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Soumis par le père de ma copine.

Chapitre 2

Un séjour en montagne permet à un beau-père de passer un moment privilégié avec son gendre.

Gay
Philippe roulait posément au milieu d’une forêt dense dont le vert profond se reflétait sur le capot de sa voiture. Je me tenais sur le siège passager, le cœur battant. J’espérais ne pas commettre une erreur. Le retour à la vie normale m’avait fait l’effet d’un électrochoc, la fin d’une parenthèse irréelle. Que m’était-il arrivé ? Pour quelle raison avais-je laissé cet homme, mon beau-père de surcroît, me posséder ainsi ? Le sentiment de honte que j’éprouvais était cependant largement occulté par le plaisir coupable que je ressentais en me remémorant ce moment honni. J’avais tenté de reprendre une routine, me persuadant qu’il ne s’était agi que d’une bouffée délirante. Ni lui ni moi n’en parlerions, et cela resterait un invraisemblable secret.
Ma compagne, la fille de celui avec qui j’avais péché, ne me fit aucune remarque concernant mon caractère, j’en vins donc à croire que tout allait pouvoir reprendre son cours normal. Cependant, il n’en était rien, et je commençais à déceler d’importants changements. De manière presque instinctive, je cherchais à présent des réminiscences de mon beau-père dans le quotidien. Dans la foule, les hommes aux cheveux gris attiraient irrémédiablement mon regard, et parfois, lorsque mes collègues ne prêtaient pas attention, je jetais un œil à leur entrejambe, découvrant parfois des spectaculaires renflements, tels que celui d’Henri. Je me surpris même à dévisager mon patron, avec d’étranges pensées en tête. L’homme n’était pourtant pas particulièrement attirant, un soixantenaire au visage austère et buriné de rides, affublé d’une calvitie presque complète.
Mais lorsqu’il se penchait par-dessus mon épaule, et que je sentais son souffle chaud, je me demandais si c’était le même souffle qu’il exhalait lorsqu’il était en pleine besogne, enfonçant sa virilité sans vergogne. Que m’arrivait-il ? Ces pensées et ces envies sont-elles vraiment miennes ? Dérouté, je tentais d’oublier, d’effacer, d’oblitérer ces pulsions embarrassantes de mon esprit, mais une violente trique me réveillait chaque nuit, et je me relevais en sueur, un désir brûlant me dévorant.
Je tentais de compenser auprès de celle qui partageait ma vie, et dont le père me causait tant de tourments, redoublant d’efforts et d’attentions. Ma libido était hors de contrôle, je pouvais rester sans aucun désir pendant de longues périodes avant de me retrouver soudain à la démonter, lui procurant des orgasmes sonores. Elle me comblait de louanges, m’assurant notre couple n’avait jamais été aussi solide. Je ne faisais rien pour l’en dissuader. Je m’épuisais tant à déployer des efforts titanesques pour dissimuler les questions qui me taraudaient, si bien qu’un jour je finis par céder au désir insidieux qui m’habitait. Sans que je puisse me contrôler, je m’entendis demander à ma compagne, comme si c’était un autre que moi qui franchissait le Rubicon :
— Au fait, est-ce que l’invitation de ton père à le rejoindre dans son pavillon en montagne tient toujours ?
Le reste alla très vite, et presque un mois plus tard, je sortais de l’aéroport pour faire face à Philippe qui m’y attendait pour me conduire en sa demeure. Il m’attendait, adossé à sa voiture, un modèle de collection bon marché. Il n’était pas homme à faire étalage de sa fortune. Philippe était un grand homme, la cinquantaine bien marquée. Ses cheveux, encore bien épais, oscillaient entre le gris et le blanc mat. Il possédait un long nez, des bajoues bien visibles et une stature droite et fière. J’étais perclus d’une certaine raideur à ses côtés, craignant de faire un faux pas ou de découvrir que je m’étais illusionné. Il m’ouvrit la portière, me demandant poliment si mon voyage s’était passé, et sitôt que je fus installé, il prit la route.
Le voyage fut sans événements notables. Nous conversâmes posément, sans que je ne puisse me départir du trac qui me tiraillait. Derrière un dernier virage, je pus enfin apercevoir la demeure où nous allions séjourner. Il s’agissait d’un pavillon, d’une architecture somme toute impressionnante. De bois et de verre, l’habitat était isolé dans la montagne, aucune âme qui vive à plusieurs kilomètres à la ronde. L’intérieur de la résidence était sobre, décoré d’un ameublement en bois, un florilège d’étagères bondées de livres, et quelques rares tableaux pour habiller les murs. Le pavillon me fit grande impression, et Philippe sembla s’en réjouir. Philippe s’enivrait de l’influence qu’il avait sur moi, de sa capacité à pouvoir déstabiliser. Et il ne faisait aucun doute qu’il avait trouvé en moi un partenaire très réceptif. Après avoir déposé mon sac de voyage dans ma chambre, une pièce intime sous les combles avec vue sur un bois trempé, je descendis le rejoindre.
La journée débutait seulement, le temps était automnal, une très légère bruine tapant sur les carreaux. Nous étions les deux, seuls, à l’écart de tout.
Il me dit alors :
— Allons faire un tour de vélo. Le temps s’y prête.
J’affichais une mine surprise, mais je suivis néanmoins Philippe, ne songeant même pas à protester. Il me guida dans la maison jusqu’à une petite buanderie dans laquelle il me désigna un panier en osier :
— Tu trouveras une tenue là-dedans. Enfile-la et rejoins-moi dehors, je t’attendrais avec les vélos.
J’opinais, m’approchant du panier sur lequel reposait une tenue de cycliste. Lorsque je m’en saisis, je la sentis poisseuse. Philippe m’informa alors d’une voix posée :

— C’est la mienne. Je l’ai utilisé ce matin. – Et il quitta la pièce.
Je secouais la tête, incrédule, tenant dans les mains le vêtement exhalant de l’odeur de transpiration musquée de Philippe. Puis je me déshabillais et enfilai le vêtement, le tissu poisseux de sueur collant à ma peau. Il n’avait pas perdu de temps à me confronter à son autorité. Lorsque je fus vêtu, je rejoignis Philippe. Il m’attendait devant la maison, à califourchon sur un vélo, en tenant un second dans sa main. Il se tenait fier, sa tenue en lycra dessinant son corps et ses bras noueux. A mesure que mon regard s’appesantissait sur lui, ma gorge s’asséchait et je sentais monter en moi un irrésistible désir. Alors que je me saisissais de mon propre vélo, j’osais une remarque :
— La dernière fois également, nous étions partis en excursion.
Philippe se contenta de me sourire, me tendit un casque et nous nous mirent en route. Les environs étaient à couper le souffle, nous slalomions entre les vallées, grimpant au milieu de chemins verdoyants. Ma tenue dégorgeait de ma sueur, à laquelle se mêlait celle Philippe dont elle était déjà imbibée. Nous ne parlâmes que rarement, hormis pour nous indiquer des points de vue dignes d’intérêt ou des animaux qui fuyaient à notre passage. Nous ne croisâmes personne. Philippe garda un rythme calme, mais soutenu. J’étais concentré, profitant de l’effort pour apurer toutes mes pensées parasites. Je trouvais agréable le fait de pédaler ainsi, de concert.
Notre virée prit fin au sommet d’une haute colline, sur un promontoire isolé. Laissant mon vélo contre un arbre et je m’avançais sur la saillie. Nous avions bien grimpé, en contrebas, je pouvais apercevoir la vallée pluvieuse et silencieuse. Je repris mon souffle, et mes forces, en contemplant le paysage, puis je me retournais vers Philippe. Il se tenait face à moi, un pied surélevé posé sur un rocher, ses mains négligemment posées sur ses hanches, son short distendu par son imposante virilité que j’avais soigneusement tenté d’occulter jusqu’alors. Mon pouls s’emballa aussitôt. Philippe me fixa, puis me dit :
— Approche.
La gorge sèche, j’obéis à sa voix profonde. Ses yeux d’acier fixés sur moi, il attendait, stoïque, que j’atteigne sa hauteur. Il posa alors son majeur sur mes lèvres, et lentement, le fit pénétrer dans ma bouche. Son regard planté dans le mien, je laissais son doigt circuler, mes lèvres humidifiant les poils gris de ses phalanges. Il caressa mes lèvres, le bout de ma langue, puis m’ordonna :
— A genoux.
Répondant à l’ordre impérieux, je me mis à terre, mes articulations enfoncées dans le sol détrempé, faisant face au short en lycra de Philippe mis à rude épreuve par la colossale verdeur. M’attrapant la tête d’une main, il avança doucement mon visage vers son bassin. Ma bouche se retrouva plaquée contre l’énorme membre qui bosselait le tissu. Je voulus le saisir, mais Philippe m’en empêcha. Fou de désir, je n’eus d’autre choix que de m’activer à l’aide de mes lèvres. Je tentais d’attraper et de faire glisser le membre que je sentais dur et chaud. Philippe, examinateur silencieux, se divertissait de mes efforts à saisir sa queue inaccessible. Je respirais bruyamment, embrassant, suçant et léchant sans aucune retenue son entrejambe. Ma salive se mêlait à la sueur de son short, et je pouvais à présent voir le gland imposant se dessiner en transparence.
— Elle te fait toujours autant envie, n’est-ce pas ?
Je levais les yeux vers Philippe qui s’était adressé à moi d’un ton calme. Il lut ma réponse dans mes yeux. Il me fis alors signe de me relever. Je repris un peu le contrôle de moi-même, le sang battant dans mes tempes. Il n’avait fallu qu’un instant pour que le jeune homme un peu gauche que j’étais, ne devienne un sous-fifre docile avide de son membre viril. Philippe n’était pas le seul à bander copieusement, mon propre short était barré de l’érection de ma vie. Je crevais d’envie de me jeter à ses genoux et de laisser l’engin obstruer ma bouche, sentir sa dureté me posséder. Et Philippe le savait pertinemment. Tout comme il savait que plus il prolongerait l’attente, plus je devenais malléable à ses désirs. Je le vis enfourcher son vélo. Je pris sa suite, et nous pédalâmes en direction du pavillon.
Le retour ne fut pas aisé, entre les images qui occupaient mon esprit, et mon érection qui ne se calmait pas, je finis le trajet dans un état second. Une fois arrivé à la demeure, Philippe m’ordonna de laisser mon vélo en plan, d’aller me doucher et de le rejoindre dans le dressing. L’eau chaude m’apaisa un peu sans pour autant éteindre mon désir. En sortant de la pièce, je découvris que j’avais cette fois le luxe d’avoir d’une serviette à disposition, ainsi que des vêtements laissé à mon intention. Un pantalon, une chemise et une cravate. Je m’en vêtis avant de rejoindre Philippe qui m’attendait. Il portait une chemise blanche au col bleu évasé, une cravate au nœud impressionnant, aux tons bleutés et cuivrés, et un pantalon noir simple et cintré.
— Entre.
Je fis quelques pas tandis qu’il m’examinait sans pudeur. Philippe avait une prestance folle et je me sentais aussi timoré que la première fois où j’avais croisé son regard.
— Mets-toi genoux. - M’ordonna-t-il.
J’obtempérais. Il dégageait une autorité presque palpable.
— Embrasse mes chaussures.
Déglutissant, je me mis à avancer graduellement ma tête, mais un claquement de doigts sonore, au niveau de mon visage, me pressa :
— Plus vite que ça.
Je me jetais sur ses chaussures lustrées, y apposant mes lèvres. Mon cœur battait la chamade et la voix caverneuse de Philippe résonnait dans mon crâne. L’odeur du cuir envahit mes narines. Tandis que je me mis à baiser les godasses de celui qui me dominait, il joua à nouveau de sa voix :
— Lorsque je donne un ordre, tu obéis.
Je hochais la tête, mais ce ne fut pas suffisant. Philippe m’agrippa par le nœud de cravate et redressa mon menton :
— Je veux entendre oui Monsieur.
Une adrénaline chaude parcourut mon corps.
— Oui Monsieur.
Philippe resta de marbre, me fixant toujours, puis, me tenant toujours par la cravate, il fit glisser la fermeture sa braguette de son autre main, d’un geste lent et étudié. L’engin était encore plus imposant que dans mes souvenirs, lisse, massif et démesuré. Philippe ne bandait pas, pas encore, mais son gland était déjà parfaitement visible. Il me laissa me repaître de la vision de son membre qu’il laissa choir devant à moi. Mes yeux trahissaient mon désir. Philippe m’accorda le loisir de dévorer son anatomie du regard avant de me donner la suite de ses instructions :
— Tu vas t’atteler à satisfaire mon énorme verge, est-ce clair ?— Oui Monsieur.
Je tremblais d’excitation, m’approchant pour remplir mon devoir, mais Philippe me stoppa, me tenant toujours par mon nœud de cravate. Son autre main saisit son chibre et vint le branler doucement à la hauteur de mon visage. Le membre gagna en taille et en épaisseur. Je pouvais admirer des gouttes de liquide clair perler de son gros gland.
— Cela te met en appétit n’est-ce pas ?— Oui Monsieur.
Il tapota mon visage du bout de son gland. Je sortis le bout de ma langue, espérant ne serait-ce que l’effleurer un instant, mais Philippe veillait à toujours laisser sa vigueur hors de portée de mes lèvres affamées. Il s’amusa ainsi un instant, se régalant du spectacle de ma servilité. J’étais au supplice.
— Réclame. - M’ordonna-t-il dans un sourire autoritaire.— Je la veux Monsieur.
Il tapota son membre sur mon visage, sans pour autant me l’offrir.
— Je serais obéissant Monsieur.
Il eut un court sourire.
— C’est bien.
Philippe, m’attirant par le nœud de cravate, enfonça une bonne partie de sa verge dans ma gorge. L’intrusion me surprit autant qu’elle me ravit. Je pouvais à peine respirer, son gland pressant l’entrée de ma gorge.
— Regarde-moi.
Je levais vers lui des yeux soumis, haletant, obéissant à sa voix sévère, sa queue fichée dans ma bouche.
— Répète. Je suis un tâcheron juste bon à sucer votre énorme queue.
Je répondis, baragouinant comme je pouvais :
— Ge guis un gageron guste gon à cucer cotre égorme gueue.— J’adore bouffer votre foutre chaud.— J’agore bougger gotre coutre caud.— Je suis un bon suce-boule obéissant. - Philippe retira son membre. - Je veux te l’entendre dire fort et clair.
Reprenant mon souffle, j’articulais :
— Je suis un bon suce-boule obéissant.— Très bien.
Philippe empoigna sa grosse queue et déposa le poids de sa virilité sur mon visage. Je sentais le chibre pulser contre moi. Philippe semblait tout à fait satisfait de constater que son membre couvrait de toute sa longueur mon visage servile. Il me dit alors :
— Je vais t’éduquer. A grands renforts de coups de trique pour être certain que ça imprime.
J’étais dans un état d’excitation tel que je n’en avais jamais connu. Il poursuivit :
— Allonge-toi sur la table. Sur le dos.
Me relevant, je pris la position indiquée, sentant mon épine dorsale rouler contre le bois. Philippe me tira par les épaules de manière à ce que ma tête dépasse légèrement de la table. Il s’approcha et déposa le bout de son membre sur mes lèvres. Je déposais des baisers avides sur son gland gonflé et humide. Lissant sa cravate, Philippe eut un grognement de satisfaction :
— Voilà un agréable spectacle.
Il avança alors sa queue dans ma bouche, puis dans mon gosier. Je déglutis, mais il était impitoyable. Exhalant par le nez, je faisais de mon mieux pour respirer tandis qu’il continuait d’avancer. Alors que je crus étouffer, il retira son membre. Je toussai, haletai et expectorai. Il me fourra de nouveau sa queue d’autorité. Tandis que je luttais pour accueillir le membre en entier, Philippe en profita pour ouvrir complètement sa braguette et en extraire toute sa formidable anatomie. Lorsqu’il retira finalement son braquemart, un flot de salive et de liquide pré séminal coula sur mon visage. Et il repartit à l’assaut, implacable. Après de nombreux allers et retours, je ne sentais plus ma gorge, et mon visage était recouvert d’un liquide poisseux que je m’efforçai cependant d’avaler, car l’odeur musquée m’enivrait, goûtant le bon goût du gland de mon bourreau.
Je sentis alors un contact chaud marteler mon visage. Ses deux gros testicules imberbes tambourinaient contre mon nez. Il me gavait entièrement de sa grosse bite.
— C’est du bon travail. - Commenta-t-il.
Il imprima alors un mouvement de va-et-vient, faisant circuler sa queue dans ma gorge et heurtant au passage mon visage de ses bourses. Tout en continuant le mouvement, Philippe retira sa veste, resserra son nœud de cravate d’un geste viril puis me dit :
— Je veux que savoure chacun des coups de mes bourses.
Je ne pouvais difficilement faire autre chose qu’obéir, luttant pour ne pas étouffer, en extase de me faire élargir la gorge. Philippe retira sa queue, me laissant respirer un bref moment, et il repartit à la charge. Il jouait de son bassin pour rythmer ses assauts par des coups de fouet de ses testicules sur mon visage.
— Est-ce que tu sens comme elles sont bien lestées ?
Il libéra ma trachée que je puisse l’en assurer, et je répondis, toussant et m’exprimant en même temps :
— Kof, oui Monsieur.— Tu vas t’en occuper un peu alors.
Il plaça ses deux grosses burnes au niveau de ma bouche et je les suçais avec plaisir.
— Tu as hâte de t’en régaler.
Je répondis, tout en continuant d’effectuer ma basse besogne.
— Oui Monsieur.
Philippe eut un franc sourire, ce qui me procura autant de plaisir qu’embrasser à pleine bouche ses couilles massives. Puis il retira sa virilité de ma bouche pour la réintroduire dans son pantalon, avant de remettre sa veste.
— Arrêtons-nous là pour ce soir.
Pris de court, je me redressais, incertain de la suite, reprenant mon souffle, le visage poisseux. Philippe me tendit son mouchoir de poche afin que je puisse nettoyer mon faciès.
— Repose-toi. Je dois m’occuper de certaines choses, je serais dans le bureau à l’étage. Sens-toi libre d’évoluer dans le pavillon et de prendre tes aises. - Puis il sortit.
Ce retour brutal à la réalité me prit de court, les images, l’odeur et le goût de Philippe m’emplissaient encore. J’errais un moment dans les pièces vides, éclairées de lumières tamisées, prenant mon repas face à la forêt plongée dans la tranquillité nocturne. Je caressais plusieurs fois l’idée d’aller toquer à la porte de l’étude de Philippe. Ce n’est que lorsque je m’affalais sur le lit que je réalisais à quel point j’étais exténué. L’adrénaline m’avait fait tenir tout ce temps. J’avais une furieusement envie de me branler, mon excitation était comme chauffée à blanc, mais je m’abstins. Je mis un moment à m’endormir, la bouche encore pleine de l’odeur de la queue de mon beau-père. Je finis par tomber de sommeil. Le lendemain matin, je pris le temps de me réveiller, m’étirant, observant les allées et venues d’un renard dans les bois à travers la fenêtre. J’avais trouvé dans la nuit une quiétude inattendue.
Je descendis pour trouver Philippe qui m’attendait pour manger un morceau. Nous discutâmes poliment, comme si la veille il ne s’était pas astreint à me limer copieusement la gorge de son immense queue. Il proposa de nous promener dans les environs. C’était quelque chose que j’appréhendais, que des moments triviaux n’émoussent mon attirance pour lui, que j’en vienne à me questionner sur mes actes et ma personne. Mais il n’en fut rien, bien au contraire. Même ainsi, alors qu’il pataugeait dans la boue, dans sa parka sombre, habillé d’un jean sale et de bottes, je le dévorais toujours des yeux. Quand il m’aida à franchir un escarpement rocheux, je sentis ses mains puissantes contre mon biceps, et je fus pris d’un élan de désir. Il s’exprimait peu, donnant l’impression de toujours délivrer le nombre de mots idoines. Il me parla cependant de son travail, des responsabilités qu’il supportait, de l’ardeur avec laquelle il cherchait à exercer son autorité. Je me mis à me confier à mon tour.
Je lui dévoilais ma timidité, ma peur de m’imposer, les projets de grandeurs que je nourrissais cependant. Je lui confiais également que c’était la première fois pour moi. Je n’eu pas besoin d’en ajouter davantage, il comprit. De même, quand je lui demandais comment il avait su que je lui céderais, il répondit simplement « je l’ai su que j’ai croisé ton regard ». Et il n’eu pas besoin d’en ajouter davantage non plus.
De retour au pavillon, alors que nous pénétrions l’entrée, Philippe vint contre moi. Je pouvais percevoir son odeur, sentir sa chemise en coton contre mes mains. Il m’embrassa alors, ses lèvres fermes rencontrant les miennes. Surpris, puis en extase, je me perdis dans son étreinte. Une langue épaisse et dure franchit mes lèvres, que j’accueillis avec plaisir. Philippe disposa un moment de ma bouche comme il l’entendait, puis il mit fin à l’échange. Je brûlais de désir. Il me guida, calmement, une main dans mon dos, dans une chambre. Il m’ordonna de me dévêtir, et en fit de même, tout en me fixant. Il m’attira ensuite contre lui. Mes mains étaient plaquées contre sa peau encore ferme, bien que marquée par l’âge. Je m’étonnais à nouveau de ses muscles dessinés, de ses pectoraux robustes et imberbes. Sa queue était dressée contre moi, démesurée de grandeur.
— Mets-toi à quatre pattes sur le lit.
J’obéis immédiatement. Philippe admira un instant mon corps offert, passant une main tiède entre mes omoplates et sur mes cuisses, avant d’attacher mes poignets et mes chevilles à la tête et au pied de lit. Puis il vint derrière moi et agrippa fermement mes fesses, pour les écarter, laissant entrer un air froid. Immédiatement, je sentis son gland chaud et humide presser contre mon anus. Je poussais un long râle de plaisir anticipé. Philippe joua alors avec moi, tapotant son gland, forçant l’entrée et le retirant. Je me mis à gémir.
— Philippe, s’il vous plaît...
Mes suppliques ne firent que renforcer sa lubricité. Il claqua mes fesses d’un coup sec et puissant. Puis un second.
— Tu parleras quand je te l’ordonnerais.
Il élargit mon anus de son gland chaud. Je gémissais de manière incontrôlable. Il avança. Sa dureté m’agrandissait et j’ouvris la bouche dans un cri muet de plaisir et de douleur.
— C’est mon bon membre que tu voulais, n’est-ce pas ?— Oh oui, oh oui !
Philippe me gratifia d’une nouvelle claque, passa une main sur son visage déjà en sueur, avant de m’ordonner :
— Tu vas travailler un peu. Enfile-toi dessus.
J’obéis, me mettant à m’enficher sur le membre. Les premiers à-coups furent rudes et maladroits, mais à force d’efforts, je réussis à sentir son gland loin au fond de moi. Je n’en revenais pas de la sensation de sentir une telle bite. Au départ timide, je me mis à me déhancher comme un beau diable, la sensation folle d’être acteur de ma propre sodomie. J’étais en train de faire aller et venir la queue du quinqua en moi, pour ma plus grande jouissance. Philippe finit par reprendre le contrôle. Agrippant fermement mon bassin, il se mit à prendre farouchement. Je hurlais de manière incontrôlable. Levant la tête vers un miroir non loin, je le vis à genoux, la mâchoire contractée, m’enculer. Il me prenait tant et si bien que ma tête s’enfonçait dans les draps. Je me fais démonter en règle. M’agrippant par les épaules, il se mit à me besogner avec plus de verve. Tout le lit tremblait à présent sous ses assauts. Je sentais les grosses couilles de mon beau-père cogner contre les miennes.
Je jurais, grognant ses louanges. Philippe se retira. Je m’avachis, le cul douloureux, mais ravi. Il me détacha promptement, et, sans que je puisse réagir, il me retourna, me mettant sur le dos. Puis il attrapa mes jambes et les tira en l’air.
Je me retrouvais en position de chandelle, le dos courbé, mes deux cuisses écartées au-dessus de ma tête. Philippe se mit debout au-dessus de moi, apposa son gland contre mon anus, et, pliant les jambes, fit rentrer toute sa bite. Je bramais de plaisir, surplombé de mon dominateur qui me sodomisait de toute la longueur de sa bite. J’admirais son torse luisant de sueur, ses cheveux gris collés sur son front et les muscles de ses bras tendus. Ma propre queue allait et venait également au-dessus de mon visage. Philippe était infatigable, allant et venant à rythme effréné. Tout en me possédant, il se mit à me masturber. Mon visage était déformé par la jouissance et les suppliques. Loin de tenir compte de mes protestations, il m’enculait d’autant plus, ses bourses claquant contre mon cul. Je sentis alors poindre ma limite, mon sexe se contractant. La voix grave de Philippe résonna :
— Ouvre la bouche.
J’obéis, mes yeux dans les siens. Puis je jouis. Mon foutre se répandit sur mon visage, mon nez et mes cheveux. Je n’aurais jamais cru être capable de juter d’une telle quantité. Une large portion gicla dans ma bouche. Je sentis alors Philippe décharger en moi. Pour la première fois, j’étais rempli par le sperme d’un homme qui coulait en moi. Pris par l’excitation, je déglutis, avalant une partie de mon propre foutre dans la foulée. Philippe se retira pour placer son chibre au-dessus de mon visage et finit de se vider les bourses au-dessus de mon visage. Des flots chauds et épais de foutre virent couler dans ma bouche. J’avalais le mélange de nos deux semences, tandis que je le contemplais, son visage viril qui me souriait. Il tapota mes fesses, relâchant son étreinte :
— C’était du bon travail.
Je tombais sur le lit, hagard.
— Philippe... Bon sang, je...
Il se contenta de sourire. Je restais là, reprenant souffle et esprit, laissant mes pensées errer. Je ne sus quand, mais un sommeil brusque me prit et je tombais endormi. Lorsque j’ouvris les yeux, j’étais seul dans le lit, l’après-midi finissait. Je me levais, un peu hagard, pris une douche, et découvris la sensation d’évacuer une grosse dose de foutre de mon fessier. Quand je descendis, je cherchais Philippe et finis par le trouver dans une alcôve qui m’avait échappée. Sous une verrière, face à la forêt, trônait un grand carré d’eau chauffée dans lequel Philippe était installé. M’entendant arriver, il se leva et s’avança vers moi, conquérant, dans son plus simple appareil, son sexe ballottant entre ses jambes au gré de ses pas.
Je réalisais alors le désir que j’éprouvais pour lui, pour son corps de cinquantenaire, pour ses cheveux gris touffus, son nez allongé, son menton fier, ses longues mains veineuses, et pour l’autorité et la prestance qui se dégageait de lui.
— Je t’ai laissé dormir. - Il fit une pause, avant d’ajouter : - Déshabille-toi.
J’obtempérais, livrant mon corps à sa vue. Quand je quittais mon caleçon, je lui dévoilais une érection presque honteuse. Lui, pourtant aussi nu que moi, m’écrasait de sa contenance. Il tendit une main vers mon sexe, le caressa un instant et me dit :
— Viens.
Il m’invita à le rejoindre dans les thermes face à la baie vitrée. L’eau était chaude et douce. Philippe s’assit sur les marches, et m’attira mon dos contre ses pectoraux, mon fessier pressant contre sa queue.
— Passes-tu un agréable séjour ? – Me demanda-t-il alors.— Comparable à nul autre. – Fut ma réponse sincère.
Il m’embrassa, passant ses mains contre mon buste, pinçant mes tétons, me laissant gémir contre lui. Il s’empara ensuite de mon sexe et le branla doucement. Ma queue était encore sensible de ma précédente éjaculation.
— Tu es un gendre très dévoué.
Je laissais sa voix chaude m’envoûter tandis que je m’abandonnais entre ses mains. Il continua à me parler :
— Parle-moi de tes fantasmes.
Son autre main était descendue vers mes fesses, et d’un doigt, il se mit à enfoncer mon anus. Il était encore douloureux de ma leçon de baise. Gémissant à nouveau, je lui dis d’une voix soumise :
— Depuis que notre rencontre, mes fantasmes sont incontrôlables.
Philippe continuait d’explorer mon corps tout en me masturbant.
— C’est normal. Est-ce que tu fantasmes sur d’autres hommes.— Parfois...— Qui cela.— Mon patron.
Philippe eu un sourire et me dit :
— Décris-le moi.— C’est un soixantenaire, pas très grand, presque chauve, pas très sympa. Un vrai connard en fait. Han.
Philippe avait pressé son gland dans l’intérieur de mes fesses. C’était aussi bon que douloureux.
— Et pourtant il te fait envie.— Oui.— Pourquoi.— Je n’en sais rien. Han !
La queue de Philippe progressait en moi.
— Tu voudrais qu’il te prenne.
Philippe imprimait à présent de lents mouvements avec son bassin. Pour toute réponse, je gémis, les yeux toujours clos, concentré sur sa voix et les sensations. Je sortis ma langue de ma bouche et Philippe vint la suçoter un peu en m’enculant. Il reprit :
— Tu veux sentir sa grosse verge de patron ?— Oui.
Philippe avait accéléré le rythme et me branlait avec insistance. Je haletais de plaisir :
— Tu sens comme il te prend, de sa bonne queue de patron arrogant.— Oh oui, je la sens bien, oh oui, oh oui, oh !
Ouvrant les yeux, je jutais dans un râle sonore, éjaculant dans l’eau, me laissant aller à mon extase. Je restais un moment dans les bras de Philippe, sa queue en moi et sa main toujours agrippée à mon sexe. Il me laissa me reprendre mon souffle avant de libérer mon fondement de sa virilité. Il sortit de l’eau et tout en s’essuyant, me dit :
— Voilà qui était stimulant.
Je me contentais de secouer la tête, incrédule. La soirée passa bien vite et je finis par rejoindre ma chambre. J’avais en tête une myriade de questions, l’idée de dormir seul m’était donc agréable. Je me sentais plus satisfait et comblé que je ne l’avais jamais été, et je m’endormis vite, le corps dévoyé par les plaisants sévices infligés par Philippe. Le lendemain était le dernier jour. J’étais attablé, buvant un verre d’eau, sentant la fin approcher, n’ayant que peu d’appétit. Philippe s’en enquit :
— Souhaites-tu manger quelque chose ?— Pas vraiment.
Il hocha la tête, puis il se leva pour venir à ma hauteur. Il ouvrit alors sa braguette et me présenta son membre. Cette soudaineté me surprit, mais je pris immédiatement le chibre en bouche, qui gagna bien vite en dureté. Mon beau-père glissa les mains dans ses poches, admirant son gendre s’activer sur sa queue. Il me laissa profiter un bon moment de son anatomie, me donnant des petites tapes sur le visage quand je lui donnais satisfaction. Lorsqu’il jugea le travail convenablement effectué, il m’ordonna alors :
— Jusqu’à la garde.
Obéissant, je laissais le membre pénétrer toute ma gorge, puis je relevais la tête, fixant son regard. Il sourit et me dit :
— Régale-toi.
Son foutre chaud et épais se déversa alors à gros bouillons dans mon gosier, tandis que je ne quittais pas des yeux son visage légèrement crispé sous l’extase. Je pouvais sentir chaque giclée me remplir. Quand il eut fini de vider ses bourses, il libéra ma gorge, tapissée de son sperme, et me laissa le soin de nettoyer son gros gland gonflé. Pendant que je m’attelais à la tâche, il me complimenta :
— Très bon travail.
Je lui souris, profitant du fait que chaque déglutition faisait couler une bonne dose de sperme dans ma gorge. A l’issue de cet intermède agréable, il fut finalement l’heure de quitter le havre de stupre. Philippe me conduisit à l’aéroport, et je sentais la parenthèse irréelle se refermer. Alors que nous arrivions à destination, il me dit alors :
— J’ai une offre à te faire.
Je tournais la tête dans sa direction et il poursuivit :
— Je voudrais que tu travailles pour moi.
Surpris, je restais cependant circonspect :
— Vraiment ?— Oui. Je pense que c’est une position qui pourrait être concluante.
Bien que l’idée fût loin d’être désagréable, je restais prudent :
— Je n’en sais trop rien. Qu’est-ce que je ferais ?— Tu serais mon assistant.
La perspective de passer du temps avec Philippe était alléchante, mais également périlleuse à bien des égards. Et je n’avais pas vraiment l’envie de me retrouver dans un rôle fantoche. Nous étions arrivés, et je m’enquis donc de mes craintes auprès de lui, alors que nous sortions de la voiture.
— Vous n’avez pas peur que je devienne un fardeau ?— Je pense au contraire que tu pourrais devenir un atout. Et t’y épanouir. Ce séjour a été très révélateur. Tu as le talent précieux te conformer avec aisance aux ordres qui te sont donnés. Et tu es avide d’en recevoir. Je te propose de mettre cela à profit, et de m’accompagner lors de certains rendez-vous. Vois-tu, je collabore fréquemment avec un aréopage d’hommes influents. Et bon nombre d’entre eux sont certes des monstres d’ego, mais crois-moi, quand il s’agit de domination et d’autorité, ils seront en mesure de combler l’intégralité de tes fantasmes.
Des images et situations circulaient dans ma tête, sans que je puisse me figurer la réalité d’une telle chose. Philippe poursuivit :
— Quoi qu’il en soit, je n’exige pas de réponse maintenant. Je souhaite avant cela que tu te découvres, et que tu explores par toi-même, tes désirs. Et pas uniquement ceux que tu nourris à mon égard. Lorsque cette tâche sera accomplie, tu pourras revenir vers ma personne, et me signifier ta réponse.
Philippe posa une main sur mon épaule, remonta dans la voiture et s’en fut, me laissant là, mon esprit et mon corps dévoyé, mes pensées se bousculant dans ma tête. Je regardais un moment la voiture s’éloigner, puis je me dirigeais vers l’entrée du terminal, réalisant que je n’avais eu pour seul repas aujourd’hui que le foutre de mon beau-père.
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