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Au sortir de l'ascenseur avec June

Chapitre unique

Baise au sortir de l’ascenseur, une chaude après-midi d’été.

Hétéro
J’ouvre la porte de l’ascenseur en la poussant du pied. Je tiens June par la main gauche, ma main droite sort à peine de sa culotte. En nous pressant jusqu’à mon appartement, je porte les doigts à mon nez pour respirer l’odeur de sa chatte. Odeurs âcres de sueur, de pisse et de mouille mêlées. Pendant que je cherche les clés, June n’est pas sage, m’embrasse dans le cou, frotte son mont de Vénus à mon cul, glisse son genou entre mes cuisses, passe ses mains sous mon tee-shirt pour caresser mes obliques, puis remonte jusqu’à mes pectoraux. Pendant qu’elle m’embrasse, je respire son parfum frais, agrumes, fleurs blanches, des fragrances d’été.
La clé s’insère enfin dans la serrure et j’ouvre d’un coup sec, me précipite à l’intérieur en tirant June par la main. Contre la porte qui vient de claquer, je l’embrasse, mon sexe dur contre son ventre. Elle me paraît grande aujourd’hui, perchée sur des hauts talons. Je parcours sa bouche, goûte sa langue, joue avec ses lèvres fines. Ses longs cheveux de jais volent de tous côtés. Plus bas, je glisse mes mains sous sa courte jupe rouge volante, remontant le long de ses cuisses jusqu’à sa culotte blanche. Mes doigts s’aventurent sous les empiétements puis saisissent ses fesses douces. Elle se frotte à mon sexe, pousse son cul contre mes mains. Je glisse sous son top que je relève. Elle ne porte pas de soutien-gorge, me laisse tâter ses jolis petits seins.
Brusquement, je recule d’un pas. Appuyée contre la porte, cheveux en bataille, bouche entrouverte, poitrine à l’air, chaîne en or au pied droit, June est magnifique, sensuelle, prête à baiser. Elle me fixe de ses yeux en amande. Je lui tends la main et elle vient vers moi, tente de m’attraper, mais je pivote, la saisis par le poignet et nous transporte jusqu’au canapé du salon. Là, je la retourne et toujours debout la bascule, ventre contre le dossier tapissé de jacquards, de laine et lin, ocres et beiges, cognacs chauds. Elle voit immédiatement où je veux en venir, sent ce qui va arriver. Je trousse sa jupe, abaisse sa culotte jusqu’à mi-cuisse. Je colle mon érection contre ses magnifiques fesses nues, qui frissonnent d’envie. Échauffée par la promesse de ce que je présente déjà à son cul, June implore :
— Loup... Oui comme ça, Loup...
Je déboutonne mon jean, puis en extrais ma queue déjà bien raide, un vrai piquet. June se tourne, cherche à voir mon sexe, tressaille quand elle sent mon majeur s’aventurer entre ses cuisses maintenues serrées. Pendant que mon doigt vient caresser son clitoris, je tapote ma grosse queue sur sa fesse droite, pour lui faire sentir ce qui l’attend. En attendant, elle enlève à la hâte son haut. Mon doigt s’introduit par le bas de sa vulve, ne rencontre qu’une onctueuse crème chaude, encouragement à aller plus avant. June est excitée, trempée. Elle me lâche des regards fiévreux, elle est en chaleur, elle veut ma queue, m’offre sa vulve fendue, son cul bien en arrière, dos cambré. Je décide d’abréger son attente, retire mon doigt que je suce. Goût bestial de baise d’après-midi d’été. Je pousse en elle ma verge bien dure ornée par mon gland dardé qui, quand il passe entre les petites lèvres étroites et excitées de June, décalotte immédiatement.
La culotte baissée, cuisses serrées, elle sent ma queue s’insinuer, envahir son vagin. Dans l’effort, elle souffle :
— Loup c’est gros... C’est trop gros...
Mes mains vont de sa taille à ses fesses. Je progresse facilement, ses chairs s’écartent pour me laisser entrer. Je pousse plus fort, plus profond. June se mord la lèvre inférieure, ne peut écarter ses cuisses serrées, elle aimerait pourtant, elle en meurt d’envie. Je suis aussi à l’étroit dans sa chatte, mais je glisse pourtant jusqu’au fond. Mon bassin est au contact de ses fesses soyeuses. Je multiplie les allers-retours dans son vagin. Mes mains vont de ses hanches à ses fesses, que j’écarte sans gêne pour admirer son petit anus rose. June se redresse, s’accroche au bord du canapé. Elle m’agrippe les flancs, son bracelet torsadé d’ivoire et or est froid contre ma peau. Je lui attrape les seins, caresse ses tétons durs, les fais rouler sous mes doigts. J’imagine les pinces avec lesquelles les torturer. Je lui chuchote à l’oreille :
— T’as envie que je te libère ? T’as envie d’écarter tes cuisses pour moi ?
Elle crie presque :
— Oui, je veux, oui !
J’extrais ma bite de son ventre et me baisse immédiatement. En quelques secondes, sa culotte est au sol, je lui embrasse le cul qui sent fort, qui sent la baise, qui sent l’effort. Je l’aide à faire passer ses talons hors du sous-vêtement, et de retour à sa hauteur, me glisse entre ses longues jambes fuselées, écartées en v, puis replonge dans son vagin. Ma queue retrouve ainsi la chaleur moite et mielleuse de sa chatte. Fendue bien plus largement, sa vulve laisse s’enfoncer mon sexe encore plus loin. Je ne lâche pas son cul, glisse parfois une main jusqu’à sa nuque que je saisis après avoir rejeté ses longs cheveux ténébreux sur un côté. June ahane sous mes coups de boutoir, je sens des frissons parcourir sa peau. Je retrousse souvent sa jupe que mes coups de reins ont tendance à faire retomber. Je soutiens son ventre d’une main, lui caresse l’anus d’un doigt lubrifié par sa propre mouille tout en la percutant.
La semaine dernière par jeu, elle est était venue jusqu’à chez moi, un plug dans le cul. Elle m’avait invité à le retirer moi-même pour jouir ensuite de l’espace ainsi créé. J’avais passé près d’une heure à la sodomiser avant d’enfin, brusquement, sexe enfoncé jusqu’à la garde, lui fourrer de semence son rectum à grands jets. Elle m’avait laissé me vider en elle, détendue, attentive, ma main caressante collée à sa joue.
Les jambes largement écartées, June m’encourage à jouir, parle du plaisir que lui procure ma longue queue, crie, râle, me griffe un peu. Je continue à aller et venir en elle, collé à ses fesses que je percute durement. Mes bracelets de pierre et d’argent s’entrechoquent à chaque coup contre son cul. D’invisibles gouttelettes perlent sur la peau dorée de son dos lorsque mes mains partant de ses reins remontent jusqu’à ses épaules que je saisis pour mieux l’embrocher. Ne tenant plus debout, en appui sur le dos du canapé, les bras enfoncés dans l’assise, June me supplie de jouir, elle le veut, elle a besoin de me sentir venir. Rien n’est plus excitant que ses suppliques. Et c’est alors que, monté sur la pointe des pieds, collé à son cul que je malmène, je pousse une ultime fois. Toute la frustration accumulée d’avoir dû attendre de rentrer pour baiser alors qu’elle me provoquait semble fondre, disparaître, lorsque mon orgasme propulse en elle le sperme brûlant témoin de ma jouissance.
Elle crie qu’elle me sent venir, la remplir. Je crie son prénom. Plaisir indescriptible. Mon sexe se vide par à-coup, par spasme, et je m’agrippe à ses hanches, à son cul tout en la remplissant. Je vois des étoiles. Les contractions dans mon bas-ventre continuent encore quelques secondes pendant lesquelles June, lascive, absorbe mon contentement. Enfin, je me retire, aide la jeune femme à se retourner pour l’embrasser. Elle s’assied sur le dos du canapé, m’enserre de ses longues jambes hâlées. Je lui murmure :
— J’ai encore envie.— Moi aussi, mais là t’es tout mou et je sue. En plus je fous du sperme partout... Je vais aller me laver.
En prononçant cette phrase, June me regarde dans les yeux, les lèvres ornées d’un sourire amoureux. Elle m’embrasse ensuite tendrement, puis s’éloigne et prend la direction de la salle de bain. Sa jupe froissée est retombée sur ses belles fesses, mais je les devine, derrière le tissu léger. Je me plais à imaginer sa vulve ensemencée, ses cuisses souillées. Je reboutonne mon pantalon, avant d’y glisser mon tee-shirt tout en m’approchant de la cave à vin pour choisir une bouteille. Entre Ciel et Terre. Le nom est de circonstance, j’ouvre ce champagne et me sers un verre, en attendant le retour de ma bien-aimée. Et alors que j’entends couler l’eau de la douche, confortablement installé dans le canapé, un verre à la main, le regard perdu dans la demi-obscurité, je me plais à concevoir entre deux gorgées de vin ce que June et moi ferons du reste de cette journée.
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