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Soumis à un groupe d'hommes

Chapitre 2

Gay
Début juin, j’ai reçu un message de Laurent qui m’a demandé de me libérer deux jours plus tard, le mercredi, de 15 heures à 17 heures. J’ai évidemment fait en sorte d’être libre, excité rien qu’en imaginant ce qui allait se passer. Je n’ai pensé qu’à ça jusqu’à ce que le grand jour arrive.Le mercredi, je me suis préparé en début d’après-midi. Après avoir pris une longue douche, je suis allé dans la chambre pour m’habiller, sauf que j’ai eu envie de jouer un peu avec un gode avant de partir chez Laurent. En ouvrant le tiroir de la table de chevet, j’ai hésité entre mon gode et un plug. J’ai opté pour le plug, pour mieux me préparer. Avec l’aide d’un peu de lubrifiant, j’ai inséré le sextoy en moi. Je l’ai fait un peu bouger, je sentais mon anus bien dilaté. Alors que je me faisais du bien, je me suis rendu compte qu’il était l’heure de partir en regardant mon réveil. J’avais très envie de sentir des queues en moi, envie de me sentir salope, bien plus que lors de notre précédent rendez-vous. J’ai décidé d’y aller en gardant le plug en moi. Cette fois, je me suis habillé pour partir.Sur la route, je sentais l’objet dans mon cul, c’était une sensation assez étrange. Arrivé devant l’appartement de Laurent, cette fois, je n’ai ressenti aucune appréhension. Au contraire, j’avais hâte de commencer. J’ai frappé à la porte, Laurent m’a ouvert et m’a fait entrer. Après avoir déposé mon téléphone dans une boite, j’ai salué les autres hommes déjà tous présents. Laurent m’a dit :  - Tu connais le chemin. On t’attend dans la chambre.Dans la salle de bain, je me suis déshabillé entièrement et j’ai retiré le plug pour vérifier que j’étais encore clean. Je suis allé les rejoindre dans la chambre, et là, j’ai été surpris de voir qu’ils étaient tous déjà entièrement nus. Instinctivement, je suis allé sur le matelas, en restant debout toutefois. Laurent a alors lancé :   - Mets-toi à genoux !Je me suis exécuté. Il s’est approché pour que je le suce. Sa queue était encore molle, mais elle a rapidement pris de l’ampleur. Je prenais du plaisir à la sucer. Le goût, l’odeur d’une belle bite, la sensation de se sentir observé par d’autres hommes et le fait de donner du plaisir, tout m’excitait.Les cinq hommes se sont succédés pour me faire goûter leur sexe. Je me sentais de plus en plus comme leur objet sexuel. Certains disaient des mots crus, d’autres m’encourageaient, l’un est resté silencieux. Il y avait différents types de mecs et différentes tailles et formes de queues (je dois bien dire que je prenais plus de plaisir avec les plus longues).Une fois que tous se sont fait sucer sans qu’aucun n’ait joui, un des mecs m’a demandé de me mettre à quatre pattes. Aussitôt, il m’a mis du gel sur l’anus et m’a pénétré assez violemment, ce qui m’a surpris et m’a arraché un grand cri. Je me suis dit "heureusement que je me suis préparé avant de venir !". Je n’avais pas mal, au contraire. Ses longues pénétrations m’ont fait immédiatement beaucoup de bien. J’en avais tellement envie, j’en avais presque besoin. Je gémissais de plus en plus et je ne faisais absolument rien pour retenir ces gémissements. Je me laissais complètement aller. Je ne connaissais même pas le prénom de celui qui m’enculait et je m’en fichais. Tout ce qui comptait, c’était le bien qu’il me faisait avec sa queue.Il s’est retiré d’un coup, me frustrant totalement. Je suis resté dans la même position, pensant qu’un autre homme prendrait le relai, mais non. Le plus âgé s’est approché et m’a longuement doigté. Il savait y faire, il m’appuyait sur la prostate. Plusieurs fois, je me suis retourné pour voir son visage fasciné devant mon anus, comme un enfant le serait avec son nouveau jouet. Il s’est arrêté après plusieurs minutes pour me sodomiser lui aussi. Comme son sexe était assez petit, je ne prenais pas un plaisir immense. J’étais presque content quand il est sorti de moi, assez rapidement d’ailleurs. Je me suis dit que j’allais pouvoir profiter d’un plus gros sexe.Un homme s’est approché et s’est allongé sur le lit. Alors que j’allais le sucer, j’ai remarqué qu’il avait mis une capote. Je suis donc venu m’asseoir sur sa queue totalement dressée. Elle était assez fine mais longue. Je me suis empalé dessus d’un seul trait. Je la sentais bien en moi, et en plus, c’est moi qui contrôlais le rythme. Je le regardais dans les yeux tout en m’activant sur son sexe. Il me disait des mots comme "t’es une bonne chienne" ou "t’aimes te faire enculer" et il me donnait des fessées de plus en plus appuyées. Je me sentais totalement possédé par cet homme alors que pourtant j’étais au-dessus de lui. Je faisais totalement abstraction des mecs autour de moi. Ça a duré quelques minutes, je ne saurais pas dire combien, puis il m’a dit de me relever.J’étais à genoux sur le matelas, attendant une queue. Je n’ai attendu que quelques secondes. Laurent m’a d’abord fait sucer sa belle bite, puis il m’a dit de me mettre à quatre pattes à nouveau. Il a mis une capote et m’a enculé d’un coup. Voyant que son sexe était rentré avec une grande facilité, il a entamé de rapides et profonds va-et-vient. J’ai dû lui demander de remettre un peu de lubrifiant. Une fois qu’il l’a fait, c’était encore plus agréable. Rapidement, il m’a dit de m’allonger sur le dos, les jambes relevées. Il m’a pénétré plus lentement cette fois. Je sentais bien sa queue en moi dans cette position, je contractais même parfois mon anus pour encore mieux la sentir.A un moment, il m’a pris par les chevilles et m’a fait plier les jambes. Ainsi, mes genoux étaient presque contre mon torse et j’avais le bassin légèrement relevé. Laurent regardait sa bite entrer en moi lentement mais profondément, c’était vraiment très bon. Je sentais le plaisir monter en moi. D’ailleurs, je gémissais à chaque va-et-vient qu’il faisait dans mon cul et j’ai laissé échapper à plusieurs reprises des "oh putain". Je sentais que mon gland, déjà bien humide, commençais à couler. L’homme qui m’enculait m’a regardé, entre surprise et excitation, et m’a demandé :   - T’es en train de jouir ou quoi ?  - Continue... Putain, là ! Continue !Il appuyait sur ma prostate avec sa queue. J’étais au bord de l’orgasme. Les autres mecs riaient, mais je n’y prêtais pas attention. A vrai dire, je ne portais plus attention à rien. Quelques secondes plus tard, une vague de chaleur et de plaisir m’a envahie. J’avais les yeux fermés et pendant un bref instant, c’était l’extase total. A peu près au même moment, Laurent s’est planté au fond de moi et a joui lui aussi.Quand j’ai repris mes esprits et que j’ai ouvert les yeux, celui qui venait d’éjaculer en moi me regardait fixement. Il a lancé :   - Waouh ! Ça t’arrive souvent ?  - Non, pas souvent...Je n’avais plus d’énergie, j’avais l’impression d’avoir couru un marathon. En regardant Laurent sortir sa queue de moi, j’ai constaté que j’avais pas mal de sperme sur mon ventre, mon propre sperme.Je suis resté allongé sans rien faire, jusqu’à ce que l’homme avec le sexe le plus épais s’approche de moi. Il portait déjà une capote. Il m’a relevé les jambes et m’a pénétré doucement, sans aucune difficulté. Par contre, ce n’était pas très agréable, surtout au début. Ca ne me faisait pas vraiment mal, mais la sensation était moins bonne. Il me tenait par les pieds pour maintenir mes jambes en l’air et surtout, son regard ne quittait pas le mien. Il semblait beaucoup aimer me posséder, m’utiliser comme un vulgaire trou. Au fur et à mesure, la pénétration devenait de plus en plus agréable. J’ai été d’autant plus frustré qu’il s’est relevé sans me prévenir alors que le plaisir grandissait en moi.Là, l’homme le plus vieux des cinq est venu vers moi. Il m’a dit de le sucer. J’étais un peu déçu, j’avais encore envie de me faire prendre, mais bon... J’ai mis sa petite queue entre mes lèvres. Il me regardait avec un air pervers et il me demandait :   - Tu aimes la bite hein ?  - Oui.  - Dis-le !  - J’aime la bite.Habituellement, je n’aime pas spécialement ça, mais là, ça m’excitait encore plus. Il m’a fait dire d’autres choses, comme par exemple : "je suis une bonne salope". Les autres riaient, moi j’étais dans un état second. Quand il m’a dit :   - Putain ça vient ! Je vais gicler sur ta gueule !J’ai arrêté de le sucer. Il s’est branlé à quelques centimètres de mon visage et un premier jet est venu s’écraser sur ma joue. Son éjaculation n’était pas très abondante mais ça m’a vraiment beaucoup excité. Les autres mecs s’étaient rapprochés pour voir le spectacle de plus près. Je n’ai pas eu le temps de faire quoi que ce soit qu’un autre homme m’a éjaculé dessus à son tour. Cette fois, ce sont cinq ou six jets qui m’ont couvert le visage et le cou. Je me sentais à leur merci, humilié, et j’adorais ça. Je me sentais moi-même à deux doigts de jouir.Les deux derniers qui ne s’étaient pas encore vidés (celui avec la queue la plus épaisse, et celui avec la plus longue) ont voulu que je les branle un peu. Ils ont eux-aussi lâché leur jus bien chaud sur mon visage et mon torse. J’en avais partout, je sentais que ça dégoulinait. J’étais aux anges.Il y a eu un silence de quelques secondes. J’étais encerclé par cinq mâles qui venaient de jouir sur moi. Et puis, Laurent a lancé :   - Bon, il va falloir le nettoyer maintenant !Ils se sont tous mis à rire. Il m’a dit :  - Lève-toi !Il est allé dans la salle de bain, je l’ai suivi, tout comme les autres hommes d’ailleurs. Il m’a alors dit :  - Allonge-toi dans la baignoire.Je me suis exécuté. Il a fermé le bouchon. J’avais bien sûr compris ce qui allait se passer. Ils étaient tous nus devant moi. Sans prévenir, l’un d’eux a commencé à me pisser sur le torse. Il a rapidement dirigé le jet vers mon visage. Je me sentais humilié et j’adorais ça ! Ma queue était dure comme du bois. Certains disaient des mots crus. Dès que le premier homme a fini de se vider la vessie sur moi, un autre l’a remplacé. Celui-ci m’a pissé uniquement sur le visage. Le troisième, lui, m’a arrosé tout le corps. Le quatrième, le plus vieux, a d’abord visé mon visage, puis il a ensuite pissé sur ma queue. Si ça avait duré ne serait-ce qu’une seconde de plus, je crois que j’aurais éjaculé. Il ne restait plus que Laurent, sauf que ce dernier n’a rien fait. Il a invité les autres à partir. Il est allé avec eux dans la grande pièce. Avant de partir, l’un des mecs m’a remercié et m’a dit qu’il avait hâte de me revoir.Je suis resté dans la baignoire, les pieds trempant dans la pisse. Je me suis même surpris à caresser mon torse et mon ventre. Laurent est alors revenu dans la salle de bain. Visiblement surpris que je sois resté ainsi, il m’a demandé :  - Qu’est-ce que tu fais ?  - Eh bien... Je t’attendais.  - Pour ?  - ...  - Ah... Euh... Non, désolé. Je n’aime pas trop, j’aurais dû te le dire.  - Dommage...Il s’est lavé sommairement au lavabo et a quitté la pièce en me disant :  - Je t’attends à côté.J’ai pris une bonne douche bien méritée, puis je me suis rhabillé. J’ai regardé ma montre, il était 16h30. Je n’avais pas vu le temps passer. Nous avons parlé un peu, Laurent et moi. Je lui ai confié avoir adoré et que j’avais déjà envie de recommencer. Il m’a avoué qu’il ne pensait pas trouver quelqu’un comme moi, et qu’en me voyant la première fois, il était loin d’imaginer me voir faire tout cela.Nous sommes partis un peu avant 17h. Quand je suis rentré, ma femme était à la maison. Je lui ai raconté mon après-midi dans le moindre détail. Quand je lui ai narré ce qu’il s’était passé dans la salle de bain, je l’ai senti très intéressée. Elle m’a dit :  - J’aurais bien voulu voir ça !Durant l’été, je suis retourné chez Laurent trois fois, et les trois fois se sont passées à peu près de la même manière que l’histoire que je viens de raconter, si ce n’est qu’avec les vacances, le petit groupe de cinq n’était pas toujours au complet.
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