Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 92 J'aime
  • 3 Commentaires

Soumise à ma belle-mère

Chapitre 3

Trash
Voilà la suite de la descente aux enfers d’une lopette face à sa belle-mère...
Les deux matrones se remettent de leurs émotions pendant que je reste à genoux, le visage couvert par leurs sécrétions intimes. L’odeur est forte et emplit mes narines. Elles se lèvent et, tout en remettant leur peignoir, s’approchent de moi et me font ouvrir la bouche pour s’assurer que j’ai tout avalé. Je ne suis plus un être humain, mais un animal à ce moment. Je suis fière de montrer ma bouche vide et elles en profitent pour cracher dedans ainsi que sur mon visage. Leur salive coule, et je n’ose pas tenter de m’essuyer. J’avale leur offrande avec le peu de fierté intérieure qu’il me reste. Puis elles partent en remerciant Danielle de cette distraction et en lui souhaitant bon courage pour mon dressage.Je me relève et je suis Danielle jusqu’à la chambre. A peine entrée, elle me demande si j’ai aimé cette offrande.
— Oui Danielle, mais j’ai eu peur d’avaler le sperme d’un inconnu.— Sache que je connais ces deux personnes depuis très longtemps. Celle dont tu as bouffé la chatte, c’est Sonia et celle dont tu as dévoré le sperme qui coule de son anus, c’est Paola.
Danielle m’explique qu’elles sont des amies de longue date qui vont également à l’enterrement. Et tout en me parlant, elle m’attache les mains dans le dos avec un bas, et les coudes avec un autre.
— Tu as compris que je me suis engagé sur le chemin de ton dressage. Ce n’est pas une première expérience pour moi, et je peux te dire que je fais partie d’un réseau gynarchique depuis très longtemps. J’ai toujours été déçue que ma fille, ta femme, ne soit pas motivée pour rejoindre ce mouvement. Tu n’es qu’une lopette, et en plus travesti. C’est si pitoyable de voir un homme qui cherche à ressembler à une femme uniquement en enfilant une culotte, et des bas. Mais je suis très généreuse, car je sens du potentiel en toi. Je vais donc, non seulement te dresser à être une bonne Sissy, mais aussi te convertir à la soumission absolue au service des femmes. Cette éducation sera longue, et tu vas vivre un enfer. Tu passeras par des moments de peurs, de doutes et tu me supplieras sans doute d’arrêter. Ce sera un enfer si doux pour toi et j’ai très envie de te mener moi-même jusqu’à l’enfer.
Pendant qu’elle me parle, Danielle se déshabille complètement et se couche sur le lit. Je vois son corps magnifique juste offert à mon regard. J’admire particulièrement ses seins généreux, ronds, et qui tombent légèrement sur son ventre. Celui-ci un peu rebondi. Sans aucune pudeur, elle ne prend pas la peine de croiser ses jambes, ou de serrer ses cuisses, qui restent largement ouvertes. Son mon de Vénus est bien charnue et ses poils gris sont généreusement disposés autour de ses lèvres. Sa chatte est luisante d’excitation, et je me plais à penser que je n’y suis pas pour rien. Moi je reste à genoux, les mains liées dans le dos qui me font mal.Toujours étourdie par l’excitation et la peur de ma destinée, je me rends compte à ce moment-là qu’il n’y a qu’un seul lit dans la chambre. Danielle lit dans mes yeux mon interrogation.
- Tu te demandes si nous allons dormir dans le même lit ?- Oui Danielle, j’en serais ravie.
Une gifle jaillit sur ma joue gauche, puis une autre, puis avec ses mains, elle me tord les seins fortement. Je pleure, je hurle pitié. Les bas sont trop serrés dans mon dos pour me défendre. Je vois à la fois de la rage et du plaisir dans son regard en m’infligeant ces sévices. Elle est presque bestiale.
- D’abord, tu vas désormais m’appeler Maîtresse Danielle.- Oui maîtresse Danielle, fais-je en pleurnichant
Il n’y avait plus de place dans le chenil de l’hôtel, dit-elle en riant. Tu seras allongée à côté de moi, mais selon mes conditions.
Sans aucune délicatesse, Danielle détache la chaîne qui relie la cage de chasteté et mon plug anal. Cela libère mes testicules jusque-là tendus en arrière. Elle glisse sa main vers ma raie de fesses et attrape le plug brusquement, et tire dessus d’un coup sec pour le ressortir. Ce geste me fait hurler, car j’ai l’impression d’être déchiré. Je me couche sur le côté au sol, tellement la douleur est vive. La chaleur autour de mon anus est très intense et je me calme lentement. Danielle me regarde comme un petit animal blessé avec un sourire carnassier. Elle m’agrippe par les cheveux et tire vers le haut, ce qui me fait à nouveau hurler. Je me relève difficilement, car mes mains sont toujours attachées dans le dos.
Debout devant elle, ma dresseuse ouvre la cage de chasteté. Mon sexe endolori et recroquevillé est flasque et humide. Mais la vue de ma belle-mère nue devant moi a toujours été l’objet de tous mes fantasmes. Mon sexe prend alors le chemin de l’érection et je deviens dur comme jamais
-Cette nuit sera pour toi ta dernière nuit de mâle. Tu vas devoir tenir toute la nuit.....
Danielle prend ensuite son sac à main, fouille à l’intérieur et en ressort un flacon de médicament. Elle me fait avaler une petite pilule bleue, puis enfonce sa culotte portée par elle et moi dans ma bouche et me bâillonne avec un autre bas. Les odeurs de pipi et de son sexe m’enivrent. Elle me couche sur le dos sur le lit. Avec toujours les mains attachées dans le dos, je ne suis pas à l’aise, et Danielle rit de me voir gigoter ainsi. Elle défait les bas qui lient mes poignets et mes bras, pour m’attacher à chaque montant du lit, me rendant vulnérable. Mon sexe et mon esprit chauffent, j’ai bien peur que ce soit un excitant que j’ai avalé.
-Cette nuit, tu es là pour me donner du plaisir comme un sex toy. Tu as donc interdiction de jouir. Si tu te retiens correctement en étant endurant, et que tu ne jouis que sur mon ordre, tu seras récompensée.
Elle file dans la salle de bain pendant que je reste sur le lit dans une excitation sans limite. Si elle me touche le sexe, je jouirai aussitôt. Après dix minutes pendant lesquelles mon excitation ne fait que monter, Danielle ressort de la salle de bain. Elle a pris le temps de remettre les bas noirs qu’elle portait dans la voiture. Elle s’approche avec un tube de crème à la main et un préservatif. Chose particulière, elle porte des gants de latex chirurgicaux. Encore une fois, je ne comprends pas. Elle ouvre le tube et lubrifie mon sexe avec le gel qui en sort. La légère fraicheur du baume retarde mon éjaculat, mais mon érection ne faiblit pas, sans doute grâce à la petite pilule.
Une fois mon sexe bien enduit, elle pose le préservatif dessus. Son geste est d’experte, ce qui me surprend. J’ai toujours imaginé que ma belle-mère avait abandonné le goût pour le sexe et les rapports charnels depuis très longtemps. C’est son côté femme hautaine et frustrée sexuellement qui participe à mon fantasme depuis des années. Je pensais sincèrement jusqu’à hier que ma belle-mère n’avait pas été pénétrée depuis vingt ans !!
-Même si je suis trop vieille pour tomber enceinte, il est hors de question que tu fasses semblant de me féconder en déversant ton jus dans ma matrice.
Mes sensations se troublent. Je sens le feu à l’intérieur de moi et l’excitation, mais de moins en moins de sensation dans le sexe. Danielle s’est débarrassée des gants en Latex et vient s’assoir sur ma poitrine. Elle me contemple, en train de baver sur sa culotte, profondément insérée dans ma bouche. Le vice est dans ses yeux. Elle regarde mon sexe, le manipule et constate qu’il est parfaitement raide. Si je ne le voyais pas, je ne saurais pas ce qu’elle fait, car aucune sensation tactile ne me parvient. Danielle se soulève légèrement et redescend pour me chevaucher et s’enfonce facilement mon sexe dans son vagin, poussant un soupir et un gémissement d’une puissance incroyable. J’ai peur d’éjaculer, mais, sans aucune sensation, rien ne se passe
-C’est un lubrifiant anesthésiant... hahahah aucun risque de jouir, petite salope...
Elle se branle et se donne du plaisir sur moi, réduit à l’état d’objet. Ses mains jouent sur son propre corps, et elles alternent les caresses de ses seins, les pincements de ses tétons, et son index sur son clitoris. De temps à autre, elle tire sur mes tétons et je crie à travers le bâillon culotte jusqu’aux larmes. Mon excitation est aussi haute que ma frustration. Par moments, elle se penche sur mon visage et lèche mes joues, toujours couvertes de la mouille de Sonia, et de mes larmes.
Après une bonne dizaine de minutes de cette chevauchée, le rythme de Danielle devient un peu plus désordonné, j’ai l’impression que son plaisir monte. Son souffle est court et son corps se crispe de plus en plus. Puis un long gémissement et un râle de plaisir la submergent. Un jet de plaisir inonde entre ses cuisses mon pubis et mon sexe enfermé. Danielle a joui sur moi, sans aucune pudeur, sans retenue, pleinement épanouie.
Sans même prendre la peine de se relever et de libérer mon sexe toujours aussi dur, elle enlève mon bâillon. Danielle me regarde, épuisée par cet exercice éprouvant pour une dame de son âge. Je profite pour cet instant de faiblesse pour m’agresser à elle
-Salope, fais-moi jouir Danielle, je veux te baiser encore...
D’un regard de rage, elle reprend pied et m’envoie une dizaine de gifles à la volée, qui me font crier pitié et me font souffrir le martyr.
-Comment oses-tu me parler ainsi, tu ne mérites vraiment pas ma personne. Tu vas regretter tes mots. Mais je n’ai qu’une parole, et je t’ai promis de te récompenser. Encore faudrait-il que tu t’adresses à moi avec respect.-Pitié Maîtresse Danielle, je vous en prie, je vous en supplie, laissez-moi jouir.-Je te donnerai ce plaisir à deux conditions. D’abord, supplie-moi de faire de toi ma nouvelle fille.-Maîtresse, pitié, je vous en supplie, faites de moi votre nouvelle fille, votre catin qui obéira à tous vos désirs.
Elle sourit et glisse un doigt sous mes fesses
-Et dis-moi à qui tu penses quand tu te branles dans tes bas.-Vous, Maîtresse Danielle. Vous êtes la seule femme qui me fait fantasmer Madame.
Au moment de ma réponse, Danielle enfonce son doigt dans mon anus. Le travail préalable du plug quelques heures plus tôt, simplifie son introduction. Je suis surprise par le mouvement de son doigt qui cherche ma prostate. Il ne faut pas une minute de caresse intérieure, pour que je sente un léger frémissement au bout de la verge. Je suis moi-même surprise et interrogée par cette sensation. Je crois que mon sexe est en train d’expulser du sperme dans le préservatif, sans que je jouisse. Ma frustration est encore plus importante, car je ne suis pas en train de jouir
-Pitié, masturbez-moi... Maîtresse..., dis-je en pleurant de pitié-Petite conne, tu ne t’imagines quand même pas que mon corps est là pour te donner du plaisir. Sois déjà heureuse que je t’ai libéré les testicules de ton excès de semence.
Aucune masturbation ne me sera offerte. Danielle se relève de mon sexe, toujours aussi dur et raide. Elle se dirige vers la salle de bain, et me laisse bouillir sur le lit. Elle revient sans ses bas, avec une nouvelle paire de gants. Elle porte une nuisette, synonyme qu’il est temps d’aller se coucher. Elle détache mon bras droit et l’attache au même montant de lit que mon bras gauche avec le bas. Puis Danielle retire le préservatif, le vide dans ma bouche, me remet le bâillon avec sa culotte, et éteint la lumière. La nuit va être longue. Je repense à cette longue journée, et de l’état de dégradation dans lequel je suis en ce moment
Ce matin, j’étais le timide gendre d’une belle-mère mature et autoritaire, qui ne touche plus sa propre femme depuis des années, qui prenait du plaisir en se masturbant dans des bas en se travestissant.
Ce soir, je suis devenu un mâle soumis à sa belle-mère, sex-toy humain, et lécheur de l’intimité de dames mures et en passe de devenir une Sissy obéissante.Mon esprit est perdu, entre honte et fierté, entre excitation et peur... Mais je ne vois pas pourquoi je renoncerais maintenant.
A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live