Vanille venait de rentrer chez elle, lorsqu’une voix s’y fait entendre : Bonsoir Vanille. Vanille se figea. Son maître était confortablement installé sur son canapé. Vanille était bouche bée. Comment avait-il fait ? Tu as oublié les bonnes manières ? Toujours aussi perplexe; Vanille se mit aussitôt à genoux, tête baissée; choquée de savoir que son maître pouvait à présent s’immiscer dans sa vie, peu importe l’endroit et l’horaire. Vanille, je suis fier de tes efforts et de ta progression. Tu t’améliores. Prépare-toi, nous sortons au restaurant. Ta tenue t’attend sur ton lit. Vanille était comblée, cela faisait des mois qu’elle s’abandonnait à son maître, dépassant ses peurs et ses doutes, devenant de plus en plus vicieuse, lubrique, obscène... dans l’espoir de recevoir un peu de reconnaissance de lui. Elle se dirigea vers sa chambre. Elle n’en revenait toujours pas : « avait-il fait un double de mes clefs ? » Elle se pinça pour s’assurer qu’elle n’était pas en train de rêver. Elle découvrit sur son lit, les vêtements que son maître lui avait déposés : un bustier noir en dentelle, une longue jupe fendue et une paire d’escarpins vernis. Il n’y avait pas de sous-vêtement, il fallait donc qu’elle reste nue en dessous. Le contact du vêtement contre ses seins fit durcir ses tétons et on distinguait au travers de la dentelle, sa poitrine. Elle revint dans le salon. Tourne-toi Vanille. Cambre-toi. Il releva sa jupe sur ses fesses et sortit un marqueur noir. Il inscrit « Soumise » sur le cul de Vanille, puis il prit un plug dans sa poche et le lubrifia entre les lèvres de Vanille. En présence de son maître, elle était un vrai pot de lubrifiant, toujours trempée avant même qu’il ne la touche. Son maître finit par insérer le plug, court, mais large, dans le cul de Vanille; l’enfonçant d’une traite malgré la résistance de son anus. Tu es prête.
Ils montèrent dans un taxi. Arrivés devant la porte d’un restaurant cosy, son maître sorti et lui ouvrit la portière : Je t’en prie, soumise. Une fois installées, son maître commanda mets et boissons, sans laisser le temps à Vanille de regarder le menu. Il lui servit du vin, et lui posa de multiples questions sur sa vie, ses amis, son travail, mais également sur son évolution et les émotions qu’elle ressentait depuis qu’il était entré dans sa vie. Cela ressemblait plus à un interrogatoire qu’à une discussion, mais Vanille était ravie que son maître s’intéresse à elle. Distrait sur son téléphone, il releva la tête, sourire en coin. Le cul de Vanille se mit à vibrer, des secousses faisaient trembler Vanille de l’intérieur ! Il lui avait inséré un plug vibrant et pouvait le commander depuis son téléphone. Reste concentrée, je t’ai posé une question, dit-il, perçant Vanille de son regard froid et intransigeant. Vanille repris ses esprits, elle vivait des sensations totalement nouvelles, mais ne voulait pas décevoir son maître. Merci maître, depuis que vous êtes dans ma vie... Sans lui laisser le temps de finir sa phrase, il continua : Écarte tes cuisses. Vanille écarta ses cuisses, découvrant totalement son sexe sous la table; son maître décida d’en profiter. Il leva son pied en direction du sexe de Vanille, et frotta sa chaussure contre sa chatte. Le contact du cuir contre son clitoris fit frétiller Vanille, elle oublia totalement où elle se trouvait et elle ne rêvait plus que du sexe de l’homme qui lui faisait endurer mille supplices. Vanille, branle-toi avec ma chaussure. Vanille ne se fit pas prier, enfonçant un peu plus la chaussure de son maître dans sa chatte. Elle brûlait de désir pour lui, n’avait plus qu’une envie que son maître la culbute le plus tôt possible.Il retira sa chaussure, luisante de la mouille de Vanille, de son sexe. Nous partons Vanille, tu es intenable. Dans la rue, Vanille suivait son maître. Il bifurqua dans une ruelle et trouva un petit parc avec un banc peu éclairé. A genoux sur le banc Vanille. Vanille obéit; elle était à genoux face au banc, les mains appuyées contre le dossier. Son maître mit l’intensité de vibration du plug au maximum, sortit son sexe de son pantalon et releva la jupe de Vanille. Il distingua le mot « soumise » sur le cul de Vanille, son sexe durcit encore un peu plus. Ne tenant plus, il la pénétra profondément en restant au fond de sa chatte quelques secondes. Vanille gémit bruyamment, elle était tellement excitée qu’elle ne savait plus où elle était, laissant son corps vivre toutes les sensations que lui faisait vivre son maître. Il attrapa les cheveux de Vanille, lui dégageant l’oreille, et lui glissa : Tu aimes ça petite Salope ? Te faire prendre en pleine ville la nuit ? Sur un banc ? Avec un plug dans le cul et une bite dans la chatte Vanille ? Tu te rends compte à quel point tu es une chienne ? Oui maître, souffla-t-elle. Je sais maître... Son maître resta enfoncé dans sa chatte, sans bouger, pour marquer son emprise sur cette catin. Vanille gémissait d’impatience, elle rêvait que son maître la pénètre brutalement. Maître... Oui Vanille ? S’il vous plaît maître, prenez-moi. Supplie-moi encore Vanille et sois assez éloquente si tu veux être baisée comme la vide couille que tu es. Maître, je vous en supplie, pénétrez-moi; je rêve de votre sexe, vous seul me faites cet effet-là, avec vous je me révèle chienne et salope; plus aucune gêne, juste l’envie d’être baisée comme la dernière des salopes en chaleur. Il enroula son bras autour de Vanille et s’agrippa à ses seins. Dominant, son maître redouble ses coups de reins; baisant Vanille de façon bestiale, il était, lui aussi, excité par le jeu de cette soirée et ne pensait plus qu’à défoncer Vanille, le plus fort possible, afin de jouir enfin sur cette chienne. L’orgasme arrivant, il retourna Vanille, attrapa son clitoris et le branla avec puissance. Le cul toujours vibrant, Vanille jouit d’un orgasme puissant pendant que son maître jouissait également, déversant son sperme chaud sur le visage de Vanille qui léchait délicatement chaque goutte.
