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Soumise à un Algérien

Chapitre 1

Le départ

Voyeur / Exhibition
Il est six heures, le réveil sonne, on est mardi il fait toujours noir dans ce mois de janvier. Je m’appelle Amy Leroux, j’ai 35 ans.
Je me lève, Marc mon mari dort toujours. Il est écrivain mais avec nos tracas pour avoir des enfants il n’a pas beaucoup d’inspiration, en effet suite à des tests il s’avère que son sperme n’est pas très fertile, c’est après plusieurs essais infructueux que nous avons consulté et le verdict est tombé. Marc a 37 ans il fait 1m 80 il est brun aux cheveux courts, il est musclé comme je les aime.
Après avoir pris mon petit-déj, je m’attarde dans la salle de bain où je coiffe mes longs cheveux blond foncé, je mesure 1m 70, je suis assez mince, je pratique du sport régulièrement. J’ai une poitrine bien généreuse 100E et un fessier bien rebondi.
Comme tous les jours de travail je m’habille avec un chemisier et un pantalon en toile distingué ainsi que des bottines à talons, les cheveux en queue-de-cheval. Je travaille au centre de Paris comme directrice de projet dans une société gazière, je me lève aussi tôt car je suis le seul revenu du couple pour l’instant, malgré mon bon salaire nous sommes obligés de vivre en périphérie.
Je retourne dans la chambre vers Marc pour l’embrasser et lui souhaiter une bonne journée.— Bonne journée mon chéri à ce soir.— Merci ma chérie, bonne journée. Je me remets sur mon roman aujourd’hui.— OK ça me fait plaisir, à ce soir.— Je t’aime à ce soir.— Je t’aime.
Je monte dans la voiture direction la gare pour un long et fastidieux trajet en train jusqu’à la capitale. Il fait froid et humide j’ai mis ma longue veste chaude qui me descend jusqu’aux chevilles.
Arrivé à la gare, je stationne la voiture et me précipite dans le train au chaud, je dois rester debout, il y a déjà beaucoup de monde. A mi-trajet le train est bondé, comme tous les matins d’ailleurs. Ce qui me dérange c’est l’arrêt à certaines gares de cités où les passagers manquent d’éducation, ces hommes me repèrent vite avec ma longue chevelure blonde et ma poitrine qui ressort malgré l’épaisseur de tissu. Ils viennent parfois se coller à moi et c’est très désagréable, je sens leurs coudes se frotter sur mes seins, il est difficile de bouger avec cette affluence. Des fois certains me glissent des propositions obscènes à l’oreille avec leur accent nord-africain.
Aujourd’hui le trajet se passe bien, je descends du train pour rejoindre la ligne de métro direction La Défense, comme tous les matins de la semaine le métro est également bondé. J’arrive à la sortie du métro et le soleil pointe, ça réchauffe le visage.
Après avoir marché sur le parvis j’entre dans la tour pour y rejoindre l’ascenseur. Me voilà enfin dans mon bureau, je suis fatiguée par le trajet mais la journée ne fait que commencer. Je retire ma veste et la suspends au portemanteau pendant que mon PC s’allume. Assise devant mes mails je vois une réunion non programmée dans 15 minutes, pas le temps de souffler, je me dirige vers le coin « détente » pour un bon café bien mérité, pour cela je dois traverser l’open space et comme toujours le bonjour de ces Messieurs se suit d’un regard sur mes fesses ou ma poitrine qui déborde et tend mon chemisier. J’ai l’habitude maintenant et contrairement au transport en commun je prends cela avec une certaine fierté.
Je me rends dans la salle de réunion, les différents cadres dont je fais partie sont réunis, notre directeur prend la parole.— Bonjour à tous, vous avez pu voir dans les médias l’annonce concernant les restrictions commerciales avec la Russie. Nous sommes, nous, directement impactés et nous allons devoir faire des choix budgétaires difficiles.

Nous avons tous compris le message du directeur. Moi, seul revenu du couple, j’espère qu’ils ne vont pas annoncer des licenciements. Le directeur nous a annoncé des entretiens pour chacun avant la fin de la semaine. J’ai envoyé un message à Marc en sortant de la réunion pour lui exposer le problème.
Quand je suis rentrée à la maison il m’attendait, j’étais fatiguée et anxieuse.— Qu’allons-nous devenir si je perds mon emploi !!????— Ne t’inquiète pas, vu ta place dans la société ils vont avoir une solution pour toi.
Sur ces mots je partis triste prendre ma douche. Je sortis de la salle de bain en peignoir, dans la chambre Marc m’enlaça par-derrière et m’embrassa dans le cou.— Un peu de réconfort après cette dure journée que tu as eue.
Il passa ses mains dans le peignoir et me malaxa mes gros seins, je sentis l’excitation grandir en moi, une de ses mains descendit entre mes cuisses traversa ma courte toison châtain pour m’introduire un doigt entre mes lèvres en faisant des allers-retours, mon peignoir tomba au sol et il se déshabilla. En m’allongeant sur le lit j’ai vu son pénis d’environ 15 centimètres tendu et décalotté.
Il s’allongea à côté de moi passant sa main sur mon corps, son pénis posé sur ma cuisse, pelotant mes seins en faisant le tour de mes tétons avec un doigt sur l’aréole ovale, j’ai pris son pénis en main pour le masturber. Sa main est descendue entre mes cuisses et il a inséré un doigt dans mon vagin humide, puis deux, sortant et entrant à sa guise. Il s’est allongé sur moi et a présenté son gland tendu à l’entrée de mon intimité, il m’a pénétrée jusqu’à ce que ses testicules touchent mes fesses. Je mouillai de plus en plus, cela a duré pendant 15 min, après une accélération ultime Marc s’est figé en moi et a éjaculé.
Certes nos rapports sont basiques mais cela nous convient, il n’a jamais osé me demander une fellation, encore moins la sodomie, je crois que je refuserai.
Je me suis endormi dans ses bras. Tourmentée par le travail, je n’ai pas passé une bonne nuit.
Le lendemain au bureau je fus convoquée suite à l’annonce du directeur. Assise dans le bureau de mon supérieur j’attendais le verdict.— Bonjour Madame Leroux.— Bonjour Monsieur.— C’est en cette période difficile que je vous reçois, en effet nous allons devoir réduire l’effectif de l’entreprise.
Voilà ce qui devait arriver, je vais perdre mon emploi, que va-t-on devenir avec Marc ?— Ne vous inquiétez pas Madame, répliqua-t-il.— Nous avons une proposition vous concernant, certains de nos collaborateurs vont perdre leur emploi, mais pour vous, pour éviter le licenciement, nous proposons une mutation en Algérie sur un de nos sites d’extraction.
L’Algérie !!!!
Je refis surface quand j’ai su que je n’étais pas licenciée, mais une mutation en Afrique du Nord, je ne m’y attendais pas, que va dire Marc ? — Voilà Madame Leroux, je vous demanderais de rendre réponse avant la fin de semaine prochaine, merci. Si vous souhaitez plus de détails, veuillez consulter ma secrétaire.
La journée de travail terminée je rentrai à la maison avec une grande décision à prendre.
Suite à mes messages Marc eut le temps de réfléchir et il semblait emballé par ce nouveau défi (de nouveaux paysages, une nouvelle culture, le soleil), ce qui, après discussion, me redonna le moral.
J’ai rendu ma décision à ma hiérarchie dès la semaine suivante.
Mon entreprise m’a stipulé que j’intégrai l’antenne d’Alger à compter du 1er juin.
Nous avons eu ces quelques mois pour nous préparer. Marc a fini son roman, il va paraître bientôt, je suis contente pour lui. Nous avons réessayé à plusieurs reprises d’avoir un enfant mais aucun résultat, c’est peut-être pas mal vu le changement de vie qui nous attend.Le jour J est arrivé, nous sommes dans l’avion direction Alger, nos affaires sont déjà arrivées sur place à notre nouveau logement. Nous avons gardé notre petite maison en région parisienne, nous l’avons mise en location, cela nous fera une rentrée d’argent supplémentaire.
Arrivés sur place nous sommes submergés par la chaleur, Marc porte un pantalon très léger avec une chemisette, il est beau avec son chapeau d’été et ses lunettes de soleil et moi une robe très fine avec des sous-vêtements à dentelle, des escarpins aérés à talon bas, j’ai également un chapeau large et des lunettes or et noir.
Le directeur de l’agence doit venir nous chercher, nous récupérons nos bagages et nous nous dirigeons vers la sortie, j’aperçois un homme avec une pancarte avec notre nom d’inscrit.
C’est Mr Barloux qui doit nous récupérer.— Bonjour Monsieur, je me présente Madame Amy Leroux et voici mon mari Marc Leroux.— Bonjour Madame, je me prénomme Hervé, Hervé Barloux directeur de l’agence, bienvenue à Alger, j’espère que vous avez fait bon vol, veuillez me suivre jusqu’à la voiture.
Mr Barloux faisait à peu près ma taille, il devait avoir dans les 50 ans, bien bedonnant, sa chemise ne pouvait pas rentrer dans son pantalon en toile noir, il avait une petite moustache et un double menton bien marqué, les cheveux parsemés brillants plaqués vers l’arrière. Il était très galant, il a pris ma valise jusqu’à la voiture et l’a chargée dans le coffre.
Marc me demanda de monter à l’avant avec Mr Barloux, car pendant le trajet il avait sûrement des points à m’expliquer concernant le travail.— Nous avons environ 30 min de route jusqu’à votre nouveau logement.— Il fait drôlement chaud, s’exclama Marc.— J’ai pourtant mis la clim ????
Je ne voyais pourtant pas de voyant d’allumé sur le tableau de bord, tant pis, il n’y a pas trop de route.
Rapidement je sentis les gouttes de sueur coulées dans mon dos et entre mes seins, ma poitrine commença à apparaître à travers le tissu imbibé de sueur mon soutien-gorge bombé lui était offert, Mr Barloux n’en perdait pas une miette, ses yeux oscillaient entre la route et mes seins, je soulevai ma robe pour la décoller de mon corps.— Quelle chaleur, j’étais très gêné de la situation.

Mon bas-ventre était également trempé et laissait apparaître la dentelle de ma culotte.Après cinq minutes à se rincer l’œil il tripota les boutons du tableau de bord et de l’air frais me parvint, quel soulagement.— C’est très gentil de votre part de vous être déplacé pour venir nous chercher à l’aéroport.— Mais ma chère Amy, je peux vous appeler par votre prénom ?— Oui bien sûr, c’est plus convivial.— Voilà, nous étions quatre à l’agence, mais avec les problèmes que la société rencontre je suis tout seul depuis deux mois et à partir de lundi ne seront que tous les deux et ceux pour un moment.— Très bien Mr Barloux, euuuux Hervé, il me sourit.
Ma robe a retrouvé son état normal, nous avons discuté des diverses tâches que je vais avoir à effectuer dans mes nouvelles fonctions.— Nous voilà arrivés, voici votre nouveau chez vous.
Après avoir descendu les bagages, nous nous sommes approchés d’une grande double porte en bois, Hervé a ouvert et nous avons découvert un splendide Riad avec des palmiers et cette superbe lumière. Avec Marc nous étions aux anges.— Vous avez une piscine dans l’arrière-cour, souligna Hervé, « une voiture chacun ».— J’ai pris soin de faire remplir le frigo.— C’est très gentil de votre part Hervé.— Je vais vous laisser découvrir les lieux, Amy je vous dis à lundi à l’agence. Marc au plaisir de vous revoir.
Nous avons remercié Hervé.
Je n’avais qu’une envie, c’est me détendre dans la piscine, nous n’avons même pas pris le temps de défaire nos bagages, nous avons extirpé nos maillots de bain de la valise et plongé directement. Marc était excité et est venu m’embrasser tendrement. Ses mains ont parcouru mon corps.— J’ai envie de toi, maintenant ma chérie.— Quelqu’un pourrait nous voir.— Tu as peur d’un voyeur ? Le Riad est entièrement parqué.
Je lui ai raconté l’épisode dans la voiture avec ma robe transparente sous le regard d’Hervé.— Cela t’a fait quoi ? me demanda-t-il.— Rien idiot, j’étais très gêné de me montrer ainsi, surtout pour une première rencontre. Tu as vraiment les idées déplacées.
J’ai senti sa raideur sur mes fesses pendant mon récit, il a écarté mon maillot de bain et m’a pénétrée. Nous avons fait l’amour dans la piscine en étant le plus discrets possible.
Nous avons passé le week-end à nous promener à pied autour du Riad et Marc a entamé un nouveau roman. C’est apaisés que nous commençons cette nouvelle vie.
Ce lundi je me rends au bureau, je suis habillée d’un chemisier blanc ainsi qu’un pantalon crème et de chaussure ouverte très légère. L’agence est située dans le centre d’Alger dans un bel immeuble d’époque, il n’y a pas d’ascenseur, pas grave c’est au troisième, je monte le bel escalier en bois, arrivée à destination je sonne à la porte de l’agence, j’entends quelqu’un marcher sur un parquet bois en destination de la porte. — Bonjour Amy, soyez la bienvenue.— Bonjour Hervé, contente de vous revoir.
Il m’a fait découvrir l’agence, il y a mon bureau et le sien ainsi qu’un endroit avec des canapés et une table basse avec un frigo rempli de boissons fraîches et une machine à café. Heureusement il y a la clim. Hervé est mon supérieur hiérarchique et son bureau est collé au mien avec une porte entre les deux.— Demain nous allons nous rendre au site d’exploitation, il y a environ 1h30 de route, là-bas vous allez être soumise à une visite médicale, voici votre convocation.
Je survole le document et me rends compte que trois personnes vont assister à la visite médicale.— Hervé, pourquoi il y a trois personnes qui assistent à la visite ?— En effet il y a le médecin, Madame Saad, Le chef de la sécurité, Monsieur Benaissa et moi-même.— Mais pourquoi je ne suis pas seule avec le docteur ?— Pour les nouveaux arrivants c’est obligatoire, surtout pour obtenir les accès au site. Ne vous inquiétez pas c’est un contrôle succinct.
Le lendemain nous nous sommes donné rendez-vous au bureau, de là nous avons pris la route en direction du site d’exploitation, je me suis habillée avec une chemise et un pantalon de rando beige et une veste marron foncée, mes dessous sont bleus en coton et des chaussures de marche, c’est Hervé qui m’a conseillée car le site est au bord du désert, c’est un lieu rude.
Arrivée sur place, je descends de la voiture il y a du vent et je dois fermer les yeux à cause du sable, nous rentrons rapidement dans le gardiennage et je peux retirer le voile qui a protégé mes cheveux attachés.Hervé se tient à côté de moi, devant nous, derrière le comptoir se tient un Algérien d’environ 60 ans avec un visage rude et peu attirant, il a une horrible barbe rousse et est édenté, il est vêtu d’une djellaba blanche et coiffé d’un turban rouge et blanc.
Hervé salue l’homme.— Bonjour Abib, comment allez-vous ?— Bien Mr Hervé.— Abib je vous présente ma nouvelle collaboratrice, Mme Leroux.— Amy je vous présente Mr Benaissa responsable de la sécurité du site.
C’est ce personnage repoussant qui doit assister à ma visite médicale ? Je me sens mal à l’aise.— Enchantée Mr Benaissa.
Il me regarda de la tête aux pieds avec un grand sourire.— Madame vous allez avoir une formation sur la sécurité sur le site, après nous allons faire une visite des lieux.— Très bien Monsieur.
Je passai la fin de matinée en formation comme prévu, nous sommes ensuite allés déjeuner, j’ai hotté ma veste avant de m’asseoir à table dévoilant ma chemise tendue par mes gros seins, Abib assis en face de moi apprécia sensiblement la vue il pouvait entrevoir mon soutien-gorge bleu à travers les plis de ma chemise. Le repas fut semble-t-il très agréable pour lui, pas pour moi je le trouvai hideux. Le repas terminé nous avons effectué la visite du site et il me semble qu’ils ont oublié la visite médicale, tant mieux.
Le téléphone de Benaissa sonna.— Allo, oui docteur nous arrivons dans 10 min.
Et mince je vais devoir y passer. — Nous allons maintenant rejoindre le docteur Saadi à son cabinet, nous avons un service médical car il y a beaucoup de salariés et l’hôpital le plus proche est à 1h de route.
Nous sommes rentrés dans les locaux du service médical, j’ai été présentée au docteur Saadi.— Bonjour Docteur, je suis Madame Amy Leroux.
C’était une femme d’environ 50 ans, 1m60, des lunettes noires, la tête voilée avec un visage doux.— Bonjour Madame, veuillez entrer dans mon cabinet.
Elle me suivit ainsi qu’Hervé et Benaissa. Le cabinet était petit, avec son bureau, deux chaises en face et la table de consultation collée au mur et son petit tabouret pour y monter.
« Messieurs veuillez vous asseoir, Madame retirer votre veste et vos chaussures et asseyez-vous sur la table de consultation, je vais regarder votre dossier médical.
Ouf !!! J’étais contente, je garde mes vêtements. Bizarrement Benaissa avait le sourire, j’ai eu le droit aux questions d’usage : Vaccins, allergies, problème dans la famille...
Le docteur se leva et prononça cette phrase :
« Je vais à présent vous examiner aussi voulez-vous bien commencer par vous déshabiller »Je crois qu’à ce moment-là je n’ai pas saisi et lui ai fait répéter.«Oui, Madame vous déshabiller pour que je puisse vous ausculter »D’un coup je me suis levée.— Vous plaisantez, pas question, d’autant qu’il y a des hommes.
Le docteur répliqua sur un ton ferme avec le visage beaucoup moins doux.— Je peux comprendre votre embarras, mais ces personnes sont tenues au secret médical ne vous inquiétez pas. Les visites se font en culotte et soutien-gorge !— Mais il ne s’agit pas de secret médical mais de dignité, de pudeur Madame, de plus devant des hommes, il est tout à fait déplacé que je me déshabille même partiellement devant eux !
Le médecin me déclara que je n’étais pas une exception et Benaissa m’invita calmement à exécuter la demande du docteur.— Madame si vous souhaitez obtenir votre accès à l’entreprise vous devez vous plier à son règlement, m’invoqua-t-il, toujours avec ce même sourire.

J’ai commencé à paniquer, ne sachant que faire.Que les larmes aux yeux presque inconsciemment je me mis à défaire le premier bouton de ma chemise, j’ai levé les yeux et je les ai vus tous les deux fixés sur les boutons que je défaisais un à un.J’ai ouvert ma chemise laissant apparaître mon soutien-gorge bleu uni avec mes gros seins serrés dans leur bonnet, j’ai retiré ma chemise et l’ai posée sur le côté.— Le pantalon maintenant, pressez-vous, je n’ai pas que vous en consultation aujourd’hui.
J’ai retiré mes chaussettes et je les ai laissées tomber au sol ensuite j’ai déboutonné mon pantalon et je l’ai fait glisser le long de mes jambes. Ma culotte bleue assortie à mon soutien-gorge et mes fesses leur étaient offertes, les deux spectateurs étaient aux anges. J’étais maintenant devant eux quasiment nue, Hervé avait la main dans la poche avec le coin des lèvres humides, Benaissa me regardait de haut en bas.— Maintenant asseyiez-vous.
Le docteur me passa le stéthoscope dans le dos et j’ai effectué les différents exercices de respiration. — Tout va bien, allongez-vous maintenant.
Je me suis exécutée, bizarrement Benaissa s’est levé, il est venu se positionner derrière ma tête qui était relevée sur la table d’examen, il avait une vue plongeante sur mon corps, apparemment le médecin ne vit aucun problème à ce positionnement.
Le docteur Saadi a commencé à me tapoter le ventre de droite à gauche, elle a commencé à m’appuyer sur le bas-ventre.— Avez-vous mal.— Non.
Après plusieurs palpations, elle a passé sa main sous ma culotte jusqu’à l’aine.— Avez-vous mal.— Non.
Benaissa avait une vue privilégiée sur ma toison châtain révélée par le docteur, ce changement de place n’était pas anodin.— Je vais maintenant prendre votre tension. Je ne pense pas que vous ayez subi une mammographie vu votre âge ?— Non, jamais.
Elle ne va quand même pas me faire retirer mon soutien-gorge ? Une boule m’apparut au ventre.La peur a dû apparaître sur mon visage car elle m’a dit :— Ne vous inquiétez pas je vais juste passer ma main dans votre soutien-gorge.
Oouuuf quel soulagement, cela va calmer l’ardeur des deux mâles de la pièce, je suis déjà choquée qu’ils m’aient vue dans cette tenue !!! Que va penser Marc de ce qui m’est arrivé ???
La tension prise, elle est venue se positionner à côté de moi.— Je vais mettre ma main dans votre bonnet droit.
J’ai entendu Benaissa bouger derrière moi, Hervé qui ne voyait rien est resté sur sa chaise.
Le docteur a inséré sa main dans mon bonnet pour venir palper le dessous, pour cela elle a caressé mon sein sur toute sa longueur ce qui me provoqua un frisson.— Amy du calme, tu ne vas quand même pas t’exciter, reprend tes esprits !!! Me dis-je.— Je vais passer à l’autre, pas contre n’ayant pas le même accès je vais devoir baisser votre bretelle, m’indiqua le docteur.— OK, allez-y.
Elle baissa ma bretelle jusque sous mon coude et leva mon bonnet pour passer sa main et je me rendis compte que Benaissa avait une vue complète sur mon sein, était-ce voulu mais elle mit une dizaine de secondes avant de passer sa main.— C’est OK, maintenant allez vous peser, ensuite vous pourrez vous rhabiller.
Quand je me suis levé pour rejoindre la balance, j’ai pu voir que Benaissa avait son portable à la main. Une fois sur la balance ils ont pu me reluquer une dernière fois avant que je me rhabille rapidement.
Ce dur moment terminé Benaissa nous a raccompagnés vers la sortie.— Ce fut un plaisir de vous rencontrer Mme Leroux, je passerai à l’agence pour vous donner votre badge d’accès au site, je vous souhaite un bon retour.
Il m’adressa ces derniers mots en fixant ma grosse poitrine une dernière fois et toujours avec ce sourire.— Au revoir Monsieur.
Je pris le chemin de la voiture tandis que Benaissa discutait avec Hervé. Sur la route l’ambiance était froide, au bout de 10 min Hervé a pris la parole :— Je suis désolé que vous ayez eu à subir ceci, mais on doit respecter le règlement du site et du pays.
Il s’est quand même bien rincé l’œil le cochon.— Benaissa a beaucoup d’influence dans l’entreprise, c’est un ancien haut gradé de l’armée Algérienne qui s’est reconverti dans la sécurité privée, il connaît beaucoup de monde important, Il est également très basé religion.
J’ai pu comprendre dans ce récit qu’Hervé n’était pas vraiment son supérieur hiérarchique, du moins que sur le papier.Hervé m’a déposée au Riad, je l’ai salué avec un sourire amical pour qu’il comprenne que je ne lui en voulais pas.
Marc était au bord de la piscine sur son PC.— Salut mon chéri, tu es dans ton roman passionnant ?— Oui, ta journée ça a été ?
Je lui ai tout expliqué. — Cet homme n’a pas l’air d’avoir beaucoup de respect pour les femmes et encore moins occidentales on dirait, me dit-il.

Je croyais qu’il aurait été un peu plus en colère, mais non, comme la dernière fois j’ai l’impression que mon récit l’a excité et nous avons fini dans la piscine où il m’a fait l’amour. Je ne veux pas le blâmer c’est moi qui l’ai emmené dans cette nouvelle vie.
Les jours sont passés et la routine s’est installée, j’étais au bureau, quand Hervé a toqué à ma porte :— Amy, je viens de recevoir un mail, Benaissa passe cette après-midi vous donner votre badge.— OK, merci Hervé.
Vers 15h la sonnette de l’agence a sonné, je suis allée ouvrir la porte.— Bonjour Mr Benaissa.— Bonjour Mme Leroux.— Entrez ! Je vous en prie.
Benaissa est rentré dans l’agence en me regardant de haut en bas, j’étais habillée avec un haut cache-cœur avec nœud et une jupe à fleurs descendant jusqu’aux genoux. Lui, il portait un pantalon et une chemise beige, toujours son turban et toujours cette horrible barbe rousse.— Vous êtes toute en beauté ma chère, ça change des vêtements du désert.— Merci, prenez place dans le canapé, souhaitez-vous boire quelque chose ?— Un thé, dit-il tout en s’asseyant.— Vous êtes venu vivre en Algérie avec votre mari ?— Oui il est écrivain.— Pas d’enfants ?— Non mon mari a quelque souci de santé.
Je lui servis son thé et je me suis assis dans le canapé en face de lui dos au bureau d’Hervé.— Vous êtes donc venu me donner mon badge d’accès ?— Oui en effet.— Je vais avoir des documents à signer ?— Oui, mais j’ai un petit problème concernant l’obtention de votre badge, il y a certains comportements de votre part qui ne sont pas admissibles dans notre pays.— Mais de quoi parlez-vous Monsieur !!!???
Il me tendit son téléphone portable où j’étais en photo en sous-vêtement et le sein à l’air.— Cela pourrait poser des problèmes pour l’agence ce genre de tenue. En tant que responsable de la sécurité et de l’image de l’entreprise je suis dans l’embarras pour vous donner vos accès.— Mais c’est vous qui avez pris ces photos !!! Et j’ai besoin de ce travail !!! Vous ne pouvez pas me faire ça.— On peut peut-être trouver une solution.— Je vous écoute.— L’autre jour vous m’avez laissé sur ma faim, vous pouvez peut-être m’en montrer plus.— Je vois très bien de quoi vous parlez, il en est hors de question !!!!!!!— Du coup vous êtes prêtes à perdre votre emploi et causer des problèmes à Marc.— Comment connaissez-vous le prénom de mon mari et quels problèmes !!!???— Mr Hervé a dû vous parler de moi et il serait dommage que l’on retrouve des documents d’état sur l’ordinateur de votre mari, c’est passible de la prison.
Je suis piégée. Les larmes me venaient aux yeux, sans aucune pitié il me montra du bout du doigt le nœud de mon haut cache-cœur.— Mais Mr Barloux pourrait rentrer dans la pièce à tout moment, lui dis-je les yeux vitreux.— Il a l’air bien occupé au téléphone, ne vous inquiétez pas pour lui.
Il me remontra du bout du doigt le nœud. J’ai pris le bout du nœud et j’ai tiré dessus le faisant coulisser pour le défaire, ensuite j’ai ouvert le premier bâtant de mon haut, il avait les yeux rivés sur mes seins, ensuite le deuxième, maintenant il avait une vue totale sur mon soutien-gorge blanc en dentelle et tissu qui laissait entrevoir mes aréoles brunes, avec les bretelles tendues par le poids de mes seins.
J’avais maintenant les mains sur les cuisses et la tête baissée.— Nous voilà au même stade que la dernière fois, il va falloir m’en montrer un peu plus.— Non s’il vous plaît.— Allez pas de simagrées, continuez, montrant du doigt mon soutien-gorge.

J’ai passé mes mains dans mon dos et j’ai dégrafé mon soutien-gorge, doucement j’ai repassé mes mains devant, dès qu’Hervé rentrerait dans la pièce, mais non, j’étais seule dans ce calvaire.— Pressez-vous ma chère !
J’ai pris le dessous de mon soutien-gorge et je l’ai levé laissant tomber mes deux gros seins blancs avec leurs aréoles et leurs petits tétons.— Madame Leroux vous avez un corps parfait, me dit-il en prenant une photo de moi dénudée.

Il s’est levé et il est venu se positionner derrière moi, il a positionné ses mains sur mes épaules et a commencé un petit massage de mes clavicules du bout des doigts, il a frotté à plusieurs reprises mes épaules et est descendu sur mes coudes, je frissonnai de sentir ses mains sur mon corps et d’un coup il a empoigné mes seins j’ai sursauté et les larmes ont coulé sur ma joue. Tout en me malaxant la poitrine il s’est rapproché j’ai ressenti les poils roux piquer mon oreille et il m’a dit :— C’est la première fois que je touche une blanche et ma virilité en est toute émue.
Il a continué à me peloter la poitrine longuement, avec ses doigts il s’est mis à faire le tour de mes aréoles et à pincer mes tétons ce qui provoqua un petit :— A !!! d’excitation.— Vous aimez mes mains on dirait.— Ca suffit, lui dis-je pleurnicharde.— Avez-vous humidifié votre culotte ?— Arrêtez maintenant, s’il vous plaît. S’il vous plaît.
Il a peloté mes seins avec vigueur ce qui était douloureux, les a sous-pesés et les a lâchés.— Merci, pour ce moment de détente, j’espère que vous me donnerez d’autres plaisirs.
Je n’ai rien répondu, il a posé le badge d’accès sur la table basse et a fini son thé. En s’approchant de la porte d’entrée il s’est retourné et m’a dit :— Je serai content de rencontrer votre mari, vous pourriez m’inviter à dîner un de ces jours, autre chose, nous gardons nos petits secrets pour notre bien-être à chacun, je vous salue ma chère, à bientôt, j’attends avec impatience votre invitation.
Une fois qu’il est parti je me suis rhabillée, j’ai passé de l’eau sur le visage et pris un grand verre d’eau. J’ai fait signe à Hervé qui était toujours au téléphone que je rentrai.
Arrivée au Riad j’ai serré très fort Marc.— Tout va bien ma chérie ?— Oui mon chéri, je t’aime.
J’ai ouvert mon haut et mis sa main sur mon sein et pensé très fort ils sont à toi, ils sont à toi, ils sont à toi. Marc m’a fait l’amour ce qui m’a permis d’oublier cette journée, brièvement.
Cela fait maintenant une semaine que Benaissa est passé au bureau, je suis à l’agence à vaquer à mes occupations quotidiennes, Marc n’a pas touché grand-chose de son roman publié il y a un mois, le temps qu’il se fasse connaître et les ventes seront meilleures.
Un mail vient d’apparaître sur mon PC, oh non !!! C’est Benaissa.— Chère Mme Leroux j’attends votre invitation à dîner avec impatience, il serait dommage que ces pièces jointes soient malencontreusement expédiées à Mr Barloux et votre mari.
En pièces jointes il y avait des photos de moi les seins nus. Je suis bloquée.
Une fois rentrée au Riad j’ai abordé le sujet avec Marc.— Cela te dérangerait si j’invitai Benaissa et sa femme à dîner un soir ?— Non ??? Mais je croyais que tu n’appréciais guère ce personnage ??— En effet mais cela peut permettre de briser la glace, je me trompe peut-être sur la personne.— Eh bien c’est OK pour moi.— Très bien, je vais lui soumettre jeudi soir dans deux jours.
Le lendemain au travail j’ai envoyé le mail d’invitation à Benaissa et la réponse fut rapide : — Je suis enchanté de recevoir cette invitation, je me présenterai chez vous avec ma femme jeudi soir à 19h. Cela va être long d’attendre jusqu’à jeudi, pour patienter j’aimerais que vous m’envoyiez dès maintenant une photo de votre entrejambe, sans culotte bien sûr.— Il ne va pas me lâcher. Mais jusqu’où ??? Je suis obligée de le faire, sinon il va diffuser les photos.
Me dis-je, en serrant fort les accoudoirs de mon fauteuil.

J’étais habillé d’une jupe, je l’ai donc légèrement remontée, j’ai passé mes mains dessous tout en guettant vers le bureau à Hervé, qu’il ne débarque pas. J’ai saisi ma culotte blanche et l’ai descendue le long de mes jambes, je l’ai récupérée au sol et mise dans mon sac.
Le plus dur était à faire, après une certaine hésitation j’ai saisi mon téléphone, de l’autre main j’ai remonté ma jupe et l’ai soulevée, tout en positionnant mon téléphone j’ai écarté les cuisses laissant apparaître ma vulve ornée de sa toison châtain, tout en regardant vers le bureau d’Hervé j’ai pris la photo.
Je lui ai envoyé la photo de mon abricot tout de suite avant d’avoir une plainte.
Rapidement j’ai eu une réponse :— Merci de me redonner autant de vigueur.
A suivre...
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