Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 146 J'aime
  • 2 Commentaires

Ma soumise à l'hôtel

Chapitre 1

Divers
Il est 23h en ce mercredi soir, et j’ai décidé de prendre un hôtel en banlieue parisienne plutôt que de rentrer dans les hauts de France où je réside. Trop de fatigue ! J’ai prévenu mon mari et maître (oui je suis sa soumise) et nous avons longuement échangé par téléphone afin de nous raconter nos journées respectives, comme tous les couples séparés par des impératifs géographiques ou professionnels.
Je m’apprête à m’endormir lorsque j’entends du bruit dans le couloir et quelqu’un frappe à ma porte. Surprise, je sursaute et je tire les draps vers ma poitrine comme pour me protéger.Qui peut venir à cette heure ?Personne ne sait que je suis là, à part mon mari et maître, mais qui n’aurait pas eu le temps matériel de faire 200 kilomètres dans les 10 mn qui séparent la fin de notre conversation téléphonique et ces coups à la porte.
Peut-être est-ce l’homme en costume cravate, si imposant, qui m’a légèrement draguée et que j’ai croisé tout à l’heure dans le hall de l’hôtel. Et je m’en veux d’avoir cette pensée... Ou tout simplement le service d’étage. Mais dans ce type d’hôtel, il n’y a pas !
Un peu effrayée et toujours interrogative, j’attends quelques instants, voir si on frappe de nouveau, sans faire de bruit, comme si mon silence signifiait mon absence et que cette personne s’en irait d’elle-même.Et de nouveau, on frappe. Je dors nue, mais il faut que j’aille voir, peut-être y a-t-il un problème de sécurité dans l’hôtel ou avec ma voiture garée sur le parking ? Je me lève, j’enfile une petite culotte et un haut peu léger. Je m’approche de la porte, colle mon oreille contre la paroi en bois comme pour deviner qui peut être derrière. Et j’ose ouvrir la bouche. Je précise, je suis une froussarde naturellement.Je prononce un « c’est pour quoi ? » fébrile.Et là, je reconnais la voix de l’homme croisé tout à l’heure dans le hall de l’hôtel, une voix grave et que je trouve bizarrement sensuelle malgré la situation très particulière.
— Écoutez Madame, je suis désolé de venir vous déranger à cette heure et de cette manière, mais j’ai vraiment eu un faible pour vous. Et je voulais savoir si vous accepteriez de prendre un verre au bar. Sans engagement, juste faire connaissance, il y a du monde, vous serez en sécurité et je vous assure que je suis un gentleman.
Je suis à la fois effrayée et flattée. Que faire ? Il est gonflé quand même. Surtout que je n’ai laissé aucune ambiguïté lors de notre échange de tout à l’heure. Il s’est montré avenant en me désignant le restaurant le plus proche et je l’ai juste remercié en souriant. J’aime mon mari et je suis dévouée à sa domination...
Que penserait-il de cette situation ? C’est bien la première fois que cela m’arrive. Non pas de me faire draguer ouvertement ou discrètement, mais qu’un homme vienne frapper à ma porte...Je réponds machinalement « attendez s’il vous plaît, je ne suis pas visible »... Et là, je me mords les lèvres, pourquoi ai-je dit cela... il va me prendre pour ce que je ne suis pas...Alors je décide de prévenir mon mari et je compose son numéro. Il me répond « Qu’y a-t-il chérie, tu as oublié de me dire quelque chose ? ». « Maître, un homme frappe à ma porte, que dois-je faire ? »
Il me répond, « déjà ma chérie, si tu m’appelles Maître, c’est que tu sais déjà ce que tu veux faire, sinon tu m’aurais appelé par un autre petit surnom beaucoup moins sexualisé ». Je m’offusque, mais il a raison, j’aurai pu l’appeler par « chéri », « amour », non inconsciemment, j’ai choisi « Maître » pour me positionner en soumise à sa décision.
Il me demande calmement si je le connais physiquement et si c’est le cas, s’il me plaît !
Je lui réponds que je ne le connais pas plus que cela, que je l’ai juste croisé en bas à l’accueil quelques heures plus tôt, qu’il semble distingué, physique agréable, mais sans plus, et qu’il mesure au moins 2 mètres de haut.
— Ecoute, s’il t’invite à prendre un verre au bar, en te rassurant qu’il y a du monde, on peut peut-être lui faire confiance. Mais je préfère te garder à l’œil, tu vas l’inviter à rentrer dans ta chambre et nous allons jouer avec lui, parce que je te l’ordonne ma soumise et que c’est mon plaisir. — Rappelle-moi en visio, pose le téléphone afin que j’ai vue sur le lit de ta chambre.
J’objecte un « mais maître... » et mon maître ordonne, alors je m’exécute, à la fois excitée et apeurée de ce qu’il va se passer.
Il me demande de lui ouvrir et de l’inviter à prendre un verre. Et de lui expliquer que je suis une soumise et que mon maître m’autorise à le recevoir dans ma chambre et de faire tout ce que mon maître demandera à travers la visio-conférence.
— je hurle, attendez-moi j’arrive... à l’attention de l’homme qui m’attend de l’autre côté de cette porte, dernier rempart des fantasmes de mon amour qui commencent à devenir les miens.
L’homme est surpris que je lui ouvre la porte en petite tenue, et l’excitation se lit sur son visage plus que la surprise. Il me remercie en souriant en me disant « qu’a priori je n’ai pas envie de prendre un verre au bar, sauf erreur de sa part ».Je l’invite de la main à rentrer avec un petit sourire. Je sens ma chatte s’entrouvrir et mouiller. Mes joues sont toutes rouges, je sens la pression sanguine tambouriner dans mes tempes.
Je lui propose de s’asseoir sur le fauteuil jouxtant le lit et moi sur le rebord en face et je lui explique en lui montrant le téléphone sur lequel apparaît le visage radieux de mon maître.D’abord surpris, il esquisse un mouvement comme pour se lever puis se laisse retomber dans le fauteuil, il commence à comprendre l’intérêt qu’il a de se plier à nos règles du jeu.Il me regarde, il regarde le téléphone, presque frénétiquement, il hésite, réfléchit, pèse le pour et le contre et finit par accepter. Il me dit qu’il est d’accord de nous faire plaisir et de se prêter à cette situation. Je ne sais plus où me mettre. Je vais être l’objet. Je vais être la proie, la soumise. Même si j’aime cela, je suis tout émue. J’ai les seins qui pointent et qui trahissent l’excitation qui commence à monter en moi. Cette douce chaleur qui part de mon bas-ventre et qui vient colorer mes joues. Ma nuque en frissonne !
Et mon maître entre dans le jeu. Les règles sont simples, il ordonne pour moi et pour l’homme et nous devons accepter toutes ses exigences. Nous ne voulons pas savoir le nom de notre objet sexuel de ce soir. Il sera « IL » et le restera. Et il ne connaîtra pas nos prénoms non plus. Je serai tantôt la soumise, tantôt la chienne, tantôt la pute ou putain et mon amour sera toujours le maître.
Mon maître me demande de me mettre en tenue privée... La tenue privée c’est se mettre totalement nue, quelles que soient les circonstances. Et là, je m’exécute en me levant et en retirant délicatement le peu de vêtements qu’il me reste. Je suis nue devant cet inconnu et j’avoue que j’y prends énormément de plaisir. Il me regarde de haut en bas, s’attardant sur mon sexe presque totalement épilé, imaginant sans doute dans sa tête toutes les positions possibles dans lesquelles il pourra me prendre comme une petite salope.
— IL, commence à bander, je le vois à travers son pantalon de costume. Et cela m’excite, curieuse de savoir quelle taille et quel goût aurait sa verge gonflée par le plaisir de m’honorer.— Position 6, ordonne le téléphone. Je pose mes mains sous mes seins pour les faire remonter comme un push-up et je donne quelques coups de langue sur mes tétons déjà bien dressés et durcis par l’envie. « IL » admire ma poitrine avec insistance. Il n’en perd pas une seule image. Il se mord les lèvres. Hummmm c’est trop bon de l’allumer comme cela. Là mon vrai visage commence à ressortir, je suis une catin...
Puis mon maître me demande de danser devant lui, le plus près possible de son visage. « IL » s’est légèrement redressé comme pour s’approcher et je peux sentir le souffle de sa respiration sur ma petite vulve, tellement il est proche de la source de mon plaisir.
Je sens la cyprine couler le long de mes petites lèvres et mon maître me demande la position 7. Je n’en peux plus, j’ai envie d’être prise. L’excitation qui monte est tellement forte que je n’ai qu’une seule envie, c’est de sentir un membre vigoureux pénétrer mes entrailles...Je me recule puis je le regarde dans les yeux en m’insérant un doigt dans la chatte. Je gémis de plaisir, en me passant la langue sur la bouche, et je me sens à sa merci, à la moindre initiative qu’il pourrait prendre. Je l’espère presque. J’ai envie de lui. Ou plutôt de sa queue. Du plaisir qu’il pourrait me donner sur ordre de mon maître, pour mon maître, à la vue de mon maître.
Je m’imbibe le doigt de mon excitation, je le tourne bien au fond de mes entrailles et j’en soupire de plaisir. J’ai les yeux mi-clos. Et je le porte à mes lèvres en le léchant avec défi, gourmandise et réel plaisir. C’est trop bon tout cela.
Je sens que « IL » n’en peut plus. Il regarde tour à tour le téléphone puis moi, ne sachant pas à quel moment mon maître va lui permettre de me toucher, de goûter à mon intimité. Il est comme un fou ? Ses gestes saccadés et d’impatience trahissent son excitation. Et j’adore cela. Mettre l’autre dans cet état second. Cet état bestial.Mon maître m’ordonne alors la position 9 et je me tourne afin d’offrir à la vue de « IL » ma petite rondelle. Mon maître pourrait me demander n’importe quoi à ce moment-là, je serai capable de le faire. Je suis dépassé par mon excitation.
— Garde la pose et toi retire ton veston.
Rien que d’entendre l’ordre de mon maître, je sens comme une vague de liquide s’expulser de mon entrejambe. Je n’en peux plus, terrassée par tous ses sens en éveil.
— Lèche le trou du cul de ma salope.
Je tourne la tête vers lui légèrement et « IL » me regarde complètement fou en posant les mains sur mes fesses, moi debout devant lui et il commence à me laper l’anus. Hummmm délicieux. Je gémis et je regarde vers le téléphone afin de savoir si mon maître profite du spectacle. J’ai les yeux mi-clos, terrassé par le plaisir que je prends.
Je me cambre sous son effet. Et mon maître lui demande d’enfoncer sa langue un peu plus profondément dans mon fondement. Il a dorénavant la tête totalement enfouie entre mes fesses ? Ohhhhhhhh quel délice...Je dégouline, je veux tout, je ferai tout ! Hannnnnnn je gémis.
Mon maître lui demande alors de retirer son pantalon. Afin de voir la taille de son sexe. Il est bien membré, bien dur, gorgé de sang. Cela devrait aller, il va bien caresser mes parois humides et chaudes. Je vais sentir passer sa peau contre ma peau dans mon entrecuisse. HummmmMon maître m’ordonne de me coucher sur le lit sur le dos. Les jambes bien écartées et de me masturber devant lui.
— IL, n’en peut plus, il veut me pénétrer maintenant, mon maître lui interdit. Il doit d’abord me mériter et mettre un préservatif. Il m’observe et moi je jouis de la situation au sens propre comme au sens figuré.
Je me trémousse sur le lit comme une salope. Je geins, je prends tout le plaisir que je peux prendre en m’imaginant la situation dans laquelle je suis et « IL » commence à se masturber en me regardant. Puis je lui demande de mettre son préservatif et l’invite à prendre le chemin de ma chatte en lui indiquant le passage obligé avec mon doigt.
Je le regarde déroulant le morceau de latex sur son membre gonflé et chaud et je sens qu’il va me faire du bien. Je n’en peux plus. Je le veux tout de suite, maintenant fortement. Je regarde mon maître sur le téléphone afin de lui demander son accord et je vois sa belle queue en gros plan. Mon maître est d’accord.
Je me sens tellement excité que je me fous de tout. J’oublie tout. Je suis offerte au plaisir. A la luxure. Je suis une pute, là tout de suite à la minute, la pute de mon maître. Et j’aime ressentir ce sentiment d’appartenance totale et de soumission ultime. Je n’existe que pour notre plaisir à tous les deux. Quel que soit le tiers entre nous.
Et je sens « IL » me prendre comme une salope. Doucement. Puis un peu plus rapidement. Et je regarde toujours la queue de mon maître sur le téléphone, je ne regarde pas « IL ». Jamais je ne me serai cru capable de faire cela. C’était la première fois. Et pourtant. J’ai un étranger entre les jambes qui me donne du plaisir physique. Hummmm. Et j’éprouve en même temps un plaisir cérébral à satisfaire mon maître. Je le sens en moi, aller et venir, et j’ai envie qu’ils soient plusieurs à me prendre pour mon maître. Que tout l’hôtel me passe dessus. Je suis une salopppppe et j’assume.
Mon maître me demande alors de me retourner et de me mettre à 4 pattes comme une chienne, afin qu’ « IL » puisse voir mon petit fondement quand il rentrera de nouveau sa queue en moi. Et là, je gémis longuement, je râle à moitié esseulée, car mon maître lui a demandé de mettre un doigt dans mon cul en même temps, afin de me soumettre définitivement.
Et je me surprends à crier « Ouiiiii » à hurler « oui », que j’aime cela, que je suis la salope de mon maître... je me cambre pour qu’il enfonce son doigt un peu plus profondément dans mon anus qui commence à se dilater sous l’effet du plaisir. Mon cul est magnifique, je le sais.
Il n’y a pas pire pute... Et « IL » va de plus en plus vite et de plus profondément.Je lui demande de taper plus fort, je veux sentir la bête me défoncer. La jouissance est en train de monter. Je la sens, je veux la retenir, mais je ne peux pas.
Je regarde le téléphone et je vois la queue gonflée d’excitation de mon maître autour de laquelle ses mains s’agitent. J’aimerais pouvoir la sucer en même temps. Alors je me suce le doigt, comme pour me dire qu’il est avec moi. Et là « IL » retire son doigt de mon cul dans un gémissement que je ne peux pas contrôler et prendre ma longue chevelure noire vigoureusement et s’en sert de levier plus me pilonner encore plus fort...
Je sens que je vais jouir et que lui aussi. Et « IL » gémit pendant que je laisse s’échapper ma jouissance dans toutes les parties de mon corps.Je perds la tête, et je ne sais plus où je suis, haletante, la joue contre le lit, cambrée comme une chienne qui vient de se faire prendre bestialement.Je hurle, je crie, je pleure en même temps. La jouissance explose en moi, une seconde fois dans tout mon corps. Je suis prise de convulsions délicieuses. Je suis heureuse, je me tourne vers le téléphone et je vois le liquide que j’adore avaler s’écouler de la queue de mon maître.
Il est heureux aussi.Après quelques minutes de silence où personne n’a bougé. L’homme se retire de mes entrailles. Se rhabille et nous remercie poliment de cette merveilleuse expérience. Je suis complètement défaite. Je suis la pute et la salope de mon amour et de mon maître.
Nous finissons tous les deux après le départ de l’homme en nous regardant dans les yeux à travers ce téléphone. Pour partager un petit moment de tendresse à deux, après ce moment totalement improvisé. Je suis sereine et belle, allongée sur le lit. Je suis pour la vie à mon maître, car avec lui, je suis enfin moi. Et je sais qu’il m’aime comme cela et comme j’ai envie d’être pour lui.
Diffuse en direct !
Regarder son live