- Histoire érotique écrite par barbebleue
- Fantasme
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Il y a quelques jours déjà qu’Andy a soumis sa mère, elle lui obéit au doigt et à l’œil, se prenant au jeu, quelques fois il l’attache sur le lit et lui et Carole ou avec Marie aussi, ils lui font subir quelques supplices.
Hier après midi, ils lui versaient de la bougie brûlante sur le corps, la vulve écartée par des pinces, la cire chaude coulant sur le clitoris, elle ne pouvait hurler sa douleur, un bâillon solidement attaché sur sa bouche. Quand Andy a enfoncé la bougie dans son vagin la douleur a été atroce, le cierge faisait plus de 8 centimètres de diamètre et au moins 25 de long.
Elle n’a pas compris pourquoi ce matin Andy est parti dans les bois couper de longues badines, qu’il a pris soin de peler et de faire sécher au soleil, il y en à une bonne dizaine de diverse grosseur, la plus grosse comme le pouce.
Pierre est parti chez son frère, Marie ne le veut plus dans la maison, alors les trois femmes sont pratiquement toujours nues, à la disposition d’Andy ou de qui les veulent dans le groupe, bien souvent c’est Carole qui prend sa mère et la conduit dans sa chambre, elle se fait lécher la vulve, et lui enfonce divers objets dans le vagin ou l’anus, l’oblige quelques fois à rester ainsi, un plug enfoncé dans l’anus pendant qu’elle la suce.
Andy fait souvent l’amour à Marie ou sa sœur, Camille râle un peu qu’il la prend beaucoup moins souvent mais adore quand il commence à l’attacher pour la punir.
Il est 15 h quand il vient la chercher, il est avec Marie, tous les deux nus, elle les suit dans la chambre aménagée en sale de tortures.
Il y a là un tréteau qu’il lui fait enjamber, lui attache les mains, elle à mal a sa vulve qui appuie sur le bois qui l’écartèle. Il lui pose un bâillon, elle voudrait bouger mais au moindre mouvement le bois entre dans sa vulve et lui procure une douleur atroce, elle ne peut crier ou dire quoi que ce soit, ce jeu ne l’amuse pas beaucoup, elle a trop mal.
Elle vient de voir Marie prendre une des badines, très fine et longue d’un mètre, le premier coup l’atteint aux fesses, la douleur est atroce, le second sur un sein lui tire des lames.
— Tu vas regretter ce que tu as fait, après tu seras pardonnée et resteras le jouet d’Andy, il fera ce qu’il veut de toi mais cet après midi tu es à moi.
— Tape sur sa chatte Marie, c’est par la qu’elle à fauté !
Le coup de badine sur la vulve claque comme un coup de fouet, Camille s’évanouit presque, la badine a touché le clitoris, c’est atroce.
Camille regarde son fils, le supplie du regard, les larmes coulent, elle voit approcher les pinces de ses tétons, des poids aux bouts.
Ses tétons lui font mal, son sein la cuit, ses fesses ou les coups de badine pleuvent lui font atrocement mal, sa vulve est enflée, les coups de badine et le bois du tréteau l’ont meurtri.
Andy a prit lui aussi une badine, le premier coup vient frapper sur ses omoplates, les autres suivent ainsi, déjà la peau des fesses est à vif, il va en être bientôt de même de son dos.
Les cuisses et l’entre-cuisse sont marquées de zébrures rouges sanguinolente. Elle vient de s’évanouir, quand elle se réveille enfin, couchée sur un lit, à plat ventre, Carole est la, elle enduit le dos et les fesses d’un baume.
— Ne bouge pas, tu ne sentiras bientôt plus rien, j’ai déjà fait ta vulve, et tes cuisses, dit donc ils t’ont mis une sacré rouste, tu as du en baver !
Péniblement Camille arrive à articuler quelques paroles.
— Ou est Andy ?
— Là assis, il attend que j’ai fini de passer le baume !
— Pourquoi Andy, j’ai atrocement mal !
— Tu demande pourquoi ? Ne te plaints pas Carole n’y était pas, tu en aurais pris bien plus, toi tu souffres dans ton corps, Marie c’est dans son cœur et Carole aussi, Marie a perdu son mari à cause de toi et Carole son copain, un con d’accord mais elle l’aimait quand même, ce n’est pas le fait d’être cocu qui la fâche, il était cocu lui aussi et par moi mais le fait que ce soit avec toi et sous son nez, comme Marie. Je crois que si elle avait su des le début, elle n’aurait rien dit et ce qu’elle fait avec moi et toi elle l’aurait fait avec Pierre et toi, comme Carole qui aurait sûrement aimé participer !
— Je pensais que vous m’aviez pardonné, on faisait l’amour ensemble, tu m’as dit que tu m’aimais, je fais ce que tu demande ! Pourquoi ça ?
— Pour te libérer, tu es libre, tu n’es plus ma soumise, je ne veux plus de toi, Marie et Carole non plus, tu peux partir mais pas rejoindre François ou ton père ou attendre papa, il arrive début août, je ne dirais rien si tu te tiens tranquille et ne baise plus avec eux !
— Je ne veux pas partir, je veux rester avec toi, pourquoi tu me rejette !
— Pour te punir, tu as aimé faire l’amour avec moi ou avec Carole et Marie et bien c’est fini !
— Garde-moi avec toi Andy, tu feras ce que tu veux mais garde-moi, j’aime ce que tu me fais, j’ai mal mais je ne t’en veux pas, tu me battras si tu veux, quand tu voudras me punir même pour ton plaisir si tu aime!
— Tu es sure de ça ? Carole veut sa vengeance, tu accepteras qu’elle te punisse ?
— Oui si elle veut me punir oui maître, je suis à toi !
— Alors on te garde, Carole ne veut pas te battre, sinon elle l’aurait fait cet après midi, que tu sois sa soumise lui suffit, on va te laisser te reposer.
—
Il vient à elle, dépose un baisé sur ses lèvres.
— Je t’aime très fort mon amour, tu es très courageuse, tu auras moins mal la prochaine fois, pour les marques ne t’en fait pas ma chérie, elles disparaîtront d’ici un jour ou deux, on ne verra plus rien !
— Je t’aime mon amour, je vais dormir, je ne sens déjà plus rien, comment va-t-on faire quand il y aura ton père, je veux continuer à faire l’amour avec toi et être ta soumise !
— On se débrouillera, j’ai mon idée si tu acceptes !
— Dit moi et je dirais oui !
— Papa viendra ici début août, tu n’auras qu’a dire que tu voudrais aller chez papi et mamie Jean, en montagne, qu’ici il fait trop chaud, la bas on sera seul la moitié du temps, mamie Rose ne t’aime pas et papi et papa iront à la pèche tous les jours, mamie elle chez tante Odette pour ne pas te parler, on sera que toi, Carole et moi, si elle ne reste pas avec Marie mais je n’aimerais pas la laisser seule !
— Superbe idée mon amour, en plus papa ne reste finalement que 15 jours, on reviendra ici après ou on rentre à la maison, comme tu voudras !
— On revient ici ma chérie, Marie serait fâchée, tu sais, elle adore faire l’amour, elle sera dans de meilleures dispositions avec toi, 15 jours sans faire l’amour l’auront calmé !
— Si j’avais moins mal je t’aurais demandé de rester avec moi et de me faire l’amour, mais ma vulve est en feu !
— Tu veux que je te passe un peu plus de baume ?
— Oui, je voudrais ça !
— Tu n’as pas mal vilaine, tu veux simplement que je te fasse jouir !
— Oui, avec tes doigts et aussi si tu veux bien avec ça !
Elle montrait son sexe, les doigts étaient déjà sur la vulve, ouvrant le fruit pour libérer le bouton gonflé par les coups, elle soupira de bonheur quand il déposa sa langue dessus, le titillant, il récupérait la cyprine sur sa langue, Carole le regardait faire l’amour à Camille, elle vint lui prendre la bouche, caressant les seins gonflés de désirs.
Il s’enfonça délicatement dans la vulve tuméfiée, elle jouit presque immédiatement, criant sa jouissance, sa vulve libérant des flots de cyprine. Elle aimait ça, il venait de l’avilir, la battre et lui faire mal et elle l’aimait encore plus pour cela.
Andy et Carole quittaient leur mère la laissant se reposer, ils allaient rejoindre Marie en bord de piscine, celle ci prenait un bain de soleil nue, allongée sur un matelas.
— Ça va Marie ? Oui mon chéri, comment va Camille ?
— Bien ne t’inquiète pas, on n’a pas tapé trop fort, juste quelques bleus qui disparaîtront vite, elle vient de faire l’amour avec nous, elle se repose !
— Elle se rappellera longtemps de cet après-midi, ça lui fera des souvenirs de vacance !
— Tu es méchante, elle regrette sa conduite mais je crois que Pierre est aussi fautif qu’elle !
— J’en suis sure mais lui je lui en réserve une qu’il n’oubliera pas de sitôt, déjà j’ai demandé le divorce, après on verra, je voulais te demander, tu accepteras de venir vivre tout le temps avec moi, je ne veux pas me retrouver seule !
— C’était prévu, je voulais te le demander mais la fac est loin d’ici et je n’ai pas de voiture, tu sais que je rentre à la fac cette année !
— Tu prendras la mienne, on en achètera une pour toi et Carole, tu prendras un studio en ville, si tu veux, je te le paye ou j’en paye un à ta sœur et vous vivez tous les deux ensembles quand tu reste en ville !
— Il faudra trouver un moyen pour Camille, je veux qu’elle reste aussi prés de moi !
— Elle n’aura qu’à rentrer en ville avec toi, si tu veux et rester ici, comme ton père n’est jamais là, elle dira qu’elle ne veut pas rester seule, elle dormira avec vous au studio quand tu restes en ville!
— Je lui en parlerais demain, on va 15 jours chez Jean et Rose, fin juillet tu seras seule ou tu garde Carole si tu veux !
— Je garde ma chérie avec moi si elle veut !
— Bien sur mamie, on va bien s’amuser toutes les deux !
Bientôt la suite
Barbebleue.