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La sorcière Althéa

Chapitre 4

Hétéro
Chapitre 4 : Le passé d’Althéa
Je ne comprendrais jamais rien à la magie. Althéa ne plaisantait pas : il a suffi de coucher avec elle une fois pour qu’elle soit enceinte. Moi qui me faisais plaisir de devoir « essayer » régulièrement… Je me sens tout drôle, la sorcière porte mon enfant. Allez savoir pourquoi, cela me réjouit. Cela m’excite même encore plus les fois suivantes où nous faisons l’amour. Je sais que je ne suis jamais qu’un donneur de sperme pour elle, mais j’aimerais être plus que ça.
  Les mois passent et son ventre s’arrondit, je l’en trouve d’autant plus belle. Elle irradie elle-même d’une aura resplendissante. Elle parait... heureuse et sereine, tout le contraire de son aigreur habituelle. Moi qui pensais que les femmes enceintes étaient plutôt capricieuses et chiantes, elle ne doit pas marcher comme tout le monde.
  Bien que j’aie peur que cela ne soit pas réciproque, j’ai développé de véritables sentiments pour elle. Je n’ose pas le lui dire ne face mais je n’ai plus honte de le penser : je l’aime. La savoir porter mon enfant me donne la sensation qu’elle m’appartient vraiment, que nous sommes un couple, même si je sais au fond que ce n’est qu’une illusion. Cela me fend le cœur. J’aimerais qu’elle s’ouvre plus à moi, qu’elle me parle plus. Peut-être que je ne serais jamais quelqu’un avec qui elle pourra avoir des conversations philosophiques enrichissantes, mais cela ne veut pas dire qu’on ne peut pas partager et vivre quelque chose ensemble. J’ai déjà tenté plusieurs tentatives, mais en vain. Il m’a fallu rivaliser d’astuce pour qu’elle accepte enfin de se confier à moi. J’avais envie d’en savoir plus sur elle, je lui ai demandé d’où elle vient et ce qu’elle a vécu, je commençais à perdre l’espoir d’avoir jamais ces réponses un jour :
— Je sais ce que tu cherches, Galléo, me dit-elle alors que nous sommes blottis dans notre lit. Tu veux encore savoir « pourquoi », je suis comme ça, « pourquoi » je fais ça. — Peux-tu m’en blâmer ?— Tu vas être le père de mon enfant, j’imagine que je te dois bien ça, mais je ne suis pas sûre que tu puisses comprendre.— Essaie, fais-je en lui embrassant l’épaule et en lui caressant le ventre.— Tu ne peux pas savoir ce que c’est d’être une sorcière. À la seconde où les gens savent que tu as des pouvoirs, ils te haïssent, ils te rejettent, ils ont peur de toi. Sous prétexte que des sorcières se sont révélées dangereuses et cruelles dans l’Histoire, ils agissent comme si c’était une fatalité, comme si j’allais forcément devenir comme ça ; mais les pouvoirs en eux-mêmes n’ont rien de mauvais Galléo. — Je le sais, je n’en ai jamais douté.— Vraiment ? Tu le penses malgré tout ce qui est arrivé ? — Oui. Je suis convaincu que tu peux devenir bonne.— C’est trop tard pour moi, je le sais, mais je sais aussi que les choses auraient pu tourner différemment. Je n’étais qu’une gamine quand mes dons se sont manifestés, à partir de là, tout le monde a commencé à prendre ses distances avec moi, même mes propres parents. J’ai fugué à l’âge de quatorze ans après avoir surpris des villageois planifier mon incinération au bucher. Vu comment ma mère et mon père me traitaient comme une étrangère, j’avais la certitude qu’ils ne s’y opposeraient même pas. Je te jure que je n’avais jamais rien fait pour les provoquer. Bien sûr, quelques incidents s’étaient déjà produits car je ne maitrisais pas encore mes pouvoirs, mais je ne leur ai jamais fait volontairement du mal. — Je te crois. Qu’as-tu fait ensuite ? Où es-tu allée ?— J’ai erré çà et là. J’ai vécu comme une gamine des rues. Pour survivre, je me suis associée à des gens peu recommandables qui m’ont faire croire qu’ils m’accepteraient pour ce que je suis. J’étais naïve, il m’a fallu du temps pour me rendre compte qu’ils voulaient surtout m’utiliser pour mes dons. — Tu… les as tous tués ?— Pour qui me prends-tu ?! Je ne peux pas t’en vouloir de croire ça. Non. À l’époque, j’étais différente. Pour sûr, j’en crevais d’envie, mais je ne voulais pas alimenter ses histoires de sorcières maléfiques en m’adonnant à la vengeance. Je suis… simplement partie. J’étais devenue une femme suffisamment grande pour être indépendante. J’ai essayé de m’installer quelque part, avoir une vie normale. C’est là que j’ai connu un homme. Il était gentil, beau, attentionné, j’en suis tombée amoureuse ; mais quand j’ai fait l’erreur d’être honnête avec lui et de lui avouer que j’avais des pouvoirs, il s’est retourné contre moi. Il a appelé à l’aide d’autres villageois pour essayer de m’assassiner. — Tu t’es enfuie ? — Oui, mais pas avant de régler mes comptes. C’était la première fois que je tuais un homme. Un homme à qui l’on confie son cœur et qui le brise ainsi ne mérite pas de vivre. Je n’ai fait mal à personne d’autre, juste à lui. Je ne voulais pas être un monstre. Je n’en étais pas un, pas encore.
  Je ne dis rien, mais je pense que je comprends.

— J’ai cherché à tout recommencer ailleurs, mais malheureusement, vu que je ne vieillis pas, ou presque, je n’ai jamais pu rester très longtemps au même endroit. J’ai… évité les hommes et leurs avances. J’ai évité de trop m’attacher aux gens sachant que j’allais les perdre. Je me suis enfoncée dans la solitude. Tu avais raison l’autre fois, je n’avais besoin au fond que de ça, de me sentir aimée, mais j’avais peur d’être déçue, blessée. — C’est toujours un risque, mais il vaut la peine d’être pris, tu ne trouves pas ? — Moui. C’est sans doute parce que j’y ai cru que je me suis laissée aller. J’ai rencontré un autre homme un jour, plusieurs siècles plus tard. Je me suis attachée, il me voulait mais j’ai toujours pris mes distances avec lui. J’avais peur qu’il découvre ce que je suis vraiment, et les conséquences que cela aurait. Il a fini malgré tout par le savoir, j’étais terrifiée, mais lui… il s’est montré compréhensif, rassurant. Il n’était pas effrayé, au contraire, il voulait plus que jamais être avec moi. Je craignais qu’il ne se moque de moi, qu’il cache quelque chose, qu’il me trahisse, néanmoins j’ai… cédé tout de même à la tentation. — Que t’a-t-il fait ? — Lui ? Rien. Nous nous sommes aimés passionnément pendant des années, je l’ai épousé, nous prévoyions même d’avoir un enfant ; jusqu’à ce que les autres ont su qui j’étais vraiment… — Comment ?— Ce n’est pas important. Le fait est que l’histoire s’est répétée. Les gens se sont montés contre moi et ont cherché à me bruler au bucher. Mon mari a voulu s’interposer. Ils… l’ont tué de sang-froid comme s’il n’était pas un des leurs. — Je suis déçu, je pensais avoir été le premier à prendre ta défense.— Ne te moque pas. Tu as été le premier depuis… que j’ai sombré. Car j’ai sombré ce jour-là. Je suis devenue folle de rage. J’ai laissé libre court à ma colère et je les ai tous tués. Je les ai torturés, je les ai fait souffrir, et j’en ai pris beaucoup de plaisir. Je ne regrette rien de ce que j’ai fait, ils l’avaient mérité, tous !
  Je ne sais pas quoi en penser. Aurais-je réagi différemment ? Elle continue son histoire :
— J’ai erré, j’ai voyagé. J’ai voulu... continuer de croire en l’humanité. Mais tout ce que j’ai découvert en observant m’a répugnée. Si stupide… si pathétique… Si insignifiant… Les générations passent, les technologies évoluent, mais rien ne change vraiment. J’ai essayé encore plusieurs fois de m’intégrer, cela a toujours fini de la même façon. Mais je n’étais plus blessée à ce stade, juste… blasée… — Et c’est là que tu as décidé de… conquérir le monde ? — Non. Je me suis d’abord mise à la recherche d’autres personnes comme moi, d’autres sorcières. Je voulais les aider afin qu’elle ne connaisse pas le même sort que moi, et surtout, je désirais m’entourer de gens capables de me comprendre. Ce fut bon pendant un temps. J’en avais trouvé plusieurs, nous formions une communauté, tout allait pour le mieux, jusqu’à ce que quelqu’un commette une erreur et qu’on apprenne notre existence. C’était il n’y a pas si longtemps, il y a moins d’un siècle. On nous a envoyé l’armée et on nous a massacrées les unes après les autres. J’ai été la seule survivante. Pas parce que je me suis échappée, mais parce que j’étais la plus puissante et que j’ai tué tout le monde.
  Elle me regarde comme une petite fille qui demande pardon :
— J’ai essayé Galléo, j’ai vraiment essayé d’être bonne. Mais quoi que je fasse, cela a toujours fini mal. Le monde n’avait pas de place pour moi, je ne demandais pourtant pas grand-chose. Alors j’ai pris une décision : si le monde n’est pas capable de m’accepter, alors je le changerais, je le façonnerais à mon image. J’en ai eu marre de devoir fuir, me cacher, vivre dans le doute et la peur. Je n’ai pas à avoir honte de ce que je suis ou de mes dons. J’ai embrasé l’image que les gens avaient de moi, et j’ai pris et fait ce que je voulais. Je suis enfin libre, Galléo. Les gens me haïssent toujours, comme ils l’ont toujours fait ; cela ne changera jamais ; mais au moins, je suis libre.
  Je pensais qu’il ne s’agissait que d’une histoire de vengeance, de colère d’une femme blessée, je réalise que c’est un peu plus compliqué que ça. Cela n’excuse pas tout le mal qu’elle a fait, mais je la plains. J’ai envie de lui pardonner. Entendre son histoire me frustre. Je me suis tellement attaché à elle, j’aurais voulu être là afin de pouvoir faire quelque chose pour éviter qu’elle souffre autant. Elle ne méritait pas ça. Elle ne le mérite toujours pas. Je veux croire en elle, qu’elle peut toujours gagner sa rédemption. Je la serre d’autant plus fort dans mes bras.
— Il n’est peut-être pas trop tard pour toi. Tu peux toujours changer les choses en bien. — Et pourquoi je ferais ça ? Vous ne le méritez pas. — C’est vrai, nous ne le méritons pas, mais ce n’est pas la question. Réfléchis Althéa : tu es dans une position unique. Tu as unifié le monde sous ta coupe, tu peux en faire ce que tu veux. Tu peux le changer en bien. Tu n’aimes pas ce que sont les Hommes ? Alors change-les ! Tu peux le faire ! Tu en as le pouvoir ! Tu peux prouver à tout le monde que les sorcières ne sont pas mauvaises de nature et peuvent au contraire faire de grandes choses. Tu pourrais ternir cette image à jamais en marquant les livres d’Histoire. Est-ce que tu te rends compte ?— Vous n’en valez pas la peine. — Tu ne le penses pas, sinon, cela ne te blesserait pas autant d’être si seule et mal aimée. Tu cherches toujours de l’amour, une part de toi seulement y a renoncé. — Je n’ai pas besoin de l’amour des humains. Je retrouverais d’autres sorcières et leur offriraient un monde meilleur. — Mais tu recherches plus que ça, n’est-ce pas ? Ce ne sont pas tes sorcières qui t‘auraient permis d’être mère par exemple. — Qu’est-ce que tu attends de moi à la fin ?!— D’être une bonne dirigeante. De gagner l’amour de tous.— Après ce que j’ai fait ? Ne sois pas naïf, ce n’est plus possible.— Si c’est possible, j’y crois. — Pourquoi ?— Parce que… parce que moi je t’aime. — Tu… tu m’aimes ? — Oui, et ce malgré tout ce qui s’est passé. Si je suis capable de le faire, pourquoi pas les autres ?— Je… je ne sais pas Galléo, j’ai peur. — Peur de quoi ? — D’être déçue, blessée. Les choses finissent toujours mal, pourquoi cela changerait cette fois ?— Parce que je suis là. Je t’aime, je crois en toi.— Tu penses sincèrement tout ce que tu dis ? — Du plus profond de mon cœur. — Moi aussi, je t’aime, et cela me terrifie. — Pourquoi ? — Parce que j’ai peur d’être à nouveau seule. Qu’on t’arrache à moi, ou pire. Si c’est vraiment ce que tu veux, si c’est vraiment ce que tu crois, alors… d’accord… je veux bien essayer, pour toi. Promets-moi juste une chose… — Tout ce que tu veux. — Reste avec moi, ne m’abandonne pas.— Jamais.   Je l’embrasse. Elle est si belle, cela me fait tellement mal de la savoir aussi malheureuse.
— Fais-moi l’amour Galléo, prends-moi. Fais-moi sentir que tu m’aimes vraiment. — Althéa… ma chérie…
  Cela me fait drôle de l’appeler comme ça, c’est tellement… libérateur.   Je me colle à elle et l’embrasse tendrement. Je caresse son corps nu de trentenaire qui me fait tant rêver. Je m’arrête un instant sur ses seins pour les malaxer, puis descends lentement une main vers son entrejambe. Elle frissonne lorsque je touche la première fois son clitoris déjà tout gonflé. J’enfonce deux doigts dans sa chatte et me mets à la fouiller. Je la sens à moi, vraiment à moi. Je ne suis plus son esclave, je suis son homme ; je me dois désormais d’agir en tant que tel.
  Je viens entre ses cuisses et entreprends un cunni. Je me délecte du gout de sa mouille pendant qu’elle gémit. Elle est prête, moi aussi, je bande déjà comme un malade. Je me redresse et pointe mon dard vers son entrée. Je m’insère lentement en elle et démarre mon va-et-vient.
  C’est différent que d’habitude. C’est la première fois que je lui fais vraiment « l’amour ». Non, ce n’est pas vrai, mes sentiments n’ont rien de nouveau et c’était déjà arrivé avant. C’est la première fois que nous le faisons en nous l’avouant, en le partageant. Elle n’a plus à nier qu’elle m’aime et je n’ai plus à nier que je la veux. Son gros ventre avec mon bébé de huit mois à l’intérieur m’excite. Je n’avais jamais vraiment fantasmé sur les femmes enceintes jusque-là, mais savoir que c’est ma femme et mon enfant change la donne. Je la laboure et nous prenons beaucoup de plaisir ensemble.
— Galléo, j’ai envie d’essayer quelque chose avec toi, déclare-t-elle. Quelque chose que je n’ai pas fait depuis très longtemps. — Tout ce que tu voudras. — Tu sais, la magie peut aussi servir à rendre le sexe encore meilleur. Laisse-moi te montrer.
  Houla, j’ai peur tout à coup, la dernière fois qu’elle a utilisé ma magie pendant qu’on baisait, ça ne s’est pas super bien passé. M’enfin, la nature de nos relations n’était pas la même à cette époque.
— Ne t’inquiète pas, cela ne fait pas mal, me rassure-t-elle.
  Je ne l’entends prononcer aucune formule, je ne vois aucun flux magique, et pourtant, tout à coup, quelque chose en moi a changé. Je ressens une sensation nouvelle, j’ai du mal à cerner ce que je c’est. Je crois que je ne suis plus tout à fait seul dans ma tête. Ce n’est pas une présence, c’est autre chose. En tout cas, c’est très agréable.
— Tu le sens ? me demande-t-elle.— Oui ! Mon dieu, mais qu’est-ce que c’est ?!— C’est moi. Ce que je ressens pour toi.
  Oui, oui, c’est très clair à présent. Il y a une connexion entre elle et moi, un partage. Je ressens ce qu’elle ressent. Pas physiquement, je n’ai pas l’impression d’avoir un vagin envahi par ma propre bite, mais mentalement. Je sens son excitation, son envie, son plaisir, et tout cela décuple les miens. C’est fantastique, presque insupportable.
— Ça te plait ? — Oh la vache ! Oui ! — Je te sens moi aussi. Ça marche dans les deux sens.— Oh… Althéa…
    C’est tellement intense. Je plains ceux qui ne connaitront jamais une expérience pareille. On ne peut pas se cacher, on ne peut pas se mentir, on ressent ce que l’autre ressent d’une façon totalement sincère. Nous ne faisons qu’un. Je peux sentir combien elle m’aime, qu’elle tient à moi. Je n’avais aucune idée que ses sentiments à mon égard étaient aussi forts, cela me touche au plus profond de mon âme et fait croitre mon propre amour pour elle.
    J’ai toujours pris plaisir à sentir ma partenaire prendre son pied, et comme manifestement elle aussi, j’ai l’impression que nous alimentons tous les deux une spirale d’extase infinie.
— Prends-moi plus fort. Fais-moi sentir que tu m’aimes.
  Oh, oui ! Je veux le lui faire sentir, le lui faire comprendre. Vu que j’en ai désormais les moyens, j’augmente mon rythme. L’effet est immédiat, nous gémissons de concert. Je viens à la rencontre de ses lèvres, un frisson nous parcoure lorsque nos langues s’entremêlent.
— Althéa… je t’aime ! — Oui, je le sens. J’en veux encore.
  Ce partage est enivrant, tous les amants devraient connaitre cette sensation au moins une fois dans leur vie. C’est tellement bon d’aimer et de se sentir aimer. « Faire l’amour » prend soudainement une tout autre dimension.
— Tu veux sentir combien j’aime lorsque tu m’encules ? me propose-t-elle tout à coup.
  Un peu que je veux !
  Elle se met à quatre pattes. Je lui prépare son petit trou avant de m’enfoncer dedans. Je la prends à bonne cadence. Je me demandais si une femme pouvait vraiment aimer la sodomie, je peux enfin le confirmer, c’est encore meilleur que lorsque je la prenais en missionnaire. Elle en raffole vraiment, c’est dingue. Je deviens un peu plus brutal, je sens effectivement qu’elle aime ça. Je lui donne une fessée, j’en frissonne moi-même. Je la tire par les cheveux, une vague d’euphorie m’envahit.
— Oh, putain, mais t’es vraiment une salope ! fais-je.— Oui ! Oui ! Démonte-moi comme ta chienne !
  Plus je suis violent, plus je prends du plaisir à travers le sien, donc plus cela m’incite à continuer. Chaque chose que je fais pour elle, je le ressens aussi pour moi. En cherchant à la rendre folle, je me rends fou moi-même. Je n’ai jamais rien ressenti d’aussi fort. Un tel plaisir, un tel bonheur.
— Galléo… je vais jouir…— Je sais, fais-je.
  Son orgasme est aussi mon orgasme. Elle se laisse aller, moi, je me retiens un peu ; j’essaie tout du moins. Son désir de jouir est plus fort que le mien d’attendre, du coup, je cède. C’est son sortilège, elle connait les conséquences, elle sait qu’elle ne sera pas seule et que cela va me faire me décharger. Si c’est ce qu’elle veut pour nous deux, pourquoi serais-je assez fou pour lui dire non ?
  Je la lime encore un peu, puis je la sens partir. Enfin, je NOUS sens partir. Le feu qui explose dans son bas-ventre se déclenche en même temps que mes valves qui s’ouvrent. Nous grognons tous les deux de plaisir infini. Je gicle un premier jet de sperme au fond de son anus. Je suis dans un autre univers, j’ai l’impression de perdre connaissance. Elle me fait savoir qu’elle en veut plus, je lui en envoie donc un second. Mes éjaculations sont synchronisées avec ses spasmes. Ce qu’on dit est vrai, l’orgasme féminin est plus intense. Il est plus long aussi, ce qui me fait me vider entièrement mes couilles ; et même après, ma queue continue d’avoir des soubresauts tellement sa jouissance est violente. Notre connexion est toujours présente lorsque nous nous écroulons l’un à côté de l’autre. Waow, quelle expérience ! Je compte bien lui demander de recommencer. C’est le début d’une nouvelle ère de luxure et de plaisir pour nous deux.
  Nous ne parlons pas. Nous n’en avons pas besoin. Nous savons exactement ce que l’autre pense. Non pas par des mots, ni par des pensées, juste par l’échange de nos émotions. Je l’aime, je suis amoureux, elle aussi. Elle me fait partager ce bien-être encore un moment, avant de couper notre lien. Je me sens déprimé tout à coup, je suis de nouveau seul. Je la serre contre moi pour sentir sa chaleur. Je ne veux plus jamais qu’elle s’éloigne de moi.
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