Le mois suivant, une ambulance amène Sophie chez nous. A aucun moment Manon n’a mis la moindre réserve sur ce projet malgré parfois des factures à quatre voire cinq chiffres pour acquérir le matériel médical nécessaire à ma sur, face à mes doutes, elle se contentait de répondre en souriant "elle fait partie de nos vies". Je découvre à ses côtés le confort de ne jamais avoir de crainte sur le niveau de son compte en banque, à l’inverse bien que nous ne travaillions pas, j’ai la surprise de voir que son montant s’élève de mois en mois. Cela ne change pas nos habitudes et nous restons discrets et vivons simplement. Avec tous ces changements et des journées bien trop courtes ainsi que la fatigue accumulée avec le déménagement que nous avons fait nous-mêmes, je réalise que nous n’avons encore jamais fait l’amour chez nous. Je la regarde en train de s’affairer à faire la vaisselle, imaginant son petit cul remuer sous sa jupette et ses gambettes mises en valeur. Je m’approche d’elle et pose ma main sur ses fesses, je ne peux résister à la tentation de passer la main sous sa jupette et ai l’agréable surprise de sentir sa fesse nue, mon sexe durcit instantanément. Je remonte ma main sur sa hanche pour m’assurer que c’est bien ce que je pense, mais ne rencontre rien et reste contre elle, caressant sa fesse, elle me regarde d’un air amusé. On dirait que je ne suis pas la seule à être moins fatiguée ! Je ne suis pas sûr, tu sembles avoir oublié quelque chose. Ou alors j’espérais que tu t’en rendes compte... Et si je ne m’en étais pas rendu compte ? Oh j’aurai trouvé un moyen moins subtil ! Ah oui ? Manon me dépose un baiser du bout des lèvres et s’essuie les mains, puis elle s’agenouille devant moi en sortant mon sexe sur lequel elle dépose de petits bisous, je vois qu’elle glisse sa main entre les jambes pour se caresser alors qu’elle commence à lécher ma verge bien dressée. C’est la toute première fois que Manon fait ça avec moi et quand elle ouvre les lèvres et me prend dans sa bouche, je dois me retenir de ne pas jouir instantanément, mais cette sensation est vite effacée par les dents de Manon que je sens à plusieurs reprises et malgré une bonne volonté évidente, cette fellation n’est pas franchement agréable et j’invite Manon à se relever et l’embrasse puis elle me chuchote à l’oreille. Ça t’a plu ? Je suis désolé, mais si un homme t’a déjà dit oui, il t’a sans doute menti... Manon rougit, mais ne semble pas fâchée. En fait, aucun homme n’a eu à répondre à cette question... Je la regarde, étonné et pas très à l’aise de ma bourde, elle a un air timide blottie dans mes bras. Oh alors, en fait... il te manque juste de l’entraînement...
Elle rigole, nous délaissons la vaisselle restante et elle m’entraîne vers notre chambre. Son petit cul remue devant moi dans le couloir et me fait envie, je la fais revenir vers moi en tirant sur son bras et la plaque contre le mur, heureusement que tous les enfants sont couchés. Je me jette sur sa bouche et vais à la rencontre de sa langue, sa main vient chercher mon sexe qu’elle caresse. Je sens sa jambe s’enrouler derrière mes fesses et ma queue venir se placer contre sa vulve trempée et bouillante dont les lèvres me caressent. Elle glisse légèrement contre moi alors qu’elle plie la jambe sur laquelle elle repose, ses tendres chairs s’écartent autour de ma verge qui glisse lentement en elle. Je passe mes mains sous ses fesses et toujours adossée au mur, elle vient crocheter la jambe sur laquelle elle reposait derrière mes fesses, cela la fait s’empaler sur moi d’un coup dans un gémissement commun de satisfaction, elle remue les hanches, car je peux seulement la maintenir ainsi, mais la position semble difficile pour tous les deux et tendrement elle me dit : Tu vas trop loin comme ça, ça me fait un peu mal. Allons dans la chambre, je te porte à peine de toute façon. Je me débarrasse de mon pantalon et mon boxer à mes chevilles après qu’elle se soit libérée de notre étreinte. Nous nous dirigeons vers l’étage où elle se débarrasse de sa jupe et de son haut se mettant nue devant moi et les fait tomber au sol devant l’escalier, elle me défie du regard. Oups... Elle se penche en avant pour les ramasser sans plier les genoux et remue ses fesses devant moi en me regardant d’un air coquin, sa vulve est brillante d’excitation. J’attrape ses hanches et m’enfonce en elle d’un trait. Hannnnn ! Mais que faites-vous monsieur ! Veuillez me pardonner Madame, je n’ai su résister au désir qui brûle en moi. Elle savoure quelques allers-retours en elle avant de me donner une pichenette sur la main. Allez ouste, un peu de tenue voyons. Elle me fait rire alors que je me retire d’elle et la suis dans les escaliers jusqu’à atteindre notre chambre. Manon se jette à mon cou dès que nous y rentrons et retire ma chemise en m’embrassant, puis elle me fait reculer jusqu’au lit où elle m’y fait tomber en arrière, elle m’y rejoint et prend mon sexe en main, déposant un baiser sur mon gland. Alors, explique-moi. Elle ouvre la bouche et gobe mon sexe et me regarde, je sens sa langue jouer avec mon gland. Ça c’est très bien, en même temps tu peux me branler. hmmm hmmm. Doucement, doucement, ne va pas me faire venir tout de suite ! ... Attention à tes dents, ce n’est pas agréable du tout, il faut à tout prix éviter que je les sente. ... C’est mieux, tu peux alterner cela avec des mouvements plus amples de ta bouche sur mon sexe un peu comme quand je suis en toi, hmmm oui c’est très bien. ... Voilà dans les grandes lignes, à toi aussi de découvrir ce qui marche ou pas... mmm c’est bon, tu te débrouilles très bien mon amour... Manon relève la tête. Qu’est-ce que tu as dit ? Tu te débrouilles très bien. Ah OK. Je réalise que nous ne nous sommes pas dit certaines choses depuis notre réconciliation. Manon ? Ça ne va pas, je ne m’y prends pas bien ? Si c’est très bien... je... je t’aime Manon. Le visage de Manon s’éclaire d’un sourire resplendissant, elle monte jusqu’à ma bouche pour m’embrasser. Je t’aime aussi. Manon reprend sa fellation avec délicatesse et concentration et se débrouille cette fois-ci très bien et je me sens proche de l’éjaculation. Manon arrête-toi, je vais jouir. J’essaye de me redresser, mais elle me plaque de sa main libre fermement contre le lit alors qu’elle se met à me branler énergiquement avec le gland planté dans sa bouche. C’en est trop et j’explose inondant sa bouche de ma jouissance, chaque contraction de mon sexe me fait trembler grâce à l’orgasme qu’elle a su m’offrir. Elle me regarde, le bout de mon sexe toujours en bouche alors que je la vois déglutir et que son regard est rempli d’un mélange d’excitation et d’amour. Elle continue de masser mon sexe avec sa langue, ce qui finit par être désagréable, je l’invite à remonter vers moi et l’embrasse. Elle me regarde visiblement très contente d’elle. Tu es fière de toi hein ? Oui très ! Je l’embrasse à nouveau. Tu es folle d’avoir avalé pour une première, enfin seconde fois. Oui je suis folle... de toi ! Nous nous embrassons de nouveau et j’allonge Manon sur le lit, profitant de ses seins puis descendant peu à peu ma tête entre ses cuisses, elle les ouvre, comprenant mon intention et le gémissement qu’elle pousse lorsque ma langue se pose sur elle, m’invite à lui donner encore plus de plaisir.Elle s’agrippe à ma tête, m’appuyant contre elle presque au point que j’en perde mon souffle jusqu’à ce qu’elle hurle de plaisir en étant secouée de spasmes. Je remonte vers Manon, elle est comme anéantie dans le lit et sourit d’un air béat, je m’allonge à côté d’elle et elle vient finalement se lover contre moi et nous nous endormons rapidement. Nous faisons plusieurs fois l’amour cette nuit-là, tantôt moi allant vers elle quand en cuillère je prends soudainement conscience de ses fesses nues contre moi ou alors elle montant sur moi pour me chevaucher ou même encore en lui grimpant dessus pour un très classique missionnaire. C’est un véritable festival orgasmique des deux côtés, aucun de nous ne semblant rassasié. Le matin nous nous réveillons dans une chambre puant le sexe et la sueur. Les draps sont constellés des taches de mon sperme et de la cyprine de Manon. J’ai les lèvres endolories, le sexe aussi et il est recouvert d’un mélange de sperme et de cyprine séché. Manon dort encore, elle est sur le côté dos à moi, la couette est repoussée et je vois mon sperme briller à son entrejambe, encore en train de couler hors d’elle. Elle s’étire et se retourne, ouvre les yeux et me regarde en souriant, je vois qu’elle a du sperme séché sur le ventre et les seins, même jusque sur la gorge. Je ne me souviens même pas d’avoir éjaculé sur elle. Bonjour mon amour. Bonjour mon amour. Nous nous embrassons et après qu’elle ait constaté elle aussi les dégâts, nous rejoignons rapidement la salle de bain. Les jours passent en douceur comme d’habitude à une vitesse folle jusqu’à un matin où Manon arrive dans la cuisine blême comme si elle avait vu un fantôme.Elle se laisse tomber sur la chaise visiblement choquée. Bah alors qu’est-ce qui se passe ma chérie ? Je suis enceinte ! ... Elle pose un test de grossesse sur la table qui est positif. Je n’en crois pas mes oreilles ni mes yeux qui doivent être ronds de surprise. Je dois maintenant avoir la même tête qu’elle. Mais tu prends toujours la pilule ? Bah oui et je n’ai pas eu d’oubli. On fait quoi ? Je ne sais pas ... un bébé ... ça commence seulement à être moins dur avec Agathe et Camille ! 6 enfants tu réalises ? Ça serait de la folie.Et ... Et ? Je ne crois pas que tu voudrais encore revivre une grossesse si ? ... Je... Bon je vais prendre un rendez-vous dès que possible. Mais tu es sûre ? Oui. On vaque chacun à nos occupations ce jour-là, je n’arrête pas de repenser à cette nouvelle.Le soir est bien morne Manon et moi sommes dans nos pensées, elle m’annonce simplement que le rendez-vous sera la semaine prochaine. Nous avons bien du mal à nous endormir, nous retournant sans cesse dans le lit.
