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Sortie en vacances...

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Pendant nos dernières vacances, nous avons réservé un hôtel dans le sud de la France avec de belles installations, spa, piscine, grande chambre avec salle de bain vitrée et surtout proche du centre-ville et de toutes ses animations.
Mon chéri n’aime pas particulièrement les soirées en boîte et aller danser, mais il aime bien m’y accompagner de temps en temps, que nous passions une soirée festive et que je puisse me déchaîner sur la piste de danse. Ce soir-là, nous avions fait un bon petit restaurant et une fois terminé, je l’ai traîné dans une boîte locale qui passait la musique que j’aime. J’ai quarante ans passés, mais j’aime toujours autant me bouger sur de la danse et de la techno.
Nous voici donc dans cette boîte, nous faisons clairement monter la moyenne d’âge, mais peu importe, j’ai envie de m’amuser, nous ne resterons probablement pas jusqu’au bout de la nuit, mais la soirée promet d’être agréable. Nous commandons nos boissons, un cocktail qui nous aimons beaucoup, et prenons place dans un petit recoin proche de la piste de danse. La musique est agréable, mon verre encore plein aux trois quarts, je ne résiste pas à l’envie d’aller danser. A ma grande surprise, mon chéri m’accompagne sans broncher, sans même que j’ai besoin de lui demander. Nous nous bougeons sur la piste, entourés de petits jeunes, filles et garçons. Ils nous regardent bizarrement, mais après tout peu importe, je suis là pour m’amuser.
Après deux ou trois morceaux, je me retrouve seule sur la piste, mon chéri étant parti s’assoir. Il m’observe, son verre à la main, sourire aux lèvres, il aime me voir m’amuser et me déchaîner ainsi. Malgré mon âge, de 15 ou 20 ans de plus que presque tout le monde, je suis rapidement entourée par plusieurs jeunes hommes. Certains tentent de petites approches, mais je les congédie simplement, je suis venue m’amuser. Je dois bien dire cependant que le fait d’être ainsi courtisée me flatte et provoque en moi un petit émoi. Je retourne voir mon homme, pour me désaltérer et me reposer un peu !
Il me fait remarquer qu’il a bien vu le petit jeu de ces minets autour de moi et que nombre d’entre eux seraient certainement contents d’avoir mes faveurs. Libertine dans l’âme, leur manège ne me choque pas, bien au contraire. Je demande alors à mon homme s’il aimerait que je trouve une cible pour nous amuser. Il me donne son feu vert en me disant que s’il y en a un qui me tape dans l’œil, pourquoi pas profiter des vacances et lui proposer de passer la soirée et pourquoi pas la nuit avec nous.
Cette petite discussion termine de faire monter mon émoi, musique, alcool et sexe, voilà une combinaison bien sympathique pour passer de bons moments. Désaltérés, nous retournons danser un peu et comme tout à l’heure, je me retrouve seule sur la piste au bout de quelques morceaux. Plusieurs garçons, à leurs âges, j’ai du mal à dire « hommes », s’approchent de moi sans tarder. Certains, juste pour danser, sans tenter quoi que ce soit, d’autres plus tactiles et proches profites du prétexte musical afin d’effleurer mes courbes. Ça m’amuse, m’émoustille, mais je ne suis pas encore réellement excitée au point de choisir une cible.
Puis un brun ténébreux s’approche, l’aire de rien de moi, il me toise du regard, des pieds à la tête, semble apprécier ma robe qui volète sur mon corps et mon décolleté, qui sans être trop plongeant laisse entrevoir ma poitrine que j’aime mettre en valeur. Il se rapproche de moi, je n’y fais pas trop attention, puis il se retrouve derrière, presque collé à mes fesses et commence à glisser ses mains sur mes flancs. Consciente du caractère assez explicite de cette démarche, je jette un coup d’œil à mon chéri qui ne me quitte pas des yeux. Il lève son verre à mon attention, l’air de trinquer à distance, signe de son approbation. Je continue donc de me trémousser sans donner de signe d’arrêt à ce jeune homme entreprenant et qui sait très bien danser.
Je me retourne vers lui à la faveur d’un zouk, sa jambe passe entre les miennes et nous dansons ainsi collés serrés. Je me glisse sensuellement contre lui, le regardant droit dans les yeux. Il continue de glisser ses mains sur le tissu de ma robe légère, puis glisse l’une d’elle dans mon dos, à moitié sur mes fesses et colle mon bassin au sien. Je sens que je lui fais manifestement de l’effet. Il tente de m’embrasser, mais je me dérobe. Il n’a pas l’air de comprendre. Je m’approche de lui alors et je lui propose d’aller s’assoir histoire de boire un coup et discuter un peu. Il accepte et tente de m’entraîner à sa suite, mais je lui dis que j’ai déjà une table et un verre. Il me suit alors.
Je m’assieds tout contre mon chéri et lui propose de prendre un petit pouf pour s’assoir en face de nous. L’espace est tel que nos jambes sont entremêlées. Mon invité ne semble pas comprendre ce qu’il se passe, il n’ose pas prendre la parole, mais je vois des dizaines de questions défiler dans ses yeux. Est-ce un traquenard, est-ce son mari, son frère, un ami... ? Je me décide à lui expliquer. Je me penche vers lui, lui offrant au passage une vue imprenable sur mon décolleté, et lui explique que je suis ici avec mon compagnon. Puis je pose une main sur sa cuisse, embrasse mon homme avant de lui dire que nous sommes un couple du genre partageur, qu’il n’a pas à s’en faire.
L’atmosphère se détend immédiatement, il va commander à boire et revient s’assoir avec nous en se collant au passage un peu plus à moi. Nous parlons de tout et de rien, étrangement, bien que la situation ne laisse aucun doute sur le but final de cette soirée, nous ne parlons pas de sexe. Mon chéri glisse sa main sur ma cuisse droite, légèrement sous le tissu de ma robe, notre invité en fait de même sur ma cuisse gauche. J’aime être ainsi le centre des attentions. Je vois plusieurs personnes, dansant ou passant simplement à côté de nous, nous regarder bizarrement. Je m’en amuse, je suis en vacances, je m’en fiche bien de ce qu’ils peuvent penser.
Nous retournons tous les trois danser, nos cocktails contribuant à franchement détendre l’atmosphère je bouge mon corps de manière sensuelle, alternativement contre mon homme et contre Antoine, notre invité. D’ailleurs, ses caresses sont également de plus en plus directes, il n’hésite pas à me caresser franchement les fesses, ou glisser ses mains sur mon bas-ventre lorsqu’il danse contre moi dans mon dos. Je le sens, physiquement comme dans ses gestes, assez excité. Pour tout dire, je commence à être aussi franchement excitée. Habituée des lieux libertins, je laisserais bien tomber ma robe pour nous laisser aller, mais ça n’est pas possible ici. Je me tourne alors vers mon chéri, lui demande de rentrer à l’hôtel avec Antoine. Il accepte sans hésiter en m’embrassant et en empoignant mes fesses à pleine main. Lui aussi semble bien excité.
Je demande à Antoine s’il n’a rien de prévu pour le reste de la soirée, il n’est que trois heures du matin, mais j’ai envie de rentrer à l’hôtel. Il me dit qu’il est venu avec des amis, qu’il doit les prévenir, mais qu’il est tout à nous, un grand sourire se dessinant sur son visage.
Dix minutes plus tard, nous voilà sur le parking, la boîte est à 15 minutes en voiture de notre hôtel. Avant de monter à bord, j’embrasse goulûment mon chéri, tâtant son entrejambe, bien dure, puis j’attire notre invité afin de lui faire subir le même traitement pendant que mon chéri me caresse les fesses.
Le contact des lèvres d’Antoine est doux et viril à la foi. Je le sens terriblement excité, mais hésitant, ça doit être la première fois qu’il a le droit à une telle opportunité. Je décide de monter à l’arrière, à ses côtés, afin de le détendre un peu pendant le trajet.
Je me glisse contre lui, je jette un regard coquin à mon chéri dans le rétro central. Je glisse ma main entre les jambes de notre partenaire et l’invite à glisser la sienne dans mon décolleté. Nous nous embrassons à pleine bouche, sous le regard attentif de mon homme nous conduisant vers notre chambre, et la promesse d’une soirée de luxure. Antoine s’enhardit, sa main glisse maintenant entre mes cuisses, il me titille à travers le tissu de mon tanga, j’adore. Il m’excite, je suis trempée et je pense qu’il peut le sentir sur l’étoffe qui doit être bien humide. La tension monte, je veux que cet instant devienne sexuel, bestial presque. Je remonte alors mon pied contre le dossier du siège avant, écartant ainsi les jambes, donnant non seulement à Antoine le complet accès à mon intimité, et à mon chéri la possibilité de ne pas en perdre une miette.
Il ralenti d’ailleurs afin de pouvoir de temps en temps tourner la tête pour ne rien louper des doigts de cet homme qui glissent voluptueusement sur le tissu recouvrant mon antre du plaisir.
Une main entre mes cuisses, une autre sur ma poitrine, sa bouche sur la mienne, première occasion de ce genre ou pas, il sait me donner du plaisir.
La voiture s’emplit de gémissement, d’une main, je défais sa ceinture de pantalon afin de glisser ma main sur son boxer et de tâter enfin ce qui est devenu l’objet de toutes mes envies. Il a l’air de bonne taille, je sens que je vais passer un excellent moment. Je le caresse doucement, à travers le tissu comme lui. Je sens une main de mon homme se glisser sur mon mollet pendant qu’il conduit, je suis dans un état second, excitée comme rarement.
Nous voilà arrivés, nous remettons nos tenues en ordre afin de rentrer dans l’hôtel. A cette heure-ci, il ne doit plus y avoir grand monde, mais tout de même, le veilleur de nuit doit être présent. Déjà qu’il va nous voir passer à trois, si en plus nous sommes débraillés, cela manque de classe. Finalement il n’y a personne, nous arrivons dans la chambre en toute discrétion. Je n’en peux déjà plus. A peine la porte refermée, je laisse tomber ma robe à mes pieds, retire mon soutien-gorge et, l’air coquin, je regarde Antoine et l’invite à me suivre dans la salle de bain. Je préfère toujours une bonne douche avant de coquiner, que ce soit pour moi ou mes amants.
Je le vois, l’air interdit, ne me quittant pourtant pas des yeux. Mon chéri s’approche de lui et l’encourage à me rejoindre. Ses vêtements rejoignent alors le sol, puis il arrive dans la salle de bain toute vitrée, nu, comme moi et déjà passablement excité. Son engin est de belle taille, comme je les aime. Il ressemble assez à mon chéri sur ce point, mais son corp, l’âge aidant, est bien plus ferme et musclé. Dès qu’il s’approche de moi, je l’embrasse et glisse ma main sur sa tige qui termine de durcir entre mes doigts. L’eau coule sur nos corps et je vois mon chéri, nu également, allongé sur le lit en train de m’observer jouer avec notre invité.
Antoine prend de l’assurance, peut-être aidé par le fait d’être seul avec moi pour le moment. Ses doigts glissent entre mes jambes, s’aventurent entre mes lèvres et ne tardent pas à glisser, enfin, en moi. Je me pends presque à son cou, gémissant au rythme des va-et-vient de ses doigts dans ma petite chatte maintenant détrempée. J’adore. J’ai envie de le goûter, de le sentir de ma langue, d’aspirer son gland.
Je me recule alors un peu, et me penche en avant afin d’accéder à ce bonbon rose, tendu et gonflé sous l’effet de nos caresses. Du bout de la langue, j’effleure sa tige de chair, il caresse ma tête délicatement, appréciant manifestement mon art. Puis, doucement, je gobe son gland, l’aspire en creusant les joues. Je ne vais pas plus loin pour le moment, cette mise en bouche, délicieuse, est exactement ce que je recherche.
Il me caresse le dos, l’eau ruisselle sur nos peaux. De petits coups de bassin me font comprendre qu’il a envie de profiter plus de la chaleur de ma bouche. Pourtant, pour l’exciter plus, je le retire et lèche cette belle queue de sa base jusqu’au bout de ce gland gonflé. J’aime jouer avec le désir des hommes, encore plus lorsque je sais que mon chéri regarde et en profite.
Je le savais voyeur, aimant me voir jouer avec d’autres, mais c’est la première fois qu’il le fait de si loin. D’habitude, il reste à portée de main pour me caresser, et participer dès qu’il le souhaite. Je suis un peu déstabilisée, mais très excitée par la situation.
Antoine se penche pour me caresser la poitrine, c’est agréable... je me relève, l’embrasse à pleine bouche et me retourne contre lui. Je cale sa belle tige bien entre mes fesses et j’entame de petit mouvements, lents, au fur et à mesure que ses mains parcourent mon corps. Mons cou, mes seins, mon ventre, ma chatte... Ses doigts, curieux et agiles, me donne beaucoup de plaisir. La tension monte.
Je me penche en avant et commence littéralement à le masturber avec mon cul. Je l’entends gémir de plaisir, tout comme moi, si nous n’étions pas sous la douche, je crois qu’on pourrait voir que je dégouline de plaisir.
Mon homme nous rejoins, enfin, sous la douche. Il bande comme un âne, il aime ce qu’il voit. Aussi tôt, j’attrape son sexe pour le sucer, quel délice ! Il ne cesse de me surprendre, il tend un préservatif à Antoine, puis nous suggère d’aller dans la chambre pendant qu’il se douche.
Je l’embrasse, lui chuchote combien je l’aime : « Je t’aime mon amour, tu aimes me regarder, je vais t’en donner pour tout le plaisir que tu veux, rejoins-nous quand bon il te semblera, je suis toute à toi... »
Il me sourit, m’attrape une fesse : « C’est si bon de te voir te faire baiser, ça m’excite à mort, surtout que je sais que ça n’est qu’une mise en bouche avant de te rejoindre, va vite, Antoine va exploser sinon ! »
Moi aussi je meurs d’envie de sentir sa colonne de chair écarter le miennes et venir prendre pleinement possession de mon intimité, tellement que je n’ai pas envie d’attendre d’être sur le lit. Autant pas désir que volonté d’offrir une belle scène à mon homme. J’attire Mon amant de la soirée vers le lavabo qui a une vue directe sur la douche, je lui demande de se couvrir. Je m’assieds sur le meuble de la vasque, écarte largement les jambes et m’offre à lui sous les yeux de l’homme qui partage ma vie. Il ne faut qu’une faible pression à Antoine pour que son gland écarte mes lèvres et me pénètre enfin. Je le sens glisser en moi doucement, écarteler ma petite chatte dégoulinante, puis enfin, son bassin contre le mien, je le sens bien au fond de mon intimité.
Je me penche en arrière, puis lui demande d’y aller doucement pour commencer, je regarde sa queue entrer et sortir de moi, ça m’excite encore plus, puis je tourne la tête vers mon homme. Le voir me regarder ainsi, le sexe droit comme un « I », pendant qu’Antoine me baise, cette scène, dont je prends seulement conscience, déclenche en moi mon premier orgasme. Je gémis fort, et me contracte sur ce glaive qui me pourfend. Je m’oriente autant que possible pour que mon chéri puisse admirer la scène sans en perdre une miette, je me sens chienne, j’aime ça.
Je descends de mon perchoir pour me faire prendre en levrette, comme je préfère, face au miroir de la salle de bain. Antoine pose ses mains sur mes hanches pose son gland tout contre moi et d’un coup bien sec s’enfonce totalement. C’est bon... Face au miroir, je le vois me besogner, ma poitrine qui se balance, ma bouche qui s’ouvre en silence sous l’effet du plaisir, et surtout je sens sa belle queue, coulisser encore et encore en moi. Mes jambes et mes bras deviennent cotonneux tellement c’est bon. Pour conserver des forces, je pose ma tête sur mes bras, ce qui a pour effet mécanique d’offrir à mon bienfaiteur une vue imprenable sur mon cul.
Je l’entends gémir, me souffler des compliments et donner toute son énergie à mon plaisir et au sien. Mon homme s’approche, se penche pour m’embrasser. Sa main glisse dans mon dos, et son doigt humide vient titiller mon œillet qui palpite sur les coups de reins de notre invité. Quand il se relève, j’attrape sa queue et le suce enfin à nouveau, j’adore être ainsi prise et sucer en même temps, ça m’excite... bien qu’il soit difficile de l’être plus que je ne le suis actuellement.
Mon chéri me connaît parfaitement, il profite un petit instant de ce moment, puis voyant que je suis au bout de mon énergie pour rester debout, il dit à Antoine qu’il ferait mieux de m’emmener sur le lit.
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