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Souffre-douleur

Chapitre 1

Trash
J’avais seize ans quand Maman s’est remariée avec Frédéric. Elle le connaissait depuis un peu plus d’un an et il prenait soin d’elle mieux que Papa ne l’avait jamais fait avant de s’enfuir lâchement quatre ans plus tôt.
Contrairement à plusieurs copines dans la même situation j’avais accueilli mon beau-père à bras ouverts. Il avait su me montrer de l’attention et de l’intérêt dès nos premiers contacts et nous nous étions immédiatement bien entendus; Il savait à quel point cela simplifiait ses relations avec ma mère alors il était aux petits soins avec moi: généreux, gentil, il prenait même ma défense quand ma mère m’engueulait. Il était le père que j’aurais voulu avoir, tout simplement.
Cette impression était tellement forte que parfois j’en oubliais que la génétique ne nous liait pas. Il m’arrivait de m’asseoir sur ses genoux ou de me blottir contre lui et même s’il n’a jamais réagi de manière inappropriée j’en faisais sans doute un peu trop.
J’étais heureuse, j’avais une famille stable et saine pour la première fois de ma vie; Quant à ma mère, elle avait retrouvé sa joie de vivre longtemps perdue. Le lycée a passé dans ce complet bonheur puis je suis entrée à la fac. Pour ma spécialité, les langues étrangères, je pouvais continuer à habiter à la maison et me rendre à l’université en moins de quarante minutes. J’avais moins d’indépendance qu’en habitant à la cité universitaire mais j’évitais à Frédéric de devoir me payer un loyer. C’était le moins que je pouvais faire pour lui qui m’avait déjà offert le permis et une voiture les mois précédents.Et puis pour être honnête, l’idée de me laisser chouchouter encore un peu ne me déplaisait pas. Il serait bien temps de devenir une vraie adulte dans trois ou quatre ans.
J’ai fêté mes dix-huit ans en août et j’ai démarré les cours en Octobre. Trois semaines plus tard, Maman devait partir pour quinze jours en stage au siège de l’entreprise qui l’employait. C’était la dernière étape avant de devenir cadre, elle était ravie.Frédéric nous a invitées dans un très bon restaurant pour célébrer cela et féliciter sa femme d’un tel succès. Il l’avait toujours encouragée et soutenue; Cela ne lui serait pas venu à l’esprit de lui reprocher de l’abandonner deux semaines durant. C’était vraiment le mari idéal, j’étais contente pour Maman... et un peu aussi pour moi qui pouvait profiter de leur foyer sans nuage.
Frédéric a emmené ma mère prendre son avion pour Copenhague le samedi et il est revenu de l’aéroport en ayant un peu la larme à l’œil. J’ai trouvé cela mignon mais déjà il était temps que je sorte rejoindre mes copines Clara et Anne pour aller faire les boutiques et prendre un apéritif dans un café branché.Par acquis de conscience j’ai lancé un "Ça va ? T’es sûr que tu ne veux pas que je reste avec toi ?Pap’ comme je l’appelais parfois m’a dit que j’étais adorable et il m’a tendu 200 euros avant de m’encourager à partir.— "Amuse-toi, puce. Je vais ranger un peu et regarder le foot".
J’ai acheté une robe, des collants et une ceinture en chambrant mes copines qui contrairement à moi n’avaient pas "le beau-père le plus top de l’univers".
Nous sommes restées au bar jusqu’à vingt-deux heures après que trois amis de Clara nous aient rejoints puis je me suis éclipsée lorsque l’un d’eux est devenu trop pressant. Je suis rentrée à la maison le cœur léger mais j’ai vite compris que quelque chose clochait. Un cadre était brisé dans l’entrée comme s’il avait été jeté par terre et le vase du salon était étendu sur le sol au milieu d’une flaque d’eau et des fleurs éparpillées.
J’ai vu le PC du salon allumé et je suis allé voir la page qui était affiché: un compte mail de maman et un historique de messages avec un certain Patrick. Le contenu était sans équivoque et on comprenait dans le dernier email que les deux amants se félicitaient d’avoir deux semaines à Copenhague payées par leur entreprise pour profiter l’un de l’autre.
Mon monde s’est écroulé: après mon père qui avait brisé ma première famille, c’était maintenant ma mère qui répétait ce scénario morbide. Ma première réaction fut de la trouver débile de s’être fait gaulée aussi bêtement: Frédéric n’avait peut-être même pas vraiment cherché pour tomber sur la messagerie compromettante. Quand on ne connait rien à l’informatique on n’envoie pas de messages coquins à son amant depuis le PC familial !J’ai remis mes pensées dans le bon ordre: le vrai sujet était qu’elle faisait n’importe quoi en trompant l’homme idéal, celui qui l’avait acceptée à la quarantaine, sans job et mère célibataire. Il nous avait offert sans rien demander en échange son amour, sa maison et son confort financier; Putain ! Je la détestais !

J’ai retrouvé Frédéric ivre mort à côté d’une bouteille de whisky sans le salon. Je me suis souvenu de toutes les fois où il avait été là pour moi alors j’ai dénoué ses lacets et enlevé ses chaussures. Je l’ai calé au fonds des coussins malgré son poids bien supérieur au miens et je suis allée lui chercher une couverture.
J’ai nettoyé tout le désordre dans la maison et je me suis couchée à mon tour sans parvenir à dormir. Je voulais comprendre ce qui avait pu se produire mais cela n’avait aucun sens. Tout allait bien à la maison et je savais que même sexuellement tout était au beau fixe entre eux: entre les bruits qui s’échappaient de leur chambre et le sourire niais de ma mère lorsqu’ils apparaissaient le dimanche matin à dix heures trente, elle n’allait pas me faire croire qu’elle ne s’amusait pas !
J’ai regardé ma montre pour la dernière fois à quatre heures vingt-trois puis ce fut le matin un claquement de doigts plus tard. J’ai enfilé un short, des chaussettes et un t-shirt puis j’ai rejoint la cuisine avec inquiétude ne sachant pas dans quel état j’allais trouver mon beau-père et la maison.Il était habillé, rasé, coiffé et il était allé acheter du pain frais pour me faire des tartines: Il faisait face avec courage mais moi je ne voulais pas me prêter à cette mascarade.— "Ne fais pas semblant. J’ai vu la messagerie hier en rentrant... Putain, je ne sais pas comment elle peut te faire ça !"
Il m’a coupée alors que j’étais prête à me lancer dans une des tirades enflammées dont j’ai le secret.— "Cécile. Ce n’est pas ton problème. Je suis désolé que tu aies vu ça mais c’est entre ta mère et moi."...— "Et je vais aller faire un tour".
Je me suis retrouvée seule face à mon bol de café et mon cerveau s’est mis à remettre tout ce qui m’avait construite en cause. J’avais toujours vu mon (vrai) père comme l’unique responsable de l’échec du mariage de mes parents mais tout à coup la possibilité que les torts soient bien plus partagés me semblait une hypothèse incroyablement crédible.J’ai repensé à toutes ces années où j’avais refusé de le voir et où je l’avais appelé "mon géniteur"... Et si je m’étais trompée du tout au tout ? Et si j’avais brisé une seconde fois le cœur d’un pauvre Papa qui n’avait été que la victime de ma salope de mère ?Je ne savais plus où j’en étais. Rien n’était vrai, rien n’était plus bien ou mal, il n’y avait plus que du gris et de la laideur.
Sur ses joyeuses pensées je suis allée réviser comme je pouvais puis je suis partie au cinéma et enfin je suis passée chez un couple d’amis. J’avais vécu cette journée comme un fantôme mais j’avais survécu jusqu’à dix-neuf heures et c’était déjà ça de pris.
Une fois rentrée, Frédéric ne m’a pas adressé la parole. Son désespoir semblait s’être transformé en une rage froide, sa mâchoire était fermée et son regard était dur; Si je ne l’avais pas connu si adorable, j’aurais pu avoir peur de lui.Il m’a fait à manger et nous avons dîné, toujours sans parler. Je n’en pouvais plus alors j’ai dit ce qu’il me passait par la tête. — "Tu m’as dit que ce n’était pas mes affaires mais si je peux faire quelque chose pour toi je serai là"
Il n’a pas répondu alors je me suis sentie obligée de continuer.— "Quand je pense que si ça se trouve elle est en train de se faire sauter en ce moment même".
Il m’a regardé l’air médusé pendant deux secondes comme s’il se repassait cette phrase dans sa tête pour être certain d’avoir bien compris.— "Putain Cécile. Tu crois que c’est drôle !?"
Je lui avais coupé l’appétit. Il a pris le contenu de son assiette et l’a vidé directement dans la poubelle avant de partir dans son bureau en claquant la porte. Ma vie était en train de se désintégrer. C’était tellement la merde que j’avais presque envie d’en rire.
J’ai débarrassé puis rangé la cuisine et je suis allée dans ma chambre regarder les épisodes d’une série que je suis depuis plusieurs années. Je me suis couchée avec autant de questions que la veille mais j’avais peu dormi la nuit précédente et je sentais que je tomberai dans les bras de Morphée plus facilement cette fois-ci.
Je n’avais mis qu’un grand t-shirt pour ne pas avoir trop chaud; Depuis toute petite j’aimais bien avoir les fesses à l’air pour dormir. C’est lorsque j’allais fermer les yeux que j’ai entendu les pas s’approcher de mon lit; Sans doute déjà légèrement assoupie je n’avais même remarqué le son de la porte. J’ai levé les yeux, c’était Frédéric. Il m’a regardée et s’est assis sur mon lit.— "Ça va Fred ?"
Il ne m’a pas répondu tout de suite se contentant de me dire d’une voix monocorde: "Mets-toi sur le ventre".J’ai obéi sans chercher à comprendre puis j’ai senti qu’il tirait la couette. J’ai tourné la tête interloquée mais l’ordre suivant est tombé:— "Tu restes comme ça"
Hébétée, je suis restée immobile quand je l’ai vu approcher sa main de mon postérieur. J’étais forcément en train de cauchemarder, ça ne pouvait pas réellement arriver.Il m’a touchée du côté droit et instinctivement j’ai contracté mes fesses. Cela l’a fâché et Il m’a lancé un regard désapprobateur, pourtant, je ne me suis pas dégonflée.— "Arrête Frédéric, c’est n’importe quoi. Tu es malheureux mais ça va s’arranger. Retourne te coucher et on fera comme si rien ne s’était passé".
J’étais aussi conciliante que possible, cela me semblait la meilleure façon de gérer le pétage de plomb de mon beau-père sans que cela ne fasse trop de dégâts.Pour seul réponse j’ai entendu sa voix froide et dure réduire mes illusions en miettes.— "Vous allez arrêter de m’emmerder dans cette famille ! Après tout ce que j’ai fait pour vous, ta mère me trompe comme la dernière des garces et toi tu n’es même pas capable de la fermer !"— "Mais je... j’ai rien fait, moi !"— "Ta gueule Cécile !"
Il ne m’avait jamais parlé comme ça de sa vie; J’étais pétrifié. Sa main s’est posée sur moi et je n’ai pas été capable de protester. Il a caressé mon cul innocent d’abord doucement puis en empoignant chaque lobe pour les malaxer. J’étais rouge de honte.
J’avais peur et j’avais les larmes aux yeux. J’aurais voulu aider mon beau-père qui n’était pour rien dans le tremblement de terre qui ébranlait notre famille mais évidemment ce n’était pas cette forme de soutien que j’avais en tête.
J’étais perdue, désorientée et j’ai fini par me dire qu’après tout si poser une fois ses mains sur moi lui permettait de supporter ce que Maman lui faisait subir alors je pouvais sans doute faire cela pour sauver ma famille. J’avais laissé des garçons qui n’avaient jamais rien fait pour moi se glisser dans mon ventre alors pourquoi ne pas soulager un peu Frédéric qui s’était toujours démené pour que je sois heureuse ?
J’ai fermé les yeux et plongé mon visage dans mon oreiller pour qu’il comprenne que je capitulais sans avoir à le lui dire vraiment. Je pensais à ma mère qui était en train de détruire nos vies. Tout était de sa faute; Frédéric et moi n’étions que ses victimes. Elle en crèverait sans doute d’apprendre que j’avais laissé son mari me tripoter mais elle le méritait. Sale garce !
Il a enlevé ses mains de moi puis j’ai entendu un bruit bizarre. Je n’ai pas compris sur l’instant mais quand j’ai senti les doigts humides de mon beau-père se glisser entre mes fesses pour venir masser mon œillet j’ai compris qu’il les avait humectés. Mon sang s’est glacé, je n’avais jamais laissé personne me toucher de ce côté et je n’avais pas pensé un seul instant que Frédéric aille aussi loin. Je m’étais imaginée que toucher mon cul et peut-être mes seins le remettrait d’aplomb; cela me semblait déjà un sacrifice amplement suffisant.
Mon beau-père en voulait bien plus, j’étais en enfer et je n’osais même pas imaginer ce qu’il avait prévu pour moi. Pire que cela, j’étais prise au piège: je l’avais laissé commencer et je savais pertinemment qu’il serait dès lors très difficile de me défiler.
Il m’a caressé quelques secondes puis très vite il a poussé une phalange en moi. J’étais outrée et toute contractée mais je n’osais rien dire; Quant à Frédéric, il semblait n’avoir que faire de mes réactions tant que je me laissais faire.Malgré mon étroitesse, il a commencé à bouger en moi. C’était bizarre, un peu douloureux aussi mais surtout humiliant.
D’abord il n’est pas n’est pas allé trop loin se contentant de mouvoir la pointe de son doigt puis il m’a libérée pour m’envahir de nouveau après avoir sans doute largement badigeonné son majeur de salive. Il n’a plus été tendre et il a plongé son doigt aussi loin qu’il pouvait en quelques vas et viens. J’ai répondu en poussant des grognements implorant pour tenter de le dissuader mais cela n’a servi à rien. Mes fesses me brûlaient et c’était la pire humiliation de ma vie.
Quand il a sorti ses phalanges de mes entrailles, j’ai cru que j’en avais fini mais évidemment je me trompais. Il y eu quelques secondes de silence complet comme si Frédéric hésitait puis Il m’a enjambée et j’ai senti sa verge glisser dans la raie de mes fesses.
Il a craché dans sa main pour lubrifier la pointe de son sexe et il s’est présenté près à me pénétrer par la voie qu’il avait préparé à cet effet. Je me répétais "il ne va pas faire ça", ""il ne va pas faire ça" mais je savais déjà que si je ne m’enfuyais pas, j’allais découvrir un pan nouveau de la sexualité. J’avais peur mais j’ai tenté une dernière fois de le dissuader.— "Arrête. On ne pourra plus jamais avoir les mêmes relations si tu me fais ça ; plus de complicité, plus rien".— "Ta gueule Cécile".
Je sentais les larmes me monter aux yeux mais je m’étais fait une raison : j’étais prête à payer pour Maman.— "Doucement... je n’ai jamais..."— "Ferme là".
J’ai cramponné mes ongles dans le matelas et j’ai essayé d’expirer quand il a forcé pour enfoncer son gland dans mon pauvre petit cul. J’avais l’impression qu’il allait me déchirer mais j’ai été courageuse: Malgré la douleur j’ai tenu bon et je l’ai laissé me pénétrer comme je ne l’avais jamais été.
Au début Frédéric resta immobile, compressé par mes muscles intimes puis il se mit à bouger lentement d’abord sans aller plus loin. Je grognais ma honte, ma douleur et ma stupeur mais je le laissais faire, acceptant mon sort.Quand il rua pour m’emplir encore plus j’hurlais franchement. Derrière mes yeux révulsés, je voyais le visage de Maman.— "C’est de ta faute ! C’est de ta faute, connasse, si je me fais enculer"Je lui en voulais à elle et rien qu’à elle, c’est à cause de ses conneries si je devais subir cela.
Frédéric m’a d’abord baisée sans brutalité mais sans m’épargner; il reculait presque jusqu’à sortir de moi puis revenait loin à chaque poussée. J’avais toujours aussi mal mais le pire c’était cette humiliation d’être traitée ainsi.Je ne m’en rendais même plus compte mais je geignais à chaque vas et viens et ce fut pire quand mon beau-père accéléra le rythme. J’étais secouée, je nous sentais suer tous les deux et je ne pouvais retenir les grognements offusqués qui s’échappaient de ma gorge.
J’ai essayé de me concentrer sur nos respirations pour oublier la partie basse de mon corps; J’ai écouté son souffle, senti ses pulsations qui tambourinaient dans sa poitrine contre mon dos.
Je me suis calée sur ses expirations et j’ai tenté de détendre tous mes muscles. Je suis comme sortie de moi quelques secondes et quand apaisée j’ai repris le contrôle de mes membres, mes sensations avaient changées. Mes chairs commençaient à accepter la présence qui me parcourait et même si la douleur était là, je ne la ressentais plus comme une agression.
Je suis restée ainsi allongée et offerte autant que je pouvais l’être. Je suis même parvenue à faire moins de bruit ne faisant plus que souffler en accompagnant les mouvements de Frédéric.J’ai senti qu’il plongeait la main dans mes cheveux puis qu’il écrasait mon visage dans l’oreiller, ses coups de reins se sont faits plus brutaux et il m’a empalée vraiment à fonds cette fois; c’était encore pire qu’avant mais je comprenais que c’était sans doute bientôt fini. J’entrevoyais la lumière malgré les cris de panique que cette pénétration bien plus profonde m’arrachaient.Il a joui au fonds de moi avant d’être parcouru comme d’un tremblement et de libérer une dernière salve en quittant enfin mon fondement.
J’ai entendu la porte claquer dans la foulée, il était parti sans un mot en me laissant dans un état pitoyable, le corps repus de courbature et ahurie d’avoir vécue une telle expérience.
Je suis restée sans pouvoir bouger près de dix minutes puis je me suis décidée à me reprendre en main. J’ai tenté de me débarrasser du sperme qui s’échappait de moi avec les lingettes démaquillantes qui étaient sur ma table de nuit puis je suis allée à la salle de bain. J’ai prié très fort pour ne pas croiser Frédéric en chemin et je me suis dépêchée de me doucher.
Quand je suis retournée dans ma chambre après m’être appliquée de la crème apaisante, l’odeur de sexe qui emplissait toujours la pièce m’a fait rougir mais j’ai baissé les yeux et je me suis tout de même couchée.Mon cœur battait la chamade, pourtant j’avais retrouvé mes esprits: j’étais encore un peu perturbée mais je ne pleurais pas et je n’étais pas traumatisée, par contre j’étais morte de fatigue alors j’ai laissé le sommeil m’emporter.
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