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Soumise, sinon rien.

Chapitre 6

Erotique
La nuit fut bonne. Je me réveillai tranquillement. Je regardai de l’autre côté du lit. Stéph dormait encore à poings fermés. Je soulevai le drap pour la contempler nue. Son joli petit bijou ornait toujours son anus.Je lui caressai les seins, puis vins les lécher. Elle commença à émerger de sa torpeur. Une fois qu’elle eut les yeux ouverts, je lui dis :— Coucou toi. Bien dormi ?— Oui. Merci. Et toi ?— Parfaitement. Par contre, là, c’est le matin... et qu’est-ce que tu dois faire tous les matins ?— Te sucer ?— Voilà, c’est ça. Viens prendre ton p’tit déj, ta dose de protéines.Sans plus attendre, elle descendit le long de mon torse et sa bouche engouffra ma queue matinale bien raide.Elle essayait de mettre en pratique ce que je lui avais appris la veille. Et même si elle n’était pas encore très douée, je dois dire qu’il y avait du mieux.Je poussai donc l’expérience plus loin.— Prends-la plus dans ta bouche. Descends plus bas, fais-moi une gorge profonde.Elle essayait de descendre mais avait du mal à y arriver. Je lui pris donc la tête par derrière et essayait de forcer un peu.Elle suffoqua. Ne voulant pas qu’elle gerbe sur le lit, j’arrêtai et lui demandai de reprendre de manière plus classique.— Pendant que tu me suces, je veux que tu te caresses les seins et que tu te touches, que tu te titilles le clito, que tu te doigtes. Mais attention, je t’interdis de jouir. C’est moi qui te ferai jouir, plus tard.Au bout d’une bonne dizaine de minutes, je sentis la jouissance arriver.— T’es une bonne petite suceuse, c’est bien. Tu vas me faire jouir. Tu gardes bien tout en bouche jusqu’à que je te dise d’avaler. Tu m’as compris ?— Mmmouihhh !! dit-elle avec un clignement des yeux.Je me suis répandu dans sa bouche, bien fermée et bien étanche autour de ma queue.— Continue encore à me pomper après la jouissance, quelques instants. Ce n’est que meilleur...Après une trentaine de secondes, je lui dis qu’elle pouvait se retirer.— Montre-moi ! Ouvre la bouche ! Ok, allonge-toi sur le dos. Garde bien mon sperme en bouche. Garde la bouche bien ouverte et joue avec ta langue. Et pendant que tu fais ça, continue de te doigter et te caresser les seins.Au bout de deux minutes, j’introduisis un doigt dans sa bouche, qu’elle referma immédiatement dessus et le suça.— C’est bon hein ? Allez, tu peux avaler.Elle avala en me regardant fièrement dans les yeux.— Allez debout !! Au café maintenant. Tu restes nue jusqu’à nouvel ordre.

Nous nous dirigeâmes en direction de la cuisine pour nous faire couler un café. Elle était devant le plan de travail et je me suis mis derrière elle pour lui peloter les seins.— Alors, ton p’tit déj, ce matin. Tu as apprécié ?— Franchement, plus qu’hier. Je n’en raffole toujours pas, mais je t’avoue que de la garder en bouche en faisant monter l’excitation en moi par le fait de me toucher m’a encore plus excitée. — Parfait alors... Tu vas devenir une véritable accroc au sperme, et j’aime ça ! Putain, comme j’adore tes seins. T’es en train de me faire rebander. Ecarte les jambes et pose tes seins sur le plan de travail.Elle formait alors un angle presque parfait à 90°. Je passai la main sur son sexe. Il était trempé. Ma queue se fraya alors le chemin tout seul. Ca glissait bien...— Oh Fabien, c’est vraiment trop bon ce que tu me fais... Vas-y !!Je la limai alors pendant cinq bonnes minutes. Elle commençait à venir. C’est à ce moment que je suis sorti d’elle.— Mais pourquoi ???— Je ne veux pas que tu jouisses maintenant. Je te fais monter en pression. La délivrance ne sera que meilleure. Crois-moi.— Pfou !!— Pardon ?— Non, rien. OK, c’est bon. On peut aller prendre le café maintenant ?— Oui... mais attends. Tu n’as pas mis de lait dans ton café. On va y remédier. C’est alors que je me branlais pour me finir et éjacula encore un peu de sperme dans sa tasse.— Et voilà. Maintenant, on peut aller s’asseoir.Une fois attablés et repus, je lui donnai les indications pour la matinée.— Je te donne 1 heure de quartier libre. Pendant ce temps, tu en profiteras pour passer les coups de téléphone dont tu as besoin. Tu iras aux toilettes, d’ailleurs, tu peux enlever le plug. Tu en profiteras pour bien le nettoyer avant de le remettre. Douche et maquillage léger. Je te dirai comment t’habiller après.— On va faire quoi ?— Déjeuner chez des copains dans l’arrière-pays. On doit y être pour 12h30. On rentrera, je suppose vers 18h00. Ils ont une piscine, donc maillot obligatoire pour faire trempette.— Ah, je n’ai pas amené de maillot.— Alors, dépêche-toi, on va vite aller t’en acheter un. Et pendant ta douche, profites-en pour enlever tous poils encore présents. Je DETESTE ça !— OK, ça marche.
1 heure plus tard, une fois ces activités terminées, la voilà qui sort de la douche, toujours nue. Belle !!!!— Tu te feras une queue de cheval, les cheveux bien tirés en arrière, stp.— Oui Chef !— Ensuite, tu me montreras les vêtements que tu as apportés.— OK, pas de problèmes.Elle me montra ses vêtements. J’optai pour une petite jupe, type écossaise, courte. Pour le haut, une chemise blanche, légèrement transparente, nouée au nombril. Bien évidemment, sans aucun sous-vêtement, cela est proscrit.Une jolie paire de lunettes de soleil venait parachever son look. Une belle fille, classe et sexy, avec un petit air rebelle. Les trois derniers boutons de son chemisier n’étant pas fermés laissaient clairement entrevoir la naissance de ses seins.En voiture, direction magasin de maillot.— Tu as 10 minutes pour t’acheter un bas de maillot, noir et échancré. Pas de haut ! Tu te baigneras seins nus.— Je ne suis pas sure de vouloir me baigner...— Arrête donc de discuter sans arrêt, obéis. Sinon, punition !— Fabien, ça va trop loin pour moi. Après, ce sera quoi, tu vas me livrer à tes potes pour qu’ils me baisent ?— C’était effectivement une idée. Pas arrêtée, mais je t’avoue que cela m’a traversé l’esprit.— Non, je ne veux pas. J’ai vraiment passé de très bons moments avec toi, tu m’as fait jouir comme personne ne l’avait fait, tu m’as fait découvrir des choses très étranges en si peu de temps, mais je ne suis pas prête à aller plus loin.— C’est comme tu veux Stéph. C’est ton dernier mot ?— Oui Fabien, c’est NON. Je ne veux pas.— Ok !
Sur cette entrefaite, nous repartîmes en direction de l’appartement. Pas un mot ne fut échangé.— Voilà, tu sais donc à quoi t’en tenir. Je te laisse récupérer tes affaires et quitter l’appartement. Vu que j’ai RV, essaye de faire vite.— Le plug, j’en fais quoi ?— Fais-en ce que tu veux. Garde-le en souvenir ou laisse-le.Elle avait des larmes dans les yeux. Prête à partir avec son sac, devant la porte.— Fabien...— Ferme bien la porte en partant, merci.J’étais d’une froideur implacable. Elle sortit de la résidence, monta dans sa voiture et démarra. Elle s’en alla.Quelque part, cela me faisait chier, grave chier même. J’étais sûrement allé trop loin, trop vite. Mais bon, c’est comme ça. J’ai joué, j’ai perdu.Pour me consoler, je me suis rendu à l’invitation chez mes potes... ou j’ai picolé plus que de raison, histoire d’oublier.Les journées passèrent, les semaines aussi.Pendant ce laps de temps, j’ai appris que Stéph avait avoué à Marc son incartade. Elle lui a dit que jamais elle n’avait joui comme ça. Ils se sont séparés.
Puis un soir, lors d’une soirée dans un bar ou la fête battait son plein, qui vois je débarquer, habillée exactement de la même manière que le samedi ou elle était partie ? Steph.Ses quelques semaines ont dû être un peu dures pour elle. Elle n’avait pas dû beaucoup manger, car elle avait maigri. Toujours aussi mignonne, mais elle avait perdu des seins et du cul ! Dommage quand même.Elle devait être passablement éméchée, car elle vint m’apostropher alors que j’étais en pleine discussion avec une femme.— Salut toi, me dit-elle.— Hé, salut Steph. Content de te voir. Steph, je te présente Fabienne.— Bonsoir.— Bonsoir.— Fabien, je peux te parler un moment, stp, en tête à tête ?Fabienne me regarda avec un air interloqué mais me fit un signe positif de la tête.Je me levai donc de ma chaise et sortis prendre l’air, accompagnée de Steph.— Alors Steph, je t’écoute.— Je sais pas si tu sais, mais j’ai quitté Marc.— J’ai cru comprendre, oui. D’ailleurs, on s’est croisé. Je pense qu’il ne me porte pas dans son cœur.— On s’en fout. J’ai un peu réfléchi, et j’aimerais recommencer avec toi.— Et je devrais dire oui, être à ta disposition ?— Non, ce n’est pas ce que je veux dire. Mais je pense être prête à faire ce que tu me demandes.— Tu sais quoi. Va à la fête. Bois, amuse-toi. On en reparlera plus tard.Sur ces mots, je tournai les talons et repartis m’asseoir à côté de Fabienne.Je ne l’ai revue qu’à la fin de la soirée. Un pote est venu me voir en me demandant si je voulais bien la ramener, car elle avait plus que dépassé la dose d’alcool et n’était donc absolument pas en état de conduire.Quand elle m’a vue arriver sur le parking an compagnie de Fabienne, elle est rentrée dans sa voiture pour prendre le volant. Je l’ai dépossédé de ses clés, ai dit au revoir à Fabienne puis suis retourné vers la voiture de Steph.— T’as vu dans quel état tu es ? Allez, dégage sur l’autre siège, je te ramène.— C’est qui l’autre poufiasse avec qui tu étais toute la soirée ?— Une amie. Et d’ailleurs ça ne te regarde pas. Et arrête d’être grossière.— Una amie, c’est ça. C’est encore une que tu veux baiser.— Ta gueule je t’ai dit. Putain, déjà que ça me saoule de te ramener. Ferme-la !Pendant tout le trajet qui nous ramenait chez elle, elle n’a eu de cesse de me toucher la cuisse, de remonter sur mon entrejambe. Chaque fois, je l’ai rejetée.
Arrivés chez elle, je l’ai aidée à aller à son appart, tellement elle titubait. Une fois rentrée dans son appart, elle fila dans le salon et m’invita à boire un dernier verre pour discuter.J’ai accepté. Pourquoi, je ne sais pas.Je lui ai demandé un café... elle s’est absentée pour aller vomir. Une fois le brossage de dents effectué, le café arriva et la conversation démarra.— Si je peux me permettre, je trouve que tu as trop maigri. Moins de seins et moins de cul qu’avant, c’est dommage !!Pour toute réponse, elle laissa tomber sa jupe sur le sol et ôta sa chemise. Évidemment, elle ne portait aucun sous-vêtement, et c’est donc nue, jambes écartées et les mains derrière la nuque qu’elle me rétorqua :— Ah, tu trouves ???
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