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Sortie en vacances...

Chapitre 2

découverte de nouveaux plaisirs

Avec plusieurs hommes
Je titube doucement vers le lit et je m’y jette, allongée sur le ventre. Je suis suivie de notre invité, et mon homme prend place sur le fauteuil au pied du lit. Antoine s’allonge sur moi, je pourrais être écrasée sous son poids, mais il fait attention en s’appuyant sur ses avant-bras. Son sexe glisse entre mes fesses, j’aime cette sensation. C’est plus agréable peau contre peau, qu’avec ce préservatif, mais il n’y a qu’avec mon homme qu’on reste au naturel.
Je relève doucement ma croupe pour faire comprendre à mon amant que j’ai de nouveau envie de sa queue en moi. Il prend de nouveau possession de ma grotte de plaisir, doucement, mais sûrement, il me pénètre pleinement. Ainsi allongée, les jambes légèrement écartées, je n’ai rien d’autre à faire que de profiter du plaisir qui m’est donné. Je tourne la tête vers mon homme, l’amour de ma vie. Je le vois me regarder, un sourire illumine son visage, sa queue est tendue. Il m’observe me faire prendre, le corps agité des coups de reins d’Antoine. Je suis si excitée, j’ai envie de lui offrir un spectacle plus érotique encore, de m’exhiber pour lui.
Je demande alors à mon bienfaiteur de s’allonger sur le dos, et je viens m’embrocher sur lui. Je me penche bien en avant, ma poitrine contre son torse musclé, non seulement pour qu’il puisse me lécher les seins, mais surtout pour permettre à mon chéri une vue imprenable sur ma chatte qui aspire cette tige bien dure. J’ondule du bassin, à la limite de faire sortir cet engin de mon intimité avant de me replaquer contre lui et de l’aspirer totalement en moi. Je sais que mon homme aime ça, doucement, je le vois se masturber en nous regardant. A nouveau, je me sens chienne, presque salope, mais de manière positive. La femme qui assume ses envies, ses amants, ses besoins. Je me lâche de plus en plus. De mes plaisirs naissent les siens, des siens les miens, c’est un cercle vertueux délicieux que celui de la luxure.
Mon chéri se rapproche doucement, il s’allonge nonchalamment sur le lit la tête à quelques centimètres de cette queue qui me donne tant de plaisir. Il a une vue imprenable sur ma petite chatte toute lisse, bien écartée et pénétrée par cet engin délicieux. Il ne perd pas une miette de mes ondulations de bassin. Sa main caresse à nouveau mes fesses délicatement, son index passe de temps en temps sur mon petit œillet, mais sans insistance, il ne fait que l’effleurer, ce qui m’électrise ! Je gémis de plus en plus, et je sens mon plaisir qui dégouline sur la queue d’Antoine.
Je veux en offrir plus encore, je veux que ces moments restent gravés dans nos mémoires à tous les trois, mais surtout à mon homme et moi.
Alors je me redresse, et me retourne, toujours empalée sur cette queue, pour tourner le dos à Antoine, les jambes largement écartées face à mon chéri. Son visage s’illumine de plaisir, j’ondule toujours mon bassin et mon amant lui aussi me donne des coups de reins de temps en temps. Mon amour se lève sur le lit et m’offre sa queue à sucer, que c’est bon ! Puis il se penche vers moi pour me dire : « j’ai envie de te lécher, ça te dit ? »
— Pendant qu’il me prend ? — Oui, j’en meurs d’envie, tu es si belle que j’ai envie que ton plaisir soit maximal, je veux boire à ta fontaine et peut-être goûter à ton partenaire....
Ces mots en suspend raisonnent encore dans mon esprit aujourd’hui. Je sais que c’est à cet instant que nous avons passé un cap. Délicieux, grandiose, divin...
— Oui, tout ce que tu veux, c’est tellement bon, que je veux qu’on le partage ensemble.
Nous consultons rapidement Antoine du regard, qui a bien entendu nos échanges, il nous dit de nous laisser aller aux plaisirs.Mon homme descend sa tête entre mes jambes, que c’est excitant de le voir. Doucement, c’est mon bouton du plaisir qui a le droit à ses premiers coups de langue. Cette vue me fait dégouliner de plaisir, mon côté fontaine ressort...
Puis il descend sur ma chatte, léchant également inévitablement la queue d’Antoine. Ils semblent aimer tous les deux, en tout cas, moi j’adore. Mon chéri descend encore plus bas, c’est maintenant les bourses de mon amant qu’il lèche, un doigt caressant mon clitoris. J’ai l’impression que je vais exploser de plaisir. Je décide alors de lui permettre d’aller plus loin dans son exploration.
Je me retire doucement, libérant cet engin, je recule mon bassin sur la bouche de mon amant pour lui permettre de lécher ma chatte dégoulinante, puis, j’empoigne sa tige, retire sa protection de latex et commence doucement à le lécher, mes doigts l’encerclant doucement au-dessus des couilles. Mais je n’y vais que du bout de la langue, mon chéri n’a pas bougé. Et il est toujours à quelques centimètres de ce chibre. Je le regarde dans les yeux.
— Vas-y, à toi, goûte.
En silence, il approche sa bouche, lèche d’abord doucement le gland, puis la tige, pour enfin aspirer le tout entre ses lèvres... A ma grande surprise, cette vision m’excite comme rarement, j’enchaîne les sommets, chaque instant étant plus magique que le précédent.
C’est le moment qu’Antoine choisit pour enfoncer deux ou trois doigts en moi, à cet instant, je suis incapable de compter, tout en me léchant goulûment le clito et un autre doigt se fait de plus en plus insistant sur mon petit trou qui finit par s’ouvrir afin d’accueillir une première phalange... Je sens que je ne vais pas tarder à réveiller tout l’étage de l’hôtel de mes cris de plaisir, s’ils continuent tous les deux à m’offrir ainsi autant de plaisir, physique comme intellectuel...
Mon chéri et moi nous affairons à sucer à tour de rôle cette belle pièce bien dure et tendue, tandis qu’Antoine me doigte délicieusement, je ne sais pas combien de doigts il a enfoncés dans lequel de mes orifices, mais c’est délicieux !
Mais maintenant, c’est de la queue de mon homme dont j’ai envie, je lui demande de s’allonger sur le dos, et c’est sur lui que je m’empale en quelques secondes... Que c’est bon ! Il est taillé pour moi, il m’emplit totalement, me possède et comble ma chatte comme personne. Je me penche vers lui, l’embrasse à pleine bouche, nous partageons le goût de la queue d’Antoine.
Il est d’ailleurs allongé à côté de nous et nous observe, interrogateur. Je lui dis de se couvrir et de venir derrière moi, je le veux en même temps, je veux être pleine, comblée, prise par ces deux étalons hors pair. Il sourit, et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je sens la pression de son gland sur mon œillet dilaté.
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