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Sophie, une grande soeur fantastique

Chapitre 15

Inceste
Manon et moi nous voyons très régulièrement, bien sûr chaque jour devant l’école où j’ai le plaisir de constater qu’elle est désormais systématiquement en jupe et gainée de nylon, tantôt noir, tantôt avec des motifs ou encore chair.
Nous nous voyons désormais presque tous les jours tellement son mari est peu présent. J’ai beaucoup de mal à comprendre cette relation très complice, avec beaucoup de camaraderie et d’honnêteté mais surtout très sexuelle. Je crois que nous sommes amis-amants, sex-friends, et c’est nouveau pour moi, je ne réussis pas à mettre de mots clairs là-dessus. J’ai régulièrement beaucoup de remords vis-à-vis de Sophie, mais Manon réussit à me faire me sentir mieux et je me force à croire que c’est que voudrait ma sœur, que je puisse me sentir heureux et vivant.
Aujourd’hui est un jour très spécial, j’ai eu l’idée de proposer à nos fils une soirée pyjama qui tombe à point nommé puisque le mari de Manon est comme d’habitude absent, elle va donc rester chez moi, ce qui sera notre première nuit ensemble. Officiellement pour son fils, elle va dormir dans la chambre des jumelles car elle ne veut pas rester seule dans sa grande maison.Mes sentiments sont très mélangés, je crois que je suis autant excité à l’idée de partager mon lit avec elle que terrifié, j’ai conscience de franchir une limite, je crains de plus en plus que je suis en train de perdre espoir que Sophie se réveille un jour.
La soirée se passe bien, enfin, “bien” est tout relatif avec cinq enfants à la maison. Une fois qu’ils sont tous couchés nous nous posons enfin avec Manon dans le canapé devant un film. On dirait que cela fait des années que nous sommes ensemble, Manon est la tête posée sur mon torse et sa main sur mon abdomen, ma main est posée sagement sur sa hanche à la frontière de ses fesses, je regarde sa main qui porte une alliance contrairement à moi. Elle doit sans doute le remarquer.
— Ça te dérange, tu voudrais que je l’enlève quand on se voit ? — Non je m’en moque.— Je ne t’ai jamais posé la question, mais tu ne la porte plus ?— Non en fait nous ne sommes pas mariés avec Sophie.— Ah je pensais pourtant.— Et non, c’était compliqué avec nos familles.— Ah oui d’accord.— …— Mais … sur les papiers de l’école vous avez le même nom de famille il me semble, non ? — Oui.— Mais si vous n’êtes pas mariés ? — C’est-à-dire que…— Ah OK ! Ah oui entre cousin tu m’étonne que ce soit tendu dans vos familles, j’ai eu des connaissances aussi qui étaient dans le même cas.
J’ai l’occasion de dire la vérité à Manon mais ne la saisit pas. C’est une vérité qui n’est pas facile à dire et qui n’est pas facile en entendre non plus, et je me rends compte que j’ai peur de sa réaction et aussi, surtout, peur de la perdre, je me contente de répondre pas franchement à l’aise
— On ne peut rien te cacher décidément.
Manon me sourit en faisant un clin d’œil puis nous continuons à visionner tranquillement notre film. Nous allons ensuite à la salle de bain où Manon reste alors que je vais rejoindre la chambre. Je ne suis pas plus à l’aise dans mon lit et suis allongé les poings fermés, la couette jusqu’au menton quand Manon arrive. Elle est revêtue d’une nuisette bleue et malgré mon manque d’assurance mes yeux accompagnent ses jolies gambettes ce qui la fait sourire, elle se glisse à mes côtés sous la couette et me regarde d’un œil amusé.
— Tu as froid ? — Euh oui.— Ou alors ça ne va pas ?— C’est un sentiment étrange, mais j’ai froid aussi.
Manon me fait un petit bisou tout tendre sur la joue
— Tu veux que j’aille dormir à côté ? — Bah non ! — Tu es sûr ? On est censé profiter, pas se torturer tu sais…— Reste.
Je me force à desserrer mes mains et tend ma tête et mes lèvres vers Manon qui accepte mon baiser. Elle se glisse par-dessus moi et m’agrippe comme un crapaud ce qui est tout sauf sexy, elle rigole.
— Je vais te réchauffer !
Ses lèvres continuent de jouer avec les miennes, et je sens la chaleur remonter dans mon corps, elle desserre progressivement son étreinte, je sens son bassin s’approcher de plus en plus du mien. Sa vulve finit par arriver sur mon sexe qui a durci et je la découvre brûlante et humide, je sens sa main se glisser entre nous et prendre mon sexe pour le guider vers elle
— Veux-tu qu’on fasse l’amour ? — Oui j’en ai envie.
Elle me fait glisser tendrement en elle, sa main relâche mon sexe et elle se relève s’appuyant sur mon torse jusqu’à que je sois totalement en elle puis elle remue lentement le bassin sur moi, je caresse ses petites cuisses au gré de ses mouvements. Petit à petit, ses mouvements gagnent en intensité, ses mains quittent mon torse pour dégager sa poitrine puis jouer avec ses seins puis alors qu’elle continue d’aller et venir sur moi elle prend mes mains pour venir remplacer les siennes sur ses seins. Je commence à connaître les signes qu’elle montre quand elle est sur le point de jouir, je me redresse pour l’aider en venant prendre son sein gauche en bouche, elle gémit immédiatement, je le cajole puis passe à l’autre sein tandis que ses mouvements deviennent de plus en plus forts, je sens mon plaisir monter de plus en plus et accompagne ses mouvements, jusqu’à que j’explose encore une fois au plus profond de son être et qu’elle m’accompagne dans la jouissance quelques instants après.
Nous restons l’un dans l’autre, nous nous embrassons tendrement, elle finit par glisser sur le côté et nous nous endormons l’un contre l’autre.
Je me réveille le lendemain matin, il est encore très tôt, je sens le corps chaud et brûlant de Manon contre moi, je suis collé dans son dos, mon sexe est raide contre ses fesses ma main va à la rencontre de son sein. Je sens ses hanches remuer contre moi, elle attrape ma main qu’elle embrasse avant de la reposer sur son sein. Je sens sa vulve s’humidifier, ma verge glisse contre. Je sens ses fesses s’appuyer contre moi, mon sexe commence à glisser dans le sien. Nous faisons une nouvelle fois l’amour très tendrement.
Au fil des semaines tous les prétextes sont bons pour passer du temps ensemble. Son mari étant soit en déplacement soit avec ses maîtresses, elle est quasi libre de son temps et nous en profitons désormais tant chez l’un que chez l’autre.
Voilà un an et un jour que Sophie est dans le coma et quatre mois que j’entretiens cette relation adultère avec Manon. Je suis devant elle à l’hôpital, il est déjà tard, une baby-sitter s’occupe des enfants. J’avais besoin d’être seul et de repenser à la journée d’hier.
Nous avons fêté le premier anniversaire des jumelles, Natacha est venue avec son compagnon et surtout un joli ventre rond. Manon était présente bien entendu, et n’ayant personne d’autres présent, mes parents ne souhaitant toujours pas me voir, sans nous en rendre compte nous nous sommes comportés inconsciemment comme un couple. Fidèle à elle-même Natacha n’a pas jugé et pense que si chacun de nous nous sentons mieux c’était bien là le principal. Par contre quand elle m’a isolé et questionné, elle n’a pas validé mon choix d’avoir omis la vérité à Manon au sujet de ma sœur et d’elle, ses mots "c’est une chouette fille, elle mérite la vérité et de choisir" résonnent encore en moi et la question me taraude depuis.
Je m’installe sur le bord du lit de ma sœur et prend la main de ma sœur toujours inerte.
— Je suis tellement désolé Sophie, si je ne t’avais pas mise enceinte tu ne serais pas là. — Tu n’as pas pu voir tes filles hier pour leur premier anniversaire, elles marchent depuis deux semaines, elles te ressemblent tellement ça me déchire le cœur.— Natacha fait sa vie avec un homme, elle attend un petit garçon. Je l’ai laissé partir il y a longtemps maintenant, sans toi ça n’avait plus de sens. Plus grand chose n’a de sens.— Et surtout je t’ai trompé… Plusieurs fois.
Je regarde le visage de ma sœur mais ne note aucune réaction, je regarde les moniteurs qui sont toujours imperturbables comme d’habitude, cela m’agace.
— Elle s’appelle Manon, c’est une maman de l’école. Elle n’est pas parfaite comme toi mais a pleins de qualités et je la trouve très belle. Vous vous êtes rencontrés une fois.
Je continue de regarder les moniteurs et ma sœur qui sont toujours sans réaction… comme d’habitude
— Nous avons déjà fait l’amour un nombre incalculable de fois, même dans notre lit… et j’adore ça.

Toujours aucune réaction, je me mets à pleurer
— Mais fait quelque chose, bordel ! Gifle-moi, crache-moi dessus, insulte-moi !
Je m’écroule sur ma sœur et pleure tout mon désespoir. Soudain j’entends un bruit et fait un bond, je regarde ma sœur, les moniteurs, ma sœur, les moniteurs encore mais rien n’a changé.
— Pardon Mathieu. Ce n’est pas le moment je vais repasser.— Bonjour Carole, non non non vas-y, je n’avais pas vu l’heure.
Je sèche mes larmes et rejoint le fauteuil dans le coin de la chambre pour que cette infirmière fasse ce qu’elle doit faire. Carole me regarde d’un air embêté et plein de pitié avant de commencer à faire son travail, elle est toujours concentrée à s’affairer sur Sophie.
— Ça fait un an c’est ça ? — Oui hier.— C’est toujours un cap difficile.— … — Si tu as besoin de quoi que ce soit je suis là, faut pas hésiter tu sais.
Elle se retourne en me disant ça en me souriant, mon esprit me joue des tours car j’ai l’impression que penchée sur ma sœur elle remue ses fesses sous mon nez, elle se reconcentre sur ma sœur continuant ses soins et ses contrôles.
— Comment vont les jumelles ? — En pleine forme, elles marchent depuis quelques jours.— Oh c’est génial ça.— Oui c’est top.
Je replonge dans mes pensées en regardant Carole travailler. Nous nous sommes croisés un nombre incalculable de fois. Elle à la trentaine, blonde, ni jolie ni moche mais avec un contact plutôt facile, pas particulièrement grande ni petite, une fille moyenne en fait. Elle semble mince mais difficile à dire sous sa tenue médicale. Elle repasse devant moi.
— Bon bah j’ai terminé, à bientôt Mathieu.— Ok à bientôt.
J’entends la porte se fermer et toujours dans mes pensées je ne réalise pas entendre son verrouillage, je remarque seulement une ombre arriver sur moi
— Bon je crois qu’il te faut un remontant.
Je réalise seulement que Carole est revenue devant moi, je lève la tête alors qu’elle sort son téléphone de sa blouse et le pose après avoir mis de la musique. Elle libère ses cheveux blonds qui sont légèrement bouclés ce qui la met nettement plus en valeur, elle vient se placer devant moi et commence à se déhancher devant moi. Je la regarde faire plutôt désabusé de la situation. Elle me sourit
— Allez, juste profite !— Tu fais quoi là ? — Mon taf, prendre soin des gens !
Elle se met à jouer avec le bas de sa blouse dévoilant son ventre et me laissant apercevoir le bas de son soutien-gorge noir
— Carole… — Tu n’es pas le seul à avoir des journées de merde, j’ai besoin de me changer les idées aussi.
Elle se retourne et soulève alors sa blouse la faisant passer par-dessus sa tête, un long tatouage coloré parcours son dos, la queue d’un dragon dont je ne vois pas la tête cachée par son pantalon, elle se retourne dévoilant la naissance de ses seins enfermés dans un soutien-gorge plutôt quelconque. Elle les prend en main et se rapproche jouant avec sous mon nez
— Interdiction de toucher ! — Je n’y compte pas.— On verra bien.
Elle me fait un nouveau clin d’œil alors qu’elle s’éloigne de nouveau et reprend sa danse, jouant avec son pantalon cette fois-ci. Elle dévoile un élastique noir d’une culotte ou string sans doute assorti au soutien-gorge. Carole finit par délaisser l’élastique du pantalon et fait glisser les bretelles de son soutien-gorge le long de ses épaules le faisant bailler et dévoiler un peu plus sa poitrine. Je dois bien reconnaître qu’elle sait s’y prendre pour faire monter la température et bien que pensant être peu réceptif je sens mon sexe durcir dans mon pantalon. Elle semble s’en rendre compte car me regarde avec un air de satisfaction après avoir regardé mon entrejambe.
Elle vient s’asseoir à califourchon sur mes genoux m’offrant une vue imprenable sur ses seins car son soutien-gorge libéré de ses bretelles glisse petit à petit, elle pose ses mains sur mon abdomen et les fait glisser en haut de mon torse
— Il n’y a pas interdiction de toucher ? — Ah mais pas moi vu que tu es le patient.— Ah d’accord. Mais justement tu n’as pas de vrais patients à aller voir ? — Non je t’offre de mon temps perso, j’avais terminé ma journée après ta femme !
Ses mains continuent de glisser sur moi, elles les ramènent vers elle pour de nouveau jouer avec ses seins devant moi. Puis glisse à nouveau vers moi mais vient s’arrêter sur mon entrejambe et appuyer sur mon sexe maintenant raide.
— Gros dégueu, on bande pour une autre à quelques mètres de sa femme.
Carole se relève et reprend sa danse, elle fait glisser de plus en plus l’élastique de son pantalon jusqu’à se retourner puis le faire glisser par-dessus ses fesses en se penchant en avant. Elle a plutôt un beau cul assez charnu mis en avant par le string assorti à son soutien-gorge. Le dragon descend jusque sur sa cuisse où est la tête, je n’avais jamais de tatouages aussi immenses. Elle se retourne et jette son pantalon du bout du pied dans un coin de la chambre et s’approche de moi. Toujours debout, elle pose un pied sur mon genou et fait glisser sa main sur son ventre jusqu’à atteindre son entrejambe et se caresse devant moi par-dessus son string. Je dois bien reconnaitre que mon sexe est maintenant aux abois bien étriqué dans mon pantalon, quand elle plonge la main dans son string cela n’arrange pas mon problème, elle ressort ses doigts luisant de mouille puis les amènent à sa bouche.
— Hmmm, dommage tu ne peux pas y goûter, que dirait madame Sophie ? — …— Tu sais comment on l’appelle dans le service ?— J’ai pas franchement envie de savoir.— La Belle aux bois dormants tellement elle est parfaite.
Elle s’approche de moi et vient de nouveau se placer à califourchon sur moi mais cette fois-ci en se collant à moi pour se frotter sur la bosse dans mon pantalon au rythme de la musique. Je pose mes mains sur ses cuisses pour accompagner ses mouvements mais elle me tape sur la main
— Pas touche ! Tu veux être un mari infidèle, tromper Sophie la divine ?
Je retire mes mains, elle jette son buste en arrière alors qu’elle continue à se frotter sur ma queue. Je la laisse faire car c’est loin d’être désagréable, j’oublie Sophie, j’oublie Manon, j’oublie mes soucis, j’oublie tout, Carole semble être sacrément chaude et j’ai envie de la baiser. Je sens une colère monter en mois, une colère de voir ma sœur inerte depuis aussi longtemps par ma faute
Elle se rapproche de moi et sa main va chercher ma ceinture, elle me regarde d’un air interrogateur mais avec une étincelle coquine dans les yeux, elle commence à défaire ma ceinture
— Tu vas vraiment me laisser ouvrir ton pantalon alors que ta femme est juste là, derrière moi ?

Je me laisse faire et me contente de la regarder réfléchissant à ma réponse
— Peut-être que c’est toi qui vas te dégonfler !
Cela semble la piquer au vif et elle ouvre ma ceinture puis fait sauter le bouton et la fermeture éclair de mon pantalon puis tire dessus en s’éloignant l’amenant à mes genoux et reprend sa danse.
— Moi je suis une jeune petite célibataire, me défier va te mener à ta perte ! — Quel âge as-tu ? — Vingt-huit ans.— Un bel âge.— Ah j’en doute pas, ça doit faire bien longtemps que tu n’as pas vu le corps dénudé d’une femme aussi jeune que moi.— L’âge ne fait pas tout.— Merde c’est vrai que j’ai oublié que tu étais marié à la réincarnation d’une foutue déesse.— … — Un vrai ange descendu du ciel, mais… mais qui ne peut plus te satisfaire !
Carole continue sa danse, elle passe ses mains derrière son dos, je vois son soutien-gorge se détendre quand elle en fait sauter l’attache puis elle le relâche, le laissant s’écraser au sol m’offrant la vue de sa poitrine qu’elle vient rapidement caresser.Elle s’approche de nouveau toujours au rythme de la musique et fait glisser mon pantalon jusqu’à mes chevilles avant de se retourner et de s’asseoir sur moi. Elle remue les hanches nous masturbant l’un l’autre et malgré le tissu de nos sous-vêtements je sens la chaleur et la moiteur de sa chatte. Elle prend de nouveau ses seins en main pour jouer avec, puis baisse ses mains pour venir chercher les miennes. Elle me guide sur ses hanches, me fait glisser sur ses côtes jusqu’à venir poser mes deux mains sur ses deux globes.
Elle n’a pas une grosse poitrine mais elle est très onctueuse. Ses mains quittent les miennes et je continu de la peloter, elle les glisse de nouveau à son entrejambe, j’imagine qu’elle se caresse le clito tout en massant mon sexe avec ses fesses.
Sa main gauche revient dans mon champ de vision et elle fait glisser ses hanches en avant afin de permettre à sa main de venir saisir mon sexe au travers du tissu de mon boxer et commence à me branler ainsi.
La position n’est pas pratique et elle finit par se retourner en s’asseyant cette fois-ci à mi-cuisse, sa main droite glisse à l’intérieur de son string et la gauche vient de nouveau caresser ma queue. Mais Carole semble perdre patience.
Ses doigts accrochent l’élastique de mon boxer et le fait glisser, découvrant mon gland puis l’intégralité de ma verge jusqu’à venir le coincer sous mes testicules. Elle prend alors enfin à pleine main ma queue et me masturbe au rythme de la musique tandis que je devine ses autres doigts s’insérer en elle derrière son string. Je suis trop loin d’elle pour continuer à jouer avec sa poitrine et me laisse faire en profitant, elle regarde ma queue avec satisfaction.
— Belle bite, on va bien s’amuser. Alors ça te plaît de te faire branler devant ton épouse ! Est-ce que tu vas oser me baiser devant elle ?— Pas la moindre chance !— On verra… on verra... tu es déjà sur une pente très glissante.

Carole se relève et reprend sa danse en jouant avec l’élastique de son string et semble prendre beaucoup de plaisir à me torturer devant Sophie. Je regarde ma sœur, ça m’énerve qu’elle ne se lève pas pour venir me foutre une énorme claque, me gueuler dessus d’arrêter tout ça.
J’ai plusieurs fois l’impression que Carole va faire tomber son string mais il n’en est rien et elle revient sur moi, face à moi en crochetant ses bras derrière mon cou. Ses hanches remuent toujours au rythme de la musique et je sens maintenant clairement son excitation au travers de son string qui ne réussit plus à retenir son jus.
Je pose mes mains sur ses fesses qui sont très fermes et musclées, accompagne ses mouvements qui ressemble à une lutte entre son string et mon sexe qui essaye de se frayer un passage à côté. Carole se relève simplement devant moi, elle termine de faire glisser mon boxer à mes pieds et écarte les élastiques de son string pour le laisser choir au sol dévoilant un entrejambe avec un fin tapis de poils blonds dont on devine à peine les lèvres, puis elle vient reprendre place sur moi en tenant ma queue et la frottant contre sa vulve.
Plusieurs fois elle fait mine de me guider en elle pour finalement me laisser glisser contre, m’enduisant de son excitation, elle mène la danse et je rentre dans son jeu levant le bassin où guidant ses fesses pour essayer de la pénétrer sans insister.
— Alors c’est vraiment ce que tu veux, être un mari infidèle ? — Au point où j’en suis.— Mais tu crois que je vais te laisser me prendre comme une vulgaire garce ? — Ta mouille parle à ta place.— Tu me prends pour une salope ? — Tout à fait et qui n’attends que de se faire embrocher devant la femme de son amant.— Humm, tu m’as bien comprise, mais je vais encore te laisser un peu réfléchir.
Carole se décroche de moi et s’agenouille, sa tête s’approche de mon sexe qu’elle prend en bouche et pompe avec une ardeur. Elle sait très bien sucer, c’est sans doute une des meilleures pipes de ma vie mais je réalise soudainement que Manon ne m’a jamais sucé et que ça ne m’a pas manqué. Penser à Manon me rend triste car j’ai le sentiment de la tromper bien que nous n’ayons pas de relation officielle et clairement établie. Carole s’écarte de moi reprenant sa danse me laissant la regarder sous toutes les coutures, elle s’approche à nouveau de moi et pose sa jambe sur l’assise du fauteuil la chatte devant mon nez, elle y fait glisser sa main et se pénètre frénétiquement avec deux doigts faisant gicler son excitation sur moi. J’aperçois Sophie inerte derrière elle, je sens une colère furieuse monter en moi. Je me lève et attrape Carole, surprise, et la pousse sur le lit de Sophie. Je perds tout contrôle et une rage indescriptible m’envahit.
— Tu veux que je te baise devant ma femme, tu vas être servie !
Elle se laisse manipuler comme une poupée de chiffon avec un grand sourire, je la retourne pour poser le haut de son corps sur le pied du lit et sa croupe sur le bord est offerte à moi.
— Alors comme ça on adore aguicher les maris en détresse ? — Oui je suis très vilaine, je mérite une fessée !
Ce n’est pas du tout mon genre de délire, mais je sui comme quelqu’un d’autre et je lui mets alors une claque sur la fesse droite, la marque de ma main apparaît rapidement et j’y frotte ma queue raide. Loin d’être effrayée, Carole remue les fesses et en redemande
— Je suis vraiment très, très vilaine je mérite d’être encore punie.
Je lui mets une seconde claque sur la fesse gauche qui rougit à son tour puis caresse avec la main tandis que je fais glisser ma queue le long de sa fente qui dégouline littéralement de cyprine.
— C’est vraiment sale ce que tu fais !— Oui je suis une salope qui aime chauffer les mecs devant leurs propres femmes.— Tu mérites une bonne correction.— Ouiiii punis moi…
Elle n’a pas le temps de terminer sa réponse que je lui décoche une nouvelle claque magistrale
— Tu aimes la fessée, ta chatte coule de mouille ! — Oui j’adore ça…
Je lui remets deux nouvelles claques sur chaque fesse, elle a le cul sacrément rouge. J’étale sa cyprine avec ma queue sur ses fesses rougies puis me penche contre elle pour aller saisir ses seins, ma queue est plaquée contre sa vulve.
— Dans ma chaussure… des capotes… — Tu as envie que je te prenne salope, tu crois vraiment que je vais fourrer ma queue dans une traînée comme toi ? — Oui prend moi.— Supplie-moi salope !
Je m’écarte d’elle et lui gifle une nouvelle fois le cul.
— HAN, oui c’est bon ! S’il te plait !
Je regarde le cul de Carole rougie, je regarde Sophie, j’espère la voir se dresser et gueuler d’arrêter ces conneries mais elle est inerte comme d’habitude, ça m’énerve encore plus, je remets une claque sur les fesses de Carole
— Baise-moi ! — Supplie.
Une nouvelle claque, ses fesses doivent être très douloureuses
— HHHHAANNN, prends-moi par pitié, baise-moi, défonce-moi, j’en meure d’envie depuis des mois.
Je farfouille dans ses chaussures et trouve le sachet, l’ouvre et déroule le préservatif sur ma verge. Carole n’a pas bougé, j’attrape ses hanches et place ma verge devant l’entrée de son vagin pour m’y enfoncer d’un seul coup en elle qui gémit de surprise. Elle se cramponne au bord du matelas et continue de gémir, secouée par les grands mouvements que j’ai immédiatement débutés. Je ne suis plus moi-même, je regarde ma sœur, je suis fou de rage qu’elle soit coincée dans ce lit.
— Mais tu vas réagir bordel ! Dis-nous d’arrêter !
Carole croit que je m’adressais à elle
— Non continue, c’est trop bon, j’adore me faire me défoncer comme ça, continue !
J’ai les larmes aux yeux et redouble d’ardeur à l’intérieur de Carole si jamais c’était encore possible. J’accélère mes mouvements, les gémissements de Carole de plus en plus forts m’invitent à finalement de gros coups de bassins sans ménagements dans le seul but de me vider les couilles, le lit de Sophie bouge sous mes coups de butoir, elle remue aussi au gré des secousses mais malheureusement sans se réveiller malgré les hurlements de Carole qui finit par atteindre la jouissance.
— Dégage du lit de ma femme, agenouille toi !
Elle s’exécute pendant que je retire le préservatif, je me branle devant son visage alors qu’elle se caresse, j’approche ma bite de ses lèvres et elle me prend en bouche puis s’écarte pour s’adresser à moi.
— On t’a déjà fait une gorge profonde ?— Non.— Je vais essayer, vu comment tu m’as fait jouir, je te dois bien ça.
Carole avale mon sexe de façon impressionnante jusqu’à en avoir des hauts le cœur et manquer de vomir, elle se laisse à peine le temps de reprendre son souffle et recommence ainsi plusieurs fois. Cette vision me faire prendre conscience ce délire de soumission et je réalise ne prendre aucun plaisir à voir une femme comme ça, elle s’en rend compte car je commence à débander et arrête pour me branler avec énergie jusqu’à ce que je me répande sur son visage et dans sa bouche.
Elle est dans un état déplorable, son maquillage a coulé, le visage recouvert de sperme, de gros filet de bave ont coulés de sa bouche, les cuisses souillées d’énormes trainées de sa mouille mais affiche pourtant un grand sourire, j’ai honte d’être le responsable de son état
— Je suis désolé Carole.— Pourquoi ? C’était la meilleure baise de ma vie, merci ! — Ah…
Je regarde Sophie avec dépit, je pense à Manon, elles me manquent, je me sens crade.
— Tu m’as entendu ? — Pardon ? — Je te demandais si on allait se doucher ? — Ah oui ok.
Je suis Carole dans la pièce adjacente, elle se colle à moi
— J’ai adoré me faire humilier comme tu l’a fait.— C’était violent, je suis désolé, je ne suis pas comme ça.— Oh ça doit juste être parce qu’on ne t’en donne pas l’occasion, et soit fier plutôt je n’ai pas joui comme ça depuis des siècles. Mais c’est vrai que je vais avoir du mal à m’asseoir quelque temps entre ça et les claques ! Mais aucun regret.— … — Je peux te demander un dernier truc ? — Quoi ?
Carole s’agenouille devant moi.
— Pisse-moi dessus ! — Quoi ?!? Mais ça va pas ?!?— Si, j’ai toujours voulu essayer, c’est le timing parfait, termine de me souiller, recouvre-moi de ta pisse.— C’est tordu !
Carole commence à me masser les couilles, et je dois bien reconnaître que mon sexe retrouve de sa vigueur malgré cette proposition cinglée.
— Ta bouche dit non mais ton corps te trahit.— Je ne vais pas y arriver.— Mais si vas-y, je suis sûre que tu le peux, même là si tu veux
Elle prend en bouche ma queue qui commence à se durcir de plus en plus. Je me vide la tête et je sens ma vessie commencer à se libérer alors que Carole m’a en bouche, elle s’écarte, la bouche pleine de ma pisse mais est loin d’être dégoûtée.
— Hmmm merci, vas-y arrose moi !
Je prends mon pénis en main et dirige le jet sur sa poitrine, remonte sur sa gorge, elle ferme les yeux et ouvre grand la bouche, je dirige mon jet d’urine sur son visage, lui arrose la tronche, remplit sa bouche et trempe ses cheveux alors qu’elle est en train de se caresser en même temps. Mon jet fini par se tarir, Carole est dans un état déplorable mais tout sourire
— Quel pied ! — On t’avait déjà pissé dessus ? — Non mais ça me trottait en tête depuis un bail, c’était le moment où jamais.— Ça t’a plu ? — Oui beaucoup, on remet tout ça quand tu veux.— N’y compte pas.
Je plante Carole dans la salle de bains de la chambre et vais me rhabiller, j’embrasse Sophie et quitte l’hôpital avant de rentrer chez moi pleurer seul sous ma douche.
Le lendemain comme à notre habitude nous prenons le thé avec Manon, elle semble à la fois triste mais aussi très heureuse, soulagée, c’est étrange. Moi je suis à côté de mes pompes encore mal de la soirée d’hier, j’ai la tête ailleurs
— Mathieu il s’est passé un truc super important.— … — Mathieu ? — … — Youhou! — Pardon.— Ça ne va pas ? — Non c’était dur hier à l’hôpital.— Mais c’est normal ça fait pile un an.— Et je ne sais pas comment ça s’est passé, j’ai fait n’importe quoi.— Pourquoi tu dis ça ?
Je raconte tout ce qu’il s’est passé avec Carole dans les moindres détails, son anus éventré jusqu’au bain de pisse final. Manon est crispée, une larme coule de son œil malgré ses efforts évidents pour les retenir.
— Pourquoi tu me raconte ça ? — Bah je me sens sale.— Putain mais t‘es trop con, sort de chez moi ! — Mais ?! — Tu ne comprends pas ? Casse-toi ! CASSE-TOI JE T’AI DIS !!!!
Elle prend mes affaires et me les jettent dessus
— Autant je peux comprendre ta fureur, autant je comprends pas pourquoi tu as besoin d’une connasse, prends les filles et va-t’en ! — Mais je suis désolé je croyais qu’on ….— Mais t’es vraiment con ! Tu as besoin je te suce, OK ! Tu veux me pisser dessus, mais vas-y ! Je t’aurai même autorisé à me chier dessus si c’est ce que tu veux !
Je t’aime, je t’ai ouvert mon cœur et tu viens de le piétiner comme personne avant. Je ne veux plus te voir, va-t’en s’il te plaît !
— …— S’il te plaît, va-t’en Mathieu, par pitié !
Manon fond en larme la tête entre les mains. Je vais chercher les filles et quitte sa maison le cœur lourd.
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