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Soumise à un Algérien

Chapitre 5

Humiliation

Hétéro
Dans deux jours nous allons passer le week-end chez les Benaissa, je ne suis pas pressé d’y être. Marc souhaite que je m’achète une robe typique pour faire plaisir à Madame Benaissa.

Nous quittons le Riad pour nous rendre dans le centre d’Alger, comme me l’avait conseillé Madame Benaissa j’ai mis un voile pour être plus discrète ainsi qu’un pantalon et un haut flottant à manche longue.
Nous nous garons à proximité du magasin que Marc avait trouvé sur le Net. La devanture est très belle ainsi que les robes en vitrine, nous rentrons dans ce magasin de taille moyenne et qui est assez classique et sobre, nous sommes salués par le commerçant.
Un homme plus grand que Marc la tête rasée, il a le teint très mat et les yeux noirs quarante-cinq ans, il fait peur au premier abord, il a un ventre imposant habillé d’une chemise blanche légèrement ouverte et d’un pantalon en toile, il est très poilu sur le haut du torse et les avant-bras.
— Bonjour messieurs dames, puis-je vous être utile.— Bonjour messieurs, nous cherchons une robe ou un ensemble, typique du pays.
Demanda Marc.
— Vous trouverez nos robes dans le fond du magasin, je vous laisse regarder, je vous rejoins après.— Merci.
Nous nous sommes dirigés vers le fond du magasin, je souhaitais une robe discrète pas trop ornementée. Après quelques minutes le commerçant nous a rejoints devant le rayon.
— Trouvez-vous votre bonheur messieurs dames ?— Nous avons deux robes et un ensemble qui nous plaisent.— Très bon choix, je vous laisse passer dans la cabine d’essayage Madame.
Je suis rentré dans la cabine qui avait un miroir et une chaise et des portes-manteaux, elle se fermait par un simple rideau.
Je venais à peine de suspendre la robe à essayer que Marc ouvrait légèrement le rideau pour me demander si tout allait bien, je voyais le commerçant quelques pas derrière lui les yeux en direction de la cabine.
Au moment où j’ai commencé à retirer mon haut Marc s’est écarté laissant le commerçant apercevoir mon body en dentelle noir.
— Tout va bien mon chéri, merci.
Il a refermé le rideau et j’ai revêtu la robe. Après quelque instant d’ajustage je suis sortie de la cabine.
— Vous êtes superbe Madame.— Oui en effet ma chérie.
C’était une grande robe bleu marine brodée de noir avec le haut fermé à manches longues.
Je me suis regardé sous tous les angles dans le miroir du magasin.
— On dirait que quelque chose ne va pas Madame.— Oui en effet je me sens oppressé dans cette robe.— Vous souhaitez une tenue plus ventilez, plus ouverte ?— Oui tout à fait Messieurs, je vais essayer la robe bustier blanche.
Tout à coup on a entendu la clochette de la porte retentir, un homme est rentré dans le magasin. Il était de petite taille et semblait boiter, étant au fond du magasin je le distinguais mal entre les rayons.
— Veuillez m’excuser messieurs dames.
Le commerçant a rejoint l’homme, il semblait le connaître.
Il est revenu vers nous embarrassé.
— L’homme qui vient de rentrer dans le magasin s’appelle Abdoul, il est handicapé et sans abri et quand il pleut fortement je lui permets de venir discrètement s’abriter dans le magasin.
Pris dans nos essayages nous n’avions pas remarqué que la pluie s’était abattue sur la ville.
— Si vous le souhaitez je peux le chasser.— Non non non Messieurs, c’est honorable de votre part d’aider ce monsieur en difficulté.
Je suis retourné dans la cabine pour changer de robe, j’ai sollicité l’aide de Marc pour fermer cette nouvelle robe qui avait une grande fermeture éclair dans le dos.
Je suis sortie de la cabine et les yeux de Marc et du commerçant se sont figés sur le bustier rempli par mes gros seins.
— Cette robe vous va à ravir Madame !— En effet ma chérie tu es superbe !!
J’ai tourné sur moi-même ravi de ces compliments.
— Tout de même une remarque Madame, cette robe se porte sans soutien-gorge.— Oui il a raison Amy, tu devrais retirer ton body pour vérifier que tu es à l’aise. Le temps que tu le retires je vais aller voir des vêtements pour moi.— OK je te fais signe quand je suis changé.
Marc s’est éloigné quand je suis rentré dans la cabine d’essayage. J’ai voulu redescendre la fermeture éclair de robe mais elle était coincée.
— Marc, Marc tu es là ? Demandai-je à voix basse.— Madame tout va bien ? Souhaitez-vous de l’aide ? demanda le commerçant.— La fermeture de la robe est bloquée, pourriez-vous demander à mon mari de venir s’il vous plaît ?
Il a tout de suite ouvert le rideau de la cabine.
— Nous n’allons pas déranger votre mari, je vais vous aider.
Je voyais Marc assez proche du sans-abri à l’autre bout du magasin.
— Mais je...— Tournez-vous je vais régler ce problème et regardé comment cela peut être réparé.
Je me suis tourné, il a pris la tirette entre ses doigts et il a doucement descendu la fermeture éclair profitant de mon dos recouvert de dentelle noire. Une fois arrivé en bas il m’a demandé de retirer mon body.
— Je tiens votre robe vous pouvez retirer votre sous-vêtement.— J’aurai préféré que...— Allez si Madame !
Devant l’insistance du commerçant j’ai saisi la bretelle de mon body passant mon bras puis l’autre je l’ai descendu laissant apparaître le long de mon corps mes seins blancs, j’ai continué à descendre mon body sur mes hanches en me penchant.
Voyant que j’avais une certaine difficulté il a descendu la robe laissant apparaître dans le miroir l’intégralité de mes seins, j’ai senti la robe trembler, il était surexcité. Le body au sol j’ai maintenu la robe.
— Vous pouvez la refermer s’il vous plaît.— Oui tout de suite Madame. M’a-t-il répondu le souffle court.
Je me suis retourné et il avait déboutonné deux boutons de sa chemise, laissant apparaître son torse très poilu et luisant de sueur. Je suis sortie de la cabine, Marc se rapprochait de moi.
— Alors tu te sens bien dans la robe ?— Oui je suis bien, elle est agréable à porter.
Et à regarder également. Ils avaient les yeux rivés sur mes seins qui ressortaient à chaque respiration.
— Je vais prendre cette robe, tu vois avec le commerçant pour le prix et pour faire modifier la fermeture éclair.— OK ma chérie.
Je suis retourné dans la cabine d’essayage pour retirer la robe.
— Et mince, pénible cette fermeture éclair... Marc ???— Oui ma chérie ?— Tu peux venir m’aider ?
Marc m’a rejoint dans la cabine fermant le rideau derrière lui, il a descendu la fermeture. J’ai retiré la robe, j’étais nu, dos à Marc.
Tout à coup j’ai senti sur mes fesses le sexe tendu de Marc.
Nous parlions à voix basse.
— Mais qu’est-ce que tu fais ???— J’ai trop envie de toi, baisse-toi je veux te prendre.— Non pas ici.
Il a mis la main sur mon dos me basculant vers la chaise, me recouvrant le visage avec le voile.
— Mais arrête, je ne vois plus rien.
Il m’a directement pénétré.
— Tu vois tu aimes je suis rentré sans problème.
J’avais les mains sur la chaise le visage obstrué par le voile avec Marc en train de me prendre en levrette.
Cette prise de risque m’excitait, je me retenais de gémir. Après deux petites minutes de va-et-vient Marc c’est retiré m’embrassant dans le dos me pelotant les seins, après quelques secondes de caresses il a de nouveau positionné son gland jouant entre mes lèvres pour pousser doucement son membre dans mon vagin.
— Mmmmm, c’est bon, tu te surpasses mon chéri, elle est si grosse.
Il a commencé à me pilonner.
— J’aime ta queue mon chéri, aaaa... aaaa... aa...— Tu aimes les grosses queues ?— Oui.
J’ai tout à coup senti quelque chose se poser sur mes fesses, faisant tomber le voile je voyais le commerçant complètement nu recouvert de poils, son ventre sur mes fesses en train de me violer.
Marc se masturbait la queue tendue entre les doigts les yeux sur le pénis du commerçant rentrant et sortant de mon vagin.
— Mais qu’est-ce que vous faites ???
Sentant la partie se terminer, le commerçant a mis sa grosse main sur mon dos me bloquant et il a commencé à me prendre fortement, je n’ai pas pu résister.
— AAAAaaa... AAAaaa... AAAaaa...— Tu aimes sa queue ma chérie ! — Elle est trempée.
Ajouta le commerçant.
— AAAaaa... AAAaaa... AAAaaa...
Le commerçant s’est retiré et ils m’ont déplacée à l’extérieur de la cabine, je me suis allongée sur le dos sur la moquette entre deux rayons, le commerçant est venu s’allonger sur moi et m’a directement enfilée.
— AAAAAAAAaaaaa.
Marc s’est approché de moi pour que je le suce pendant que l’ours me prenait, j’avais les seins qui ballottaient. J’avais le pénis de Marc dans la bouche et la queue du commerçant dans mon vagin.
Marc a fait un signe de la main et j’ai vu le SDF arriver à côté de moi. Il devait avoir dans les quarante ans, pas facile à dire son visage était difforme, beaucoup de boutons autour des lèvres, le peu de dents qu’il lui restait était noires et il avait des trous dans la chevelure.
Il a retiré sa veste et on a pu constater que son bras gauche était atrophié, c’était très gênant, son bras droit avait des points de piqûre avec des croûtes autour, sûrement un drogué.
— Tu veux qu’elle te suce Abdoul ?— MMMmmm... No... Non... Mmm...
Marc maintenait son pénis dans ma bouche pour ne pas entendre mes protestations.
Abdoul a fait tomber son pantalon, son caleçon marron était plein de taches et ses jambes étaient remplies de plaques. Il a retiré son caleçon laissant apparaître un pénis de bonne taille, ses testicules étaient énormes et très poilus.
C’est quand il s’est agenouillé à côté de moi que j’ai été horrifié, son pénis était parsemé de boutons blancs dont un gros sous sa verge et il l’a décalotté devant mes yeux je pouvais voir des verrues à la base son gland, Marc s’est retiré de ma bouche.
— Suce lui la queue ma chérie, regarde comme elle est grosse, comme tu les aimes.— Non c’est dégoûtant.
J’ai tourné la tête vers Marc et le sans-abri est venu poser son gland sur ma joue.
— Je veux bien le masturber mais pas plus !!!
J’ai pris le pénis du SDF du bout des doigts et j’ai commencé à le masturber, je faisais attention de ne pas toucher ses boutons dégoûtants.Marc s’est tourné vers le commerçant.
— Vous pouvez la sodomiser elle aime ça.— Non sa queue est trop grosse.
Marc a fait un signe de la tête au commerçant lui donnant l’aval pour me sodomiser, le commerçant s’est retiré de mon vagin positionnant son gland sur mon anus, j’avais envie mais en même temps peur d’avoir mal, je l’ai tout de même laissé faire.
Il a poussé doucement et sa queue s’est introduite jusqu’au fond.
— AAAAaaaaa c’est bon.— Ma chérie ton cul s’habitue aux queues de plus en plus grosses.
Abdoul ma saisie un sein le pelotant avec vigueur et j’ai pu voir que ses mains étaient parsemées de verrues.
Le commerçant me pilonnait l’anus, de plus en plus vite, son souffle de plus en plus fort. Il m’a saisi les jambes, les relevant sur ses épaules et il a encore accéléré le rythme, je n’en pouvais plus mon excitation allait exploser.
— AAAAAAAAAAaaaaaaa. J’ai senti le commerçant se vider dans mon anus.
Il s’est retiré me relâchant les jambes, j’étais allongé sur la moquette les cuisses écartées le souffle court, j’avais relâché le pénis du sans-abri qui se masturbait tout seul.
Je m’apprêtais à me relever quand Marc a demandé au SDF :
— Abdoul tu veux la prendre ?— GMoui, je gveux ra prengre.— Non non non non, je ne veux pas qu’il me pénètre.— Tu peux lui faire ce plaisir tu n’as pas voulu le sucer, le pauvre homme cela doit faire très longtemps qu’il n’a pas touché une femme.— Non hors de question !!!!!!
Marc m’a saisi les bras me rallongeant sur le dos et a demandé au commerçant de l’aider.
J’étais maintenu allongé sur la moquette Marc me tenant les bras et le commerçant m’écartait les cuisses, il en a profité pour m’enfoncer deux doigts dans le vagin.
— Viens Abdoul elle est toujours humide.
Abdoul est venu s’agenouiller entre mes cuisses, il a posé son bras atrophié sur ma cuisse pour se soutenir et de l’autre main il est venu positionner son gland entre mes lèvres. Les deux hommes me tenaient fermement.
— Arrêtez, c’est dégoûtant !!! Il a des infections !!!
Je voyais ses verrues vertes à la base de son gland.
Je venais d’exciter Marc encore plus.
— Tu vas voir ma chérie, ta chatte va adorer cette grosse bite purulente.
Ce crasseux avait le gland à l’entrée de mon vagin.
— Vas-y Abdoul baise la !!!
Ajouta le commerçant.
J’ai senti sa queue me pénétrer doucement.
— Nooooon arrêtez !!!
Sa grosse verge remplissait mon vagin c’est testicules posés sur mes fesses, je ressentais les boutons frotter contre la paroi de mon vagin.Le sans-abri a accéléré le rythme, malgré cette queue vérolée je sentais l’excitation monter, mais mon dégoût a été total quand j’ai senti le gros bouton sous sa verge éclatée sous les va-et-vient, j’ai eu un haut-le-cœur. Il a de nouveau monté la cadence pour venir se figer au fond de ma vulve et déverser son sperme chaud dans mon utérus.
Il s’est retiré mais continuait à éjaculer.
— Ça fait longtemps que tu ne t’étais pas vidé les couilles Abdoul.
Ajouta le commerçant.
— Approche de sa bouche elle va te laver la bite.
Proposa Marc.
Le sans-abri est venu de nouveau devant mon visage et comme la première fois j’ai tourné la tête. Marc me tenait toujours les bras et le commerçant m’a tourné la tête tout en me pinçant le nez.
Au bout de quelques secondes j’ai rouvert la bouche, reprenant ma respiration il en a profité pour insérer sa grosse queue, j’ai pu voir le gros bouton de pus perforé.
Il a commencé à me prendre la bouche avec son pénis, son sperme me coulait sur la langue.Sa verge occupant toute ma bouche je n’ai pas pu recracher et ai avalé toute sa semence.Ses testicules enfin vides, il a retiré son pénis.
— Attends Abdoul elle va te nettoyer le gland avec la langue.
Demanda Marc.
Abdoul a approché sa queue et j’ai sorti ma langue timidement, voyant que j’obéissais Marc m’a lâchée pour prendre son pénis en main et se masturber.Ma langue faisait le tour de son gland, quand Abdoul a décalotté à fond, ma langue est venue à plusieurs reprises en contact avec les verrues vertes et devant cette scène dégueulasse Marc m’a éjaculé sur les seins.
— AAAAAaaaa tu es dégoutante ma chérie, c’est bon !!!!
Ils m’ont aidé à me relever, je me suis rhabillé, mon pantalon s’est tout de suite imbibé du sperme coulant entre mes jambes.
Comme si de rien n’était le commerçant m’a indiqué :
— Madame votre robe sera prête demain sans faute avec une fermeture éclair neuve.
Nous sommes sorties du magasin avec Marc, la pluie avait cessé.
— Grasse à tes exploits ma chérie le commerçant nous a fait une remise de cinquante pour cent.— Il peut bien avec les trucs dégoûtants que tu me fais faire.— Oui c’est vrai mais au début tu es toujours réticente mais au final tu es autant excité que moi.— Peut-être mais je vais devoir me désinfecter de haut en bas.
Comme d’habitude je lui ai pardonné et le lendemain nous sommes retournés au magasin chercher la robe, Marc est resté dans la voiture.
Quinze minutes plus tard je suis ressorti du magasin, je suis monté dans la voiture.
— Tu en as mis du temps, tu as de nouveau essayé la robe ?— Non le commerçant m’a proposé de le sucer pour une réduction supplémentaire.— Et ?????????— Tu as de l’eau ?
Lui répondis-je avec un sourire provocateur.
— OK j’ai compris on rentre.— Au fait l’écriture ton livre avance ?— Euuuuh oui.
Une fois rentré au Riad je voulais en savoir plus sur l’avancé de son bouquin. J’ai attendu que Marc allume son PC et le déverrouille pour venir l’aguicher en topless et lui proposer avec des bisous dans le cou et les mains baladeuses de venir dans la piscine.
— OK j’arrive je vais mettre mon maillot.
J’en ai tout de suite profité pour fouiller son PC, il y avait bien un roman en cours pas gère avancé, je l’ai vite survolé. Et j’ai remarqué un dossier avec le nom Amy Miss F. Je l’ai ouvert et cela parlait de moi dans le métro parisien me faisant toucher par divers inconnus et avançant un peu je pouvais lire ma visite médicale avec Benaissa me faisant des attouchements ainsi qu’un peu plus loin le gang bang au Riad comme il le nomme dans son manuscrit avec les deux Maghrébins.J’ai entendu Marc sortir de la chambre, j’ai refermé les dossiers me levant du bureau.Une fois dans la piscine, je repensais à ce que je venais de lire, Marc relate mes ébats sexuels et me force à réaliser ses fantasmes. Mais jusqu’où vont c’est fantasmes ???
Voilà c’est le jour, nous sommes dans la voiture avec Marc direction le week-end chez Benaissa, je suis stressé à l’idée de passé du temps avec ce personnage.
Avant de partir j’ai contacté Hervé pour lui demander de l’aide si nécessaire.
Cela fait maintenant quarante-cinq minutes que l’on roule et nous voyons le Riad de la famille Benaissa. Après nous être garés, nous nous dirigeons vers la grande porte sculptée et ornée de ferronnerie.C’est une femme qui nous ouvre.
— Bienvenue Mrs et Mme Leroux, je suis Jelila la gouvernante de Mrs et Mme Benaissa, veuillez entrer.
C’était une femme de trente ans, assez jolie.
Nous avons découvert un Riad splendide et gigantesque. La gouvernante nous a dirigés vers l’arrière du Riad qui contenait un grand salon d’extérieur bordé d’une piscine donnant sur un grand champ de palmiers ou pâturaient des moutons et un âne.
— Bonjour mes amis et soyez la bienvenue. C’est exclamé Benaissa sortant de l’intérieur.— Bonjour Mrs Benaissa et merci de nous accueillir. Répondit Marc.— Jelila, prends les bagages de nos invités et dépose-les dans leur chambre. Je vous en prie, venez vous asseoir Fadila ne va pas tarder.
Je suis passé devant Benaissa qui m’a mis la main dans le dos m’accompagnant vers le salon, il a descendu sa main sur mon chemisier blanc jusque sur mon pantalon en toile beige m’immisçant un doigt dans la raie de mes fesses, je suis resté de marbre.A cet instant Fadila nous a rejoints, je me suis assise à côté d’elle me sentant rassuré à ces côtés.Nous avons dîné et les hommes sont partis se promener sur la propriété.
— Je vais prendre une douche et je crois que je vais aller me coucher.— Vous êtes fatiguée Amy ? — Oui Madame, la semaine a été éreintante.— J’ai ce qu’il vous faut ma chère !!! Jelila veuillez préparer le spa pour notre invité.— Très bien Madame.— C’est vraiment très gentil, je vais passer mon maillot immédiatement.
Madame Benaissa m’a accompagnée dans le sous-sol, c’était magnifique la piscine était entourée d’arches et le sol recouvert de marbre.
— Je vous laisse vous d’étendre ma chère, je vous dis à demain, bonne nuit.— Merci encore Madame, bonne nuit.
Je me suis installé dans les jets de bulles les yeux fermés, quel bien-être. Après quelques minutes de relaxation j’ai senti une présence.
— Alors ma chère la température de l’eau est à votre guise ?
Surprise, j’ai vu Benaissa debout en djellaba me fixant.
— Oui Monsieur très bien.— Vous permettez que je me joigne à vous ?— Vous êtes chez vous, où est Marc ?— Marc est entre les mains expertes de Jelila, c’est une très bonne masseuse, vous aimez les massages vous aussi il me semble ?
Je n’ai rein répondu.
Benaissa a retiré c’est sandale et soulevé sa djellaba, j’ai découvert son corps totalement nu de 60 ans, un petit ventre gonflé, ce corps totalement recouvert de poils et cette énorme verge entourée de poils roux entre les cuisses.
Il est rentré dans l’eau s’assaillant à un petit mètre de moi.
— Cela ne vous gêne pas que je sois nu ?— Non Monsieur.— Retirez votre maillot, mettez-vous à l’aise !— Je ne préfère pas.
Il s’est approché de moi posant sa main sur mon épaule.
— Ne soyez pas timide.
Il a saisi ma main et sans résistance de ma part il l’a posé sur son pénis.
— Vous la connaissez bien, vous pouvez jouer avec... !
J’ai commencé à masturber son gros mandrin, il a passé sa main dans mon haut me malaxant mon sein. De l’autre main il m’a soulevé mon soutien-gorge me le retirant.
— Ils m’avaient manqué, si imposants et fermes, je me sens tout tendu.
En effet sa queue était raide, je ne pouvais plus fermer ma main dessus et si longue son gland sortait de l’eau.
— Vous aimez la regarder, vous avez envie de la sucer ? Ne dites pas le contraire.— Oui je... Veux la sucer.
Je me suis penché et pris son gland en bouche. Après quelques secondes à lécher se bout volumineux il a passé sa main derrière ma tête pour m’enfoncer sa verge dans la bouche me laissant remonter pour prendre ma respiration, voyant ma soumission sa main est descendue doucement sur mon ventre rentrant dans ma culotte, il a joué avec ma toison avant de caresser ma vulve, c’est gros doigts écartaient mes lèvres.Son majeur est rentré d’un seul coup, voyant avec quelle facilité il m’a pénétré il m’a inséré deux autres doigts.
— MMMMmmmmmmmm...— Fadel avait raison votre chatte est spacieuse, voulez-vous que j’y insère ma queue ?
J’ai relâché son pénis me levant, j’ai retiré ma culotte.
— Vous voulez quoi ma chère ?— Je veux votre queue.— Je me suis laissé entendre que vous affectionnez les bites d’Arabes.— Oui.— Oui quoi ????— Oui j’aime les bites d’Arabes.
Je me suis mise dos à lui, j’ai présenté son gland à l’entrée de mon vagin et je me suis laissée tomber sur son énorme tige, l’eau aidant je me suis enfilé d’un seul coup dessus.
— AAAAAAAaaaaaa.— Vous la sentez ?— Ho oui, elle est si grosse, AAAAAaaaaa AAAAAAaaaaa AAAAAaaa.— Celle de votre mari vous fait autant défait ?— AAAAAaaa AAAAAaa non elle est beaucoup plus petite.— Mettez-vous sur le bord je vais vous prendre par derrière.
Je me suis accoudé sur le bord de la piscine et il m’a directement prise en levrette, il a accéléré le rythme, j’ai tout de suite eu un orgasme.
— AAAAAAAAAAAAAAAA !!!!! C’est la première fois que je jouis aussi fort AAAAaaa !
Il s’est retiré me demandant :
— Vous la voulez encore ?— Oui je la veux dans ma chatte, s’il vous plaît.— Je sais que votre anus a été dépucelé?— Non je ne veux pas que vous me sodomisiez, votre queue est trop grosse.
Il a rigolé et il a présenté son bout sur mon anus et il a poussé doucement.
— Non Mr Benaissa non, s’il vous plaît, Aïe !!! Aïe, Aïe !!
Son gland a passé mon anneau j’avais très mal, il a poussé doucement venant m’insérer sa longue verge entièrement.
— Vous voyez, ce n’était pas difficile ?
Je ne lui ai pas répondu j’avais trop mal. Il m’a prise comme cela pendant cinq minutes, je commençais à avoir du plaisir.
— Vous aimez tout de même être prise en sodomie. Voilà c’est fini vous pouvez venir me la sucer, venez goûter la queue qui sort de votre cul.
J’ai avalé son pénis, le suçant avec vigueur, gobant ses testicules et léchant sa verge dans toute sa longueur.
— Vous voulez que j’arrête de vous prendre ???— Non, continuez.— Vous la voulez où ?— Dans ma chatte, je la veux dans ma chatte.
Je me suis allongé sur le bord du bassin, il m’a écarté les cuisses en me prenant d’un seul coup, je sentais totalement sa verge dans mon vagin, l’orgasme me montait, il a accéléré, mes seins ballottaient. Il m’a saisi les cuisses me donnant trois coups de queue dans le fond du vagin pour se figer, j’ai explosé de plaisir sentant le sperme se déverser dans mon intérieur.
Je suis resté à côté de lui dans l’eau bouillonnante, lui massant le pénis et les testicules, après plusieurs minutes je me suis relevé.
— Je vous souhaite une bonne nuit Monsieur.— Vous ne m’embrassez pas ?— Oui Monsieur.
Je me suis rapproché de son visage et il a saisi ma tête venant coller ses lèvres aux miennes, sa langue a forcé ma bouche venant en contact avec ma langue. J’ai de nouveau saisi son mandrin pour le masturber.
Après quelques secondes il a libéré mes lèvres, lui lâchant la queue il a ajouté :
— Ne vous inquiétez pas, vous allez jouer avec ce week-end.
Je l’ai regardé en souriant me dirigeant vers l’escalier. Au rez-de-chaussée tout était éteint, je voyais de la lumière venant de notre chambre.Marc était en train de prendre une douche, je l’ai rejoint en me collant à lui. Il avait la verge décalottée, l’effet Jelila peut-être.
— Non ma chérie je suis fatigué.— OK ce n’est pas grave, je suis fatigué aussi.
Heureusement car je sentais le sperme de Benaissa s’évacuer de mon vagin.
Je me suis réveillé le lendemain matin avec le soleil rentrant dans notre chambre, j’ai très bien dormi.En pleine forme je me lève laissant Marc dormir, je suis arrivé sur la terrasse, Jelila m’a invité à m’asseoir pour prendre mon petit-déjeuner.
— Jelila ?— Oui Madame ?— Je suis la première levée ?— Non Monsieur est parti faire sa promenade matinale sur ses terres.— A OK.
J’étais donc seul devant ce beau paysage, mon repas terminé Jelila s’est approché de moi.
— Madame Benaissa souhaiterait vous entretenir.— Oui bien sûr.— Veuillez me suivre Madame.
Je me suis levée de table essuyant ma bouche, nous sommes rentrés dans la maison traversant le salon nous dirigeant vers la chambre de Madame Benaissa, Jelila a frappé à la porte.
— Oui entrée !!
Jelila a ouvert la porte, j’ai pu apercevoir Madame Benaissa allongée, les draps jusqu’à son cou.
— Rentrez ma chère.
Je suis rentrée dans la chambre me dirigeant vers le lit où était allongée Madame Benaissa, Jelila a fermé la porte me laissant avec Madame.
— Quelque chose ne va pas Madame ?— Asseyez-vous à côté de moi Amy.
Je me suis assise sur le lit à côté d’elle, elle a pris ma main.
— Vous savez Amy j’ai appris beaucoup de choses sur vous depuis votre arrivée dans notre pays, j’ai cru comprendre que vous avez un attrait certain pour les hommes de mon pays.— Mais Madame... je...— Votre mari aime vous voir sous les mains d’autres hommes ???— Mais... je ne suis pas...
Écartant les draps, laissant apparaître sa grosse poitrine flasque elle a posé ma main sur son sein.
— Laissé vous aller ma petite, veuillez me masser les seins.— Mais Madame que faite vous, je ne peux pas faire ça.— Pourtant hier soir vous avez bien joué avec le pénis de mon mari et il semblerait que vous aimez les collégiens, avez-vous aimé le goût de la verge de mon ami libraire ? Je me souviens encore quand mon mari vous a fait goûter sa semence le soir où nous avons dîné chez vous.
Depuis le début elle savait ce que son mari me faisait subir et elle a pris plaisir à me soutenir.
Elle a passé sa main sous ma jupe me caressant la cuisse.
— Rapprochez votre visage, embrassez mes tétons.
C’est la première fois que j’allais toucher une femme, j’ai approché ma tête de sa poitrine et embrassé ses grosses aréoles roses, malaxant ses seins j’ai passé ma langue sur son téton.
— Ho oui ma chérie continue !!
Son autre main se baladait entre ses cuisses, je m’occupais de ses seins avec douceur, les rapprochant l’un de l’autre en faisant le tour de ses tétons avec mon ongle et ma langue. Elle a pris ma main la descendant sur son ventre et l’introduisant entre ses cuisses. J’ai passé ma main sur sa grosse vulve poilue lui écartant les lèvres avec un doigt.
— MMMMmmm c’est bon, continue petite cochonne.
J’ai joué avec ses seins et sa vulve un moment avant qu’elle me demande :
— Viens entre mes cuisses, tu vas me lécher la chatte.
Elle a retiré les draps recouvrant son corps, j’ai découvert une grosse femme, je me suis levé du lit venant me positionner entre ses jambes.
— Lèche-moi maintenant !
Elle a écarté les cuisses et je suis venu embrasser sa vulve, ses lèvres étaient pendantes, j’ai passé la pointe de ma langue entre ses lèvres charnues. Passant ma main dans sa toison noire je suis descendu positionnant mon doigt à l’entrée de son vagin. Ma langue jouait avec son clitoris quand j’ai pénétré son vagin avec mon doigt qui s’est noyé dans son excitation.
— Pénètre-moi avec ta langue !!!
J’ai retiré mon doigt, léchant son clitoris j‘ai descendu ma langue entre ses lèvres faisant des allers-retours pour l’exciter, j’ai positionné ma langue à l’entrée de son vagin poussant pour l’insérer.Tout à coup j’ai senti un goût sur ma langue, j’ai reculé la tête voyant du sperme couler de son vagin.
— Abib t’a laissé un cadeau, bois cette offrande ne laisse rien.
J’ai de nouveau léché son vagin aspirant le sperme.
— Abib m’avait prévenu que tu étais une gourmande, continue tu vas me nettoyer le vagin, avale tout.
Après plusieurs minutes j’avais le visage trempé et collant et surtout mal à la mâchoire.
— Relève-toi, tu as aimé goûter à ma chatte ?— Oui Madame.
J’ai baissé les yeux.
— Merci ma chérie, tu sais te servir de ta langue. Va te laver à présent.— Très bien Madame.— Je vais te présenter quelqu’un tout à l’heure.— Bien Madame.
J’ai quitté la pièce laissant Madame Benaissa allongée sur son lit les cuisses écartées la vulve luisante.Je suis allé directement dans ma chambre prendre une douche. Je suis ressorti une heure plus tard avec une longue jupe et un haut sans décolleté les bras recouverts, j’avais la tête voilée.
Je suis arrivé aux abords de la piscine, je voyais Marc et Mrs Benaissa en discussion à proximité de l’écurie.Jelila est arrivée commençant à mettre la table pour le repas du midi. Mme Benaissa est apparue avec un homme en fauteuil roulant.
— Amy je vous présente mon père, Moustapha, il vit dans la dépendance.— Enchanté Monsieur.
Il ne m’a répondu, il avait les yeux fixes et le visage creusé.
— Mon père a maintenant 85 ans, il est handicapé il s’exprime très peu.
J’ai fait un signe de la tête par compassion. Les deux hommes nous ont rejoints et nous sommes passés à table, Benaissa était assis à côté de moi et il m’a chuchoté :
— Prenez-la si vous voulez ?
J’ai passé ma main sur sa cuisse saisissant son pénis à travers sa djelleba, Marc et Mme Benaissa voyaient très bien que je le masturbais, après quelques minutes Jelila est arrivée avec un plat, j’ai relâché la queue de Benaissa et nous avons mangé. Sa main venait se poser sur ma cuisse de temps à autre.Le repas terminé Mme Benaissa m’a demandé de l’accompagner pour emmener son père à sa maison. Nous sommes rentrés dans la dépendance, Mme Benaissa poussait le fauteuil roulant. Il y avait un salon, une chambre et une salle de bain toilette.Nous nous sommes dirigés vers la chambre ombragée.
— Venez ma chère nous allons l’allonger sur le lit.— Oui Madame.
Nous l’avons aidé à se lever du fauteuil, j’ai été surprise par sa maigreur quand j’ai saisi son bras. Il s’est assis sur son lit pour s’allonger sur une grande serviette.
Une fois allongée, Mme Benaissa m’a demandé :
— Aidez-moi à déboutonner sa chemise, pour lui faire sa toilette.
Surprise, je me suis exécutée.
— Très bien Madame.
Après avoir retiré sa chemise nous avons retiré son pantalon. Il était maintenant en slip et débardeur blanc.Madame Benaissa l’a assis et j’ai ôté son débardeur. J’ai pu constater cette maigreur que j’avais ressentie.
— Pouvez-vous aller à la salle de bain prendre la bassine et y mettre un petit peu de savon avec de l’eau tiède, ainsi qu’un gant de toilette, merci.— Bien sûr Madame.
Je suis revenu rapidement et Mme Benaissa tenait assis son père.
— Donnez-moi le gant de toilette Amy.— Voici.
Elle a passé un coup dans le dos de son père et nous l’avons délicatement rallongé, elle a nettoyé c’est bras et doucement son ventre.
— Retirez-lui son slip Amy.
Il a marmonné en arabe et elle a souri.
— Très bien Madame.
C’est sans aucune envie que j’ai saisi les côtés du slip pour le faire glisser le long de ses jambes et le lui enlever. Il était maintenant nu avec un pénis de taille moyenne posé sur ses testicules parsemés de poils gris.
— Pouvez-vous m’aider en nettoyant ses jambes, n’ayant qu’un gant de toilette utilisez vos mains.— Très bien Madame.
J’ai plongé mes mains dans la bassine et les ai apposés sur ses pieds pour les frotter doucement et remonter sur ses genoux, je sentais très bien ses os entre mes mains. J’ai été surprise de voir son pénis bouger tout seul quand je suis remonté le long de sa cuisse.
— Vous lui faites de l’effet, nettoyez son pénis.— Mais Madame, je..... Ne suis pas sûr...— Ne faites pas votre mijaurée.
J’ai plongé mes mains dans l’eau et à deux mains j’ai fait le tour de son pénis et de ses testicules, je sentais son corps se raidir sous mes mains.J’ai saisi son pénis pour le laver doucement, il restait flasque dans ma main. Je l’ai doucement décalotté pour nettoyer son gland avec mes doigts humides. Ses yeux étaient baissés vers moi, la bouche ouverte respirant fort.
— Nettoyez-lui son anus maintenant.— Non Madame s’il vous plaît.— Allez pressez-vous et avec votre langue, je sais que vous savez l’utiliser.— Non non non Madame pas ça !!!— Allez pressez-vous, je fatigue à vous attendre.
Elle est venue écarter les cuisses de son père. Je me suis déplacé venant placer ma bouche entre ses fesses.
— Voilà c’est bien, sortez votre langue et nettoyez bien son anus.
J’ai sorti ma langue, j’ai senti les poils avant de poser ma langue sur son anus. Il s’est directement tendu de plaisir.
— Très bien faites-en le tour et prenez sa queue dans votre main.
J’ai saisi sa queue pour le masturber tout en faisant le tour de son anus avec ma langue, c’était dégoûtant et quelle odeur.
— Rentrez votre langue à l’intérieur.
J’ai poussé la pointe de ma langue qui s’est introduite dans l’anus du vieil homme. On l’a toutes les deux entendu pousser un souffle de plaisir.
— Continuez c’est très bien... Voilà, vous lui faites très plaisir... Maintenant vous allez le sucer.
Je me suis relevé me rapprochant de son pénis, j’ai ouvert la bouche posant cette limace sur ma langue et refermant mes lèvres dessus pour le sucer.
— Faites en sorte de lui redonner de la vigueur, pour cela mettez-lui un doigt dans l’anus.
C’est dégoûtant, mais j’ai tout de même descendu ma main entre ses fesses, j’ai positionné mon majeur sur son anus, j’ai poussé doucement et son bouton s’est ouvert, ma première phalange s’est engouffrée et tout mon doigt a suivi. J’ai senti son anneau se serrer de plaisir sur mon doigt. Mon doigt enfoncé dans son anus sa queue reprenait de la vigueur dans ma bouche.
— Retirez votre doigt maintenant et léchez-le.
J’ai retiré mon doigt tout lâchant sa queue, j’ai introduit mon doigt dans ma bouche et je l’ai léché en regardant Mme Benaissa.
— C’est bien ma chérie, tu vas retirer ta culotte et t’asseoir sur son pénis.
Je me suis exécuté, je l’ai de nouveau sucé, sentant la raideur revenir je me suis relevé et j’ai positionné son gland à l’entrée de mon vagin et je me suis assise dessus, sa queue s’est introduite d’un seul tenant dans mon vagin.
— AAAaaaaaaa.
Je faisais des allers retours sur son pénis quand j’ai senti un liquide chaud se déverser dans mon vagin.
— Tu as aimé sa queue ?— Oui Madame.
Elle s’est rapprochée de son père.
Je l’ai entendu parler avec difficulté à sa fille en arabe. Nous l’avons lavé et habillé, je suis allé rapidement dans la salle de bain pour me passer un peu d’eau et faire un brin de toilette et nous avons quitté sa maison le laissant se reposer.
Je traversais la maison quand Benaissa m’a interpellé, il était dans son bureau.
— Vous avez fait connaissance avec mon beau-père ?
Je suis rentré dans son bureau.
— Oui Monsieur, nous l’avons aidé à se coucher.— Très bien, ce soir nous allons avoir des invités, avez-vous une robe de soirée ma chère ?— Oui Monsieur, j’en ai acheté une pour l’occasion.— Parfait, venez par la que je vous admire.
Je suis passé de l’autre côté du bureau, arrivé à sa hauteur j’ai pu constater que sa djellaba était remontée jusqu’au bas de son ventre, il avait son gros pénis posé sur sa cuisse.
— Venez me faire une gâterie.
Je me suis agenouillé entre ses jambes, j’ai saisi sa grosse queue que j’ai décalottée, j’ai fait le tour de son gland avec ma langue avant de l’avaler jusqu’au fond de ma gorge. J’ai saisi ses testicules les malaxant doucement, à sa surprise ma main est descendue entre ses cuisses poilues et mon doigt est venu effleurer son anus, ce geste a raidi son pénis dans ma bouche.
— Continue cochonne !!
J’ai fait le tour de son bouton avec mon doigt l’emmêlant dans les poils roux et noir. Je sentais que le bout de mon doigt était gras. Il a avancé son bassin sur la chaise, écartant en grand les cuisses. Je n’avais plus tellement envie de le faire mais c’était trop tard, avec lui c’est soit je le fais soit il va me forcer, j’ai frotté délicatement son anus avant de positionner mon majeur pour l’insérer doucement.
— Hoooo Amy, c’est bon !!!
Après quelques allers retours j’ai retiré mon doigt, je ne voulais pas regarder, je l’ai nettoyé sur l’intérieur de ma robe. Je continuai à le sucer quand il m’a demandé :
— C’était tellement agréable, venez me lécher le cul à présent.
Avec réticence j’ai relâché sa verge, j’ai écarté ses fesses et j’ai approché ma bouche de son anus les yeux fermés. Quand mon visage est entré en contact avec ses poils j’ai senti l’odeur repoussante. Après quelques secondes j’ai embrassé son anus et commencé à faire le tour avec ma langue.Il a positionné sa main derrière ma tête, la poussant pour faire rentrer ma langue, c’était dégoûtant. Il m’a ensuite relâché, j’ai repris la fellation. Son excitation était tellement forte qu’à prêt quelques minutes à le sucer il a déversé son sperme dans ma bouche.
— AAAAaaaaaa... Ça a été un grand plaisir, vous savez y faire.
Je me suis relevé en avalant son sperme. Je remettais ma robe en place quand il a ajouté :
— Bravo pour votre tenue, vous allez faire une bonne musulmane.
Je quittais la pièce en me demandant pourquoi cette remarque ?J’ai rejoint Marc sur la terrasse, il était assis seul en train de boire un soda.
— Ça va mon chéri ?— Oui, tu veux une boisson ? Il fait chaud.— Non ça va aller, j’ai déjà bu. Benaissa m’a fait une remarque bizarre tout à l’heure, en voyant ma tenue il m’a dit que je ferais une bonne musulmane.— Heu... en effet c’est surprenant, je ne saurais y répondre.— Ce soir il va y avoir des invités, je vais aller me préparer, ne tarde pas pour venir te changer.— OK, merci.
Il y a encore quelques heures je ne souhaitais pas venir passer ce week-end chez les Benaissa et maintenant je suis pressé de me montrer à lui dans cette robe de soirée et de jouer avec son gros membre, Marc a de quoi agrémenter son livre avec mon appétit pour les grosses queues.
Je suis sortie de ma douche et Jelila est rentrée dans notre chambre, m’apportant ma robe propre. J’étais revêtu d’une serviette devant elle.
— Jelila ? Quelle sorte de soirée va se dérouler ce soir ?— Ce sont des amis à Mr Benaissa, ils font des affaires tout en passant du bon temps.— Je vois, merci.— Cela devrait commencer dans une petite heure.
Marc m’a rejointe dans la chambre, tout en s’habillant il m’a fait une gentille remarque.
— Ma chérie tu es superbe dans ta robe, ta poitrine gonflée dans ton bustier te donne de la valeur, je veux dire te met en valeur !— Merci mon chéri.
L’heure était arrivée, nous nous sommes rendus sur la terrasse, elle était aménagée avec des canapés ainsi qu’un buffet préparé par un traiteur.Benaissa est arrivé vers nous.
— Ma chère Amy vous êtes vraiment superbe, vous allez faire forte impression devant nos invités. Cette robe vous va à ravir.— Veuillez m’excuser Monsieur, je ne me suis pas voilée.
J’ai baissé la tête.
— Mais non mais non, je veux que mes amis voient cette superbe chevelure blonde, merci de m’offrir cette étincelante présence. Je vous invite à vous rapprocher du buffet et à vous servir.
Quelques minutes plus tard le premier invité est arrivé, Benaissa s’est approché de nous avec son invité. Il était habillé d’un thob et les cheveux couverts d’un shemagh tenu par le agal.
— Je vous présente mon ami saoudien Bandar Al Budair.
Il a serré la main à Marc mais ne m’a pas regardé, ils se sont éloignés en discutant. Il n’a pas dû aimer ma tenue dévoilant mon corps.Un autre homme est arrivé, il était occidental, grand et fin la soixantaine avec un air de Giscard d’Estaing. Quand nous avons été présentés, son regard s’est longuement porté sur mes seins débordants de ma robe.
— Bonsoir Monsieur dame, je suis Mr Schmit consul luxembourgeois.
Il a été suivi directement par un homme noir en tenue de cocktail avec un béret militaire rouge, il était très large avec un gros ventre, très massif avec une grosse tête. Il était accompagné d’une femme noire très belle et élancé avec des cheveux longs posés sur une grande robe foncée.
— Bonsoir, je suis le commandant Zayd, je viens du Yemen. Madame vous êtes superbe.
Je l’ai remercié pour ses compliments, quand il est reparti j’ai remarqué qu’il avait une cravache à la main.
Suite à ces présentations Benaissa a pris la parole, remercié les invités de leurs présences et les a invités à prendre du bon temps autour du buffet.
Marc m’a signalé que les hommes allaient se réunir pour discuter, les femmes n’étaient pas conviées.
J’ai été m’asseoir à côté de Madame Benaissa. On pouvait voir les hommes rigolant le verre à la main.
— Amy, mon père a apprécié la douceur de vos mains, merci encore.— Ce fut un plaisir Madame.
La femme du commandant a quitté le buffet pour nous rejoindre.
— Bonsoir puis-je me joindre à vous ?— Oui bien sûr asseyiez-vous. — Merci je m’appelle Zineb.
Zineb s’est assise à côté de moi, après quelques minutes de discussion elle s’est rapprochée me faisant des compliments sur mes cheveux, elle a saisi une mèche descendant jusqu’à la pointe. Elle a posé sa main sur mon genou me faisant remarquer la douceur de ma peau.
— Laissez-vous aller ma chérie.
Sa main caressait ma cuisse passant brièvement sous ma robe. Voyant ma réticence, Mme Benaissa a ajouté :
— Laissez-vous faire Amy.
Sur ces paroles la main de Zineb est entrée entre mes cuisses écartées, venant frotter ma vulve à travers ma culotte, je sentais l’excitation monter. Elle a ensuite passé sa main dans mon dos ouvrant ma robe entièrement.
— Levez-vous Amy.
Je me suis exécuté, elle a saisi le bas de ma robe, tirant dessus elle a libéré mes gros seins blancs. J’étais en culotte face à elle.Elle s’est levée me caressant le corps, me pressant les seins. Je sentais la chaleur monter en moi.A son tour elle a déboutonné le haut de sa robe, la laissant tomber au sol. Son corps de mannequin avec de petits seins m’est apparu, elle a pris mes mains les posant sur sa poitrine, j’ai immédiatement commencé à la caresser doucement, à l’embrasser, la lécher. Les hommes ont remarqué le spectacle et ont stoppé leurs discussions profitant de ces deux corps nus.Je suis descendu embrassant son ventre, j’ai saisi les côtés de sa culotte en dentelle rouge, descendant le bout de tissu j’ai constaté avec stupeur un petit pénis entre ses jambes, c’était un transsexuel. Zineb m’a demandé :
— Suce-moi.
J’ai tourné la tête voyant les hommes attendant que je saisisse ce petit pénis. J’ai monté ma main le long de sa cuisse et pris en main ce petit sexe le relevant pour passer ma langue sur son gland et le sucer doucement, Zineb a passé sa main dans mes cheveux appuyant sur ma tête pour accélérer le rythme.
Mme Benaissa est venue dans mon dos passant sa main entre mes cuisses.
— Elle est mouillée notre petite salope, elle va être prête pour le spectacle !!!
Mais de quoi parlait-elle ?
Je voyais Marc me filmer avec son téléphone et le commandant avait sorti son sexe noir.
Zineb a accéléré le rythme pour venir se figer et déverser son sperme dans ma bouche. Les hommes me regardaient, attendant que j’avale.La bouche vide je me suis relevé et Zineb m’a tendu un verre d’eau.
— Tenez, suivez-moi.
Zineb m’a conduit vers une petite table à roulettes, il avait des sangles et un matelas en cuir.
— Retire ta culotte et allonge-toi dessus.
M’a demandé Zineb.
— C’est pour quoi faire ???— Ne vous inquiétez pas Amy, c’est juste pour le spectacle, rien de méchant.
Me rassurait Mme Benaissa me montrant le bras tendu la table.
Non rassuré je me suis allongé sur le matelas en cuir installé sur la petite table, Zineb a saisi mon bras avec douceur pour venir placer mon poignet dans une sangle et la refermer et elle a fait la même chose avec mon autre main. Elle a ensuite attaché mes chevilles de la même façon, je ne pouvais plus bouger, les fesses au bord de la table, les cuisses écartées.Les hommes se sont rapprochés, leurs mains frôlaient mon corps. Le commandant le sexe tendu a passé sa main sur mes seins, j’étais parcouru sur tout le corps, ils me touchaient avec une grande douceur, c’était très agréable.
Tout à coup Benaissa a pris la parole :
— Messieurs !!! Veuillez reculer. Comme d’habitude nous allons clôturer le spectacle avec la venue de Moka.
Je regardais Marc avec interrogation, il m’a regardé les yeux pleins d’enthousiasme le portable à la main.
Pourquoi m’ont-ils attaché ainsi et c’est qui Moka ???
— Moka Moka Moka !!! — Moka Moka Moka !!! — Moka Moka Moka !!!
Ils scandaient ensemble le nom Moka et tout à coup Zineb est arrivé de derrière la piscine tirant au bout d’une corde l’âne du Riad.
— Moka Moka Moka !!!!!!— Moka Moka Moka !!!!!! — Moka Moka Moka !!!!!!
J’espère ne pas avoir compris la présence de cet animal. Non non non !!!!
Mme Benaissa s’est approchée de moi.
— Ne vous inquiétez pas Amy il est très doux.— S’il vous plaît Madame, je ne veux pas être prise par un animal, pitié, pas un animal.
Je voyais Marc regardant l’âne s’approcher de moi avec un grand sourire, pour son livre ce moment est hors de prix et en plus il filme chaque partie.
Benaissa a de nouveau pris la parole :
— Mme Leroux vous allez avoir la chance d’être prise par notre superbe Moka et pour lui cette une soirée exclusive, en effet c’est la première fois qu’il va prendre une blanche, soyez honorée Mme Leroux.— Pitié Monsieur ne faites ça, je ne veux pas être prise par cet animal, pitié !!!! Pitié !!!!
Il ne m’a même pas regardée. Benaissa a baissé la table ou j’étais attachée, Zineb a fait passer l’âne au-dessus de moi et Benaissa a relevé la table pour que le fourreau de l’animal soit juste devant ma vulve.J’ai tiré sur mes sangles en vain, je sentais les poils de l’animal sur mon ventre et entre mes cuisses et l’odeur était forte. Zineb a de nouveau approché l’animal entre mes cuisses et j’ai senti le fourreau frôler mon sexe.
— Arrêtez !!! Arrêtez !!! Arrêtez !!! Pitié, nooon. Je ferai ce que vous voulez, je ne veux pas être prise par un animal.
Ils n’en avaient que faire de mes sanglots et de ma peur. Marc s’est même rapproché pour mieux filmer.Tout à coup j’ai senti la queue de l’animal taper sur mes lèvres, j’ai bougé mes fesses pour l’empêcher de me pénétrer, son sexe a glissé entre mes lèvres et c’est déposé sur mon ventre et j’ai vu avec stupeur en relevant la tête l’énorme queue de l’animal avait posé sur mon ventre, ce champignon avec un tuyau en son centre.La queue est repartie dans son fourreau pour venir de nouveau tapoter sur ma vulve, mon entrejambe était trempé.Les spectateurs avaient les yeux rivés entre mes cuisses et tout coup la queue de l’âne c’est posé vigoureusement à l’entrée de mon vagin, le champignon est entré puis sortit pour de nouveau rentrer dans mon vagin et toute sa queue s’est introduite pour venir buter sur mon utérus.
— Haaaaaaa !!! Haaaa !!! Haaa.
Il me défonçait vigoureusement devant les yeux ébahis des spectateurs, le commandant a éjaculé en voyant l’animal me pilonner sans relâche. Mes seins ballottaient au rythme que m’assenait l’animal.Au bout de trente secondes l’âne s’est figé en moi me déversant un flot continu de sperme, sa queue était raide et prise de spasme. Quand il s’est retiré, mon vagin s’est vidé comme un vase renversé.
Je pleurais, exténué par cette humiliation, Jelila est venue me détacher pendant que les hommes prenaient le chemin des canapés pour trinquer à ce spectacle.
— Venez avec moi Madame, vous allez-vous laver.
Elle m’a aidé à me relever et nous avons pris le chemin de la chambre.
— Prenez une douche Madame.— Tu veux bien rester avec moi Jelila.— Bien sûr Madame.
Je suis ressorti et avec stupeur j’ai vu que le consul Schmit se tenait au côté de Jelila.
— Madame Leroux, je suis envoyé par Mr Barloux, nous devons partir immédiatement.— Mais... J’ai mon mari, je ne peux partir comme cela.— Nous n’avons pas le temps de discuter nous partons tout de suite.
Il m’a fait sortir de Riad avec l’aide de Jelila, je suis monté dans sa voiture sans aucun bagage ni téléphone. J’avais pris soin de donner mon passeport à Hervé il y a quelques jours.
— Nous prenons le chemin de l’aéroport, Mr Barloux nous attend pour partir.— Mais, j’ai laissé mon mari.
Je le regardais pleurnicharde.
— Votre mari s’apprêtait avec l’aide de Benaissa à vous vendre aux enchères aux hommes qui étaient présents, j’avais pris le rôle d’un représentant d’un riche Européen. Vous seriez devenue une esclave sexuelle convertie à l’islam.
Nous avons roulé très vite jusqu’à l’aéroport, quand je suis monté dans l’avion Hervé m’attendait, en le voyant je lui ai sauté dans les bras pour le remercier de m’avoir sauvé. Nous avons atterri au Canada.
J’ai vécu un moment avec Hervé et je n’ai toujours pas d’enfants.
Fin.
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