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soumise par le concierge et ses 2 fils

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Soumise par le concierge et ses deux fils
Marié depuis 20 ans, avec ma jeune femme Elodie, j’ai eu une fille qui maintenant vole de ses propres ailes. J’ai connu Elodie alors qu’elle était étudiante en première à l’Université dans laquelle je donnais cours.
Malgré mes 38 ans, j’étais encore célibataire et lorsque j’ai vu Elodie (19 ans) dans une de mes classes, j’en suis tombé amoureux le début des cours. Non seulement, elle était belle, mais elle avait un charme fou. Le feeling est directement passé entre nous deux et trois mois plus tard, elle était dans mon lit.
Non seulement, elle se révéla une maitresse parfaite en sexe, savait aussi me façonner de bons petits plats. Elle ne rechignait pas non plus devant le ménage et tenait mon appartement mieux que la femme de ménage que j’avais engagé au début de mon installation dans cet appartement.
Très vite, elle tomba enceinte et arrêta ses études. Pour régulariser la situation, on se maria peu après la naissance de notre fille. Il est entendu qu’elle subit les rires et moqueries, qu’une jeune fille de 19 ans qui se marie avec un homme, presque 20 ans plus vieux qu’elle, doit subir des gens à l’esprit trop étroit. Elodie surmonta les moqueries et s’entêta à vouloir se marier avec moi.C’est d’ailleurs lors de la fête du mariage qu’il m’arriva une chose bizarre et à laquelle, je ne m’attendais pas du tout. Alors qu’elle dansait avec un jeune cousin éloigné, de son âge, je vis qu’ils se collaient l’un à l’autre et que le cousin en question lui faisait des baisers dans le cou. Il flirtait ouvertement avec ma femme devant tout le monde.
C’est alors, que je constatai qu’au lieu d’être furieux comme n’importe quel mari, je me mis à bander comme un cerf. Au plus le jeunot, se frottait à Elodie au plus cela m’excitait. Il me vint alors des idées totalement perverses, en m’imaginant ce jeune faire l’amour à ma belle.
J’en fus tellement excité que je dû me masturber dans les toilettes de l’établissement où se déroulait la fête.
— Il te plait ce type ? Demandais-je dans l’oreille d’Elodie en dansant avec elle.— Hum !.... Je ne crierais pas s’il me viole ! Me répondit-elle en rigolant.
Je laisser mon cerveau digérer cette réponse et resserré mon étreinte sur la taille d’Elodie. Mon cerveau tournait à 100 à l’heure et soudain, je lui soufflé dans l’oreille :
— Si tu en as envie, emmène le pour notre première nuit de couple marié.— Que… Quoi ?... Tu… Tu serais d’accord que nous couchions ensemble ?— Ben si, il te plait, je n’y vois pas d’inconvénient.
Elle resta silencieuse jusqu’à la fin de la danse, me regarda dans les yeux, pour voir si j’essayais de la tester, mais en voyant mon sourire et mon regard chargé de perversité, elle comprit que j’étais sérieux.

— Je disais cela pour rire ! Me dit-elle— Moi pas !.... Si tu as envie de t’envoyer en l’air avec lui…. Je suis d’accord !— Oh !.... Mon chéri !.... C’est le plus beau cadeau que tu puisses me faire en temps qu’épouse. Je ne sais comment te remercier.— Tes remerciements seront les jouissances que tu auras avec lui et que tu me raconteras si, je ne suis pas là.— Merci mon amour ! Fit-elle en me roulant un patin baveux.
J’étais tellement excité de ce que je venais de lui dire et autorisé que je retournai dans les toilettes et qu’une deuxième éjaculation me pris, au bout de seulement quelques minutes.
En revenant dans la salle de fête, je vis qu’Elodie dansait à nouveau avec ce cousin et qu’ils se parlaient dans l’oreille chacun à tour de rôle.
Ce cousin devint rapidement son amant et vint régulièrement à la maison pour honorer mon épouse, toujours partante pour une partie de jambe en l’air. Ce fut alors le début d’une longue série d’amants qui défilèrent dans le lit conjugal, avec mon assentiment complet.
Malgré tous ses amants, Elodie était toujours aussi accueillante pour mon sexe et c’est avec un plaisir jamais égalé, que je lui faisais l’amour derrière ses amants. Son sexe et son délicieux petit cul remplis de sperme extra-conjugale, me faisait jouir comme jamais.
Elle semblait heureuse de cette situation et moi aussi je l’étais. Bizarrement, je n’ai jamais eu peur qu’elle parte avec un de ses amants et même que, plusieurs d’entre eux furent d’accord, que je participe directement à leurs ébats ou que je sois présent dans la chambre. C’est évidemment cette deuxième possibilité que j’appréciais le plus. Regarder Elodie se faire baiser par son amant sans participer était le summum de mon plaisir.
Alors que notre fille, s’envola de ses propre ailes en nous quittant avec son fiancé pour le Canada, je proposai à Elodie de ventre notre grand appartement et d’en racheter un plus petit dans une commune plus verte.
Elodie accepta immédiatement et me demanda anxieuse si son amant pourrait encore venir.
— Bien sur ma chérie et même que tu en trouveras surement d’autres là-bas !— Oh ! Oui, c’est sûr !
Elle venait de fêter ses 38 ans et moi mes 58 lorsqu’on trouva un bel appartement trois chambres, dans un immeuble qui en contenait une petite cinquantaine. Un parc verdoyant tout autour nous faisait croire qu’on était à la campagne. Elodie restait belle, mince et sa poitrine juste assez grosse pour bien remplir une main d’adulte. Son délicieux derrière toujours en demande de caresse et pénétration lui donnait cet air de pute bcbg.
Lorsque nous avons déménagé, le concierge de l’immeuble, qui occupait juste l’appartement à côté de l’entrée et qui, en voyant Elodie s’est aussitôt porté volontaire pour nous aider et nous fournir toutes les explications et règlement de l’immeuble. C’était un mulâtre d’une quarantaine d’années qui avait deux fils, l’un de 21 ans et l’autre de 19 ans. Tous deux de grand et fort gaillards qui nous aidèrent aussi à transporter les caisses et autres petits meubles jusqu’au 7ème étage, côté arrière de l’immeuble.
Elodie pour les remercier leur fit un long et appuyer bisous sur la joue et je vis bien dans les yeux de ces deux jeunes une envie autre que celle d’un simple baiser, fut-il long et appuyé.
Le concierge lui-même serra Elodie contre lui pour lui faire la bise de bienvenue et je vis très vite que mon épouse ne restait pas indifférente à ce mulâtre musclé.
J’appris qu’il vivait seul avec ses deux fils, sa femme étant décédé suite à un cancer. Seul depuis plusieurs années et s’occupant de l’immeuble avec ses deux fils, ils étaient tous trois très serviables.
Le soir alors que des caisses trainaient encore un peu partout, nous avons fait l’amour dans le salon sans rideau et comme des bêtes, sans savoir que des jeunes yeux nous épiaient.
Malheureusement l’âge aidant, mes performances laissaient de plus en plus à désirer et des pannes sexuelles me perturbaient régulièrement. Ce ne fut pas le cas ce soir-là, mais la nuit suivante, je dû faire jouir Elodie avec ma langue. C’est alors que sa jouissance montait qu’elle me demanda :
— Tu crois qu’il doit en avoir une grosse, le concierge ?— Ah ! ça ma chérie !... ça je n’en sais rien ! Mais je te connais assez pour savoir que cette question ne va pas restée sans réponse.— Hum !.... Je me l’imagine très grosse et noire !— Petite vicieuse !.... Je t’aime quand tu es comme ça !— Seulement quand je parle de sexe d’autre homme ?— Mais, non ma puce, tu es mon seul amour et j’aime, quand tu penses à d’autres queue lorsque je te lèche.— Toi aussi tu es mon seul amour !.... Je sais bien la chance que j’ai eue en te rencontrant et en me mariant avec toi….. Tu es le mari parfait et tolérant comme personne.— Moi, je suis heureux, quand je te vois jouir avec une autre queue en toi, que la mienne.— Hummm !.... — Vite continue,…. je sens que je vieeeeeeeeeens !
Et voilà qu’Elodie se trémousse sous mes coups de langue et mes doigts bien enfoncés en elle. C’est plus ou moins trois mois après ce jour, que le concierge et venu un soir pour discuter avec nous.
Il avait vu à plusieurs reprises un homme venir voir ma femme pendant que j’étais au boulot et avait même surpris celle-ci en plein embrassade dans le hall d’entrée de l’immeuble. Il avait compris que ma femme avait un amant et qu’il venait aussi bien quand j’étais là que quand j’étais absent. Bien sûr, il ne se doutait pas encore que j’étais d’accord avec ça.
— Dit donc Bernard (On se tutoyait depuis quelques semaines) ta très jolie petite femme ne s’ennuie pas trop la journée ?— Non, je ne crois pas !.... mais pourquoi me demandes-tu ça Christian ?— Ben, j’aurais bien besoin d’un coup de main féminin pour entretenir mon appartement. Avec mes deux fils qui foutent le bordel à longueur d’année, j’aimerais bien utiliser Elodie comme femme de ménage. Quand je vois la propreté de ton appartement, toujours bien rangé et propre. Je suis sûr que c’est une perle.— Ça peut ce discuter mais, tu dois voir avec elle.— Elle n’est pas là ?— Ben non, elle revient ce soir vers 17h00.— Ok je l’attendrai pour son retour !.... Cela ne te dérange pas ?— Bien sûr que non, Ma femme est libre tu sais !— Hum !.... Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd.— Ok !.... Tu veux boire quelque chose ? Lui demandais-je avant qu’il ne rejoigne son appartement de fonction.— Non c’est très gentil.
On se fit la bise sur la joue, car on était devenu très copain. Je lui avais fait avoir des places pour le foot, à des prix défiant toutes concurrences. Depuis lors, on se faisait la bise et Elodie aussi d’ailleurs en se frottant toujours à lui.
Je savais d’avance que cette proposition de faire le ménage chez Christian, était une façon déguisée de faire venir Elodie chez lui et qui sait en profité aussi. Elodie n’y verrait aucun inconvénient, j’en étais certain.
17h00 arriva et Elodie ne rentra pas directement, sans doute intercepter par Christian le concierge. Ce n’est que vers 18h30 qu’elle rentra avec un visage un peu fatigué et des cernes sous les yeux.
— Bonsoir amour ! Me dit-elle en me roulant une pelle baveuse et sentant le sperme !— Bonsoir, ma chérie !.... As-tu vu notre concierge ? Dis-je mi-figue, mi-raisin !— Si, je l’ai vu ?.... Non seulement, je l’ai vu mais, je te confirme qu’il en a une énorme !.... Il m’a tué !— Oh ma chérie !.... Pour te mettre dans cet état il a dû t’en faire voir de toutes les couleurs !... Non ?..... Vite raconte-moi !— Laisse-moi le temps de rentrer et sers-moi un petit porto blanc.— Tout de suite ma chérie !
J’étais impatient qu’elle me raconte son entrevue avec le concierge et qu’elle me donne le détail de cette entrevue.Elle m’a racontée ce qui suit :
— Je suis arrivée devant l’immeuble et en entrant dans le hall, Christian semblait m’attendre. Il m’invita chez lui en disant qu’il avait discuté avec toi et qu’il voulait me faire une proposition de travail. Je l’ai regardée un peu étonnée, mais je l’ai suivi dans son appartement. à peine à l’intérieur, il m’a prise dans ses bras et m’a embrassée fougueusement. De suite il m’a caressée les seins et jouer avec mes tétons. Tu sais que je suis très sensible de ce côté-là !
— Et alors ?.... Dis-je en me frottant le sexe déjà raide rien que par le début de son récit.— Alors, je mis ma main contre sa braguette !... Putain de sexe ! En sentant une telle grosseur et pendant qu’on se visitait la bouche mutuellement, j’ai ouvert sa braguette et sorti un monstre noir, enfin café au lait plutôt.
En sentant un aussi gros sexe, je n’ai pu résistée et je me suis accroupie pour le prendre en bouche. Jamais de toute ma vie, je n’ai eu la bouche aussi remplie par un sexe. Il m’a laissée faire pendant de longues minutes et lorsqu’il senti son éjaculation arrivée, il s’est retirer de ma bouche, m’a basculée sur le dossier de son divan et m’a descendu mon string trempé. Il s’est enfoncé en moi comme dans du beurre, tellement je mouillais.
C’était délirant, un tronc d’arbre me pénétrait. Ma chatte n’avait jamais été aussi pleine et lorsqu’il se pencha sur mon dos pour me caresser et pincer mon clitoris, j’ai jouie une première fois, tellement fort, que j’en ai mouillé, mes chaussures et le dos du dossier de son divan.
Cela ne l’a nullement dérangé et il a continué de me défoncer la chatte. Je criais « Encore !... Défonce-moi !.... Putain c’est bon !.... Encore ! Je devenais folle de plaisir. J’ai jouie une deuxième fois et à ce moment il m’a rempli l’utérus de son sperme. J’ai eue l’impression qu’il ouvrait un tuyau d’arrosage, tellement il y avait des jets qui se suivaient l’un après l’autre frappant ma matrice comme jamais.
Il s’est retirer et moi, je me suis écroulée sur le sol. Je voyais son énorme bite à peine dégonflée et je n’ai pu m’empêcher de me remettre à genoux et de la prendre dans ma bouche.C’est dans cette position que ses fils m’ont vue en rentrant chez eux. J’ai voulue retirer le sexe de ma bouche, mais Christian me tenait solidement la tête et essayait de me faire faire des gorges profondes.Les deux fils ont regardés quelques secondes et ont sortis leur engin. Ils n’avaient vraiment rien à envier à leur père, car tous deux étaient montés comme des ânes aussi.
Ils demandèrent à leur père, s’il pouvait aussi profiter de mes bonnes dispositions et en m’étranglant avec le sexe de Christian au fond de ma gorge, je l’entendis donner son accord, car de toute façon, j’allais venir au moins deux fois par semaine faire le ménage et vider leurs couilles.
En voyant ces deux nouvelles bites tendues et sachant que dans quelques secondes elle allait me pénétrer, je jouie instantanément. Les remarques de ses fils sur mon état de salope accentuèrent mon orgasme et fit jouir Christian dans ma bouche.Je fus déshabillée totalement et les deux fils m’entrainèrent dans leur chambre. Ils poussèrent leur lit l’un à côté de l’autre et me firent couchée dessus. Très vite ils furent nus et montèrent au-dessus de moi, l’un entre mes jambes et l’autre à genoux au-dessus de ma tête.
J’ai reçu deux énormes sexes en moi, un dans la bouche et l’autre dans ma chatte encore remplie du sperme de Christian.
— Bon dieu !.... Tu tenais le coup !.... Pauvre chérie ! Dis-je en me masturbant comme un fou.— Oui, je tenais le coup et je redevenais complètement folle de plaisir et d’excitation. Ses deux sexes me pistonnèrent, comme si j’étais une poupée gonflable. Les fils ne prenaient pas de précaution particulière et me limaient comme des fous. À plusieurs reprises, j’ai failli vomir tant celui dans ma bouche allait profond. On aurait dit deux gamins qui testent la solidité d’un nouveau jouet. Ils changèrent de place et recommencèrent leur pilonnage. Je crois bien que j’ai eue plusieurs orgasmes violents ou plutôt je n’en ai eue qu’un seul mais qui montait et descendait d’intensité selon les changements de trou.
Ils jouirent presque en même temps et après une dizaine de minutes pendant lesquelles, je dû avec ma bouche, les remettre en état, ils me reprirent comme si rien ne s’était passé. Le privilège de leur âge probablement.
— Ooooooh !.....— Mais, arrête !... Que fais-tu ?.... Non pas comme ça !
En fait trop excité par son récit, je me suis levé et j’ai éjaculé sur elle, sur son visage ses cheveux et son chemisier qu’elle avait en revenant de chez le concierge.
J’ai bien dû avoir cinq ou six jets puissants avant de retombé assis dans le fauteuil qui lui faisait face. Elle me regardait un peu fâchée de lui avoir juté sur elle comme ça. Jamais, je n’avais autant eu de plaisir à écouter le récit d’Elodie avec ses amants.
— Comment va se passer la suite ? Demandais-je à ma petite chérie encore pleine du sperme de nos voisins et du mien sur sa tête.— Ben, je dois aller le mardi et samedi !— Et il te paie combien ?— Hahaha !.... Ils me payent tous les trois en liquide ! Me dit-elle en rigolant.— Ah ! Bon si tu es d’accord.— Bon, je vais me doucher et me changer !.... Avec tes conneries mon chemisier est foutu !
Elle s’est levée et à disparu plus demi-heure dans la salle de bain. Nous étions mardi et nous nous sommes couchés sans même nous toucher. Pourtant je bandais à nouveau, mais en voyant Elodie le visage tiré et les yeux toujours aussi cernés, je décidai de ne rien lui demander.
Le lendemain, elle était déjà debout depuis plus d’une heure, lorsque j’entendis la sonnette de l’appartement. Je tendis l’oreille, il n’était que 8h00 du matin.
Je l’entends discuter avec un homme mais, je ne reconnais pas la voix. Leurs voix se changent en chuchotement et de petits rires se font entendre aussi. Je me lève et va voir discrètement dans le hall d’entrée.
Elodie est avec un des fils du concierge et se roule un patin fougueux avec lui. Je vois sa main frotter sur le devant du jogging du garçon et lui de caresser un de ses seins qu’il a sorti du polo large d’Elodie.
— Tu veux, ce soir, je peux venir ! Dit ma femme en arrêtant son baiser, mais en continuant de masser le sexe du garçon à travers le tissu du jogging.— Hum !.... tu es vraiment la salope idéale !.... Je te présenterai à mon oncle si tu es en manque de sexe, ma petite pute !« Putain ! » me dis-je en une soirée, elle est prête à faire ce que ce grand gamin lui propose. Il faut croire que les bites du concierge et de ses fils l’on bien marquée. — Vous êtes d’accord, monsieur Bernard ! Dit soudain le fils en me voyant les espionner.— Heu !— Oui, mon chéri !.... Il est venu me demandé pour mettre sa chambre en ordre ce soir après ses cours ! Dit-elle en se retournant vers moi et sans cesser de caresser le sexe du garçon qui avait pris des formes énormes.— Hum !.... Tu ne vas pas me laisser aller au cours dans cet état ?— Attend !
Je vis alors Elodie refermée la porte derrière le garçon et s’accroupir devant lui. Elle baissa le devant du jogging et sorti un sexe démesurer du slip du jeune homme.
En voyant un tel monstre qu’Elodie n’hésita pas à engloutir dans sa bouche. Mon sexe se mis au garde-à-vous immédiatement. On voyait parfaitement qu’Elodie prenait un réel plaisir à sucer ce gros sexe presque noir. Le fils du concierge, celui qui avait 21 ans et se nommait Fabrice, avait fermé les yeux et savourait la fellation matinale que lui prodiguait mon épouse.
En dix minutes montre en main, je l’entendis subitement déglutir les nombreux jets de sperme que Fabrice lui envoyait au fond de sa gorge.
— Waouh !.... Tu es vraiment la reine des suceuses ! S’écria Fabrice en donnant encore quelques coups de rein en finissant de se vider.
Je pouvais voir les efforts surhumain que faisait Elodie tant pour avaler les nombreux jets que pour prendre un maximum de bite noire dans sa gorge.
— Tu verras mon cousin est un fan de blonde ! Dis Fabrice en ressortant son sexe quasi propre de la bouche d’Elodie.— J’espère qu’il en aura une aussi grosse que la tienne ! Dis ma femme après avoir repris sa respiration.
Elle se releva et remis elle-même le sexe de Fabrice dans son slip et remonta aussi l’avant du jogging. Elle le regarda droit dans les yeux et lui dit juste avant de lui rouler un nouveau patin.
— Garde-là bien au chaud !.... j’en ai follement envie !— Ne t’inquiète pas, ma salope adoré, à partir d’aujourd’hui, elle ne jutera que dans ton corps ! et ce soir je te promets du plaisir avec mon cousin.— Olivier ?.... ça va ?— Mon frère est aussi chaud que moi ou papa, mais, il est encore timide sinon il serait aussi venu ce matin. Il avait à nouveau les couilles pleines.— Hummmm !.... C’est dommage qu’il ne soit pas venu ! Dis Elodie avec un air déçu.— Au revoir, monsieur Bernard et merci encore !— Heu !.... de rien mon grand !.... Bonne journée ! Répondis-je à Fabrice qui sorti de notre appartement.Je regardai, Elodie suivre le gamin jusqu’aux escaliers et lui faire encore un signe de la main. — À ce soir ! Cria-t-elle dans le palier.
Elle referma la porte et s’approcha de moi comme une chatte qui va sauter sur une proie. Elle me prit la tête à deux mains et me roula une pelle avec la salive et un restant de sperme du gamin. Quand je dis « gamin » c’était déjà un homme avec ses 21 ans et son sexe géant. Tous comme son frère Olivier à 19 ans, c’était aussi un homme. Tous deux pratiquant du sport intensivement avait des carrures de basketteur et à côté d’eux, je paraissais grand comme un nain.
Le soir Elodie se rendis chez le concierge seule et habillée très légèrement. Juste une nuisette sans aucun sous-vêtement. Elle revint dans la nuit assez tard, j’étais déjà au lit depuis plusieurs heures, lorsqu’elle arriva dans la chambre et tomba sur le lit en se couchant sur le dos !
— Nettoie-moi, mon chéri, je suis pleine et trop fatiguée pour aller à la salle de bain !Sans rien dire, je me levai et alla prendre essuies et gant de toilette. Je revins et Elodie me regarda en fronçant les sourcils.— Non…. Non !.... Avec ta langue !.... Je veux que tu me nettoie avec ta langue, mon chéri ! J’ai besoin de douceur, maintenant.— Oh !.... Bien mon amour ! Dis-je en jetant essuies et gant de toilette et me couchant entre ses jambes.— Ils ont été un peu, brutaux et sauvages avec mon corps ! Dit-elle avant de fermer les yeux.— Oui ma chérie, je te comprends ! Dis-je en m’accroupissant entre ses cuisses.
Mon visage à quelques centimètres de sa vulve suintante et rougie, permettait à mon nez de sentir les effluves sauvages de l’odeur des spermes et cyprines mélangées. Au lieu de m’écœurer, j’en fus plutôt excité et je senti mon sexe grossir.
J’ai mis plus d’un quart d’heure pour lécher et vider le vagin et l’anus d’Elodie avant que cette dernière ait un petit orgasme rapide et me repousse pour s’endormir en ronflant. Rarement depuis qu’on se connaissait, Elodie ronflait comme ça. En général, lorsque cela lui arrivait, c’était après une soirée bien arrosée et qu’Elodie avait bu plus que de raison. Dans son cas, elle ne sentait pas du tout l’alcool.
En me couchant près d’elle et voulant lui donner un dernier baiser, c’est de odeur de sperme tiède qui émanait de sa bouche ouverte et ronflante.
J’étais impatient d’entendre le récit de sa soirée et d’en savoir plus sur le cousin des garçons.….
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