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Sophyann et le mythe de la dame à la licorne

Chapitre 6

Dénouement

Hétéro
Les jours passaient... Dans la journée, Yann accompagnait souvent son père chez les métayers du domaine pour surveiller plantations et récoltes, ou alors ils allaient chez les éleveurs pour renouveler les troupeaux de bovins et d’ovins qui composaient leur cheptel, ou encore acheter des chevaux.
Sophie, elle, secondait sa belle-maman dans les petites réceptions qu’elle donnait.Mais très souvent aussi, ils se retrouvaient tous les deux pour parcourir la forêt avoisinante sur le dos de leurs fringants coursiers. Quand elle était seule, Yann étant retenu par ses obligations, Sophie chevauchait longuement en compagnie de la licorne. Et parfois, elle demandait à Yann, comme la première fois, de l’attendre en un point précis de la forêt pour que lui aussi apprécie de nouveau la beauté et l’élégance du bel animal de légende.
Et le soir, ils se retrouvaient, et c’était pour Sophie de nouvelles découvertes de son corps, de découvertes d’autres voluptés sans fin auxquelles Yann l’initiait avec un grand plaisir. Mais de plus en plus, elle sentait qu’il manquait quelque chose à ce dernier... Un jour que Yann s’était absenté avec son père et qu’elle était restée au château, elle fit venir Éléonore dans sa chambre. Elle avait une entière confiance en elle, et Yann lui avait avoué que c’était la belle servante qui l’avait dépucelé, et que parfois ensuite, il lui avait demandé de partager son lit.
Elle lui confia tout, son entrevue avec la licorne, ses folles chevauchées, ce que cela impliquait sur son couple si elle voulait continuer de la voir, et, sans fausse honte, comment se passaient ses nuits avec Yann.
— Mais que puis-je pour vous, Madame ?— Éléonore... je souhaite que parfois au soir, tu viennes dans notre chambre, et que Yann, après s’être occupé de me faire jouir avec ses mains ou avec ses lèvres puisse, à toi, te faire l’amour, que ce ne soit pas moi qui le fasse jouir avec mes mains ou avec mes lèvres...— Mais ... Madame... devant vous ! Non ! Jamais je n’oserais !— Éléonore, s’il te plaît... je t’en prie !
Et Sophie insista tellement que, bien que réticente, Éléonore finit par accepter.Et au soir, alors que Yann venait de ses lèvres de la faire jouir, alors qu’il s’attendait à ce qu’elle vienne caresser son sexe en feu, il vit Sophie se lever, s’envelopper d’une couverture et se diriger vers la porte de leur chambre... Quelques instants plus tard, elle était de retour, tenant la couverture d’une main tandis que de l’autre, elle tenait la main d’Éléonore qui, tête baissée, s’approcha du grand lit.
— Mais mon cœur, que signifie...— Écoute-moi Yann... je sais que tu aimes beaucoup que mes mains, que mes lèvres s’emploient à te donner du plaisir. Mais je sais aussi que ton sexe en feu réclame parfois une autre forme de jouissance, une jouissance ... que je ne peux lui donner ! Alors j’ai demandé à Éléonore si elle acceptait que, devant moi, tu lui fasses l’amour...— Mais... Sophie... mais... enfin ! Tu n’es pas sérieuse ! Je ne peux faire l’amour à une autre femme, et surtout... devant toi !— Si, mon Yann aimé... je te le demande... à genoux, s’il le faut !
Yann ne savait plus trop que penser. Il est vrai que depuis son mariage, ses jouissances n’avaient été occasionnées uniquement que par les mains ou la bouche de Sophie, et que de plus en plus, il désirait autre chose, et une chose qu’il ne pouvait obtenir qu’avec une autre femme, ce qui revenait à tromper la sienne. Au moins ainsi, Sophie lui donnait l’occasion certes de la tromper, mais devant elle et avec son consentement, ce qui faisait quand même une sérieuse différence !Il saisit alors la main d’Éléonore :
— Et toi... Éléonore... qu’en penses-tu ?
Alors elle releva la tête.
— Moi mon petit maître, je souhaite obéir à ma maîtresse... et je souhaite aussi vous donner toute la tendresse que vous désirez, que vous méritez !
En la remerciant de nouveau, Sophie porta à ses lèvres la main d’une Éléonore toute rougissante.
— Merci ma chère Éléonore... Merci... et déshabille-toi maintenant.
Elle fut bientôt nue et Sophie put voir que sa servante était une très jolie femme et elle comprit qu’elle allait rendre Yann très heureux. Un peu emprunté au début de devoir caresser devant son épouse la belle servante, sous les encouragements de Sophie qui continuait de la caresser, Yann commença de s’occuper d’Éléonore. Et cette dernière qui depuis le temps connaissait tous les points sensibles et les caresses favorites de Yann faisait tout pour le combler. Et puis vint le moment où les deux sexes, bien stimulés par les caresses des deux amants se retrouvèrent face à face...
Et lentement, Sophie vit le sexe de son mari comme happé par celui d’Éléonore...Jusqu’à maintenant, les caresses qu’ils échangeaient devant elle l’avaient laissée un peu indifférente, mais elle ressentit comme une frustration quand elle vit l’éclair de bonheur qui parcourut soudainement les yeux d’Éléonore quand ses lèvres intimes firent disparaître entre elles le sexe de son mari. Et son beau Yann semblait si heureux de posséder ainsi la belle servante qu’elle comprit aussitôt combien cela lui manquait.
Lorsqu’elle vit que Yann commençait à aller et venir à l’intérieur de cet autre sexe, elle sentit qu’elle commençait de mouiller, et ses doigts, pour la première fois trouvèrent la direction de son intimité, qu’elle fouilla en harmonie avec les coups de reins de Yann. Elle ne cessait de regarder les deux visages sur lesquels elle lisait le plus grand des bonheurs. Bonheur qui éclata bientôt dans la gorge d’Éléonore, qui traduisait son plaisir à grands cris.
Jamais elle n’avait crié ainsi, et elle était certaine que, même si Yann avec sa bouche savait lui donner le plus grand des plaisirs, jamais elle n’avait été heureuse comme Éléonore semblait l’être à cet instant. Et puis ce fut l’apothéose de deux corps entraînés dans deux orgasmes spontanés.
Les corps se calmèrent enfin.Sophie aurait bien aimé jouir une nouvelle fois, mais elle ne dit rien. Elle remercia Éléonore, qu’elle raccompagna jusqu’à la porte, la congédiant en posant furtivement ses lèvres sur les siennes, puis elle revint vers le grand lit.
— Alors... tu es heureux ?— Oui Sophie, oui, je suis heureux ! Tu avais raison, j’avais vraiment besoin de jouir... autrement. Et c’était vraiment sublime, même si cela me gênait de faire l’amour devant toi à une autre femme !— Oui, j’ai vu comme tu paraissais heureux de cette étreinte ! Et j’ai vu aussi tout le bonheur qui éclairait le visage d’Éléonore... c’était beau, très beau !
Sur ce, elle éteignit les bougies et, attirant le corps de Yann dans ses bras, elle le laissa s’endormir contre elle.Un peu plus tard dans la nuit, Yann fut réveillé par un petit cri, suivi d’un grand soupir de satisfaction...Ce petit cri c’était celui de Sophie qui, doucement, pour ne pas le réveiller avait commencé de caresser son sexe jusqu’à obtenir une belle érection... Elle avait alors placé son sexe à elle au-dessus du sexe conquérant de Yann, et ce petit cri... avait été le résultat de la petite douleur qui provenait du déchirement de son hymen alors qu’elle laissait coulisser son vagin le long du sexe de Yann...Par la suite, Sophie eut beau parcourir la forêt, soit avec Yann, soit seule, jamais elle ne revit la licorne. Pourtant les deux jeunes gens galopaient toujours aussi souvent, explorant les moindres recoins de la forêt. Et puis un jour, le ventre de Sophie commença de s’arrondir et pour elle, du moins pour un temps, les longues chevauchées furent terminées.
Et quelques mois plus tard, il y eut double naissance au domaine de Ker-Yvon. Si Sophie mit au monde un splendide garçon qui allait perpétuer la lignée des Ker-Yvon, elle avait été précédée de quelques jours par Éléonore qui avait mis au monde une charmante petite fille.Une fille qui, si elle se montre aussi intrépide à cheval que l’était son papa, a toutes les chances, un jour, de croiser la route d’une licorne...
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