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Soumise, sinon rien.

Chapitre 9

Erotique
Fabienne m’attendait donc nue dans le lit.Je l’interrogeai alors sur la soirée.— Alors, cette soirée ? Ca t’a plu ? Et Steph, comment tu l’as trouvé ?— Ecoute, j’ai passé une excellente soirée. Vraiment. Et me retrouver à devoir t’obéir, à me plier à tes demandes, m’a plu. Je dirais même que cela m’a excitée.— Tu confirmes donc ce que tu me disais auparavant ? A savoir que tu pourrais être tentée ?— Disons que l’aperçu que j’en ai eu m’a fait bonne impression. Après, je ne ferais jamais ce qu’elle a fait. Se raser la tête !!! Pfiou, faut en vouloir, là !! Mais oui, je reconnais qu’être dominée, mais respectée, c’est pas mal.— OK. Et Steph alors, qu’en as-tu pensé ?— Honnêtement, je ne m’attendais pas à ça. Elle est arrivée en sachant clairement ce qu’elle voulait et elle est prête à tout pour être avec toi. Je pense que tu pourras en faire ce que tu veux, tu pourras tout lui demander.— C’est aussi, un peu, l’impression que j’ai. Mais sinon, côté sexe ?— Elle est en demande. Elle veut apprendre aussi. C’est une débutante dans tous les domaines. Mais elle est très volontaire et surtout, elle veut te faire plaisir.— A propos de faire plaisir, si tu venais me faire profiter de tes talents de suceuse ?? !!— Tout de suite chef !!!Avec elle, il ne me fallut pas longtemps pour jouir, tellement elle était douée. Elle réussissait à avaler entièrement ma queue et à me faire ressentir des choses extraordinaires.Et sans rien demander, une fois ma semence projetée au fond de sa bouche, elle continua de me pomper pour extraire encore les quelques gouttes qui pouvaient rester... Une tuerie !!Suite à quoi, elle se releva, les seins bien droits et me regarda en ouvrant la bouche pour me montrer sa bouche remplie de sperme.— N’avale pas tout de suite. Viens poser ta tête sur moi, que je te câline un peu avant que je ne te fasse avaler.Ce qu’elle fit. Je caressai sa tête, ses cheveux, ses seins.— Tu sais, ça t’irait bien à toi aussi, d’avoir la tête rasée. Hormis ça, t’es vraiment la meilleure suceuse qu’il m’a été donné de rencontrer. On voit que tu aimes ça. Tu aimes sucer et tu aimes le sperme.— Mmmooui...dit-elle la bouche pleine.— Allez, avale, fais-toi plaisir.— mouarf !! Miam, je me suis régalé. Merci.— Merci à toi. Et maintenant, dodo.Nous éteignirent les lumières et nous endormirent.Ce n’est qu’au matin, alors que la lumière du jour commençait à poindre à travers les volets, que je commençais à m’éveiller.Fabienne dormait encore paisiblement.
Je la réveillai gentiment.— Coucou toi. C’est l’heure de se réveiller.— Déjà ?— Ben oui, il est 8h30 passé. Bien dormi ?— Bien, oui... mais je serais bien resté encore au lit.— Tu sais quoi, j’ai une idée. Va me chercher notre "petite pute" mais laisse-lui les mains attachées. Il faut qu’elle vienne chercher son breuvage matinal. Suite à quoi je te la laisse pour qu’elle te fasse un bon cunni. Faut qu’elle apprenne aussi. Et puis ça te permettra de te réveiller de bonne humeur.— Cool !!! Ca me plait comme idée.Aussitôt dit, aussitôt fait, elle s’empressa d’aller chercher Steph dans sa chambre.Elle aussi dormait encore. Elle souleva le drap et vint lui lécher les seins. Suite à quoi, elle l’embrasse à pleine bouche.— Allez, debout. Ton maître t’attend pour que tu prennes ton breuvage matinal.Sans répondre quoi que ce soit, Steph se releva et suivit Fabienne jusque dans la chambre.— Hé ! Salut. Alors, bien dormi ma soumise ?— Bonjour Fabien. Bien dormi ? Bof !! Beaucoup de mal à trouver une position pour dormir avec les mains dans le dos, menottées. Mais j’ai réussi quand même à trouver le sommeil.— Bon, tu sais pourquoi tu es là ?— Oui. Comme tous les matins. Pour te vider les burnes et prendre mon petit déjeuner, je suppose ??— Ben voilà, t’as tout dit. Allez, en piste l’artiste !Elle s’agenouilla sur le lit, puis vint ramper le long de mes jambes pour arriver à sa cible. Ma queue, déjà bien droite qui attendait sa bouche.Elle s’efforça de faire au mieux. Au bout d’une dizaine de minutes, je lui envoyai une décharge directement dans le fond du gosier, en lui tenant bien la tête. Même pas eu besoin d’avaler. Direct, du producteur au consommateur !!— Bien !!! Maintenant, je te laisse avec Fabienne. Moi, je vais prendre mon p’tit déj. Quand tu auras terminé, tu pourras venir prendre ton vrai petit déjeuner.Ce n’est que 20 minutes plus tard que je vis les 2 femmes entrer dans la cuisine. Fabienne avait un sourire qui en disait long.Je quittai la cuisine, non sans embrasser le crâne lisse de ma soumise, et les laissait se débrouiller. Pour ma part, direction salle de bains.Passage par lequel elles passèrent aussi toutes les 2.Sortie de la douche, je demandai à Steph de m’attendre dans sa chambre, toujours nue, en position.Fabienne, quant à elle s’empressait de s’habiller afin d’aller retrouver un ami à elle, berger dans l’arrière-pays, afin de récupérer un objet pour le moins intrigant, mais ô combien intéressant. Une trayeuse...Je lui laissai avant qu’elle ne parte une clé de l’appart, afin qu’elle puisse rentrer si par hasard, nous n’étions pas rentrés de nos courses. Puis je retournai voir ma soumise dans sa chambre.— Alors Steph, ça va ?— Ca va Fabien, merci.— Bon, au programme de la journée. Nous allons aller t’acheter une perruque. Ensuite, nous irons te faire faire une séance d’épilation au laser sur tout le corps. Après, nous irons acheter quelques vêtements très sexy et transparents dans une boutique spécialisée. Enfin, nous finirons par aller chez toi, prendre quelques affaires, faire le ménage et rendre les clés. A ce propos, tu enverras, dès lundi, à ton proprio, la résiliation de ton bail.— Oui Fabien. J’ai une question.— Vas-y, parle.— Lundi, pour aller au travail, pourrais-je mettre la perruque, stp ?— Non ! Tu as choisi ta condition. Tu l’assumes. Si on te pose des questions, tu diras que c’était ta volonté de devenir une soumise, et qu’il te fallait en passer par là. Et que cela ne t’empêchait de toute façon, pas de faire correctement ton travail. Si tes collègues veulent plus d’infos, qu’ils m’appellent. Compris ?— Oui Fabien, j’ai compris. Tu as raison, il faut que j’assume mon choix.— Parfait, autre chose ?— Oui. Comment dois-je m’habiller pour aujourd’hui ?— Fais voir ce que tu as.Elle déballa quelques robes, jupes, chemisiers...— Pour aujourd’hui, ce sera le body entièrement transparent, ta petite jupe écossaise et ce petit blouson. Chaussures, tu mets celles à talons aiguilles.— OK.— Vérification. Tourne-toi. Il faut que je vérifie si tu as bien ton petit plug. Il y est ! Parfait ! Au fait, tu te maquilles un petit peu... mais pas trop. Tu as 15 minutes pour me retrouver dans le salon, sinon, punition !!14 minutes après, elle débarquait dans le salon. Qu’elle était belle... Je m’approchai d’elle et l’embrassa à pleine bouche.
— Allez, c’est parti !!La première étape fut d’aller chez un coiffeur afin de lui faire essayer et acheter une perruque. Je la laissais faire...— Bonjour Monsieur,— Bonjour Madame, que puis-je pour vous ?— Je voudrais une perruque svp.— Très bien. Venez que je vous présente les choix. Voilà. Avez-vous une idée de ce que vous souhaitez ? Naturelle, synthétique ? Couleur ? Longueur ? Style ?— Elle me regarda, avec un air interrogatif. Je lui répondis.— C’est pour toi, dans des cas exceptionnels, fais comme tu veux.— Je peux en prendre 2 ?— Ok, mais reste dans un budget raisonnable.— Alors, je choisis une naturelle, blonde aux cheveux courts et une naturelle brune aux cheveux mi-longs.— Bon choix madame. Puis je me permettre de vous poser une question ?— Oui, allez-y.— Le fait que vous ayez le crâne rasé, c’est une volonté ou est-ce dû à une maladie ?— C’est une volonté, Monsieur, ma volonté. J’ai décidé de devenir la soumise de Fabien, ce monsieur, ici présent et cela représente mon acte de soumission.— Très bien madame. Pas de contre-indication, donc, pour le port de la perruque.Une fois cet achat réalisé, direction un centre d’esthétique pour une séance d’épilation au laser. Je connaissais la gérante, Sylvie.— Bonjour Sylvie. Comme convenu, je t’amène Stéphanie, ma soumise. Tu lui fais la totale STP.— Ok pour la totale. Question : Je lui fais la tête, car je vois qu’elle n’a plus un poil sur le caillou.— Non ! Je souhaite lui laisser les cheveux repousser... et la tondre à nouveau en cas de punition, ou autre. Par contre, tout le reste, hormis le visage, tu lui éradiques tous les poils, OK.— Ca me va. Tu repasses la chercher dans 2 heures ?— Je te la laisse. Quant à toi, Steph, tu lui obéis, compris ?— Bien sûr. Pas de soucis. Je serais sage.— Pendant que j’y suis Sylvie, tu pourras lui glisser ça quand elle sera allongée. C’est son jouet... (c’était son œuf vibrant).— Pas de soucis. Je m’en occupe. Allez mademoiselle, en piste, c’est par là.Je la laissai alors pour aller prendre un café au bar du coin et faire quelques courses alimentaires. J’en profitai pour allumer des déclencher par intermittence son œuf vibrant.Durant ce laps de temps, coup de téléphone de Fabienne.— Fab, c’est moi. Je suis avec Polo, mon ami berger pour le prêt de la trayeuse.— Oui, et ??— En fait, il me demande pourquoi c’est faire. Je lui ai donc expliqué que c’était pour traire ta soumise, en espérant que ça lui referait grossir les seins.— Ok, et donc ?— Il me dit qu’il n’est pas convaincu de la chose, qu’il a entendu des histoires comme quoi cela avait fonctionné, que cela pouvait des déclenchements de montée de lait.— Parfait tout ça.— Et qu’il est d’accord pour le prêt, à la seule condition qu’il puisse récupérer son lait... si elle en fait.— Ca me va, pas de soucis. Tu peux dealer avec lui.— Parfait, à toute.Voilà une très bonne chose de faite, me suis-je dit. Je connais maintenant le programme de ce soir. Traite de ma soumise.D’ailleurs, à son sujet, il faut que j’aille la récupérer au salon.A peine entré, voilà que Sylvie vient à ma rencontre.— Voilà Fabien, c’est fait.— Ca s’est bien passé ?— Très bien, oui. Elle a eu mal, mais je crois que ton gadget l’a bien aidé. Elle s’est trémoussée durant toute la séance. D’ailleurs, il faudra qu’elle revienne 2/3 fois encore pour être sûr d’avoir tout éliminé et que cela ne repoussera plus.— OK. Programme les RV. Elle te doit combien ?— 450 euros.— Tiens, ta carte Steph. Tu peux payer.
Une fois le paiement effectué, direction la brasserie pour se sustenter. Déjeuner en terrasse, un peu à l’abri.Je demande alors à Steph de garder sa veste, tout en la déboutonnant complètement, histoire d’avoir une vue complète sur son corps et ses seins au travers de son body.Le serveur, quelque peu troublé par la vue, réussit néanmoins à prendre notre commande.Durant tout le repas, je m’amusai encore avec son oeuf vibrant. Ca la faisait monter... puis redescendre dans les sensations et l’émotion.— Fabien, on peut rentrer, j’ai trop envie d’être baisée ? J’ai trop envie de ta queue.— Du calme Steph. Tu ne décides de rien. Je décide de tout. Toi, tu obéis.— Oui Fabien. C’est juste que tu joues avec moi depuis tout à l’heure et que je n’en peux plus. Je mouille, je dégouline...— Ah oui ? Dégrafe le bas bas de ton body et fourre-toi deux doigts dans la chatte. Je veux que tu récupères ta mouille et que tu t’en lèches les doigts.
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