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Souffre-douleur

Chapitre 3

Trash
J’avais compris le manège qui se mettait en place et le lendemain matin je ne fus pas surprise de retrouver chez mon beau-père un comportement identique à l’habitude. J’ai joué le jeu en faisant la conversation comme si la rencontre de la nuit précédente était une parenthèse vécue dans un monde parallèle.
Pourtant, Je n’ai pas pu me concentrer de la journée à la fac: La première fois avec Frédéric avait pu être un accident mais il y avait eu une seconde fois. Il ne m’avait pas forcée ni menacée, il m’avait simplement dit de me taire et je m’étais laissée faire à deux reprises: il fallait regarder les choses en face, j’étais totalement consentante.J’avais très bien compris ce qui allait se passer si je continuais sur la voie que j’avais commencé à emprunter: Mon beau-père allait me baiser chaque soir ou quasiment de la pire des façons jusqu’au retour de maman pour supporter de la savoir toutes les nuits dans les bras de son amant.
La solution logique aurait été de me réfugier ailleurs, de ne plus remettre les pieds à la maison mais depuis le début je me sentais du côté de Frédéric malgré ce qu’il me faisait subir. Je n’ai pas hésité longtemps et j’ai décidé de continuer à être son jouet quoi qu’il arrive. Ma mère l’avait bien mérité: A cause de ses tromperies qui allaient sans doute nous coûter la famille que nous avions reconstruit, j’allais me faire sodomiser tous les jours; Quand elle reviendrait de ses vacances de dépravée, elle devrait assumer cela.
J’étais lucide sur ce qui allait m’arriver mais ce n’était pas une raison pour ne pas essayer d’améliorer un peu ma situation. Je suis allé à la pharmacie acheter du lubrifiant spécialement conçu pour le sexe anal et j’ai essayé de faire comprendre à la vendeuse que je voulais aussi une crème pour me soulager après; Le baume apaisant que j’avais utilisé les jours précédents n’était pas vraiment fait pour cette utilisation, il me fallait quelque chose qui soit adapté aux épreuves qui m’attendaient.
La pharmacienne rougissait tellement que je ne ressentais plus vraiment ma propre honte; J’ai quitté l’établissement en rigolant encore de son visage défait et de ses mains tremblantes quand elle emballait mes achats.
Le soir venu, comme toujours, mon beau-père a préparé le dîner, très bien d’ailleurs et il s’est intéressé à mes cours. Il aimait l’Italie et le Portugal et c’était toujours avec plaisir que nous discutions de mes leçons qui couvraient l’histoire de ces pays. J’étais étonnée que nous parvenions à être aussi à l’aise compte tenu du chaos qui allait s’emparer de notre foyer dans quelques jours et du virage drastique que notre relation était en train de prendre… Mais après tout, c’était mieux comme cela.
A vingt-deux heures, j’ai dit que j’allais me coucher en me doutant que j’aurais une visite de Frédéric quelques minutes plus tard. Dans mon lit, j’ai débouché le tube de gel et doucement j’ai déposé une noix entre mes fesses. Je n’étais pas experte pour me caresser en général et totalement novice de ce côté-là: je me suis contentée de répéter les gestes que mon beau-père avait effectués les jours précédents. J’ai massé mes muscles depuis l’extérieur et quand j’ai senti ma rosette assouplie, j’ai doucement glissé une phalange couverte de lubrifiant en moi.J’ai fait cela consciencieusement et avec douceur si bien que je n’ai ressentie aucune gêne. Petit à petit j’ai enfoncé mon doigt plus loin, je sentais mon fondement souple et tapissé de gel, je savais déjà que la douleur à la pénétration serait bien moindre cette fois-ci.
Quand j’ai vu la lumière du couloir sous la porte de ma chambre, mon cœur s’est mis à battre plus vite. J’ai mis le tube dans la table de nuit et j’ai essuyé mes doigts avec une lingette puis je me suis retournée sur le ventre pour que Frédéric me trouve dans cette position en entrant. Une minute a passé, puis deux, puis cinq et la lumière s’est éteinte. J’ai compris qu’il ne me rejoindrait pas ce soir-là et cela m’a laissée aussi déçue que frustrée. Je devenais folle: il n’y avait pas d’autre explication.Je me suis essuyée en ayant la même amertume que si on m’avait posé un lapin et j’eu un peu de mal à trouver le sommeil.
Je recommençais les mêmes préparatifs le lendemain soir certaine, cette fois, que ce ne serait pas inutile. J’avais mis de jolis dessous, un ensemble rose en dentelle composé d’un shorty et d’un soutien-gorge avec des bretelles assez large. Quand la porte a grincé, signe que Frédéric allait se servir de moi pour conjurer sa rancœur, j’avais encore du lubrifiant plein les doigts. Je les ai essuyés discrètement sur le drap et je me suis allongée sur le ventre un coussin sous le bassin.
Conformément à son rituel mon beau-père n’a pas dit un mot, il s’est assis à côté de moi et quand il a soulevé la couette j’ai attendu quelques secondes puis j’ai attrapé le haut de ma culotte et je me suis tortillée pour la descendre jusqu’au haut de mes cuisses.
Je connaissais maintenant les gestes qu’il allait reproduire: Ses doigts humides se sont posés sur moi entre mes fesses, il a compris immédiatement que j’étais déjà prête mais il a tout de même pris le temps de me caresser doucement. Quand ce fut le moment de glisser ses doigts en moi, il ne profita pas de mon corps déjà assoupli pour me brutaliser; Au contraire, son index me pénétra d’abord à peine et il ne progressa que très lentement.
Pour la première fois, il joignit deux doigts pour les enfoncer en moi quand il me senti me prête; Je poussais un premier grognement lorsqu’ils entrèrent en moi puis un deuxième lorsque ses phalanges m’écartèrent un peu plus. Il cessa alors de bouger, j’avais compris ce qu’il voulait: Je me mis à appliquer un léger mouvement de balancier d’avant en arrière pour moi-même coulisser sur son majeur et son index maintenus immobiles.
Le lubrifiant et la petite expérience que je commençais avoir aidant, je n’avais quasiment pas mal. Je me suis empalée progressivement petit à petit en gémissant à chaque mouvement. Depuis le début de notre étrange aventure, pour la première fois je ressentais une forme excitation.
J’ai continué longtemps, mon beau-père semblant ne pas se lasser de me voir m’activer ainsi. Il finit néanmoins par écarter ses doigts de moi et venir positionner ses genoux de chaque côté de mes hanches. Je tendais mes fesses en essayant au maximum de m’ouvrir et me détendre. J’avais définitivement choisi d’y mettre du miens autant que je pouvais, c’était finalement la meilleure solution pour que ce ne soit ni désagréable ni douloureux.
Frédéric cracha pour lubrifié son gland et mes chairs puis il s’introduisit en moi plus tendrement qu’il ne l’avait jamais fait. Je plaçais mes mains à plat à côté de mon visage et je respirais au rythme du ballet de sa verge dans mon fondement.
La douleur existait toujours tout comme le sentiment de honte mais la façon dont mon beau-père me prenait avait changé. Sa progression en moi se faisait langoureuse, son souffle trahissait son plaisir et mes gémissements étaient de plus en plus suspects. Nous le savions tous les deux: même si Frédéric était de nouveau entré sans dire un mot, qu’il ne m’adressait toujours pas la parole et qu’il me sodomisait, nous étions bel et bien en train de faire l’amour. C’était la première fois et cela changeait beaucoup de choses.
Quand il a joui en moi un peu plus tard, je souriais en sentant les contractions de sa verge entre mes fesses. Bien sûr, je n’avais pas vraiment eu d’orgasme mais cela ne m’avait pas empêché de ressentir du plaisir pour la première fois depuis que Frédéric se permettait de me toucher.
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