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Je soumets mon infidèle de femme

Chapitre 2

L’aire d’autoroute

Trash
Je soumets mon infidèle de femme
Chapitre deux : L’aire d’autoroute

Nous voilà dans la voiture, sur le chemin du retour au beau milieu de la nuit. L’atmosphère est tendue entre nous depuis ma découverte quelques heures plus tôt. Mallory, ma femme me trompe avec mon meilleur ami, ce frimeur de Sam. Prise sur le fait, elle a accepté de devenir ma soumise pour racheter ses fautes et je compte bien en profiter un maximum pour la faire souffrir autant que j’ai souffert. Pourtant, cette condition de soumise semble lui plaire plus que je ne l’aurais cru et ma vengeance est finalement moins agréable que je ne l’aurais voulue. 
Elle a adoré se faire prendre par Ludo et moi sous les yeux de son amant, il faut que je trouve quelque chose d’encore plus vicieux. La vue d’un panneau indiquant une aire d’autoroute me donne soudain une idée et je bifurque jusqu’à la fameuse aire. Mallory me jette un regard interrogateur de ses grands yeux bleus de biche. Je me gare sur le parking, proche des camions des routiers. 
— Qu’est-ce qu’on fait là ? demande-t-elle, inquiète — Je veux tester ta soumission entière et pleinement conssentie, tranché-je d’une voix grave— Je ne te l’ai pas assez prouvé tout à l’heure ? dit-elle en se penchant vers mon entrejambe.
Je repousse sa main et la regarde gravement. 
— Tu as bien compris ce que j’attends de toi ? Je veux que tu obéisses, pas que tu prennes des initiatives comme ça.— Oui Maître.— Tu es prête à faire ce que j’attends de toi maintenant ? — Je ferai tout, absolument tout ce que tu voudras.— Un peu de respect pour ton maître petite insolente ! Grondé-je. Tu me vouvoieras à partir de maintenant. Alors écoute bien ce que j’attends de toi : tu vas aller dehors et trouver le premier chauffeur routier que tu croiseras, tu le ramènes ici et tu lui offres ton petit cul. Interdiction d’utiliser ta chatte.— Tu... je veux dire, vous êtes sûr ? Est-ce que cela vous excitera ?— Si je te le demande, à ton avis. Allez, va chercher un de ces hommes. Leur bite doit les démanger à force d’être seuls sur la route, ils seront ravis de ta présence et moi, ça me permettra de constater si ta soumission est totale. — Vos désirs sont des ordres Maître, répond-elle avec une lueur d’excitation dans le regard.
Mallory prend soin d’enlever sa culotte avant de sortir dans le froid de la nuit hivernale en robe. Elle me jette un regard pour s’assurer que je la surveille bien et prend une démarche chaloupée, ondulant des hanches plus que la décence ne le permet. Cette aguicheuse prend son rôle très à cœur et je la vois s’approcher d’un chauffeur routier adossé à son camion en train de fumer une clope.  
Je suis assez près pour le voir la mater allègrement alors qu’elle l’accoste prudemment. Visiblement, il semble vite comprendre ce qu’elle lui demande. Il la suit jusqu’à notre voiture et s’immobilise quand il m’aperçoit assis derrière le volant. Je lui fais signe de la main, lui assurant mon accord et son regard revient vers ma belle salope de femme infidèle qui s’est penchée sur le capot et a retroussé sa robe. 
Le routier, un homme d’une cinquantaine d’années, bedonnant et dégarni, se hâte de sortir sa verge assez fine mais plutôt longue pour la recouvrir d’une capote. 
— Mes potes me croiront jamais quand je leur dirai sur quelle salope je suis tombé ! s’exclame-t-il. — Allez mon chou dépêche-toi, dit Mallory en présentant sa croupe.— J’arrive salope, écarte bien tes fesses comme ça ! 
Je sors de la voiture pour observer la scène de plus près. Le pantalon aux genoux, le routier se cramponne aux hanches de Mallory pour frotter son sexe entre ses lobes. D’une main, il dirige ensuite son gland vers son petit trou serré, qu’il investit en une poussée. Mallory pousse un léger cri, mais apparemment, la verge de l’inconnu est moins épaisse que celles qu’elle a eut l’occasion d’accueillir ce soir. Il faudra sans doute que je trouve d’autres volontaires pour la faire crier... Et c’est l’évidence qui me vient quand je vois qu’au bout de seulement quelques allers-retours, le chauffeur a déjà atteint la jouissance. Il ne lui aura fallu que peu de temps, si bien que Mallory est encore sur sa faim. Elle regarde avec avidité mon entrejambe et constate mon excitation manifeste. 
— Merci mec, ta femme est une vraie bombe, dit le chauffeur en se rhabillant, c’est pas tous les jours qu’on voit un truc pareil !— As-tu des amis dans le coin qui pourraient venir s’amuser ? demandé-je en jetant un œil amusé à ma femme.— Je connais quelques types que ça intéresserait sûrement ; j’ai bouffé avec un allemand et un slovaque tout à l’heure. Y avait aussi un russe, mais lui c’est du gros calibre.— Comment ça ? — Bah je dirais deux mètres pour cent trente kilos de muscles. Pas sûr que ta petite femme y résiste. Je sais pas ce qu’il cache sous la ceinture mais j’aimerais pas être à sa place. — Amène tes amis, tranché-je. Les trois. Et dis leur qu’on les attendra dans les toilettes pour plus de discrétion.
Le chauffeur, ravi, s’en retourne vers les camions tandis que nous nous dirigeons vers les toilettes des hommes. L’endroit est sale, sordide. Une forte odeur d’urine imprégne les lieux. Apparemment, il n’y a personne. J’en profite pour regarder ma perverse de femme qui boitille légèrement en me souriant.
— Maître, voulez-vous que je m’occupe de vous en attendant leur arrivée ? minaude-t-elle. — Réserve tes forces pour ce qui t’attend, déshabille toi pour commencer.
Son corps svelte est magnifique, ses seins rebondis ont une forme parfaite et sa croupe est à se damner. Pourtant, ce qui me fait bander en ce moment, ce n’est pas sa beauté mais plutôt ce qu’elle va prendre. Je ne suis même plus sûr d’avoir envie de la toucher après ça tellement elle me dégoûte. Elle semble ravie du traitement que je lui offre, ce n’est absolument pas ce que j’avais à l’idée. Enfin, on verra bien si elle fait encore la fière quand le fameux russe débarquera. 
À ce moment, deux hommes poussent la porte des toilettes. L’un est grand, blond cheveux ras, il doit avoir la quarantaine. L’autre est plus trapu, tout en muscles et aux cheveux gris noués en queue de cheval. Mallory frissonne d’anticipation. Ils nous jettent un regard entendu et je leur réponds d’un signe de tête. 
Je la pousse au milieu de la pièce et lui ordonne de s’agenouiller sur le carrelage crasseux. Elle obéit et s’exhibe fièrement devant ces deux inconnus. L’allemand, le plus grand des deux, défait sa braguette et vient présenter son sexe à la gourmande qui se rue dessus sans demander son reste. Elle l’enfourne dans sa bouche et le suce avec avidité pendant que l’autre écarte ses fesses à pleines mains pour révéler les trous béants. Il commence par la doigter, insérant son index et son majeur dans sa chatte ruisselante, d’abord doucement puis de plus en plus vite, jusqu’à ce qu’elle recrache la verge qu’elle a en bouche pour crier sa jouissance.Mais l’allemand n’a pas l’air d’en avoir assez. Il lui agrippe l’arrière du crâne et enfourne sa queue dans sa bouche sans douceur, son membre vient taper au fond de sa gorge. Ma belle infidèle résiste, elle endure cette invasion avec une certaine facilité, qui m’irrite plus qu’autre chose. Je siffle alors le slovaque et lui balance un emballage de capote en lui intimant l’ordre silencieux de la prendre sur le champs. 
Il me répond d’un clin d’œil et enfile le préservatif avant de se présenter à l’entrée de la chatte baveuse de Mallory pour lubrifier sa queue, puis se poste devant l’anus dilaté qu’il pénètre d’un coup, glissant jusqu’au fond tellement sa cyprine est abondante. Ses gémissements étouffés par le sexe de l’allemand encore enfoncé dans son gosier, elle se laisse prendre à quatre pattes, à même le sol, prenant son pied à se faire traiter comme une traînée. Ils la défoncent avec ardeur, en poussant des jurons dans différentes langues. 
 L’érection dans mon caleçon me démange, mais ma frustration de la voir prendre autant de plaisir m’empêche de me toucher. Cette salope se fiche d’être souillée par des inconnus, ça aurait pu me plaire avant que je n’apprenne sa trahison. Mais là je n’attends qu’une chose, l’arrivée du russe. 
Les deux étrangers échangent leur place et alors que l’allemand investit son cul d’un grand coup de reins, l’autre frotte son sexe sur son visage, lui donnant quelques bifles bien sonores. Ma chaude épouse, telle une chienne déchaînée, lèche cette chair qui la chahute. Elle lui lustre le dard et bientôt, la voilà à nouveau remplie de toute part. Seule sa chatte reste vide, placée sous mon égide. Punition méritée, amère vengeance d’un mari bafoué. 
Soudain la porte s’ouvre et un colosse entre alors. Si grand qu’il doit courber l’échine pour passer le seuil. Sa présence massive emplit la pièce et je vois les yeux de Mallory s’écarquiller à la vision de ce titan soviétique qui lui jette un regard lubrique. Le chauffeur de tout à l’heure le suit, il paraît minuscule à côté du géant blond. Il n’a pas menti, ça c’est du morceau ! Un sourire doit être gravé sur mon visage car je n’ai pas besoin de dire un mot pour qu’il s’avance vers ma tremblante femme, dont les orifices ont été abandonnés à l’entrée du russe. 
Ce dernier sort alors une verge aux proportions impressionnantes qui me fait pâlir de jalousie. Je doute que mes capotes suffisent... Mallory elle, me jette un regard inquiet. Son courage a l’air de s’être envolé tout d’un coup, cette petite victoire me rassérène et je me penche vers elle. 
— Alors, toujours prête à obéir à mes moindres envies ? — Oui Maître. Mais vous êtes sûr qu’il n’est pas trop...volumineux  ? — Tu vas lui montrer comment la bonne chienne que tu es, peut avaler bien docilement une aussi grosse queue. Ne me fais pas honte. — Oui Maître, abdique-t-elle en se tournant vers le russe qui passe une de ses mains dans ses cheveux.
Sa main recouvre presque tout l’arrière de son crâne et de sa voix grave, il lui parle dans sa langue natale tout en avançant son gland gorgé de sang vers ses lèvres rougies. Il ricane, converse avec ses collègues routiers alors que Mallory sort sa langue pour lubrifier l’engin démesuré. Sans aucune douceur, il saisit ses cheveux et plaque sa bouche contre ses bourses qu’elle se met à sucer avec délicatesse. La retirant, il frotte son bas ventre contre son visage et lui administre quelques gifles avec son gland avant de prendre d’assaut sa bouche. Lentement, il s’impose dans sa gorge et s’amuse de la voir peiner à engloutir le reste de sa queue. Un seul tiers a disparu et pourtant, elle semble déjà remplie. 
Le russe se met alors à agiter son bassin doucement d’abord, puis, les mouvements l’aidant à s’engouffrer plus profond, il réussit à enfiler le deuxième tiers. Elle fait de son mieux et je vois dans ses yeux combien elle résiste fièrement. J’en aurais presque un certain respect pour elle. Si elle n’avait pas ruiné tout ça. Au lieu de ça maintenant, c’est elle qui se fait ruiner. La bouche en premier, puis, évidemment, le cul. Car c’est exactement ce qu’il se passe : il ne se freine plus et baise sa bouche si fort, que les larmes coulent sur ses joues. Les autres attendent leur tour, sexe en main, spectateurs impressionnés par tant de bestialité. Au moment où je décide de convier un de ces joyeux compagnons à investir son postérieur laissé à l’abandon, le russe agripe le visage de Mallory et parvient à enfourner entièrement son chibre titanesque. Elle lutte comme elle peut mais je la vois qui s’étouffe. Le slovaque se place alors derrière elle et la sodomise sans préavis, reproduisant le rythme du soviétique qui a finit par la libérer. N’en pouvant plus il se cabre et remplit le préservatif de semence épaisse en quelques coups de reins. 
Cela donne des idées à notre nouvel arrivant qui s’écarte de la belle pour prendre place entre ses fesses. De sa poche il sort une capote XXL qu’il enfile, puis empoigne ces deux globes de chair, pointe son membre distendu sur l’œillet éprouvé et commence à pousser avec détermination. Mallory ne peut retenir ses cris, la queue qui l’envahit est bien plus grosse que ce qu’elle a connu auparavant. Alors que la verge veineuse disparaît lentement dans ses tréfonds, je me surprends à empoigner mon sexe pour me branler devant cette scène sublime. 
— Alors tu aimes ça ma salope ? la questionné-je — Oh oui Maître.... halète-t-elle— Elle est bonne sa queue hein ? Il te défonce bien ?— Oui Maître... c’est si bon... J’adore ça...
L’expression que je lis sur son visage contredit ses mots. Elle ment pour me faire plaisir, ça se voit comme le nez au milieu de la figure. C’en est terriblement bandant. Pour en être certain, je vais pousser le bouchon un peu plus loin.
— Tu en veux plus ?— Oui s’il vous plaît... dit elle d’un ton suppliant alors que le russe continue de s’enfoncer en elle— Alors suce-les, ordonné-je en désignant l’allemand et le français toujours en train de se branler
Les deux hommes viennent face à elle et chacun à leur tour, elle les astique avec une ardeur sans pareille. Ils ont même l’audace de fourrer leurs deux membres en même temps dans la cavité étroite. Le russe quant à lui, entreprend de bien limer son petit cul redoublant d’ardeur alors qu’il lui saisit les seins pour se propulser plus loin. Mallory jouit soudainement, son cri étouffé par les deux verges, les yeux se revulsant. Mais cela n’arrête pas ses assaillants qui poursuivent leurs explorations avec la même intensité.
Il faut en finir, la voir se faire déchirer le cul me rend complètement fou. Moi aussi j’ai envie de profiter de ce sublime fessier, le ruiner totalement, avec l’aide de mes nouveaux amis. Je m’approche et fait comprendre au russe mon envie de participer et mes projets pour cette garce. Il s’assied sur le sol et transporte Mallory comme une poupée de chiffon pendant que j’enfile un préservatif. Au moment où il présente son imposant membre devant sa chatte, je le dissuade: 
— You and me in her ass, dis-je d’une voix assurée, préférant utiliser l’anglais pour être certain d’être compris.— Putain, vous allez la prendre les deux par le cul ? s’étonne le français, les yeux brillants d’excitation. — Ouais, elle va bien déguster. Hein ma petite chienne tu vas aimer ça te prendre deux bonnes bites dans ton cul ? questionné-je.
Mallory, la bouche pour le moment libérée, a une lueur de panique dans le regard. Elle appréhende cette massive invasion, ne parvenant pas à me répondre. Je lui tire les cheveux en arrière et lui repose la question afin d’être certain de son accord. 
— Est-ce que tu es prête à recevoir nos deux queues dans ton cul ?— Oui Maître, fait-elle d’une toute petite voix. — Je n’ai pas compris, dis moi ce que tu veux, insisté-je — Je... Je veux... que vous me preniez tous les deux...— Où ça ? l’interrogé-je en mordillant son cou— Dans mon cul... capitule-t-elle — Tu vas être servie salope. 
Je relâche ses cheveux et empoigne ses fesses à deux mains pour contempler le trou béant et faciliter l’accès à la monstrueuse verge qui entre petit à petit dans son fourreau. Une fois à l’intérieur, je peux à mon tour me placer et tenter de me frayer une place dans le conduit déjà occupé. C’est si serré que je suis obligé de pousser fort pour finalement réussir à entrer le gland. Mallory serre les dents, tentant de retenir ses larmes et contenir ses plaintes. Ses doigts ont agrippé les bras musclés de l’homme en dessous et je vois ses jointures blanchir tellement elle les crispe. 
Avec lenteur je coulisse dans son écrin, mon sexe comprimé par celui du russe. La sensation est inimaginable, un pur régal ! Je ne me contrôle plus et débute un frénétique martelage, lui arrachant des cris de plus en plus sonores. 
— Tu cries comme une chienne salope, dis-je en faisant signe aux autres d’approcher pour la faire taire. 
Chacun à leur tour, le français, l’allemand et même le slovaque, à qui la scène a redonné de la vigueur, se démènent dans sa bouche et finissent par se vider sur son visage baigné de larmes et de mascara. Le sperme macule ses joues et dégouline sur ses seins ballotés par nos à-coups. La voir souillée de cette façon amplifie mon plaisir à tel point que je n’en peux plus. Il faut que je la salisse aussi. Je quitte alors cette intense étreinte pour venir lui présenter ma queue avec laquelle je récolte le sperme qui coule de son menton. Je lui enfourne alors au fond de la gorge, avant de me répandre en un long râle, immobilisant sa tête contre mon torse pour qu’elle en avale chaque goutte.
 Une fois les vapeurs de l’orgasme évanouies, je constate avec un plaisir non feint à quel point elle semble à bout. Elle en a assez, cela se lit sur son visage. Elle encaisse pourtant les derniers coups de reins sauvages du russe ainsi que l’abondante faciale qu’il lui prodigue, s’assurant que je la regarde bien s’appliquer. 
Une fois l’affaire terminée, chacun se rhabille et échange quelques remerciements et nous nous retrouvons finalement seuls dans ces toilettes publiques. Je sais que je devrais l’aider à se relever et à se nettoyer, mais je n’en ai pas la force. Au lieu de cela, je la presse d’une voix autoritaire.
— Tu devrais te dépêcher de te rhabiller avant qu’il ne me prenne l’envie de rester plus longtemps. J’espère que ça t’a plu, car nous allons sûrement revenir. Du moins, si tu es toujours d’accord de te soumettre. — Tout ce que vous voudrez Maître, je vous suis dévouée entièrement, m’assure-t-elle d’un regard suppliant 
Ses mots sont agréables à entendre mais je peux lire dans ses yeux ce qui se trame dans sa tête. Elle est prête à beaucoup de choses pour que je la garde or, je sens que sa motivation n’est pas l’amour mais la cupidité. Elle n’est donc pas encore assez bousculée pour céder et abandonner cette vie aisée que je lui offrais. Même si aujourd’hui j’ai pu voir sa confiance s’ébranler et son masque se fissurer, il va falloir encore aller plus loin.
Ou bien... trouver un autre angle d’attaque ! Une idée me vient alors, diabolique et idéale. Je sais exactement comment faire cette fois et ma vengeance sera enfin assouvie. Ils auront tous ce qu’ils méritent.
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