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Soumis à ma belle fille

Chapitre 1

Présentation des parents

Inceste
Nous sommes en avril deux mille vingt deux— Antoiiiiine ……— Dépêche-toi, !!!!— Magne putain !— Pffff quel boulet tu fais !! Magne toi espèce d’obsédé !!— A genoux .. Vite !
Ceci est mon quotidien depuis près d’un an.Elle m’en fait baver et je ne peux rien dire.Elle ?Ah oui, elle, c’est la fille de ma compagne. Jolie plante tout juste majeure depuis quelques jours avec un caractère plutôt bien trempé. Ah ça !Mais qu’est ce qui m’a pris ce jour-là.
Bon je vais quand même vous resituer les faits pour mieux comprendre cette histoire et les enchainements qui m’ont amené à devenir une sorte de petit chien à ses ordres.
Nous voici en juillet deux mille dix-huit, il y a quatre ans.Nous habitons dans le sud-est de la France dans un petit village agréable à coté de Aix en Provence.
Je viens d’emménager chez ma nouvelle compagne dans sa maison typique du sud avec ses couleur pastel, petite pelouse avec un terrain assez grand en hauteur et entourée d’oliviers avec le son des cigales en quasi-permanence.
La terrasse bien ombragée donne sur une piscine que je viens de faire installer et dont nous profiterons assez largement une bonne partie de l’année grâce au climat très clément de notre région.

Nous ! ah oui, il serait bien de vous décrire notre petite famille.
Moi, antoine quarante-huit ans, assez grand, mais mince, imberbe et sans être trop efféminé, je suis assez loin, voir à l’opposé de ce qu’on appelle un homme viril ou dominant ou male alpha.

Ne cherchant pas la confrontation, avec mon caractère plutôt doux, j’ai souvent tendance à me faire marcher dessus quelquefois à la maison, et au boulot notamment par une jeune collègue mais cela sera une autre histoire.Comptable dans le bâtiment avec des horaires assez souple et pas mal de télétravail depuis la covid, à la suite de cette crise sanitaire, je suis régulièrement à la maison, allant au bureau surtout le lundi pour les réunions de service.
Du coup, je me suis installé une jolie pièce qui me sert maintenant de bureau et qui donne sur la terrasse et la piscine.
Certes, pas toujours facile de travailler avec ces conditions me dit ma collègue lorsque nous plaisantons au téléphone.Mais cela permet des intermèdes réguliers pour me rafraichir le midi ou des moments plus coquins le soir et parfois la journée quand nous sommes seuls avec ma compagne.
Qu’il est doux et agréable de se baigner nus et de se coller l’un contre l’autre et plus bien sûr.
Elle, Valérie, c’est une charmante brunette de quarante-deux ans et cinquante-trois kgs aux cheveux longs, d’un noir très profond, brillant et bouclés.
Assistante administrative dans la fonction publique, pas très grande mais très fine avec tout ce qu’il fallait pour se faire retourner les hommes et plus discrètement, quelques femmes, sur son passage.
Il faut dire que montée sur ses talons de sept cm, elle arrive tout juste à un mètre soixante-cinq. Mais que son décolleté vertigineux et souvent plutôt libre de tout soutien attire le regard plus que de raison avec un 85C. Certes on n’est pas dans l’opulence mais la nature a décidé, en plus de ses yeux bleus quasi transparent et magnifiques, de lui offrir une poitrine dont le maintien fait pâlir de jalousie de nombreuses jeunes femmes.
En plus, ils sont son point érotique peut être le plus sensible. En tout cas, j’ai rarement vu auparavant une femme capable de jouir en caressant simplement sa poitrine et en titillant ses tétons qui ressortent comme de jolies framboises bien rougies, dures et toutes fripées dès qu’elle ressent un brin d’excitation.
Autant vous dire que je ne me gêne pas d’en profiter. Et encore plus depuis qu’elle a accepté de céder à la mode no bra. Bon au début, c’était uniquement à la maison le no bra.
Ce ne fut pas simple car elle est plutôt réservée mais au fur et à mesure de mes encouragements, elle s’est découverte de plus en plus libérée à ce sujet et ce même devant des amis quelquefois qui passent à l’improviste.
Je vois bien que leurs regards dans ces moments-là, dévient souvent vers les petits bouts pointant et très visibles sous ses chemisiers légers.
Mais Valérie, gênée au début, s’en amuse maintenant et trouve même ça plutôt une preuve de séduction de montrer ses petits tétons tous durs.
J’adore ces moments ou quelquefois ils baissent les yeux quand elle relève les siens leur montrant d’un simple regard de ses yeux bleus qu’elle a bien vu qu’ils sont en train de mater ses seins !
Depuis, il arrive fréquemment qu’elle sorte dans la rue ou au restaurant sans rien sous ses chemisiers pour mon grand plaisir mais aussi celui des passants.
C’est fou de constater que deux minuscules formes pointant à travers le tissu attire le regard de tous les hommes que l’on peut croiser. Quel pouvoir érotique !
Mais un de mes plus grands moments érotiques avec Valérie fut cette surprise un jour où nous étions en vacances.
La même année deux mille dix-huit, nous nous promenons tous les deux sur la fameuse place de la comédie à Montpellier sous une température estivale de près de 35 degrés.
Vêtue ce jour-là d’une jolie robe légère courte et très flottante d’un ton orangé avec de petites fleurs dessus, nous flânons dans les petites rues et les magasins où la climatisation tourne à fond.
Et d’ailleurs grâce à cette dernière, j’ai bien remarqué, comme d’autres, que Valérie est sortie en laissant sa lingerie à la maison car le frais fait se tendre ses adorables tétons et ces derniers déforment légèrement sa petite robe.
Plus tard, comme je regarde « discrètement » moi aussi, elle me lance avec un sourire, une petite remarque du genre « Mais arrête de me mater petit voyeur ».
A ce moment-là elle s’éloigne de moi toute souriante et toute heureuse de l’effet qu’elle me fait. Mais catastrophe (enfin pour elle), sur la grande place de Montpellier, il y a une grande grille de ventilation pour l’aération du tunnel routier sous la place de la comédie.
Cela génère un grand courant d’air ascendant.
Et ce qui devait arriver, arriva, la robe de Valérie a été littéralement propulsée en hauteur. Je vois son visage et son regard changer d’expression, totalement surprise et paniquée.
Et d’un coup je compris sa panique. A la vue de tous, son petit abricot tout lisse surmontée d’une adorable touffe brune se dévoile aux rayons du soleil et montrant aux voyeurs de l’autre côté, une adorable paire de fesses bien fendue.
Cette coquine m’a cachée qu’elle n’a aucun dessous.
Le temps d’une demi-seconde pour réagir, tout le monde s’aperçoit qu’elle a un petit cul tout mince, très musclé ou se devine une petite étoile plissée avec quelques poils autour.
Elle rabat promptement sa robe et me prenant le bras nous force à s’éloigner sous le regard des voyeurs habitués et des passants heureux de cet incident, elle toute rouge de honte et moi tout heureux.
Le soir, à l’hôtel nous avons fait l’amour intensément.Puis, enlacés tendrement ensuite, je lui dis qu’elle était particulièrement belle et excitante avec sa robe tirebouchonnée autour d’elle au-dessus de la bouche d’aération et que j’ai adoré cette surprise de la voir sans dessous.
Elle me dit, les joues légèrement roses, qu’elle a eu super honte sur le moment.
Cela devait être une surprise pour notre sortie au restaurant du soir mais que finalement après coup cette exhibition involontaire l’a particulièrement excitée.
Je m’en suis bien rendu compte vu le moment très fort que nous venons de passer dans ce lit d’hôtel.
Pas simple de mettre en mots ce que j’ai pu vivre . Mais prêt à m’améliorer :)La suite avec le reste de la famille
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