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Souillure et plaisir

Chapitre 1

Hétéro
Que dire de Christine ? A 20 ans elle s’était mariée à un jeune banquier plein d’avenir, qui s’est enrichi toute sa vie, partagé entre l’amour de sa femme et l’amour de son travail. Elle avait eu un enfant avec lui, une petite fille. Malheureusement la vie est parfois cruelle ; et un accident est si vite arrivé. En un simple accident de voiture, sa vie et celle de sa fille avaient changé du jour au lendemain, quand bien même la fortune laissée par sa disparition leur permettrait de vivre très correctement jusqu’à la fin de leurs jours. Certes c’est triste, mais on n’est pas là pour ça non ?
Peut-être voudriez-vous que je vous la présentasse (c’est la classe non ?) : Christine doit faire dans les 55 / 60 kilos pour 1m75. Belle blonde, cheveux bouclés tombant sur le haut des épaules, avec un bonnet C, et ses seins ne tombent toujours pas (ou si c’est le cas, ça se voit pas), même à 45 ans. Mais réservée la dame, pas du genre à avoir une aventure avec n’importe qui, toujours bien fidèle à son mari.
Voilà cinq mois que son mari a disparu. Sa fille s’est trouvé copain et boulot, elle passe de temps en temps. Elle semble suivre les traces de son père. Christine, elle, s’entretient : elle fait du sport, sort avec les copines, fait du shopping, se rase la foufoune pour entretenir un magnifique petit carré brésilien ; bref : on essaie de sauver les meubles pendant que mentalement rien ne va plus. Pour le travail, pas de problème, de toute façon cela faisait longtemps qu’elle avait laissé de côté son job d’aide-soignante ; mais plusieurs de ses amies la verrai bien se trouver un petit divertissement, c’est vrai. Petit ou non d’ailleurs. Mais elle non : une mère de famille modèle, même veuve, ne fait pas ça, après tout quelle décadence ce serait ? Le mari à l’époque, il avait droit à son coup de bistouquette une fois par semaine le dimanche soir et puis basta ! Alors elle restait chez elle, assise devant la télé en robe de chambre dès qu’elle n’avait rien de prévu. C’est con, puisqu’avec le retour de l’été elle pourrait aller faire bronzette près de sa piscine ; mais vu son état, pas nettoyée depuis l’année dernière (un peu comme elle d’ailleurs) l’envie n’y était pas non plus. Elle passa devant la fenêtre menant à son jardin (non pas celui-là, vers celui avec la piscine). Elle aperçut de loin son voisin, George. Mon dieu qu’elle l’avait toujours détesté et méprisé : aussi loin qu’elle se souvienne, elle l’avait toujours connu moche, hirsute et bedonnant, grossier ; en réalité elle s’était toujours débrouillée pour ne pas avoir à lui parler, ou le moins possible, rester loin de lui en le méprisant. Un jour, elle l’avait surpris en train de la mater de sa fenêtre alors qu’elle bronzait seins nus au bord de sa piscine. Depuis, elle n’avait plus jamais laissé tomber son haut de maillot, au grand désespoir de son mari d’ailleurs, qui avait réussi à la convaincre d’essayer. Première et dernière fois.
Mais là elle s’en fichait, elle le regardait vaquer à ses occupations, torse (gros, poilu) nu dans son jardin en arrosant ses plantes. La mort de son mari l’avait changée : et elle éprouvait un peu de peine pour ce vieil homme, méprisé de ses pairs (oui parce qu’il devait bien tâter la barre des 70 ans maintenant). Mais faut pas déconner, toujours un connard de voyeur sale et bedonnant. Pourtant le petit vieux baissa sa braguette, sûrement une petite envie de pisser.
Christine ouvrit grand les yeux : dans son pantalon, juste sorti, une grosse bite molle, énorme. L’engin devait facilement mesurer 5 centimètres de diamètres, et au moins 10 centimètres devaient sortir de la braguette. Un beau morceau à n’en pas douter. La culotte de la belle s’humidifia en une fraction de seconde, quelque chose qu’elle n’avait jamais connu. Et le vieux pissait, et elle regardait, sans pouvoir détacher ses yeux de cette masse de chaire. Même pas bandé la chose, et pourtant, au moins 2 fois plus grosse que celle de son mari en terme de dimension, et la longueur de sa molle laissait présager des chapiteaux très élevés, pour elle qui n’avait connu qu’un petit banquier pas très dimensionné.
Instinctivement elle plaça sa main sur sa culotte, pour constater les dommages. Là il y avait des dégâts matériels : une culotte absolument trempée. Elle passa sa main à travers ses petits poils taillés. Un semi contact avec son bouton déchaîna un orgasme jamais atteint au cours de sa vie : elle vacilla, mais réussi à se retenir sur le rebord de sa fenêtre pour continuer d’observer le petit vieux. D’ailleurs il finit par se rhabiller, et continua d’arroser son jardin. Etait-ce les cinq mois d’abstinence qui avaient provoqué cette réaction ? Sûrement. Pourtant elle était loin d’être du genre folle du cul, et jamais elle n’aurait osé fantasmer, du temps de son mari, sur qui que ce soit, ça aurait été mal ! George en plus ! C’est donc trempée et toujours autant excitée qu’elle poursuivit sa journée.
Mais mettons-nous d’accord : faire semblant ne suffit pas ; lorsqu’on aperçoit l’objet de désir, même si on se le refuse, et bien il trotte dans votre tête jusqu’à vous rendre fou, le vieux dégueulasse. Voilà une semaine que Christine est marquée par la souillure (parce qu’honnêtement y a pas d’autres mots). Cette bite, gigantesque, titanesque même : elle la revoit à chaque fois qu’elle ferme les yeux. Dans tous ses rêves elle se retrouve nue face à ce vicelard, qui la tripote de ses grosses paluches hirsutes. Et elle ? Et elle ? Ca la dégoute, mais elle écarte grand les cuisses, cherchant à recevoir ce monstre hideux à l’intérieur. Mais elle se réveille toujours avant de se faire prendre. Elle se dit que c’est mieux ; mais espère un jour le contraire, secrètement. Et quand elle se réveille, trempée, la foufoune en feu, elle repense à George, ce vieux voyeur moche et gras ; elle se dit que c’est mal, le méprise, pense à son mari. Mais au fond elle ne rêve que d’une chose. Alors une fois, rien qu’une fois elle passe la main sous sa nuisette, caresse son petit buisson et écarte largement les cuisses en se laissant aller.
L’orgasme est dévastateur. Mais le cap est passé : elle passe une heure entière à imaginer ce gros con la prendre dans tous les sens, dans toutes les pièces. Elle qui s’était rarement masturbée de toute sa vie, la voilà qui enchaîne les orgasmes les uns après les autres. Et elle demanderait bien un supplément si son amie n’était pas venue sonner à la porte. Mince ! Sophie c’est vrai ! Elle devait passer à la maison pour prendre le premier bain de soleil de l’été ; et il était déjà 11 heures.C’est donc toute ébouriffé (en bas comme en haut), qu’elle s’habille en vitesse pour aller lui ouvrir. Pas folle l’autre demoiselle, elle a compris au premier regard que Christine était en train de se flatter, et ça l’amuse (parce que c’est une cochonne notoire, mais ça Christine ne le sait pas). Mais je vous passe les détails : les voilà quelques heures plus tard au bord de la piscine, bronzette oblige en ce bel été et lunette de soleil et bikini oblige. Tranquillement elles papotent : Christine raconte son quotidien, Sophie ses aventures d’avocates. De loin, elle aperçoit à travers ses lunettes George pendu à sa fenêtre. Qu’est-ce que ça peut l’agacer ! Elle regrette déjà la partie de fantasme qu’elle s’est offerte le matin même.
— Le voisin mate encore, dit-elle, pas moyen d’être tranquille avec ce vieux vicieux. Y a pas une loi contre ce genre de taré ? — Bof. Qu’est-ce que ça peut faire ? Laisse-le donc regarder. D’un coup elle se releva pour dégrafer le haut de son bikini, en le jetant derrière elle. Elle reste discrète bien sûr : pas de regard vers la maison du voisin, même furtif. Après tout, le vieux ne doit se douter de rien. Que fait l’autre belle ? Elle rit d’abord : c’est grotesque après tout.— Tu es folle ! — Mais laisse toi aller ma belle, ça ne fait de mal à personne : regarde, lui tu le combles, et toi ? Eh bien cela ne t’excite pas de savoir qu’il te désire ? Qu’il passe ses nuits à se masturber en rêvant de ton corps ? que risques-tu au pire ?
Christine sentit son entrejambe s’humidifier à l’instant même elle s’imagina la queue du vieux. Quel objet ! Oh elle le voit bien ; elle imagine le vieux moche, la matant depuis sa fenêtre, branlant sa grosse queue depuis sa vitre. Allez ! Pourquoi pas : elle suit le mouvement, dégrafe son haut et, ses petites tétines brunes pointant vers le ciel, se rallonge en guettant de loin les activités du voisin.

— Je savais que tu avais un petit côté coquine ma belle, lança Sophie toute souriante. Tu devrais te laisser aller un peu et savourer la vie pendant que tu le peux encore. Surtout maintenant que tu es seule ; pas que ce soit la meilleure chose qui te soit arrivée ! Mais essaie au moins d’en retirer de bons côtés.Christine souffla :— Oui, tu as peut-être raison.
* * *
George lui, n’a pas perdu de temps. Déjà quinze ans qu’il attend que la voisine laisse tomber son haut. Une fois elle l’avait fait, et bon dieu il s’était paluché en y repensant. Il attrapa ses jumelles ; après tout elles étaient de profil par rapport à lui, elles ne pouvaient pas le voir (il y croit le bougre). Le petit vieux s’en donna à cœur joie, de loin, il arrivait même à distinguer deux ou trois poils pubiens qui sortaient çà et là du bikini. La voisine il la brouterait bien, son amie aussi d’ailleurs, mais c’était que du bonus. La mère de famille modèle, il l’avait fantasmé plusieurs fois, surtout l’été avec son petit maillot blanc transparent dans la piscine. Ses tétons, sa toison, on voyait tout quand elle sortait de la flotte. Mais bon, là elle ne risquait déjà pas d’y entrer avec cette piscine toute dégueulasse. Putain qu’il rêvait de la prendre cette salope : pour sûr ça devait être une cochonne, elles l’étaient toutes.
Dans sa jeunesse, il en avait fait fuir des femmes avec son brackmar : 25 centimètres de long pour presque 7 de large, même les putes en avaient peur. Mais aujourd’hui il vieillissait, et seule la voisine lui faisait encore atteindre la mi- molle. En y repensant, cette salope de bourgeoise l’avait toujours méprisé : ces riches, tous des bâtards. Lui c’était un faux, il avait gagné deux millions au loto, juste de quoi s’acheter une bonne maison et une belle voiture. Depuis il vivait sa vie pénard, en fantasmant sur la voisine. Il fallait absolument qu’il la revoie se baigner, sa petite chatte poilue il devait la revoir, sans quoi il banderait peut-être plus jamais (jamais dans l’abus le vieux) : et il avait un plan pour ça.
Il laissa passer une petite semaine : de toute façon on n’est pas pressé quand on est à la retraite et plein aux as. Il attendit paisiblement que sa voisine sorte dans son jardin pour aller lui parler :— Bonjour Christine ! Ça fait un bail nom de dieu, comment allez-vous ?
Christine sursauta : à moitié à poil en robe de chambre, elle ne s’attendait pas à se faire aborder par le voisin qu’elle venait de sucer dans ses fantasmes, même si elle en mourrait de honte ; autant dire qu’elle n’était pas prête. C’est à peine si elle arrivait à le regarder, encore torse nu avec le gras de son ventre qui lui tombait au-dessus de la ceinture et ses poils blancs qui lui sortait des oreilles, elle n’avait absolument aucune envie de lui parler. Et pourtant :
— Oh George ! Et bien on laisse aller. Vous savez depuis la mort de mon mari c’est difficile, le moral n’est pas là tous les jours. Enfin que voulez-vous, c’est la vie !— Je comprends vous savez, jeune le bougre il était en plus. L’important c’est d’essayer de pas trop y penser non ? Je veux dire : il fait beau, vous avez des amis, une piscine. A part votre mari tout va bien !— Peut-être oui, répondit la belle agacée.
Qu’il pouvait être con celui-là (oui, je suis de nouveau dans la tête de Christine) : son mari était mort, alors le soleil et la piscine elle avait plutôt tendance à n’en avoir rien à foutre. Quoi qu’effectivement une petite baignade lui permettrait de décompresser, et peut-être, qui sait, de se laver de l’immonde souillure qui lui trottait dans la tête. Mais bon niveau capacité à passer le balai dans la piscine, elle n’était pas au top : il faut dire que c’était le rôle du mari de s’occuper de l’extérieur ; elle, femme modèle un peu à l’ancienne il est vrai, s’occupait de la maison. Alors quand le voisin lui proposa gentiment de passer le balai dans sa piscine, et bien elle accepta avec un grand sourire, même si elle ne pouvait pas le voir. Le voisin lui, sourire aux lèvres, se frottait les mains.
* * *
 Mais qu’est-ce qui avait bien pu lui passer par la tête ? Laisser ce vieux porc rentrer dans son jardin (non, toujours pas lui) ! Bon l’avantage c’était la piscine, certes. Mais enfin tout de même ! Le pire, ce qui la tourmentait le plus, c’est qu’elle savait pourquoi elle avait accepté : ça l’excitait ! Imaginer un seul instant ce gros plouc et son engin traverser la maison et nettoyer la piscine ! Passer près de sa chambre, là où tous les soirs depuis près de deux semaines, et tous les matins, elle se caressait en pensant à lui. Oh mon dieu quelle déchéance ! Mais quel bonheur aussi. Il devait passer en début d’après-midi. Bon, elle n’irait pas bronzer en même temps (faut pas déconner non plus), mais rester polie était une priorité : elle s’était toujours arrangée pour rester en bons termes avec ses voisins, et son mari n’était plus là pour s’en occuper : elle devait donc prendre un peu sur elle. Elle s’habilla (la robe de chambre l’avait mise mal à l’aise) : petit jean, sweat large, il ne faudrait pas qu’il se fasse des idées. Elle posa ses affaires sur son lit et se regarda, nue dans la glace. Elle frotta sa pelouse, doucement : elle devait résister, même si elle mourrait d’envie de se masturber, elle devait résister. Elle ouvrit ses cuisses, passa ses doigts sur son bouton. Non ! C’était dégoutant, et elle s’y refusait.
Elle aurait peut-être due.
* * *
George sonna au portail, et vit Christine lui ouvrir depuis la fenêtre. Cette salope. Elle l’avait encore snobé le matin même et voilà qu’il devait aller nettoyer sa piscine. Y a un autre endroit qu’il pourrait lui nettoyer volontiers. Mais il était prêt. Dès qu’elle se présenta à lui, il lui fit la bise : ah ça elle s’y attendait pas, vu la tête qu’elle avait tiré. Tant pis, elle lui montra les installations, et prétexta un travail à faire pour rentrer chez elle. Mouais, ça faisait plus de vingt ans qu’elle avait arrêté de bosser, quel travail ? Nettoyer la piscine fut une vrai horreur, mais de toute façon ça n’était pas son seul objectif : au bout d’une heure, il entra dans la maison, discrètement et sans un bruit. Il entendit un drôle de bruit, comme une sorte de soufflement : ce pourrait-il que ? Non ! Il prit bien garde à ne pas se faire repérer en traversant le couloir et s’approcha de la source du bruit.
Cela venait de la chambre : et il vit tout. Enfin presque : sa voisine, cuisses grandes ouvertes en train de se donner du plaisir. Il vit absolument tout : les cuisses bien mouillées, la toison suintante ; pas les seins, il y avait encore le sweat mais on pouvait voir que ça pointait sévère. La tête complètement renversée, elle haletait. George fit un bon en arrière, si elle n’avait pas eu les yeux fermés, alors elle l’aurait remarqué. Cette toison, putain mais quelle toison ! Il revint sur ses pas et ouvrit la porte avec fracas pour se faire entendre :
— Christine ! Excusez-moi je me permets d’entrer ! Je voudrais juste utiliser vos toilettes !
Il entendit sa panique, un « j’arrive » peu convaincant, et une femme magnifique débouler du couloir, pointant plus fort que jamais et un peu essoufflée. Elle avait remis son jean, mais sans culotte, et cela se voyait. Comment me dirait-vous ? Eh bien elle avait fermé le bouton mais pas la braguette, et de petits poils pubiens dépassait çà et là. Dans la panique, la belle n’avait pas fait attention, par contre le voisin, lui il les voyait bien, en se forçant à regarder le visage Christine pour éviter d’être trop flagrant. Elle finit par lui indiquer la salle de bain, et le reste de l’après-midi se déroula sans incident.
Par contre la soirée, ce fut une autre histoire : George alluma son ordinateur, et en même temps les petites caméras qu’il avait réussi à poser un peu partout dans la salle de bain. Il était même parvenu à en glisser une dans le couloir, donnant sur la chambre : le même point de vue que celui qui lui avait permis de surprendre sa belle voisine. Bon, mini caméra oblige, le son n’était pas disponible, mais au moins, personne ne les verrait (il les avait placé en hauteur et dans les coins des placards, pas de doute elle ne les verrait pas). Christine lui avait donné rendez-vous pour un second nettoyage la semaine prochaine, et il comptait les enlever à ce moment, par précaution. Autant vous dire que d’ici là, il allait l’apercevoir deux-trois fois la chatte de sa voisine.
* * *
Christine était morte de honte, elle avait failli se faire prendre les cuisses ouvertes. Heureusement, elle avait laissé son jean trainer à côté d’elle. Une fois le voisin partit, elle piqua une petite tête dans la piscine, avec le maillot que lui avait offert une fois son mari. Un joli bikini blanc et doré, qu’elle adorait mettre. Puis elle finit sa journée avec une petite séance de bronzage. Seins nus évidemment, une fois un pallier franchi on ne peut plus revenir en arrière. Elle l’avait trouvé plutôt sympathique aujourd’hui, bien que son odeur de transpiration ait failli la faire vomir : elle avait essayé de le payer, et il avait tout refusé en bloc, prétextant rendre service. Il fallait le reconnaître : il se rendait sympathique, et de la compagnie, même la sienne, ne lui faisait pas de mal. Bien au contraire. Elle en revenait à peine de le penser d’ailleurs, elle qui l’avait toujours conspué.
La semaine suivante, elle préféra bronzer. Oui, vous avez bien lu : en fait, elle préférait s’exposer à cet immonde personnage plutôt que d’avoir la tentation de… et de se faire surprendre. Alors ils papotèrent, un peu. Christine supportait mal les coups d’œil qu’il lui jetait, même si elle avait gardé son haut (pas folle), l’idée d’avoir la bite du vieillard à proximité l’excitait au plus haut point, mais elle en pointait, et ça se voyait. Une fois qu’il eut fini, la belle lui propose un café, et ils prirent le goûter sur le bord de la piscine.
— Vous savez Christine, vous avez de la chance d’avoir une piscine. Moi la mairie me la refuse, soi-disant que le terrain n’est pas adapté. — Oui c’est normal, cela peut être dangereux. mais c’est vrai que ce doit être ennuyeux. — Du coup cela doit faire bien vingt ans que je ne me suis pas baigné, ça manque.
Elle le regarda dans les yeux, des petits yeux globuleux et aussi moche que le reste, mais elle eut pitié. Et l’idée de l’avoir en maillot à deux pas rendait la chose beaucoup plus intéressante. D’autant qu’il puait à en mourir, alors pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable ? D’un coup elle eut une idée ! Il fallait absolument qu’il plonge dans la piscine !
— Et bien que diriez-vous de vous baignez ? Proposa la belle. Cela vous rappellerait de bons souvenirs. Et puis vous savez cela me gêne de vous employer sans rien vous donner.— Oh putain ! rétorqua George en rigolant. Oui pourquoi pas, mais il faut que j’aille chercher un maillot chez moi, attendez je reviens.— Oh non, je dois en avoir de mon mari, accompagnez moi je vais vous en prêter.
Alors il la suivit, jusque dans sa chambre. Elle en bikini, lui torse nu et pourrissant sa maison de son odeur fétide. Heureusement qu’il n’allait pas tarder à prendre un bain. Elle finit par trouver un maillot de bain et le prêta à son voisin avant de rejoindre le transat de la piscine, le sourire aux lèvres. Elle avait délibérément choisit un « moule bite », elle allait tout voir. Elle mouillait rien que d’y penser ; ses tétons manquaient de déchirer le haut de son bikini mais depuis tout à l’heure, George devait s’être habitué. Lorsque celui-ci passa le pas de la porte, sa mâchoire se décrocha. Il était là : l’objet de tous ses désirs et fantasmes, moulés comme jamais dans un maillot trop petit pour le quintal de son porteur. Mais sa bouche se ferma rapidement : à côté de ça elle eut un haut le cœur : des poils blancs sortaient de tous les côtés du maillot, sans parler de son ventre bedonnant et tapis comme le sol d’une forêt de vieux poils gros et longs. Rien de bien appétissant de ce côté-ci.
George l’aperçut : il se doutait que la dame fantasmait sur quelque chose. Après tout, il l’avait vu frotté sa chatte en feu matin midi et soir dans sa chambre ou dans la salle de bain. Pas de doute, cette bourgeoise souhaitait un bon coup de bite, et il comptait bien le lui donner, à cette salope qui pointait comme une putain en rut. Putain ! Vingt ans qu’il attendait ce moment, et la mi- molle rien que d’y penser.
Pour le plus grand bonheur de la dame.
George s’enfonça dans la piscine (non, pas dans Christine). Il nagea un peu, se désaltéra, et mis en œuvre son plan :
— Christine, venez-vous baigner, elle est bonne !— Bof ! Bon pourquoi pas.
 Pourquoi a-t-elle accepté ? Vous n’avez pas une petite idée ? Eh bien la dame à la chatte en feu alors se rafraîchir ne peut faire que du bien. Même si en ce moment elle ne rêvait que du départ de son voisin, qui lui aurait permis de se doigter allégrement. Mais ne soyons pas mauvaise langue, avec un peu de chance, elle aurait droit à un autre visuel sympathique. Alors elle le rejoignit dans la piscine. Celle-ci lui offrait d’ailleurs un autre avantage : l’eau était floue, même George travaillait dessus, mais cela permettait de cacher sa poitrine au vieux pervers. Du coup, on voyait à peine à vingt centimètres en dessous de la surface.
Lui, pas fou, sortit de la piscine pour sauter dans l’eau :
— J’adorais faire ça quand j’étais môme.— Faites attention à vous, tout de même, fit la belle en souriant.
Elle eut un haut le cœur : les poils du vieux formaient des petits grumeaux grisâtres sur son ventre. Il n’était pas obèse, juste en surpoids. Mais pas de quoi affoler qui que ce soit. Le vieux par contre, pas fou : il avait tout prévu depuis le début, et lorsqu’il se retrouva au milieu du grand bain, il profita de l’élan pour faire glisser son maillot, le laissant pendouiller à son pied droit. Puis il rejoignit la belle à l’avant de la piscine en rigolant, la bite à l’air (ou plutôt à l’eau) sans que la dame ne se doute de rien. Et l’excitation commençait à poindre, même pour un vieux débris dans son genre. Elle aussi riait… Mais parce qu’il avait fait un plat : il profita de la situation pour en rajouter un peu, se frottant la tête et feignant la douleur.
Christine l’examina : tous deux debout dans la piscine, l’eau leur arrivait un peu en dessous des épaules. La belle s’approcha et frotta un endroit un peu rouge sur la tête de son voisin. Quel con celui-là, même pas capable de sauter dans l’eau correctement. Bon, elle avait eu un visuel c’est vrai mais… Attendez ! Qu’est-ce que ? La belle sentit quelque chose frôler son nombril. Elle eut un mouvement de recul. Se pouvait-il que ? Non ! Elle passa la main sous l’eau, et attrapa un gros poisson. Si gros que sa main n’arrivait pas même à en faire le tour.
Elle regarda son voisin droit dans les yeux, frappée de terreur et d’incompréhension : il souriait, et passa ses mains sur ses bras en les caressant.
— Et bien alors Christine, on va à la pêche ?— Ge… George, m’enfin… Que faites-vous ? Enfin, je vous en prie… Je ne sais pas… Rhabillez-vous enfin…— Ah, Christine, pour cela il faudrait déjà la lâcher. (il attrapa la main de la belle et la força à garder la masse en main au moment où elle essaya de la retirer) Mais entre nous, vous en mourrez d’envie non ?— Mais enfin George lâchez moi, c’est parfaitement déplacé !
Le petit vieux retourna Christine et la plaqua contre son ventre. Elle eut encore un haut le cœur : elle pouvait sentir son ventre et ses poils frotter son dos. D’une main il la maintenait, de l’autre il dégrafa son haut de bikini avant de la peloter. Elle ? Elle était partagée : de vive voix, elle lui ordonner de la lâcher, qu’elle allait appeler les flics et qu’il ferait de la tôle. Mais ses caresses : il lui pinçait les tétons, laissait trainer ses grosses paluches sur ses seins en la portant dans l’eau ; et puis il y avait sa bite : d’abord elle s’était retrouvée contre son cul, et ça l’avait laissé sans voix pendant quelques secondes, le temps qu’il dégrafe son haut, et puis maintenant elle était entre ses cuisses. Elle était limite assise dessus, et pouvait la sentir frotter son bouton à travers le tissus. Elle en mourrait d’envie ; pourtant elle le supplier d’arrêter, qu’elle ne dirait rien, que c’était promis.
Et puis ce qui devait arriver arriva : George partit à la pêche dans la culotte de la belle (et là, c’est le drame =) qui se stoppa net. En une demi-seconde, une vague de plaisir la submergea, pire que la fois où elle avait aperçu sa bite depuis la fenêtre, tellement de plaisir : elle s’abandonna et soumise, écarta les cuisses. George, pas fou, prit ça comme une autorisation : il déchira la culotte et passa ses doigts sur la foufoune qu’il avait toujours rêvé de prendre. Elle était là, toute chaude, toute belle, et il n’en revenait pas. Il se débarrassa de son propre maillot et porta Christine jusque dans sa chambre, dans le lit conjugal. Elle ? Elle se laissait faire : l’orgasme l’avait dévasté, et c’est à peine si elle arrivait à chuchoter :
— George… Je vous en supplie, arrêtez…— Toi ma belle, répondit le vieux vicieux, crois-moi tu vas en redemander !— Non… Je vous en prie…
Il la posa sur le lit, et lui écarta manuellement les jambes, en les tenants fermement. Quelle chatte ! Non mais quelle chatte ! Pas comme les petites putes qui pouvait lui arriver d’appeler, avec leur minou tout rasé, sans charme : là il avait droit à un minou de femme, une vraie toison, bien rasée et ordonnée. Alors il prit du bon temps : passa ses doigts sur les poils, jouant avec. Puis il lui mit deux doigts, ce qui fit hurler Christine qui le suppliait d’arrêter depuis déjà cinq bonnes minutes.
Mais bon, vous connaissez Christine : elle le méprise, le déteste. Mais le voir jouer avec son vagin là… Eh bien oui, elle a beau crier qu’elle ne veut pas, et bien déjà ses tétons et sa mouille prouve le contraire, mais inconsciemment elle n’attend plus qu’une chose : qu’on la prenne. Mais pas ici, pas dans ce lit, pas avec lui : elle aurait préféré qu’un chien la prenne comme une pute plutôt que de s’offrir à ce vieux débris vicelard. Elle ne put s’empêcher de grimacer quand le vieux se mit à lui lécher les tétines : elle détourna le regard, mais l’essentiel y était : ses cuisses étaient toujours ouvertes, avec à l’intérieur, trois doigts que le voisin avait du mal à faire entrer.
Et oui, jusque-là elle avait toujours été plutôt réservée la dame, donc assez serrée. Le mari banquier, il en avait une petite, et il n’avait pas eu droit souvent à la foufoune de sa femme. Quand le voisin choisit de passer aux choses sérieuses, il grimpa sur le lit : à quatre pattes, sa bite touchait les draps. Prise de panique, elle ferma les cuisses, mais le voisin ne l’entendit pas de cette oreille : il descendit du lit, attrapa les mollets de Christine, et les écarta au maximum, la rapprochant du rebord. Il présenta son gland, presque aussi gros qu’une pomme, à l’entrée de la chatte de Christine, béante de mouille. Il s’y frotta quelques instant, ce qui fit couiner la belle :
— Non ! George je vous en supplie ne faites pas ça, pas ici…— Allons, Christine, tu vas pas faire genre : grosse salope tu mouilles que t’en peux plus, je vais te la mettre d’une force, tu vas gueuler.— Non, George vous êtes trop gr… Ah !
Elle hurla quand George s’enfonça dans son jardin (oui, là c’est le bon), de douleur : le voisin était énorme et même en allant doucement, elle avait l’impression de se faire écarteler. Ah, pauvre folle ! Elle en avait rêvé, et maintenant elle l’avait.
— George… Je vous en supplie sortez, vous êtes trop gros, Ah ! …— Alors salope ? Qu’est-ce t’en dis ? A m’avoir craché dessus pendant des années, là tu la prends sale bourgeoise.
La réalité est souvent différente de la fiction, quoique : le voisin la besogne comme un animal ; elle, main sur les draps, essaie d’échapper à ce martèlement mais il lui tient fermement les mollets, la forçant au grand écart. Mais le plaisir, eh bien il ne tarde pas : déjà la bite, elle racle tout l’intérieur, et c’est meilleur à chaque seconde qui passe, d’ailleurs elle commence déjà à feuler. Et puis il y a la vue aussi : le petit vieux bien vicieux qui la baise, qui pénètre le petit jardin qu’elle entretient tous les jours, ça l’excite ! Elle qui l’avait toujours méprisé, elle se fait prendre par lui, et ça l’excite : alors elle hurle, elle finit par hurler son bonheur d’être prise.
— Ah ! George… Ne vous arrêtez pas… Ah ! C’est si bon…— Je te l’avais dit, sale bourgeoise ! Putain derrière vos airs vous êtes toutes les mêmes !
Vous avais-je informé que le père George est un peu macho ? Non parce que ça excite encore plus la belle, qui frotte son bouton et se pince les tétines, fortement érigées. Et ce qui devait arriver arriva : elle eut un orgasme, des spasmes, et jouit sur tout le ventre de son partenaire. Oh ! Christine est femme fontaine ! Même elle ne le savait pas. George recule de surprise alors qu’il reçoit encore quelques jets, estomaqué. Lui n’a pas jouit, bon il est dur comme jamais mais à cet âge, il faut du temps.
Christine halète, mais c’est une femme active, et après ce qu’elle vient de vivre elle en veut encore plus. Alors elle se lève, attrape le bras de son amant et le repousse sur son lit. Tant pis pour les bonnes mœurs, là il lui fallait de la bite. Déjà elle la prend en main, enfin à deux mains. Souris à son partenaire, aux anges, et le prend en bouche. Elle l’avait toujours refusé à son mari, mais là c’était différent : la piscine l’avait un peu lavé, même si une forte odeur d’urine était toujours présente, et puis elle en avait envie, elle l’avait rêvé alors… Bon il y avait ces poils blancs un peu partout, qu’on distinguait à peine ses couilles sous l’engin, mais pendant l’acte ça l’avait excité de sentir ses gros poils drus frottés les siens, courts et ordonnés. Alors après cette petite gâterie, et bien Christine grimpa sur son partenaire et s’empala sur sa queue. Elle eut du mal à la faire rentrer.
— Oh George, vous êtes si gros, c’est si bon !— Salope, je te l’avais dit, tu pourras plus jamais t’en passer.
Bon dieu qu’il pouvait l’exciter avec ses insultes. Il en profitait le bougre : il la pelotait, lui mettait même un doigt dans le cul, mais après tout elle le finirait avant même qu’il ne tente quoi que ce soit. George lui, était aux anges : il avait sa bite bien au chaud, des seins à lécher et malaxer autant qu’il en voulait, et la voisine qu’il avait toujours rêvé de prendre qui feulait au bout de sa queue. Que demander de plus ? Et puis la voisine, quel jeu de jambe, la salope. Du temps de son mari il avait dû être heureux le bigre (si seulement il savait, n’est-ce pas ?). Il avait pensé à l’enculer, mais le moment était juste trop parfait pour s’y risquer : en y glissant un doigt, il avait vu que Christine avait grimacé, et que le trou en question était vraiment serré. Il finirait par le prendre avec le temps, alors pourquoi ne pas profiter du moment présent ?
— Ah ! George, je viens ! George vous êtes si gros, c’est si bon !— Ah, moi aussi ma belle, je vais te tapisser le conduit comme ça t’es jamais arrivé !— Non George, ne faites pas ça, retirez-vous enfin… Depuis mon mari… Ah ! Ah…
Il plaça ses mains sur ses hanches, continuant le mouvement et l’empêchant de se retirer. Christine se rapprochait de l’orgasme, à chaque seconde, elle vivait un pur bonheur. Tant pis, c’était trop beau : elle plaça ses mains sur le mur derrière George et accéléra la cadence. Elle pouvait sentir le ventre gras et les poils blancs du vieux frotter son bas ventre. Quelle bite, non mais quelle bite ! Elle la sentait profond en elle, quelle plaisir : d’un coup, elle jeta sa tête en arrière et eut un orgasme dévastateur alors qu’elle sentait George venir en elle, son sperme chaud tapisser chaque centimètre carré de son utérus. Effondrée, elle tomba en arrière, et finit par s’endormir.
Satisfait, George s’essuya la bite sur la toison de Christine, et rentra chez lui, laissant la belle dans une position indécente, cuisses grandes ouvertes et morte de fatigue.
Une suite ? C’est probable, tout dépend de vous.
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