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Soumise à ma belle-mère

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Je suis paniquée en arrivant sur le parking, toujours sans mon pantalon. Danielle, sans me regarder, me dit de le remettre avec une grosse tache de thé sur le devant : on dirait que je me suis uriné dessus. En plus, j’ai toujours l’odeur de son urine sur mes doigts, et maintenant des taches d’éjaculât sur ma chemise. Je ressens une profonde honte.
Bien sûr, je sors le premier de la voiture, pour ouvrir la porte du passager ; je prends les valises et suis Danielle, à trois pas derrière jusqu’à la réception. Elle indique son nom à la ravissante et jeune réceptionniste, et se retourne vers moi pour me dire de venir remplir la fiche. La réceptionniste ne peut que constater mon état souillé et ma honte qui se lit sur mon front. Danielle ajoute alors à haute voix :
— Vous voyez mademoiselle, l’incontinence arrive souvent plus vite qu’on ne le croit, et encore si vous saviez...
Je sais qu’elle fait alors allusion à mes dessous féminins. Dans mon trouble, je ne constate pas que nous n’avons qu’une seule clé de chambre et je suis surprise que Danielle n’ait pas pris deux chambres. D’un geste volontaire, elle fait tomber la clé au sol négligemment et me jette un regard sans équivoque : elle veut me voir la ramasser. Comme hypnotisée, je m’agenouille et la ramasse tout en admirant ses talons aiguilles et ses chevilles. Je me relève et lui tends avec une attitude d’humilité à peine cachée. Elle l’arrache de mes mains et se dirige vers l’ascenseur. Je la suis avec les valises mais les portes se referment et je dois patienter pour monter.
L’attente avec le pantalon taché et humide en plein hall d’entrée est un vrai supplice, et je détecte un sourire moqueur sur le visage de la réceptionniste. Après une minute interminable, je prends l’escalier pour éviter de partager la cabine avec une autre personne. Quand enfin j’arrive devant la porte de la chambre, elle est fermée. Je frappe délicatement mais aucune réponse. Je vois le judas de la porte bouger mais Danielle a vraisemblablement décidé de ne pas ouvrir. Pris de panique, je sens mon téléphone vibrer dans ma poche. C’est un SMS de Danielle. [SMS]< A genoux avant d’entrer...
Incroyable, elle me demande encore une fois de prendre une position humiliante pour satisfaire ses envies. Incrédule et fragilisée, j’obéis et reste à genoux 10, 15 20 secondes. Une porte voisine s’ouvre à ce moment-là et un couple de femmes en sort. Elles sont belles, la cinquantaine, et très pulpeuses. Elles portent des peignoirs d’hôtels trop petits et des talons hauts. Cela laisse deviner des formes généreuses : malgré l’humiliation de ma situation, j’arrive encore à ressentir de l’excitation et du désir pour des femmes mûres croisées dans le couloir. Elles se dirigent sûrement vers la zone de spa. Elles pouffent de rire en me voyant, passent à ma hauteur sans s’arrêter et elles continuent d’avancer tranquillement vers l’ascenseur. Et moi je suis là, rouge de honte, au bord des larmes...
La porte se déverrouille et je peux enfin entrer. Je me précipite, toujours à genoux, à l’intérieur, aux pieds de Danielle, assise sur le lit. Elle rit de ma situation, et j’en pleure, comme une écolière.
— Pourquoi faites-vous cela ?— Parce que tu as le vice en toi et que tu aimes cela.— Mais non...
Elle me regarde fixement
— Je vais te poser une question double, juste une seule fois. Tu ne me répondras pas par la parole. Si tu veux répondre oui, alors tu viendras lécher la pointe de mes escarpins. Si tu veux répondre non, tu te lèves, et tu repars en voiture. Je me débrouillerai seule. La question est : es-tu une catin travestie qui ne rêve que d’être une femme pleine de vices ? Et as-tu déjà trompé ma fille ?
Cette question est horrible car je suis obligé de répondre oui ou non aux deux questions. Mentir et tenter de sauver les apparences déjà illusoires (mes bas noirs en sont témoins) ou dire la vérité, avouer, me libérer et m’exposer aux conséquences terribles de cet aveu. Danielle reste muette, et lit mon désarroi, ma peur sur mon visage. Le temps est suspendu.

Vaincue, je baisse la tête et commence à lécher le vernis noir de ses escarpins. Je pleure de bonheur. Mon sexe est tendu. Je caresse ses bas et ses chevilles en même temps. Danielle m’a apprivoisée, m’a vaincue, m’a soumise. Je viens de perdre le contrôle de moi-même : je lui appartiens.
Ma langue s’active sur le vernis de ses souliers pendant de longues minutes. Danielle ne reste pas passive et n’hésite pas à enfoncer le bout de ces escarpins dans ma bouche, et je prodigue une quasi-fellation à ses pieds. Heureusement que ma bouche salive beaucoup car cela commence à être éprouvant et douloureux. J’essaie de m’arrêter mais elle me gifle. Je recommence. Au bout de 10 minutes, elle se retire et je reste à genoux.
— Nous allons aller nous détendre à la piscine.— Mais Danielle ! Je n’ai pas de maillot de bain...— Ce n’est qu’un détail, nous allons régler cela. Déshabille-toi.
Elle se rend dans la salle de bain, pendant que je me mets nu. Ne sachant pas quelle posture adopter, assez naturellement, je me remets à genoux et attends. Mon sexe est dur et je le caresse avec honte. Danielle ressort vêtue d’un maillot de bain deux pièces noir, avec le peignoir de l’hôtel ouvert. Je la vois et je bande d’autant plus. Ses formes généreuses, sa croupe et ses fesses tendent le bas et sa poitrine remplit et déborde du haut. Ses tétons sont durs, cela se voit, et ses lèvres se devinent facilement à travers le bas. J’imagine qu’elle doit être excitée, et je n’ose imaginer que c’est moi qui en suis la cause.
— Mais tu te branles. Ce n’est pas possible d’être aussi perverse.
L’emploi du féminin m’interpelle. Elle me prend par les cheveux et me traîne jusque dans la douche. Elle ouvre la douche glacée et fait couler l’eau sur mon sexe. Je me débats, je crie « pitié » et déjà mon sexe redevient tout petit. Elle me sort et sans m’essuyer, me laisse grelotter de froid, à genoux pendant qu’elle fouille sa valise. Elle en ressort deux objets métalliques que je reconnais : un gros rosebud et une cage de chasteté.
Elle profite de mon sexe mou et l’encage avec dextérité. Une chaînette courte pend, à laquelle est accroché le rosebud de quatre centimètres de diamètre. Elle le tire en arrière et l’enfonce à sec. Je crie, mélange de peur, d’appréhension et de douleur mais il rentre facilement, comme si mon anus était naturellement lubrifié. La tension est forte sur la chaîne, et cela tire mon sexe en arrière, le faisant presque disparaître entre mes cuisses. Elle me relève, c’est très douloureux, et je découvre mon pubis presque plat, car mon sexe et mes testicules passent entre mes cuisses.
Puis elle prend une culotte de nylon et me la tend. Si, de loin, cela peut paraître sobre, on voit clairement que c’est une culotte de femme. Je l’enfile et je vois mon pubis plat. Je suis heureux du résultat et en même temps je n’imagine pas aller au spa de l’Hôtel ainsi. C’est une culotte assez gainante avec un léger liseré de dentelle, ainsi que sur le plastron. La cage de chasteté est invisible. Elle me tend un peignoir de l’hôtel et se dirige vers la porte. Je reste sans bouger.
— Allez, viens petite salope, sinon je vais jeter la clé de ta cage de chasteté à la poubelle.
J’obéis, anéanti et nous sortons, en prenant soin de marcher deux pas derrière elle. Nous arrivons dans le spa, qui semble vide, ce qui me laisse échapper un soupir de soulagement. Hélas, je me crispe en découvrant la présence des deux femmes croisées dans le couloir plus tôt.
L’atmosphère du spa est chaude et humide ; je transpire dans le peignoir mais je n’ose le retirer de peur de le faire découvrir que je porte une culotte de femme. Les deux femmes, elles, sont juste en en culotte de maillot de bain, allongées sur des transats. Leurs poitrines sont nues, généreuses comme je l’avais deviné. Elles commencent à parler avec Danielle et papotent comme si je n’étais pas là. Moi restant debout et immobile, elles l’interrogent sur moi et ma condition. Danielle leur répond naturellement :
— C’est mon gendre, et il aspire à devenir une pétasse lubrique, il prend le chemin de la soumission totale à la gent féminine et prend son pied à être traité comme une salope et une catin.
Les deux femmes rient de cela, et demandent à Danielle de leur prouver cela. Aussitôt, ma belle-mère me demande d’enlever mon peignoir et me mettre à genoux.
— Lèche mes pieds et ceux de mes nouvelles amies.
Sans hésiter, je commence et je baise avec plaisir les orteils de ses trois femmes, plus que mature de 50 à 60 ans.
— Il sait faire plus ? demande l’une des femmes. Je n’ai pas eu le temps de prendre une douche mais j’aimerais qu’on me fasse la toilette.

Aussitôt elle enlève son maillot et expose une toison rousse épaisse et très fournies. L’odeur est forte, celle d’une femme qui a beaucoup mouillé la journée et peut-être joui plusieurs fois, et qui n’a pas pris le temps de s’essuyer entre les lèvres intimes.
— Allez petit vicieux, nettoie, me dit Danielle.

Je commence à lécher avec avidité, passe ma langue dans ses poils pubiens collants, sur ces grosses lèvres que j’écarte, pour lécher les petites et son clitoris bien juteux, cette femme a fait l’amour il y a peu c’est sûr, et je retrouve le goût mélangé de cyprine, de reste d’urine et de ce qui pourrait être un peu de semence spermeuse d’homme. Je la pénètre avec ma langue, cette inconnue. Sa compagne s’approche de son visage pour l’embrasser et lui caresser les seins en même temps. Il ne suffit que de quelques minutes pour qu’elle jouisse violemment sur mon visage, déchargeant son plaisir sur moi sans aucune pudeur.
Sans un mot, l’autre femme enlève son bas de maillot de bain, elle est penchée en avant sur sa copine et me tend ses grosses fesses en écartant les cuisses grasses. Je deviens complètement folle en voyant ce spectacle de belles fesses charnues sur des cuisses potelées bien écartées. Mais c’est surtout le petit œillet brun qui me fait frémir : son anus qui sera ma cible. La femme qui vient de jouir se penche sur moi pour regarder mon entrecuisse.
— Et il ne bande même pas alors que sa culotte mouille, dit-elle d’un ton moqueur.

Danielle baisse la culotte que je porte et les femmes voient mon sexe en cage qui coule et bave sans pouvoir bander. Cette situation est des plus humiliantes, mais j’ai si souvent rêvé de la vivre, que rien ne m’arrête. Je m’approche de l’anus, je pose ma langue sur sa corolle et je la lèche comme un bonbon. Je vois sa chatte, avec une belle toison brune. La femme se caresse le clito pendant que je lèche sa pastille.
— Enfonce ta langue salope, dit-elle.

Danielle rit de cela car je m’exécute. Je m’étouffe entre ses fesses et la pénètre avec ma langue. Son orifice est souple, signe qu’elle est familière de la sodomie. Le goût est un peu acre, mais je ne refuserai rien à cette déesse.
— Tu vas peut-être retrouver des traces de mon amant...
Je pense, à ce moment-là, que ces mots sont là juste pour mon humiliation psychologique. Avaler le sperme d’un homme que je ne connais pas serait inconcevable pour moi. Je continue la pénétration avec ma langue, qui s’étire à en devenir douloureuse. Et après quelques minutes, je sens une texture plus liquide sur le bout de ma langue. Je me recule et vois le sperme couler dans le sillon, sortant du cratère humide. Danielle me donne alors une gifle et appuie mon visage sur la raie divine. J’ouvre la bouche et j’avale avec fierté la semence qui s’offre à moi.
J’ai si honte d’être heureuse de cela...
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