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Chapitre 1 : La rencontre(309 )
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Chapitre 2 : Le gâteau d'anniversaire(186 )
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Chapitre 3 : Le dîner(175 )
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Chapitre 4 : L'interdit(183 )
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Chapitre 5 : Les règles(146 )
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Chapitre 6 : Initiation à la sodo(153 )
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Chapitre 7 : Initiation à la sodo - la suite(115 )
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Chapitre 8 : Dîner chez le préfet(102 )
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Chapitre 9 : Dîner chez le préfet - la suite(116 )
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Chapitre 10 : Dîner chez le préfet - suite et fin(82 )
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Chapitre 11 : Les visites médicales(92 )
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Chapitre 12 : La garde à vue(81 )
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Chapitre 13 : La correction(64 )
- Histoire érotique écrite par Bison noir
- Fantasme
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[Cette histoire est une fiction. Toute ressemblance avec des personnages réels serait purement fortuite]
- Allez ma petite chienne, relève-toi. Prends une bouteille, on va rejoindre les autres.
Annie se relève, baisse sa jupe et choisit une bouteille totalement au hasard. Elle sent sur ses papilles l’odeur de sperme et de cul du préfet. Quelques poils sont également restés collés sur sa langue. Elle remonte les marches de la cave et traverse le grand couloir qui emmène jusqu’au salon. Elle sent la semence couler doucement mais sûrement le long de ses fesses. En arrivant dans le salon, elle a l’impression que tous les regards sont tournés vers elle, l’air narquois. Comme si tout le monde savait ce qu’il venait de se passer… Évidemment, que tout le monde sait, se dit-elle.
Elle reprend sa position dans le canapé auprès d’Antoine. Celui-ci lui caresse lentement le genou. Elle prend ce geste comme une marque d’approbation et de félicitation à ce qu’il vient de se passer dans cette cave. Le préfet présente la bouteille prit à la hâte par Annie et demande qui en veut. Les invités répondent qu’ils sont tous au champagne et qu’ils ne souhaitent pas faire de mélange.
Entendant cela, Annie se dit que finalement, elle aussi boirait bien du champagne.
- Finalement, je prendrai bien moi aussi du champagne s’il vous plaît.
- Ma cave ne vous a finalement pas donné envie ? dit le préfet avec un petit rictus. Qui d’autres veut du champagne ?
Plusieurs verres se tendent face à la bouteille prise en main par le préfet. Il sert des verres si généreux qu’une fois arrivé à celui d’Annie, la bouteille est vide.
- Je suis désolé ma belle… C’était la dernière bouteille qu’il me restait… Mes convives sont de véritables soiffards.
- Ce n’est pas grave, tant pis…
- Mais non, ne dites pas ça. Nous allons bien trouver une solution. Donnez-moi votre verre, dit Zimour.
Il prend le verre tendu par Annie et se lève du canapé. Il défait sa braguette et sort son sexe en direction du verre de manière totalement naturelle. Annie le regarde médusé. Les autres, l’air enjoué. Elle comprend ce qu’il va se passer mais elle n’en revient pas. Ce vieil petit homme au corps tout frêle, à l’allure de vautour est en train d’uriner de son petit sexe dans le verre, le remplissant quasiment à ras bord.
- Tiens, voici ton champagne, dit-il dans un grand sourire rendant son visage encore plus inquiétant qu’à l’ordinaire.
Il dépose le verre dans la main d’Annie l’obligeant à le prendre.
- Non, je ne peux pas, c’est impossible, dit-elle en le reposant sur la table.
- Bah voyons… Les bonnes femmes, c’est vraiment plus ce que c’était ! s’exclame Zimour.
- Cela ne se fait pas de refuser un verre, lui dit Antoine.
Au moment où Antoine lui dit cela, elle croise son regard ainsi que celui des autres convives. Ils sont très pesants et sont fixés sur elle.
- Mais enfin… C’est impossible… Comment pouvez-vous me demander de faire cela ?
- Mais bois on te dit espèce de salope !! Tu ne vas pas commencer à nous emmerder alors que nous ne sommes même pas passés au dîner !! s’emporte Zimour qui s’est rassis sur le canapé. Non mais d’où elle sort celle-là ??
- Vous verrez, ce n’est pas si terrible que cela, dit Madame Guessant. Plus c’est chaud et plus c’est bon. Ne laissez pas refroidir.
Annie a les yeux plongés dans ceux d’Antoine. Elle comprend que si elle refuse, cela en sera fini de leur relation. Et ça… Elle ne le veut pas du tout. Elle repense au mois dernier et à toutes les sensations que cela lui a procuré. Elle veut continuer à s’amuser, à s’envoyer en l’air. Il a été très clair sur ce qu’il attendait d’elle ce soir. S’il y a bien un jour où elle n’a pas le droit de le décevoir, c’est celui-là. Pas devant ces gens. Elle le sait. Sa carrière professionnelle est en jeu. Pourtant… Elle s’abaisserait à un tel niveau de soumission si elle buvait dans ce verre...
- Bois, dit Antoine de manière beaucoup plus ferme que précédemment.
Au ralenti, elle se penche sur la table basse pour récupérer sa coupe de champagne. Il est chaud. Le dos posé contre le siège du canapé, elle l’observe sous toutes les coutures. Elle le rapproche de sa bouche. Elle le sent, à la manière d’une dégustation de vin. L’odeur d’urine lui transperce les narines. Elle fait la grimace. Elle jette un dernier coup d’œil autour d’elle. Le temps semble s’être suspendu. Autour d’elle, tout le monde l’observe sans dire un mot. Elle doit le faire, elle doit y aller. Prenant son courage à deux mains, elle pose les lèvres sur le bord du verre. Puis, elle soulève très légèrement son coude afin de faire couler le liquide jaunâtre vers sa bouche. Ça y est, l’urine touche ses lèvres. C’est chaud. Pour le moment, la pisse stagne entre ses lèvres et le verre. Elle n’a pas encore ouvert la bouche. Elle ferme les yeux et aspire ses premières gouttes. Elle ne les garde que très peu de temps en bouche, décidant ainsi d’avaler directement. Cela lui arrache une grimace faisant marrer toute l’assistance, mis à part Antoine. Il semble très concentré et attentif.
- Continue, lui dit-il.
Annie replonge ses lèvres dans le verre et avale cette fois-ci une véritable gorgée. Le goût est très fort. Cependant, elle aurait pensé cela bien plus acide. Tant bien que mal, Annie fini son verre en ayant à plusieurs reprises des hauts
le cœur.
- Et bah voilà, ce n’était pas si terrible tu vois ! Il n’était pas bon mon champagne ? demande Zimour.
- Si, très bon, répond Annie en le défiant quelque peu du regard.
Elle se sent terriblement humiliée et rabaissée d’avoir fait cela. Elle n’a éprouvé aucune excitation particulière. Par contre, cela n’a pas eu le même effet chez les invités. Elle observe une grosse bosse entre les jambes de Soti. Et Madame Karavel frotte par-dessus le pantalon le sexe de son mari. Une nouvelle fois, en signe de félicitation, Antoine balade sa main sur la cuisse d’Annie, arrivant à la limite de son entrejambe.
Suite à cela, les conversations ont repris comme si de rien n’était. Une fois tous les verres terminés, le préfet invite ses convives à passer à table. Au moment de se lever, Annie sent deux petites tapes sur ses fesses. « Bonne petite pute » lui glisse Soti à l’oreille. Arrivée devant la longue et belle table dressée, Annie observe que des étiquettes au nom de chaque invité figurent devant les assiettes. Chacun prend la place qui lui est désignée mais Annie ne voit pas son nom. Elle remarque également qu’il n’y a que 9 assiettes au lieu de 10. La voyant songeuse, la femme du préfet prend la parole.
- Annie, les chiennes n’ont pas le droit de manger à table. Ce n’est pas très hygiénique. Votre place se trouve sous la table. Allez-y.
L’ensemble des invités éclatent de rire. Annie n’en revient pas. Même les femmes s’y mettent. Ravalant à nouveau sa fierté, mais sans dire un mot, elle se met à genoux et file se planquer sous la table. Au moins, là-dessous, elle n’aura pas à affronter leur regard de gros vicieux. Elle reste ainsi plusieurs minutes sous la table. Au-dessus, elle entend qu’on commence à servir le premier plat, qu’on remplit les verres de vin. Elle se demande quel rôle elle va bien pouvoir jouer. Elle n’aura pas eu besoin de se poser la question trop longtemps. En bout de table, elle entend le bruit d’une ceinture qui se défait et d’une braguette que l’on descend. Très vite, l’homme qui est à cette place se retrouve le pantalon sur les chevilles. Puis, il prend la parole.
- Il va quand même bien falloir donner à manger à notre petite chienne. C’est que ça mord ça après quand ça a trop faim !
Elle reconnaît tout de suite l’accent sudiste de Soti. Annie comprend. A 4 pattes, soumise à l’extrême, elle s’approche des pieds de Soti et attrape sa queue dans sa bouche, sans attendre d’autres explications.
- Oulala… Oulala elle a faim ! Vous ne la nourrissez pas suffisamment commissaire Navarro ?
- Et bien je vous assure que si… Mais elle a vraiment un appétit débordant.
- C’est parfait, c’est tout ce que nous aimons. Vous semblez l’avoir parfaitement dressée.
Soti n’a pas une très grosse queue mais elle l’a senti grossir à vitesse grand V une fois dans sa bouche. Elle le suce ainsi durant de longues minutes, répondant également à ses injonctions de bien passer sa langue tout le long de sa bite et sur son gland. Puis, elle sent une main se glisser sous la table pour attraper la sienne. Elle est déposée sur l’entrejambe. Annie reconnait tout de suite le pantalon de Monsieur Karavel. Lui aussi dégrafe son pantalon et laisse sortir une queue d’une beauté magistrale. Elle est grande, ni trop large ni pas assez et déjà bien dure. Annie commence à le masturber lorsqu’elle aperçoit la tête du préfet se pencher sous la table.
- Interdiction de bouffer une autre bite tant que tu n’as pas fait jouir et avaler toute la semence de celle sur laquelle tu es.
Annie comprend qu’elle ne pourra pas passer à cette belle queue tant qu’elle n’aura pas fait jouir Soti. Elle comprend également qu’avec les 5 hommes présents, elle va passer énormément de temps à genoux sous cette table. Conservant la queue de Karavel dans sa main gauche, elle s’applique et accélère un peu le mouvement pour faire jouir Soti. Heureusement, il ne tient cette cadence que quelques minutes avant de déverser une quantité impressionnante de foutre dans la bouche d’Annie. Elle a du mal à tout conserver en bouche mais elle arrive quand même à tout avaler, tant bien que mal.
Elle peut donc passer à la belle bite qui est à sa gauche. Karavel est plus jeune. Probablement bien plus endurant que Soti. Elle prend énormément de plaisir à le sucer. Tenant fermement la queue de sa main droite, elle plonge la main dans son string afin de se soulager elle aussi. L’excitation monte rapidement. Cela commence à lui plaire d’être la salope de ces messieurs. Elle imagine leur bonheur de déguster un bon plat tout en se faisant sucer. Elle ne sait pas combien de temps elle sera restée sur la bite de Karavel. Elle a bien pris le temps de lui lécher les couilles, de gober son gland et de faire de temps en temps des gorges profondes qu’elle maitrise désormais à la perfection depuis son mois d’entrainement intense. Lui aussi envoie une décharge importante de sperme dans son gosier. Son goût est bien meilleur que la bite précédente. Elle en redemanderait presque !
Elle passe à côté de Madame Karavel et se retrouve désormais au pied de ce gros vicieux de Zimour.
- Hey dis-donc grosse pute, t’as pas l’impression d’avoir oublié quelqu’un ?!
Elle voit la tête de Madame Karavel se pencher sous la table. Elle l’empoigne fermement par les cheveux et la tire de toutes ses forces vers sa direction, si bien qu’Annie se retrouve propulsée à ses pieds. La douleur lui arrache le crâne.
- Enlève ma culotte salope et viens me bouffer la chatte !!
Annie n’a encore jamais fait ça. Jamais elle n’a eu une relation sexuelle avec une femme. Bien sûr, à l’âge de 15-16 ans, elle a déjà embrassé sa copine Justine lors de soirées alcoolisées mais c’était plus pour apprendre comment on faisait pour les garçons que par réelle attirance sexuelle. Réticente, elle retire tout de même le string. Un beau vagin tout lisse s’offre à elle. Madame Karavel écarte les jambes en grand. Annie n’a plus le choix. Elle pose ses mains sur ces cuisses et plonge la tête vers ce petit abricot, la langue pointue bien en avant. Le contact est chaud et humide. Bien que d’apparence très propre, cette chatte dégage une forte odeur. Qu’importe, Annie passe et y repasse sa langue. En tant que femme, elle sait très bien ce qui stimule. Elle appuie le bout de sa langue contre le clitoris en faisant des légers cercles. Tout de suite, elle sent les jambes de sa partenaire se raidir. Elle a touché dans le mille !
- Continue, continue !! T’arrêtes pas ! Enfonce un doigt !
La femme a tellement glissé de sa chaise pour mettre bien au bord son vagin qu’elle en serait presque sous la table. En aparté, ce qui fascine Annie, c’est que depuis le début qu’elle est sous la table (une grosse demi-heure), les conversations continuent comme si de rien était. Évidemment, on parle beaucoup de sécurité, d’ordre public et de politique. Pour eux, c’est comme si ce qu’il se passait sous cette table était tout à fait normal. Personne ne semble avoir remarqué l’état dans lequel se retrouve Madame Karavel. Ses deux mains sont agrippées à la chaise. Comme demandé, Annie enfonce un doigt dans la cavité inondée. Rapidement, elle y entre un second. La langue toujours posée sur le clitoris, elle forme un crochet avec ses doigts. Il ne faudra que quelques secondes à Karavel pour hurler de plaisir. Elle agrippe ses mains dans les cheveux d’Annie pour lui coller le visage contre sa chatte. Un puissant jet chaud de cyprine est expédié en plein sur sa face. Au même instant, Annie sent son propre liquide dégouliner le long de sa cuisse.
A peine le temps de se remettre de ses émotions que Madame Karavel la pousse sur sa droite pour le prochain voisin. Elle atterrit la tête la première, le visage dégoulinant encore de cyprine, au pied de Zimour. Elle n’est pas au bout de ses surprises…