envie de casser ce moment si agréable à voir.
— Humm c’est bien aussi quand on est que toutes les deux non ? — Continue Sophie je vais jouir !

Soudain Sophie me voit et sursaute, Natacha se retourne et se jette sous les draps semblant être gênée. Mais plutôt que m’inviter, Sophie dit :
— Ce n’est pas ce que tu crois ! — Ah bon ? Je dois croire quelque chose ? Vous étiez magnifiques mesdames, tout va bien.— C’est juste qu’on s’ennuyait, j’ai du mal à gérer mes hormones et mon désir, c’est moi qui lui ai fait du rentre-dedans toute la soirée mais Natacha voulait t’attendre.— Mais il n’y a pas de soucis, je vous ai dit.— Ah ?

Je commence à me déshabiller.
— Je te rappelle que chez tes parents nous avons fait l’amour avec Natacha deux fois sans toi, donc je n’ai pas à vous jeter la pierre à prendre du plaisir ensemble, je vous ai regardé quelques minutes, c’était très beau.— Bah oui mais c’était pas pareil.— Ah bon pourquoi alors ?

Bien qu’ayant trouvé la situation très excitante et mignonne initialement la façon dont elles se comportaient et se justifiaient commence à m’irriter, je ne sais pas si je suis énervé et déçu. Ces deux femmes agissent comme si elles avaient quelque chose à se reprocher, ce que je ne comprends pas et Natacha s’est enfermée dans le mutisme ce qui commence à m’agacer.
— Alors Sophie pourquoi ce n’est pas pareil ? On s’aime tous les trois non ? Finalement, qu’on prenne du plaisir les uns avec les autres à trois ou à deux ça fait quoi, on devrait être content pour les autres non ? — Bah c’est que je pensais pas que tu allais nous surprendre... et...— Il ne le fallait pas ?— ... — Là par contre, si on se cache des choses ça craint oui ! — ... — Et toi Natacha, on t’entend pas ? — Désolée.— Bon vous me saoulez, je vais dormir dans l’autre chambre.

Je rejoins donc la chambre officiellement de Sophie. J’ai bien évidemment du mal à trouver le sommeil, je m’interroge beaucoup, leurs sentiments ont-ils changé ? Entre elles ? Envers moi ? Suis-je de trop ? Le lendemain matin c’est la soupe à la grimace au petit-déjeuner et vu leurs têtes, Sophie et Natacha semblent avoir mal dormi aussi. J’ai hâte de déposer les enfants à l’école et d’aller bosser. Sophie saute dans la voiture après que j’ai installé les enfants, je la fusille du regard.
— Tu fais quoi ? — Bah tu ne te souviens pas ? J’ai une écho à 09h00, on avait dit qu’on les déposait ensemble. Tu m’avais dit que tu avais posé ta journée.— Ah non en effet j’avais oublié.

Nous allons à l’école, les gosses sont super contents d’avoir à la fois leur papa et leur presque maman avec eux. Plein d’autres mamans n’avaient pas encore croisé Sophie et chacune y va de ses félicitations en voyant son ventre ce qui vire au concert de louange quand elle annonce que ce sont des jumeaux. J’aperçois Manon, la maman du petit Maxence, un copain de fils aîné, toujours discrète et enjouée, qui vient vers nous. Bien que je la connaisse à peine je l’apprécie car contrairement aux autres mamans elle est blindée de fric mais ne le montre ni ne le fait sentir. Cette femme semble d’une douceur incroyable en plus d’être plutôt jolie. Elle félicite Sophie et me félicite aussi car d’après elle on oublie souvent les papas dans ces moments-là, elle me fait un clin d’œil en disant cela, ça doit être la première fois depuis hier soir que je me décide à sourire.
Nous remontons finalement en voiture et allons avec Sophie au cabinet. Je n’ai pas trop envie de discuter et je sens bien le malaise qui est très palpable, je ne fais rien pour arranger les choses tellement j’ai une humeur de merde ce matin et c’est dans un silence pesant que nous nous installons en salle d’attente.
— Natacha ne vient pas ? — Non, elle ne pouvait pas se libérer cette fois-ci.— Tu es sûre ou c’est pour essayer d’arrondir les angles ? — Mathieu, fais pas ta tête de con, le rendez-vous est prévu depuis plusieurs semaines, elle nous l’avait déjà dit bien avant hier soir.— OK.— D’ailleurs au sujet d’hier soir...— Je sais pas si c’est le moment d’en parler.— Nous avons beaucoup parlé cette nuit avec Natacha.— Juste parlé ? — Arrête, t’es relou là.— Je sais pas, il m’a semblé être de trop hier.— Oui je sais, justement ne t’imagine pas que nous ne t’aimons plus. Tu sais que je t’aimerai toujours, tu sais que si je n’étais pas ta sœur je serais ta femme jusqu’à la fin de mes jours.— ...— C’est juste que... — Que ? — Que j’avais envie d’elle.— Où est le problème alors ?— Bah j’avais envie seulement d’elle, quand tu es arrivé je me suis sentie fautive, je n’ai pas su comment réagir, j’ai eu l’impression d’être prise en flagrant délit avec ma maîtresse.— C’est l’impression que vous m’avez donnée aussi.— Mais tu sais ça fait un moment que j’ai envie de pouvoir passer un peu de temps seul avec l’un ou l’autre, pas seulement avec vous deux en même temps. J’ai régulièrement envie seulement de toi même si je n’ai jamais abordé le sujet.— Moi aussi parfois ça me pèse d’être tout le temps à trois.— Et Natacha est dans la même situation en fait, et je t’avoue qu’hier je lui ai vraiment sorti le grand jeu, j’ai vraiment dû insister pour qu’elle cède. — Ah oui ?

Elle se rapproche de moi et me glisse à l’oreille
— Oui j’ai presque dû en faire autant que quand on a été chercher mes affaires chez mon ex...— Hum oui, je me souviens.

Je me laisse envahir par le souvenir de ma sœur qui était tellement belle ce jour-là
— Je crois que je dois me faire pardonner.

Elle remonte un peu sa robe et j’aperçois la lisière de ses bas, l’homme en face accompagnant une autre future maman n’en perd pas une miette. Elle me susurre à l’oreille :
— J’ai remis le même ensemble...— Intéressant... — Bon pas tout à fait, je ne peux plus mettre la guêpière en ce moment, mais j’ai mis le soutien-gorge associé... qui d’ailleurs n’est pas du tout adapté à mes nouveaux nichons ! — Comment tiennent les bas alors ?— Ah désolé j’ai encore dû adapter et ai mis des autofixants.— C’est très intéressant quand même.

Je me contente de sourire à ma sœur, elle me rend mon sourire et m’embrasse tendrement. Nous entendons quelqu’un toussoter et nous appeler.
Nous rentrons et sommes accueillis par la sage-femme qui commence à bien nous connaître vu tous les rendez-vous.
— Bah alors vous n’êtes que deux aujourd’hui.— Eh oui, elle n’a pas pu se libérer cette fois-ci.— C’est dommage, c’est aujourd’hui qu’on peut connaître les sexes si vous voulez.— On peut attendre peut être, qu’en penses-tu chéri ? — Oui attendons que Natacha puisse se joindre à nous. — OK très bien, installez-vous... mais vous avez mis une robe.— Oh oui je voulais me faire belle aujourd’hui.— OK mais il va falloir soit la retrousser soit la retirer alors, il faut que je puisse accéder à votre ventre.— Ah oui bien sûr.

Sur la table Sophie se dandine et essaye tant bien que mal de remonter sa robe.
— Bon...

Finalement elle se lève et commence à dézipper sa robe puis la fait glisser à ses pieds avant de se réinstaller
— Bon bah je réussissais pas à la retrousser.— OK pas de problème.

La sage femme la détaille, moi également, son soutien-gorge en dentelle laisse apparaître ses seins par transparence, tout comme sa vulve que l’on devine au travers de la culotte. Elle est splendide malgré son ventre arrondi et je me sens à l’étroit dans mon pantalon.
— Eh bien vous vous êtes faite très belle aujourd’hui, vous savez avec des jumeaux il faudra souvent choisir le pratique plutôt que l’esthétique.— J’en avais besoin pour mon homme.— Eh bah il doit être content alors.— Oui ravi.— Bon allez on commence, assez divagué. Par contre les talons hauts, vous savez ce n’est pas très conseillé, pas tellement pour les enfants mais pour vous, avec le poids en plus vos pieds et chevilles vont être très sollicités.— OK mais pour l’instant ça va, on verra au fur et à mesure.

L’échographie se déroule bien, tout est en ordre, les bébés en pleine forme, ça ressemble vraiment à des petits humains maintenant. Nous ressortons, il est encore tôt.
— Tu veux qu’on fasse quelque chose en particulier ma chérie ?

Sophie se colle à moi et m’embrasse avec fougue, sa langue se glisse dans ma bouche et je sens sa main passer par-dessus mon pantalon et s’immiscer dans mon boxer bien que nous soyons en pleine rue.
— On pourrait rentrer et profiter d’être que tous les deux.— En effet... — Alors en route, je te veux !— Tu m’avais pas dit qu’il te fallait tes vêtements de grossesse ? C’est bien moins excitant mais tu dis ne jamais avoir le temps d’y aller.— Oui tu as raison, il faudrait, j’ai de plus en plus de mal à m’habiller et c’est pas en repoussant sans cesse que ça va s’arranger.— Direction la zone commerciale alors.

Sophie est déçue avec une moue évidente et nous nous dirigeons vers la voiture
— Tu es sûr que ça va ? — Oui.— J’ai l’impression que tu m’en veux pour hier et que tu te moques que j’essaye de me rattraper.— Non je ne t’en veux et apprécie beaucoup cette attention d’avoir remis cet ensemble.— Certains ?

Je me penche à son oreille et lui murmure à l’oreille
— Une fois dans la voiture, tu vas m’offrir ta culotte...

J’entends le souffle de ma sœur s’accélérer
— ... nue sous ta robe, je serai le seul à savoir que je pourrais profiter de toi à tout moment... peut-être que je le ferai.

Je me décolle de ma sœur qui me regarde avec de l’excitation dans le regard, à son regard je sais qu’elle a une idée derrière la tête, elle semble hésiter alors qu’elle se mord la lèvre inférieure. Puis elle se penche et attrape le bas de sa robe qu’elle remonte jusqu’à atteindre sa culotte qu’elle baisse et retire en pleine rue, elle m’embrasse et me la colle contre le torse pour que je la prenne. On sursaute en entendant un bruit, un gars s’est pris le trottoir en vélo, il nous regarde et semble ne rien avoir perdu de la scène. Nous éclatons de rire, Sophie m’embrasse à nouveau.
— Je t’aime comme une folle, pas besoin d’attendre d’être en voiture mon chéri.

Puis Sophie termine de se réajuster sous les yeux médusés du cycliste, qu’elle salue d’un clin d’œil avant de me prendre la main.
Nous nous mettons en route pour rejoindre un centre commercial pas loin de chez nous. Bien qu’au volant, ma main droite s’aventure très régulièrement sur les jambes de ma sœur et joue avec sa peau nue à la lisière de ses bas, je sens ma sœur écarter les cuisses à chaque fois mais ne l’aventure pas plus loin. Une fois garés dans le parking souterrain, elle se jette sur moi pour m’embrasser avec une envie évidente.
— Tu vas me rendre folle ! — Tant mieux.

Nous quittons la voiture et nous dirigeons vers une enseigne de prêt-à-porter proposant un rayon maternité. Je remarque que ma sœur attire les regards des hommes malgré son petit ventre arrondi. C’est vrai que perchée sur ses talons, du haut de ses 1m80 ses jambes paraissent interminables, en plus les bas soulignent leurs galbes parfaits malgré sa grossesse. Ma main glisse depuis ses reins vers ses fesses dont je peux apprécier la forme libre de tout tissu. Ma sœur me sourit, elle est rayonnante, décidément la grossesse lui va à ravir, je réalise que je n’ai jamais dû être aussi démonstratif en public depuis que nous sommes ensemble. Je m’arrête et l’attire vers moi et cette fois-ci c’est moi qui l’embrasse fougueusement, je sens son corps trembler, visiblement mon baiser à de l’effet. Elle regarde autour d’elle avant de plonger son regard dans le mien.
— Qu’est-ce qui te prend ?— Je t’aime ma sœur, tu es la plus belle des femmes.— Je t’aime mon frère.

Nous reprenons notre chemin et nous arrêtons dans une enseigne de vêtement pour enfant rêvant de nos jumeaux habillés de leurs jolis habits.Ma sœur me regarde, elle s’approche de mon oreille et me murmure.
— Je mouille... je sens que ça coule le long de mes cuisses.

Elle me regarde d’un air ingénu, et s’accroche à mon bras et ressortons du magasin, un magasin de lingerie est en face et nous y entrons. Tout est très joli, j’imagine Sophie dedans, un ensemble vert émeraude m’attire l’œil, il irait à ravir sur Natacha.
— Tu penses à la même chose que moi ? — Que ça irait bien à notre rousse préférée ? — Le bustier est vraiment sympa je l’imagine bien dedans avec des bas.— Tu dois imaginer bien d’autres choses mon coquin.— J’avoue.— On le prend alors ? — Vous me dites à chaque fois que c’est dur à mettre au quotidien, faut peut-être mieux un soutien-gorge non ? — Les deux alors ? — Oui ça me semble le mieux, avec string et culotte non ? — Alors voyons voir les tailles.

Sophie se penche en avant plus que de nécessaire pour chercher et plaque son cul contre moi. Je regarde un peu autour, personne ne fait attention à nous, je glisse ma main sous sa robe et remonte le long de ses cuisses jusqu’à quitter ses bas et sentir sa peau que je découvre trempée conformément à ce qu’elle m’a dit plus tôt, elle frotte ses fesses contre mon sexe qui a durci faisant semblant de ne pas trouver les bonnes tailles. Nous sursautons car n’avons pas vu arriver une vendeuse, Sophie se redresse.
— Bonjour je peux vous aider ? — C’est bon merci j’ai tout !

Elle montre fièrement la lingerie à la vendeuse.
— Il vous fallait autre chose ? — Je ne crois pas que vous avez des soutiens-gorge de maternité ici.— Non en effet.— On va régler ça alors.

La vendeuse regarde le ventre arrondi de Sophie avec un air de dédain.
— Il vous faut un paquet cadeau ?— Oui s’il vous plaît.

Nous payons nos achats puis arrivons enfin au rayon maternité de l’autre magasin. Sophie choisit une multitude de fringues et se dirige vers les cabines d’essayage, elle m’agrippe la main et m’y entraîne, mais on nous interpelle.
— Messieurs-dames, une seule personne à la fois dans les cabines s’il vous plaît !

Sophie met la main sous son ventre
— Mais qui va m’aider pour me changer alors ? — Oh pardon madame, je n’avais pas vu, suivez-moi, prenez celle-ci c’est la plus grande.

Sophie remercie la vendeuse qui referme le rideau derrière elle, tout sourire elle me pousse sur le tabouret puis retire sa robe, je retrouve avec plaisir le corps à moitié nu de ma sœur, le haut de ses cuisses sont luisantes d’excitation. Elle essaye les différents vêtements qu’elle a choisis, elle est si belle quoi qu’elle mette. Il est évident qu’elle se trémousse plus que nécessaire et m’effleure à plusieurs reprises, je me sens vraiment serré dans mon pantalon. Puis elle finit par retirer le dernier vêtement, elle regarde là ou était la pile puis me sourit, se met à genoux et ouvre mon pantalon pour en extraire mon sexe et le prend goulûment en bouche. Je prends mon téléphone et la prends en photo en train de me sucer, très concentrée elle ne le remarque même pas.
— Lève la tête, regarde-moi.— Mais qu’est-ce que tu fais ? — Je vais faire participer Natacha... en quelque sorte.

[SMS]> Coucou ma belle, Sophie s’entraîne pour essayer de rivaliser avec toi< Hummm, tu fais plus la tête ? Tu crois qu’il faudra que je lui donne des cours ?> Je t’aime, c’est tout ce qui compte. Elle se débrouille bien mais c’est vrai qu’un cours ne lui ferait pas de mal surtout que ça fait longtemps que je n’ai pas eu vos deux bouches en même temps sur moi< :p Moi aussi je t’aime, profite bien.
Sophie se relève et regarde sur mon écran, elle rigole en voyant l’échange. Elle m’embrasse et vient se mettre à califourchon sur moi.
— Alors comme ça, Natacha suce mieux que moi ?— Eh oui ma chérie.

Je sens sa main se glisser entre nous elle prend mon sexe qu’elle guide en elle, je sens son intimité s’écarter et elle me fait glisser en elle.
— Et ça est ce que je fais mieux qu’elle ? — Son vagin est différent, très agréable mais c’est en toi que je préfère être.— Ahhh ça tombe bien j’adore que tu sois en moi.

Ma sœur glisse sur moi, d’ici quelques semaines cette position sera sans doute impossible car son ventre frotte déjà sur moi. On entend soudain :
— Tout se passe bien madame ? Il vous faut d’autres tailles ?— Oui j’ai bientôt terminé, non pas besoin, désolé je suis un peu lente avec mon bidon, je me sens cruche.— Pas de problèmes prenez le temps qu’il faut !

Ma sœur rigole et reprend ses mouvements sur moi, je suis très excité et après quelques mouvements je sens mon sexe se contracter et je me répands déjà en elle. Elle se mord les lèvres quand elle sent mon sperme gicler et se retient de gémir puis finit par m’embrasser.
— Humm c’était tellement bon mon chéri.

Elle se relève, un peu de mon sperme s’égoutte au sol.
— Tu me rends ma culotte, je vais en foutre partout.— Hum non...

Elle me regarde étonnée, son regard se transforme et passe de l’étonnement et l’incrédulité à un mélange d’excitation et de défi.
— Bon comme tu veux !

Elle renfile sa robe, et prend les vêtements pour se diriger en caisse. Je nettoie mes sécrétions au sol puis la suis. En caisse elle garde les jambes extrêmement serrées mais finit par se dandiner sentant sans doute mon sperme s’écouler malgré ses efforts. Nous sortons du magasin une fois les achats réglés, elle me prend la main que j’ai de libre, je porte le sac de l’autre. Elle marche bizarrement en faisant de petits pas.
— Tu m’as encore mis une dose énorme en plus ! — Je t’ai donné une nouvelle fois tout mon amour... — Oh merde !

Ma sœur s’arrête et baisse la tête, je devine que ses efforts ont été vains et voit une goutte tomber au sol du centre commercial. Je regarde ses jambes et vois une traînée commencer à s’écouler et être visible à la lisière de sa robe. Je sens mon sexe commencer à durcir de nouveau de l’offrir ainsi aux regards. Sophie me regarde, les joues roses, son regard descend sur mon pantalon et elle remarque sans doute mon excitation car elle sourit, elle prend une grande inspiration avant de me lâcher la main et reprend une démarche plus classique devant moi.
Je la regarde faire puis reprends aussi mon chemin quelques mètres derrière elle. La traînée de sperme, en marchant ainsi, est en train de descendre petit à petit jusqu’à atteindre l’arrière de son genou. Une autre traînée débutant derrière sa cuisse est en train d’apparaître et de couler le long de son autre jambe. Je remarque qu’un homme assis sur une banquette au milieu de l’allée dévore Sophie du regard. Elle se retourne devant lui pour me chercher du regard, l’homme semble bien profiter du spectacle, puis elle pivote de nouveau et le regarde en levant un sourcil, l’homme rougit et baisse la tête. Nous arrivons à la voiture, il ne doit pas rester beaucoup de mon sperme dans le vagin de ma sœur, un troisième écoulement s’étant ajouté et glissé jusqu’à sa cheville. Nous montons en voiture.
— Relève ta robe ma chérie.

Elle s’exécute et nous découvrons le désastre, le haut de ses cuisses est poisseux d’un mélange de sperme et de cyprine. L’arrière du bas de sa robe est dans le même état et ses bas sont zébrés des coulures déjà citées. Sophie me regarde entre dégoût et amusement alors que je la prends en photo et l’envoi à Natacha sans aucun commentaire, elle répond après quelques secondes.
[SMS] < Vilain cochon ! Je vais essayer de me libérer pour venir nettoyer notre belle amoureuse au plus vite...!
Nous prenons la route vers chez nous. Sophie me sourit de façon assez perplexe.
— Dis-moi, je me trompe ou ça t’a plu de m’exhiber comme ça ?— Tu ne te trompes pas, c’est un curieux mélange de fierté et d’excitation.— Moi aussi je dois reconnaître que ça m’a excitée.

Nous rentrons à la maison, un message de Natacha nous indique qu’elle est vraiment confuse mais ne peut pas se libérer mais qu’elle se rattrapera dès qu’elle sera rentrée. Sophie va se laver et se changer pendant que je prépare le repas. La journée se déroule tranquillement, nous allons chercher les garçons avec Sophie ce qui les rend fous de joie qu’on soit tous les deux. Natacha rentre tard, les enfants sont déjà couchés. Elle semble épuisée, nous nous écartons avec Sophie dans le canapé et elle vient se caler entre nous. Natacha nous explique que presque toutes les bourses se sont écroulées aujourd’hui et qu’elle a dû voler de client en client pour les rassurer.
— Alors mes amours, cette échographie ? — Tout va bien ? — Mais vous m’avez pas dit, garçon ou fille ou les deux ? — Bah on sait pas, on a voulu t’attendre ! — Oh c’est adorable, merci ! — C’est normal.— Vous voulez connaître la meilleure ? Je suis une licorne !

Sophie semble aussi étonnée que moi
— Je comprends pas.— Moi non plus.— A la radio ce matin j’ai entendu un couple comme nous, à trois. Eux ils appelaient ça un trouple.— OK mais c’est quoi le rapport avec la licorne ? — Bah apparemment la personne qui s’ajoute dans le couple s’appelle la licorne.— Ah bon ? — C’est bizarre non ? — Du coup je suis une licorne.— Où est ta corne ? Et tes paillettes ? — Arrête Sophie, n’embête pas notre licorne rousse !

Sophie réussit à faire décrocher un sourire à Natacha
— Mais pourquoi une licorne alors ? Ils n’ont pas expliqué ? — Non, je sais pas, sans doute parce que comme une licorne je ne suis pas censée exister... — Non mais arrête pourquoi tu dis ça ? — D’un point de vue de couple, trois c’est une belle utopie, comme une licorne.— ... Euh.— Désolé je suis fatiguée je broie du noir.— Bon allez vient on va se coucher et se reposer.

Les jours suivants sont très calmes, Natacha semble très contrariée par son travail et est très distante malgré des efforts évidents pour se rapprocher de Sophie ou de moi, je ne sais pas quoi en penser, est-ce vraiment son travail ou alors se questionne-t-elle sur sa place dans notre couple ?
Sans qu’elle le sache et ne mettant pas non plus Sophie dans le secret, je décide de leur organiser une soirée rien que pour elles. Je réserve un très bon restaurant ainsi qu’un hôtel assez proche, je les laisserais profiter entre elles pendant que je m’occuperai des enfants. Je préviens Sophie que nous sortons pour qu’elle aille se préparer, quand Natacha rentre j’en fais autant et toute contente elle rejoint Sophie dans la salle de bain. Elles sont superbes quand elles reviennent et ne comprennent pas pourquoi je suis en train de dîner avec les garçons.
— Surprise ! Vous allez dîner toutes les deux et ensuite une chambre vous est réservée.— Quoi ? — Bah et toi ? — Je vais m’occuper des enfants et vous, vous profitez l’une de l’autre.

Elles se regardent en souriant et viennent chacune me faire un bisou sur chaque joue. On sonne à la porte, c’est sans doute le chauffeur que je leur ai réservé, elles filent avec entrain en m’envoyant des baisers volants. La soirée se passe tranquillement, c’est presque bizarre d’être seul avec mes petits gars, ça faisait tellement longtemps que ce n’était pas arrivé. Mon téléphone vibre, je reçois une photo.
[SMS=Natacha] < Merci notre amour !!!
Elles sont à table en train de s’embrasser sur la photo, toutes les deux magnifiques.
Je me trouve une série à regarder mais pas franchement intéressante je finis par rejoindre mon lit et m’endors. Je suis tiré de mon sommeil par mon téléphone sur la table vibrant sur la table de chevet. Je le consulte c’est cette fois-ci un message de Sophie, encore une fois une photo, les deux femmes sont dénudées, je ne vois pas leurs visages, uniquement leurs corps entremêlés, ma sœur est nue et je constate avec plaisir que Natacha a revêtu l’ensemble acheté quelques jours plus tôt.
[SMS=Sophie] < Merci encore, nous te souhaitons une bonne nuit !
Je repose le téléphone, mais excité le reprend et me me masturbe en regardant cette photo puis sombre dans le sommeil une fois soulagé. Je ne reçois pas d’autres photos du reste de la nuit qui n’appartiennent qu’à elles.
La journée suivante se passe très bien, je sors les enfants le matin puis nous déjeunons tranquillement. Je les mets ensuite à la sieste et fatigué j’en fais autant. Je suis tiré de mon sommeil par des ricanements, j’entends des bruits de tissu froissé, le courant d’air froid lorsque l’on retire la couette me fige, j’ouvre les yeux et voit mes deux compagnes tout sourire ouvrir mon pantalon et tirer dessus en même temps que mon boxer et jeter le tout au sol.
— Oh zut on l’a réveillé.— Il faut qu’on se fasse pardonner alors ? — Bien sûr que oui !

Elles montent sur le lit de chaque côté de mes hanches et se mettent à lécher ensemble ma verge, leurs mains saisissent chacune une bourse. Ma queue grossit à toute allure, Natacha la saisit et Sophie la fait glisser dans la bouche quelques instants avant de lui laisser la place à son tour. Elles me sucent à tour de rôle et quand elles n’ont pas mon pénis en bouche leurs langues et lèvres ont tendance à se rejoindre. Ma sœur chuchote à Natacha
— Je commence à fatiguer avec mon ventre, accroupie comme ça...

Natacha passe alors par-dessus moi, elle écarte son string et, guidée par ma sœur, s’enfonce doucement sur moi. Elle commence déjà à faire coulisser son vagin toujours aussi étroit tandis que ma sœur se met sur le côté et se caresse en nous regardant. Je fais glisser mes mains sur cette belle rousse qui retire son soutien-gorge me donnant accès à ses jolis seins, j’ai l’impression que ça fait une éternité que je n’ai pas pu toucher une poitrine et je profite de la sienne tandis qu’elle accélère ses mouvements sur mon sexe.Après la mise en bouche je sens déjà la jouissance arriver, elle doit s’en rendre compte car elle accélère encore ses mouvements cherchant son plaisir également, je continue de lui peloter les seins alors que je sens ses doigts s’enfoncer dans mon torse, ne pouvant plus me retenir, tout mon corps se contracte et je jouis en elle sous ses assauts, elle ne tarde pas à me rejoindre tout comme ma sœur qui se caressait en ne perdant pas une miette du spectacle.
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