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Soumise à un inconnu

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Je savais que j’aurai du ne pas succomber mais résister à ses deux ouvriers étaient impossibles sur le moment.Mais tout bascula le jour où je reçus deux photos sur lesquelles j’étais occupée avec mes ouvriers.
Je sentis mes jambes incapables de me soutenir. Mon cœur battit la chamade. Mais qui avait pris ces clichés, et surtout pourquoi me les envoyer ? Une des réponses se trouvait au dos d’une des photos :
Tu m’as l’air d’une bien vilaine fille, mais ce n’est pas pour me déplaire. Nous allons jouer à un jeu. Tu feras tout ce que je te dis ou sinon tes photos risquent de se retrouver affichées un peu partout sur le Net et dans les rues de ton quartier. À très bientôt.
P. S. : Dorénavant, plus de sous-vêtements.
J’étais effondrée. Mais que me voulait cette personne et à quoi voulait-elle jouer ? Je sentais que j’allais bien regretter mes tromperies. La suite ne tarda pas.
Le lendemain, en allant à la boîte aux lettres, j’ouvris une enveloppe contenant une nouvelle photo de mes ébats au dos de laquelle se trouvait un nouveau message :
Tu n’as pas été sage, tu auras un gage. Tu portes toujours des vêtements que je t’avais interdits. Ne t’avise pas de recommencer ou tu sais ce qui arrivera. Va te changer, remets ta tenue qui plaisait tant à tes ouvriers et attends de mes nouvelles.
Je devins écarlate et regardai autour de moi pour voir si quelqu’un m’espionnait. Comment savait-il que je portais des sous-vêtements ? Je n’ai pas quitté la maison. J’ai tourné les talons et couru me réfugier à l’intérieur. J’entrepris de fermer toutes les tentures et allai me réfugier dans ma chambre, après avoir pris soin de brûler la photo, comme les autres.
Je suis restée assise sur mon lit un long moment, à me poser mille questions. Qui était-il ? Car pour moi il ne faisait aucun doute que c’était un homme. Que me voulait-il ? Apparemment il ne voulait pas me faire chanter pour de l’argent mais bien pour profiter de moi. Jusqu’où voulait-il aller ? Jusqu’où serais-je prête à aller ?
La sonnette de la porte d’entrée me tira de ma rêverie en me faisant sursauter. Qui est-ce ? Et si c’était lui ? Que faire ? Il faut prendre une décision, ma fille.
En une seconde, j’en pris une. Je me déshabillai à la hâte et une fois nue, je cherchai ma mini-jupe noire et ma blouse blanche à bretelles de mes jeunes années, blouse qui, décidément, était vraiment trop petite pour contenir ma trop grosse poitrine.
La sonnette retentit à nouveau. Dans mon empressement pour revêtir le morceau de tissu je fis craquer la couture d’une des bretelles. Horreur, que faire ?
Troisième coup de sonnette. Tant pis, j’y vais.
Je descendis les escaliers quatre à quatre ce qui fit jaillir littéralement mes seins hors de ma blouse. Arrivée derrière la porte, je les remis en place du mieux que je pus en maintenant le tissu au niveau de la bretelle cassée. Je pris une grande bouffée d’air et ouvris la porte en prenant soin de me montrer le moins possible.
— Bonjour mademoiselle, service livraison.
Devant moi se trouvait un livreur d’environ vingt-cinq ans avec un petit carton à la main.
— J’ai un colis pour vous, mademoiselle.
Je poussai un profond soupir.
— Mais je n’ai rien commandé. — C’est pourtant bien votre adresse. Il faudrait me signer le reçu. — Mais puisque je vous dis que je n’ai rien commandé ! — Tenez, il y a une enveloppe collée dessus. Ouvrez-la et vous verrez si c’est bien pour vous.
Le type me passa l’enveloppe que j’ouvris et lus en prenant soin de rester derrière la porte pour ne pas dévoiler mon sein qui jouait les filles de l’air, étant donné que j’avais besoin de mes deux mains pour ouvrir l’enveloppe. Je reconnus l’écriture qui était sur les photos.
Accepte ce petit cadeau qui te sera bien utile. J’espère que tu as été gentille et fais ce que je t’avais demandé au sujet de ta tenue vestimentaire. Sors un peu de chez toi pour me montrer et prends ton temps pour ouvrir ton colis. Il n’y a pas de raison de refuser ce spectacle à ce bon livreur qui ne doit pas rire très souvent dans son métier.
En temps normal, ma tenue était déjà un appel au viol, mais avec ma bretelle cassée c’était encore pire.
— Alors, c’est bien pour vous ?
Je devins rouge comme une pivoine et attrapai des bouffées de chaleur. Je n’allai pas me dévoiler ainsi à cet inconnu.
— Euh ! Mademoiselle, je ne veux pas vous brusquer mais j’ai d’autres livraisons qui attendent.
Allez, en avant ma fille. Je rajustai ma poitrine dans le petit bout de tissu et en prenant soin d’éviter tout mouvement brusque, tout en maintenant la bretelle, j’ouvris la porte en grand et fis un pas à l’extérieur. Je crus que, malgré son jeune âge, il allait me faire une crise cardiaque. Les yeux du malheureux étaient prêts à sortir de leurs orbites. Il me détaillait ou plutôt me dévorait du regard. Ses yeux allaient et venaient de mes seins à mes cuisses.
— Apparemment ce colis est bien pour moi, c’est un cadeau de la part d’un ami.
Le gars restait là sans bouger ou plutôt en ayant une partie de son anatomie qui bougeait, à voir la bosse qui commençait à déformer le bas de son uniforme. Cette situation me gênait au plus haut point, mais cela m’amusait aussi un peu, de voir ce gars tout hébété de me trouver ainsi vêtue.
J’étais tentée de lui demander d’ouvrir le colis pour moi afin de me permettre de garder une main de libre pour mon décolleté mais, après une brève réflexion, je me dis que comme je ne savais pas ce qui s’y trouvait, je ferais mieux de le faire moi-même. Ce pouvait tout à fait être d’autres photos.
— Je vais l’ouvrir si vous le permettez, avant de signer le reçu, pour vérifier que rien n’est abîmé.
Il me tendit la boîte sans perdre mes seins de vue.
Après avoir lâché ma bretelle le plus délicatement possible, j’entrepris d’ouvrir le paquet le plus doucement possible. Je dus tout de même remonter le tissu qui menaçait de dévoiler mon mamelon, les aréoles étant déjà visibles au-dessus de la blouse.
Je regardai avec surprise l’objet livré. Je fus très étonnée de découvrir un téléphone portable. Je m’attendais à tout sauf à ça.
— Bon, c’est OK. Vous me le donnez, votre reçu à signer ? — Euh ! Oui voici.
En me saisissant du papier je fis tomber le stylo, mais le gars n’avait pas l’air enclin à le ramasser. En me baissant l’inévitable se produisit, mon sein droit sortit complètement à l’air libre pour le plus grand ravissement de mon livreur.
— Saleté de blouse !
Je lui signai son papier sans même me rhabiller, le lui tendis et rentrai, rouge de honte, en quatrième vitesse, au grand désespoir du livreur.
Le téléphone sonna pour signaler l’arrivée d’un message écrit.
C’est très bien, ça. Tu nous as offert un très beau spectacle, au-delà de mes espérances. Pour la suite du jeu, on va aller se promener en ville. Garde ta mini mais tu peux changer ta blouse. Celle-ci est vraiment trop voyante. Mets donc ton petit chemisier noir en satin. Toujours sans sous-vêtements.
Mais ma parole, il connaît toute ma garde-robe, celui-là ! Qui est ce type ? Je dois bien le connaître ! Je voulus répondre mais il n’y avait pas de crédit d’appel sur le téléphone.
Le petit manège avec le livreur m’avait tout de même émoustillée et je me dis qu’en ville, un jeudi après-midi, il ne risquait pas de m’arriver grand-chose. Je gardai ma mini et enfilai le vêtement requis. Toujours sans soutien ni culotte. L’idée de me promener la chatte à l’air ne m’enchantait guère mais il s’en serait rendu compte, à travers le tissu de la jupe, si j’avais désobéi. Je mis le téléphone dans mon sac et me dirigeai vers ma voiture. Un autre message arriva.
Tu n’utiliseras que les transports en commun et pas de taxi. Dépêche-toi, il y a un bus qui passe dans 3 minutes à deux rues d’ici. Tu es très belle mais ton décolleté est un peu trop sage. Défais trois boutons.
Je m’attendais à faire du sport, mais pas à courir en talons. J’obéis à l’ordre et défis les trois boutons, ce qui rendit ma tenue beaucoup moins sage. Le creux entre mes seins était plus que visible et, le chemisier baillant beaucoup, on pouvait entièrement voir mes seins suivant ma pose, en étant un peu de profil.
La distance à parcourir était relativement longue. Qui plus est avec des talons ! Je retirai mes chaussures et me mis à courir pieds nus. Tous les trois mètres, je devais tirer sur ma mini qui remontait sans cesse. Je n’ai jamais été aussi contente d’habiter un coin si calme. Sur le chemin, j’ai croisé un de mes voisins qui ne perdait jamais une occasion pour me reluquer, alors il ne s’en n’est pas privé. Je le revois encore tout éberlué de me voir courir les chaussures à la main et dans cette tenue très légère.
Tout juste. Le bus est là.
Je remis mes talons, redescendis ma jupe et tirai sur mon chemisier pour le réajuster, tout en montant dans le bus. Après avoir réglé le chauffeur qui m’accueillit avec un beau sourire, j’allai m’asseoir au fond du bus.
Mes fesses étaient presque entièrement en contact avec le tissu des sièges et mon chemisier baillait si fort que l’on pouvait voir entièrement mes seins. Je pris l’initiative de refermer un bouton. Heureusement la ligne était peu fréquentée et il n’y avait personne de connu de mon quartier.
Message :
Et alors ? Je ne t’ai jamais autorisée à refermer tes boutons ! En punition, tu vas en défaire deux. Tu restes dans le bus jusqu’à la gare où tu descendras pour prendre le métro en direction du nord de la ville. Exécution ! Ne me désobéis plus ou il t’en coûtera.
Trois boutons c’était beaucoup mais quatre c’était de la folie. Et comment m’avait-il vu ? À part une petite vieille, un jeune couple d’amoureux et le chauffeur, il n’y avait personne. Résignée, j’obéis.
Tout se passa bien. Il y eut bien trois jeunes qui sont montés et qui semblaient me trouver à leur goût, à voir comment ils mataient mes seins qui se balançaient dans tous les sens pour accompagner les mouvements du bus, mais ils ont gardé leurs distances.
Arrivée à la gare, je descendis dans le métro. Dans les escaliers je fis une descente qui se fit remarquer mais, une fois dans la foule qui attendait sur le quai, je fus plus tranquille. La rame de métro arriva et je me laissai emporter par le flot de gens qui s’y engouffrait.
Une fois à l’intérieur, je pus découvrir que les histoires que l’on raconte sur le métro sont bien fondées (mais bon ma tenue y était pour beaucoup). Pendant le temps que je mis à me trouver un semblant de place debout, je ne comptais pas les mains qui sont passées sur mes fesses. Je me suis retrouvée entourée par des hommes qui semblaient ne rien vouloir perdre du spectacle que je leur offrais. Ils formaient littéralement un mur humain, ce qui me préservait des regards des autres usagés. Lors du démarrage, j’eus juste le temps de me rattraper à une barre ce qui eut pour effet d’entrouvrir encore plus mon corsage. Mes aréoles étaient en partie visibles et il n’aurait pas fallu grand-chose pour faire sortir mes seins complètement, surtout avec les balancements auxquels était soumise ma poitrine.
Je fis celle qui ne se rendait compte de rien et regardai dans le vide devant moi quand une main, qui cherchait à s’immiscer sous ma jupe, me fit sursauter. Je devais être devenue complètement folle de me retrouver à moitié à poil dans une rame de métro bondée et entourée par une bande de mecs qui m’aurait bien violée sur place, à en juger par leurs regards appuyés.
La main inconnue ne perdit pas de temps et, encouragée par mon manque de réaction, se plaça sur mon sexe épilé. J’étais de plus en plus excitée par la situation et je fermai les yeux. Mon peloteur se mit à me caresser le sexe d’une manière très experte. Je dus réprimer mes émois pour ne rien laisser paraître, ce qui fut très difficile. Une seconde main vint se placer sur mon ventre et tentait d’ouvrir un bouton supplémentaire. Ce fut rapidement fait et, lors d’un passage d’aiguillage, je ne pus empêcher mes seins de sortir hors de leur écrin. Aussitôt deux mains vinrent se plaquer sur chacun d’eux et ce fut plus un malaxage qu’une caresse. On m’attrapa les mains et je me retrouvai avec un sexe dans chacune. Je n’avais plus besoin de me tenir, il m’aurait été impossible de tomber tellement j’étais bien entourée et retenue. Tout ceci s’arrêtait à chaque arrivée en gare et reprenait de plus belle une fois la rame repartie.
Heureusement que nous étions dans un angle, sans quoi j’aurais causé un scandale. J’étais en transe, au bord de l’orgasme grâce à la main qui me caressait. J’entamai des va-et-vient rapides aux deux bites que j’avais en mains. En quelques instants, je les sentis au bord de l’éjaculation et mis mes mains en face des glands, tout en les branlant du bout des doigts, pour éviter toute projection qui m’aurait souillée. Je reçus le flot de semence au creux de mes mains, le reste finissant par terre. J’eus un orgasme au même moment et ne pus réprimer un petit cri qui heureusement, dans le brouhaha général, resta discret. Je repris alors mes esprits et me rendis compte qu’il me fallait descendre à la prochaine sortie. Je devais me rhabiller mais mes mains pleines de sperme sur mon chemisier noir n’auraient pas été d’un très bel effet. N’ayant pas de mouchoir et sur le coup de la panique, je léchai mes mains goulûment, jusqu’à tout avaler, ce qui fit forte impression sur ces messieurs. Je reboutonnai mon chemisier, redescendis ma jupe, et sans me retourner, me dirigeai vers les portes de sortie en me frayant un chemin entre les gens.
Arrivée en gare, je sortis en courant, honteuse de mes pulsions. Arrivée au dehors, je me retrouvai dans un quartier que je ne connaissais pas. L’endroit était en fait le quartier chaud avec cinémas X, sex-shop, bars et coins à prostituées en tous genres. Si l’heure avait été plus tardive, j’aurais très bien pu passer pour l’une d’entre elles. Heureusement il n’était que seize heures et le coin était plutôt inanimé.
« On peut dire que je suis tombé sur une salope, à en juger par ta prestation. Bravo ! Je sens qu’on va s’amuser tous les deux. Va à la boutique au coin de la rue à gauche, on va faire des emplettes. Mais ensuite tu devras t’acquitter d’une nouvelle punition pour m’avoir contrarié. »
Mais je n’avais rien fait qui aurait pu le contrarier, moi. C’est alors qu’après un rapide coup d’œil, je me rendis compte que, dans ma hâte, j’avais reboutonné deux boutons de trop. Je les redéfis et me dirigeai dans la direction exigée. J’obéissais au doigt et à l’œil à mon maître chanteur avec de plus en plus d’ardeur. Ce petit jeu de soumission à un inconnu m’excitait de plus en plus.
Arrivée au coin, je me rendis compte du genre de boutique que c’était. Un sex-shop ou l’on pouvait s’offrir tout ce que l’on pouvait imaginer en matière de sexe et avec cabine de visionnage de films en tous genres. Mon entrée fut très remarquée par la gent masculine omniprésente. Le vendeur me salua et vint vers moi.
— Je peux peut-être vous aider ? — Euh ! Non, non merci je jette juste un coup d’œil. (Lui aussi, apparemment).
Bien pour les boutons, mais pour la deuxième fois ton gage sera plus sévère.
Tu vas commencer par t’acheter un nouveau maillot de bain. À l’entrée il y en a. Ton choix est libre. Une fois que tu as trouvé ton bonheur tu passes ta main dans tes cheveux pour me prévenir et tu attends la suite.
Des maillots de bain dans un sex-shop, on aura tout vu. Un rapide coup d’œil me fit comprendre. « Minuscules bouts de ficelle » pourrait mieux désigner ces « maillots ». Transparents, avec fermetures Éclair à divers endroits – il y en avait même un avec un téton en latex à l’entrejambe, plaisir garanti. J’optai pour un bikini string rose assez minimaliste mais plus sage que les autres. Une fois pris, je passai ma main dans mes cheveux pour le signal. Quelques secondes à chercher vainement mon maître chanteur et la réponse arriva.
Très joli choix mais tu vas le remettre à sa place et prendre la taille en dessous. Ensuite tu vas aux cabines d’essayage et tu le passes. Ne ferme pas le rideau complètement que je ne rate rien du spectacle.
Au point où on en est, allons-y.
— Vous avez trouvé quelque chose à votre goût ? me demanda le vendeur. — Oui, je crois. Je peux l’essayer ? — Normalement, c’est le genre d’article que l’on n’essaie pas, mais pour une charmante dame comme vous, je suis prêt à faire une entorse au règlement. — Merci.
Une fois dans la cabine exiguë je tirai le rideau en laissant un interstice. Mon effeuillage fut aussi bref que possible. J’entamai le passage du bikini quand, dans le reflet du miroir, je me rendis compte que les clients s’étaient tous rapprochés et certains, faisant mine de rien, jetaient des regards discrets. Mais pour le patron et un autre gars, ces regards étaient francs et sans discrétion. Ils se caressaient même à travers leurs pantalons. Heureusement, le tissu était plutôt élastique et je pus renfermer mon opulente poitrine dans le haut. Les pointes de mes seins étaient à la limite de sortir, mais ça allait. Pour le bas par contre, le string, j’avais du mal de reconnaître l’endroit de l’envers. Il n’enveloppait que partiellement les lèvres de ma chatte qui heureusement était lisse et il me rentrait fortement entre les lèvres. Si je dois nager avec ça je risque de me retrouver avec les lèvres complètement écartées par le tissu.
— Tout va bien madame ? Oh ! Cela vous va à ravir !
Ce type n’avait pas hésité à tirer le rideau un peu plus pour m’observer et en faire profiter sa clientèle. J’avais l’impression d’être un morceau de viande au milieu de loups affamés.
— Merci, ça ira. Je le prends.
Après avoir refermé le rideau je me remis en tenue et ressortis de la cabine en me dirigeant vers la caisse.
Très joli, mais tu m’as encore désobéi. Le bouton, plus le rideau qui m’a gâché la fin du spectacle, c’est de trop. Pour le gage, tu vas aller voir un film au sous-sol. Ne te pose pas de question et obéis.
— Autre chose madame ? — Euh ! Oui, on peut voir un film ici ? lui dis-je le plus doucement possible. — Oh, mais bien sûr ! Vous allez au fond à droite, vous descendez l’escalier et vous rentrez dans une cabine avec la porte ouverte. Cela veut dire qu’elle est inoccupée. Tenez, voici un jeton.
Arrivée au sous-sol, je me retrouvai dans l’endroit le plus glauque où je ne m’étais jamais retrouvée. Deux cabines étaient occupées et trois étaient vides. Je rentrai dans l’une d’elles et insérai le jeton. C’était un film où une brune à gros seins se faisait sauter par deux beaux blacks. On ne peut pas dire que ce soit très difficile comme gage… si ce n’est l’endroit.
« Bon assez reposée. Tu vas travailler un peu. Sors de la cabine et rentre dans une de celles qui est occupée et sois très gentille avec son occupant. »
Là, par contre, ce n’était plus la même chose. Coucher avec un parfait inconnu dans un endroit pareil ! C’en était trop ! Je préférai me retrouver sans un euro et célibataire que de coucher avec je ne sais quel obsédé. J’allais sortir, quand…
Dépêche-toi d’obéir, ton retard m’obligerait à t’imposer un nouveau gage. Pense à tous les endroits où l’on peut publier tes exploits. Mais ne t’inquiète pas, il ne t’arrivera rien de méchant. Je veille sur mon jouet.
Cette dernière phrase me rassura un peu. J’étais folle de faire confiance à un gars que je n’avais jamais vu et qui m’imposait tout ceci, mais il avait réussi à m’exciter et éveiller ma curiosité en une journée.
Comme dépourvue de volonté, je sortis de ma cabine et entrai dans la voisine où je découvris un jeune homme plutôt pas mal – que j’eus le temps de détailler de par le fait qu’il me regardait la bouche grande ouverte. Il avait pantalon et slip aux chevilles et une bite en main, de belle dimension. Fine mais assez longue.
— C’est ton jour de chance, je suis le cadeau de la maison. — Pardon ? Vous, vous… — Mais oui, mon gros niais, profite. — Ouaah !
Je défis le reste de mes boutons et sortis mes seins sur lesquels il se rua et faillit s’étouffer. Il me lécha avidement et remonta ma jupe pour me peloter les fesses. Je le repoussai, enlevai mes vêtements pour ne garder que les talons et m’agenouillai devant lui pour avaler son sexe d’un coup. Je n’avais rien à envier aux filles de l’écran. Pendant que je le suçai, il me malaxait les seins sans délicatesse, tirant de temps à autre sur les tétons qui n’arrêtaient pas de gonfler. Soudain la porte s’ouvrit pour laisser apparaître le patron du sex-shop.
Le patron : Et alors, on ne s’ennuie pas ici ! Il me semblait bien que t’étais une pute sous tes faux airs de bourgeoise.Le jeune homme : Eh ! Tu ne m’avais pas dit que je devrais payer !Le patron : Tu ne croyais quand même pas te faire une bombe pareille à l’œil, avec la dégaine que t’as !Moi : Mais non, c’est gratuit, je suis juste en manque de bite !
Je ne me contrôlais plus.
Le patron : Eh bien toi, t’es une vraie salope ! Tu reviendras quand tu veux, tu vas m’attirer des clients. Mais en attendant, on va s’occuper de toi.
Et c’est là que tout dérapa. Je fus tirée hors de la cabine par le patron et son ami le voyeur. Ils sortirent leur membre et me firent pencher en avant pour sucer le patron. Ce que je fis sans même réfléchir à ce que je faisais. Deux doigts se frayèrent un chemin en moi.
Le voyeur : Ouaah ! Qu’est-ce qu’elle mouille, cette chienne ! Putain, je vais me la faire !
Le type me saisit par la taille et me pénétra brutalement en me donnant un violent coup de rein. Mon jeune homme revint à la charge et s’acharna sur mes seins, frotta sa bite dessus en se masturbant. Un rapide coup d’œil me fit penser qu’il ne devait plus y avoir grand monde à l’étage. Le gars qui s’acharnait derrière moi, me donna un violent orgasme qui m’arracha des cris de jouissance.
Le gars : Oh putain ! T’es la pire des putes, oh ! putaiiin !
Le gars venait de m’inonder de son foutre et à peine s’était-il retiré que mon voisin de cabine prit sa place. Il s’introduisit dans ma chatte dégoulinante puis pris place à l’entrée de mon anus qu’il pénétra sans effort. Cette sodomie ne fut pas douloureuse et me donna même un certain plaisir.
Les bites sortaient de partout. Certains restaient en arrière à se branler et d’autres attendaient leur tour. Ce fut au patron de se vider ensuite, me déversant un flot de sperme que je fus fière d’arriver à avaler en entier. Je n’eus le temps que de lui donner deux coups de langue qu’il fut bousculé pour faire place à un autre membre que j’avalais sans rechigner. Le jeune homme jouit à son tour m’inondant les fesses.
Ce petit manège dura encore un bout de temps jusqu’à ce qu’ils aient tous joui. Certains prenaient des photos avec leurs portables mais je m’en foutais. J’avalai tout le sperme que je pouvais, allant jusqu’à m’agenouiller devant les voyeurs pour ne pas en perdre une goutte. Une fois vidés, ils disparaissaient les uns après les autres. Restèrent le jeune homme et le patron.
Le patron : En tous cas, n’hésite surtout pas à revenir et pour le maillot, c’est offert par la maison.
Une fois sortie…
Tu as été parfaite et au-delà de mes espérances. Je suis fier de mon nouveau jouet. Tu peux rentrer en taxi mais sans modifier ta tenue. Je te contacte dans quelques jours.
Je hélai un taxi et me fis conduire à quelques rues de chez moi, à l’entrée d’un bois pour ne pas attiser les commérages des voisins. Le chauffeur regardait plus dans son rétro que la route. Au moment de payer, je me rendis compte qu’on m’avait volé mon portefeuille : ils m’avaient baisée et volée… J’ai payé le chauffeur de taxi en nature en le gratifiant d’une fellation pour laquelle je devenais experte. Je l’ai laissé avec une bite toute propre, nettoyée de toute trace de sperme. J’étais vraiment la dernière des salopes.
Sur le retour, j’ai croisé à nouveau mon voisin que je saluai d’un grand sourire et d’un clin d’œil malicieux. Une fois rentrée, j’ai pris la douche qui s’imposait, encore sous le choc des nombreux orgasmes de la journée.
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