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Soumise à ma belle-mère

Chapitre 5

Trash
Petit résumé de la situation
Je suis en voiture avec ma belle-mère, direction Bordeaux. Cette dernière a décidé de faire de moi une travestie soumise et a dévoilé son plan à sa fille, ma compagne. Ma femme a eu l’air tellement emballée qu’elle a avoué à sa propre mère, qu’elle avait pris un amant, un homme, un vrai, tellement mes performances sexuelles étaient inexistantes. Mon naturel de travestie soumise est donc en train de se révéler sous la conduite de ma belle-mère, matrone autoritaire de 72 ans, et objet de mes fantasmes depuis près de 20 ans.
Danielle a commencé ma prise en main en me faisant porter une jolie parure en satin ivoire, culotte, soutien-gorge et porte-jarretelles, avec des bas noirs opaques et sa propre robe pull en laine noire. Mais pour ajouter de l’humiliation, je porte des mocassins homme, et aucun maquillage ni perruque. Le résumé ne serait pas complet si je ne rappelais pas que je porte une cage de chasteté dont la clé se trouve enfermée dans les boules de Geisha enfoncées dans le vagin de ma maîtresse.
Intellectuellement, c’est une tempête dans mon cerveau : je suis perdue et j’ai le sentiment d’être à un carrefour de ma vie, sauf que je ne suis pas sûre de faire mes propres choix...La voiture roule encore plusieurs heures, et une pause va bientôt être nécessaire, pour aller aux toilettes. Nous arrivons sur une de ces simples aires d’autoroute, légendairement connues pour leurs toilettes rarement nettoyées et lieux de fantasmes pour tous les pervers. Le parking est quasiment désert, avec uniquement une voiture et un camping-car. Je me stationne et coupe le moteur. Je sors de la voiture avec une forte appréhension et un peu de peur, car je n’arrive pas à assumer l’image que je renvoie de travestie incomplète. Danielle ne prend pas la peine de sortir, et je comprends naturellement que je dois lui ouvrir la porte. Je m’exécute et l’invite à sortir en glissant un mot d’excuse pour ma lenteur. Maîtresse Danielle sort avec élégance, sans se soucier de dévoiler ses bas avec sa jupe courte. Nous nous dirigeons vers le bloc de sanitaire, moi, trois pas derrière elle.
Je me rends compte à ce moment-là que je prends naturellement une attitude d’infériorité par rapport à elle et j’en suis fière. Ce moment fugace me laisse rêveuse, et je bifurque vers la partie homme pendant que Danielle se dirige vers la partie femme.
— Petite Idiote, mais tu n’imagines quand même pas, que c’est chez les mâles que tu vas aller te soulager, dit Maîtresse Danielle. Il faut vraiment renforcer ton dressage.
Joignant le geste à la parole, elle sort de son sac un collier-de-chien et une courte laisse de cuir noire. Je suis sans voix, et reste bloquée par son intention. Naturellement, elle attache l’ensemble à mon cou, et tire sur la laisse pour m’emmener avec elle côté Dames. Quelle humiliation je ressens !
Nous entrons et le lieu est conforme à la légende : sale et glauque. Il n’y a qu’une seule cabine de toilette et un lavabo en inox. Les murs sont recouverts de graffitis et d’annonces de personnes avides de sexes en tout genre, accompagnées de numéros de téléphone. Maîtresse Danielle entre dans la cabine et referme la porte. Je reste seule comme une godiche devant le miroir à l’extérieur de la cabine. Je me regarde et l’ambiguïté de mon reflet me trouble. Je trouve mon corps si séduisant, moulée dans cette robe, avec la forme de ma poitrine artificielle et la marque de mes sous-vêtements. Je me sens femelle et j’en oublie mon sexe encagé sous la culotte.
Maîtresse Danielle, pendant ce temps, se soulage. J’entends le jet dru de son urine, signe qu’elle se retenait depuis longtemps. La porte s’ouvre en même temps que Danielle se lève de la cuvette, le body encore ouvert et la jupe retenue levée par ses mains prises. D’un ton sec, elle m’ordonne de venir m’approcher.
— Viens me nettoyer et me reboutonner ! aboie-t-elle à mon attention.
Je m’approche docilement en me mettant à genoux devant elle. L’odeur d’urine est forte et je constate qu’il y en a partout sur la cuvette, et pas seulement au fond. La vulve de Maîtresse Danielle garde aussi quelques gouttes bien jaunes dans ces poils gris. Je prends une feuille de papier toilette, la dernière du distributeur, et je tamponne délicatement son mont de Vénus. Je suis intimidée, de peur de faire un geste inapproprié. Je m’imagine que je pourrais utiliser ma langue, dans d’autres circonstances, mais je n’ose pas. Je ne pense pas encore en être digne. Avec mes doigts tremblants, je reboutonne le fond de son body. Il est poisseux de la mouille de son excitation. Je me rappelle à ce moment que les boules de Geisha sont là, seulement à quelques centimètres de mon visage. Mes doigts s’imprègnent de sa mouille et c’est comme si du miel se déposait dessus.
Danielle fait retomber mon extase et sa jupe et sort en me bousculant. Cette femme est si hautaine, et cela redouble mon excitation. Je me redresse et pousse la porte, pour moi aussi, faire mon petit besoin. Aussitôt, Maîtresse Danielle repousse la porte pour m’empêcher de la fermer. Sans dire un mot, je comprends que toute intimité m’est refusée encore. Comme ce matin dans la salle de bain de l’hôtel, je dois faire pipi assise devant ma Maîtresse. De mes doigts, je relève la robe pull au-dessus de mes hanches et je baisse la culotte de satin ivoire. Un filet de mouille relit le bout de la cage au gousset de ma culotte, signe que je suis excitée sans même avoir une érection.
Je m’accroupis au-dessus de la cuvette sans lunette, en prenant soin de ne pas m’asseoir dessus, car elle est couverte d’urine, peut-être celle de Danielle, mais je n’en suis pas sûre. Je me laisse aller et mon urine coule au travers de la cage. Mon prépuce contrarie le jet et je n’arrive pas à viser correctement. J’en mets partout et Danielle s’en irrite. D’un geste sur mon épaule, elle me fait perdre l’équilibre et je me retrouve assise sur les toilettes, les fesses et les cuisses trempées de l’urine.
— Sois rassurée, petite idiote, la cuvette était propre avant que je l’utilise.— Merci Maîtresse Danielle.
Je termine ma vidange et me tourne vers le distributeur de papier, vide. Mes cuisses sont humides et le haut de mes bas s’est humidifié de l’urine de ma maîtresse. Un reliquat de pisse reste également au bout de ma cage. Demander un kleenex à Maîtresse Danielle est illusoire, et je remonte ma culotte comme une sale traînée négligée. Je prends le bout de la laisse et le tend à Maîtresse Danielle avec humilité en sortant de la cabine. En tournant la tête, je découvre qu’une autre femme est là et attend son tour. La honte m’envahit : d’abord parce que je suis en laisse devant une autre personne, à la merci de ma maîtresse, ensuite parce que mes dessous sont mouillés de son urine et que j’ai très peur qu’une auréole se dessine sur ma robe, et enfin je laisse derrière moi des toilettes sales et souillées.
Maîtresse Danielle, elle, ne se laisse pas perturber par cette présence étrangère. Elle tire violemment sur la laisse et me balance une gifle d’une violence incroyable, qui m’envoie au sol.
— Excusez cette créature Madame, dit-elle à l’inconnu. Elle est en cours de dressage et ne sait pas se tenir. Du coup, elle est d’une propreté douteuse. Voulez-vous qu’elle nettoie avant votre passage ?
La femme est interloquée et ne répond pas à la question. Danielle tire alors sur la laisse pour me guider vers la cuvette, à quatre pattes. J’ai si honte et je ne sais comment réagir. Je comprends que je dois entreprendre de nettoyer le reste de pisse sur le bord. Maîtresse Danielle m’ordonne de prendre ma culotte pour cela. J’aimerais disparaître sous terre en entendant cet ordre, mais je ne peux qu’obéir. Je me dandine à genoux, et, tentant de garder un minimum de pudeur, j’enlève ma culotte tout en essayant de cacher mes fesses et la cage de chasteté. C’est peine perdue, et j’entends simplement un « oh » d’étonnement dans mon dos, de la part de l’inconnue.
Consciencieusement, j’utilise le fond de culotte et le gousset en coton pour essuyer délicatement le bord des w.c. et le tissu, déjà un peu humide de mes restes, se gorge d’un liquide jaune et odorant. Mes doigts sentent le pipi de maîtresse Danielle. Trouvant mon geste trop lent, Maîtresse Danielle tape mes couilles avec le bout de son escarpin, ce qui provoque une vive douleur et un petit cri de ma part. Me sentant perdu avec la culotte dans la main, elle m’ordonne alors de me redresser et de la remettre, face à ces deux femmes. Cette fois-ci, la pudeur s’est évanouie ; je remonte ma robe, découvre mes bas noirs, mon porte-jarretelles et ma cage de chasteté. J’enfile la culotte et la remonte, avant de remettre la robe en place. L’odeur de parfum de Danielle sur sa robe se mélange à celui de sa pisse. Je suis enivrée pendant que Maîtresse Danielle semble satisfaite et que l’inconnue reste sans voix, à mi-chemin entre dégoût et curiosité. La curieuse prend alors la parole :
— C’est très pratique, surtout quand il n’y a plus de papiers toilettes. Mais que porte-t-il ou elle sur son sexe ?— C’est une cage de chasteté, répond Maîtresse Danielle. Vous voyez, ceci était mon gendre, le compagnon de ma fille. Mais sa nature soumise prend une place très importante dans son cerveau. Etant doublé d’une volonté irrésistible de vouloir être une femme, il est nécessaire de contrôler ses pulsions masculines. La cage de chasteté est parfaite pour cela. Les érections lui sont impossibles et douloureuses. Si l’envie lui prenait d’être excité, la souffrance de son entrejambe serait un martyr.— Ah bon, donc si je me mettais à l’exciter, il hurlerait de douleur ?— Seulement si son cerveau associe l’excitation à l’érection. C’est encore un débutant, et la frontière de son esprit est très fine entre le masculin et le féminin. Personnellement, je sais maintenant qu’il fantasme beaucoup sur moi ce minable. Mais il associe ses fantasmes à son côté féminin. Mais comme c’est un gros obsédé, je suis sûre qu’une femme comme vous doit pouvoir éveiller son désir masculin.— Et bien, voyons cela...

La femme prend alors place sur les toilettes. Jusqu’à ce moment-là, je n’avais pas eu le temps de la regarder vraiment. C’est une belle femme brune d’environ 50 ans, très typée, italienne, et un carrée plongeant noir de jais. Assez grande, je dirais 1.75m et un corps assez généreux, voire pulpeux, se dessine sous une grande robe longue à motifs floraux. Sa poitrine semble lourde et étire le bustier de la robe. Ses jambes sont couvertes d’un nylon noir fin sans savoir si ce sont des bas ou des collants. Enfin, elle porte à ses pieds une paire d’escarpins vernis, mais pas très hauts, compte tenu de sa taille.
Assise face à nous, elle remonte sa robe sans pudeur et dévoile son bas-ventre, et le haut de ses cuisses qu’elle écarte largement. Elle porte un collant donc et un gousset couvre pudiquement ses lèvres. Je vois sans mal sa toison pubienne généreuse de longs poils noirs. Son ventre est rond et serré par l’élastique du collant qui le sépare en deux. Elle fait courir ses mains sur son corps et rapidement, elle utilise le bout de ses doigts pour frotter sa vulve et son clitoris à travers le gousset. Son attitude et son comportement sont un défi pour Maîtresse Danielle et moi-même. Je ne sais pas comment réagir, et j’interroge ma Maîtresse du regard. Elle regarde la femme sur les toilettes avec gourmandise.
Dans ma tête, ma mécanique hormonale s’emballe et j’éprouve beaucoup d’excitation à la voir se caresser. Mon zizi réagit de suite et commence à palpiter, ce qui me fait grimacer. Rapidement, il veut prendre du volume et la douleur augmente. La femme fait monter son excitation d’un cran et arrache le collant de ses ongles pour libérer son sexe et mieux jouer avec lui. Maîtresse Danielle joue de la situation et me guide en me tirant avec la laisse pour m’approcher à quelques centimètres de la dame.
— Pitié Maîtresse, j’ai très mal au zizi, libérez-moi s’il vous plaît.— Prends-moi tout de suite petite salope, crie la femme sur les toilettes. Voyons si tu es prêt à déverser ton foutre dans ma chatte.— Hors de question de te libérer mon gendre, mais si tu veux honorer cette pouffiasse, vas-y, dit Maîtresse Danielle.
Je suis complètement perdue et je cherche une issue rapide pour faire tomber la douleur. Il faut que je jouisse et que je relâche la pression de mon érection. Je m’accroupis donc face à la femme et je tente ridiculement de présenter mon sexe contre la vulve de la femme, comme si la cage avait disparu. Je me frotte comme un chien à elle et je sens que les frottements de la cage sur son clito l’excitent rapidement. J’aimerais caresser ses seins avec mes mains, mais je dois me tenir au mur pour ne pas perdre l’équilibre. Mon excitation est forte, mais les faibles sensations sur mon gland m’empêchent de jouir. Mes mouvements sont pathétiques et je n’y arriverais pas seule. J’essaie d’embrasser la poitrine de la femme, mais ma maîtresse tire la laisse en arrière pour m’en empêcher. Cette situation pourrait durer des dizaines de minutes si la belle inconnue est endurante.
C’est sans compter sur ma divine Maîtresse Danielle qui glisse derrière moi, et sans crier gare, introduit quelques choses dans mon anus. Je ne sais pas ce que c’est, peut-être un doigt ou un godemichet, mais l’objet touche ma prostate et l’effet immédiat se produit : je jouis d’un orgasme incroyable et si pathétique. Le sperme coule à travers la cage et n’arrive même pas à entrer entre les lèvres de la dame. Je ne suis même pas capable de cela.
Maîtresse Danielle tire la laisse, pour appuyer sur ma tête et la présenter devant la chatte de l’inconnue, qui n’a pas encore joui. Sans réfléchir, je sors ma langue et nettoie mon propre sperme tout en léchant le bord de ses lèvres et son clitoris qui dépasse. Quelques secondes suffisent pour que la femme explose dans une jouissance en criant des mots obscènes.
Mon érection tombe en même temps que ma fierté d’avoir fait jouir la dame sur les ordres de ma Maîtresse Danielle. Cette dernière tire sur la laisse pour me relever. Je remets ma culotte souillée, avec du sperme resté collé à la cage en bonus. Nous retournons à la voiture en laissant la belle Italienne. Maîtresse Danielle prend place à l’arrière et je reprends le volant.
A suivre
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