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Soumise, sinon rien.

Chapitre 11

Erotique
— Fabien ? Fabien ? m’interpella-t-elle de la salle de bains— Oui, qu’y a-t-il ?— Comment dois-je m’habiller ?— Quand tu n’as pas d’indications données, c’est toujours nue que tu dois être. Mais effectivement, vu que nous attendons le livreur de pizza, je t’autorise à mettre une des nuisettes que l’on a achetées cet après-midi. La noire, toute transparente.— Ok. C’est bon. Et j’ai bien compris que je dois toujours être nue.
Elle me rejoignit dans le salon et se mit en position.
— Tu peux venir t’asseoir avec moi. On va se boire un bon verre et discuter un peu en attendant que notre repas ne soit livré. Rouge ou blanc ?— Je préfère blanc, stp.
Je nous servis nos verres.
— J’aimerais porter un toast. Un toast te concernant et te féliciter pour ton abnégation, ta volonté d’être là et soumise et ton désir ardent de m’obéir.— Merci me répondit elle en rougissant.— Qu’as-tu pensé de l’expérience de tout à l’heure ?— La trayeuse ?— Oui !— Bof. Ca fait mal. En tous cas, ça faisait mal au début. Après, au final, on s’habitue. Mais le fait que tu m’aies excitée avec l’œuf, puis que tu m’aies baisé", même si je n’ai pas joui, a finalement bien fait passer le moment.— Bien. Concernant ta jouissance, tu jouiras, crois-moi. Et je suis content qu’au final, la séance se soit bien passée. Comme tu le sais, ça va être tous les jours, jusqu’à que tu retrouves une paire de seins qui me convienne parfaitement.— Oui, j’avais bien compris. Je vais faire en sorte de reprendre du poids afin que mes seins te conviennent.— C’est pas vraiment qu’ils ne me conviennent pas, c’est que je préférais largement comme tu étais avant. Tu fais quelle taille là ?— Je pense faire un 85 B.— Et avant ?— Avant, je faisais un 95 C. Avec une forme plus ronde.
— Bon, ben tu sais ce qu’il te reste à faire.— Oui.— Comment te sens-tu avec la tête rasée ?— Hier, ça a été un moment très difficile pour moi. Je pleurais à l’intérieur, mais je ne voulais rien montrer. Je voulais être fière. Mais le moment a été très dur. Aujourd’hui, d’avoir passé la journée avec toi, en sortant, ça allait. J’y pensais, j’avais un peu honte, mais ça allait. J’appréhende par contre beaucoup lundi et le retour au travail.— Ca va le faire. Reste concentrée sur ta condition, sur le pourquoi tu es là. Les choses vont découler. Et je te l’ai dit, s’il y a un problème, qu’ils m’appellent.— Oui, je sais. C’est juste que j’appréhende.— Sinon, comment as-tu vécu le fait que Fabienne soit présente ?— Pas bien ! Je me demandais ce qu’elle faisait là. Pourquoi ? Puis je me suis dit que c’était sûrement un test que tu me faisais passer, alors j’ai pris sur moi. Mais je dois reconnaitre qu’elle est plutôt sympa et cool avec moi.— Tu as aimé t’occuper d’elle ? La lécher ? Boire sa mouille ?— C’est surprenant, mais oui. Elle me donne des conseils aussi sur comment faire aussi et j’aime bien.— Parfait ! Et le fait qu’elle passe la nuit avec moi ?— J’ai pas aimé du tout. Je me suis sentie seule, abandonnée... Puis j’ai repensé à ce que tu m’as dit, à ma nouvelle condition. Que c’était comme ça et qu’il fallait que je l’accepte.— Nickel. Ca ne sera pas la dernière fois qu’une femme dormira avec moi. Juste sache-le et accepte-le. Et le fait que je t’exhibe ?— Dans le magasin de vêtements ?— Oui, entre autres.— Gênée, mais excitée. En fait je crois que la stimulation permanente que tu me fais subir avec l’œuf vibrant et la présence de mon plug aident vraiment à faire passer tout ça.
L’interphone sonna. Je me levai pour aller répondre.
— Oui, allo.— Bonsoir, c’est le livreur de pizza— Je vous ouvre. Appart 12 C
Je raccrochai et dis à Steph.
— Les pizzas arrivent. Tu vas aller ouvrir.— Ok.
La sonnette retentit. Steph se leva pour aller ouvrir. Stupeur pour le jeune livreur que de voir une jeune femme, très légèrement vêtue et le crâne rasé, l’accueillir.
— Bonsoir.— Euh, bonsoir madame. Voilà les pizzas.— Merci. Ça fait combien ?— Euh... attendez, je regarde... 28 euros, svp
Je m’approchai alors d’eux pour tendre de l’argent au livreur. Je me plaçai derrière Steph, les mains sur son cou puis les fit descendre jusqu’à prendre les bretelles de sa nuisette et les faire glisser. Je la dénudai devant le livreur.
— Ca vous dirait une petite pipe comme pourboire ?
Il restait là, planté, scotché, l’air hagard, ne sachant que répondre.
— Allons, voyons, ne soyez pas timide. Je vous propose une pipe de la part de la demoiselle ici présente. Profitez-en !— Euh, OK... je veux bien.
J’appuyais alors sur les épaules de Steph pour la faire se mettre à genoux. Elle défit le pantalon du livreur et tomba son boxeur. Il avait une jolie queue, encore un peu molle. Elle le prit en bouche et commença sa fellation.Elle s’appliquait, faisait de son mieux. Je restais derrière à regarder. Et malgré le fait qu’elle ne soit pas la plus douée, elle réussit à le faire jouir assez rapidement. Je lui demandai de continuer à le pomper un peu et de ne surtout pas avaler pour le moment.Le livreur se rhabilla et s’en alla en nous remerciant.
— Tout le plaisir est pour elle, lui répondis-je.
Je la relevai, remettais en place sa nuisette et la tournai vers moi.
— Regarde-moi et montre-moi ta récolte.
Elle me fixa fièrement, ouvrant la bouche pour me montrer le sperme qu’elle avait récolté.
— Bon appétit ! Lui dis-je.
Elle avala, puis me sourit.
— Tu sais, je commence à aimer ça.— Tant mieux, car tu vas en bouffer des tonnes. J’ai plein de choses de prévues pour toi. Allez, on passe à table avant que cela ne refroidisse.
A table nous discutions de tout et de rien. De sujets divers et variés. Elle était détendue et cela me plaisait.Lui faire prendre confiance en elle, en ses capacités, pour l’amener encore plus loin.
— Ce soir, on se fait une petite soirée vidéo... et si tu es bien sage, on fera l’amour après. Ça te va comme programme ?— Tout ce que tu voudras, chef !!— Je préfère Maître, mais ça ira pour cette fois.
La fin du repas approcha. Elle vint à me parler de son enfance, difficile, de ses parents divorcés, de son père qui ne s’occupait pas d’elle. On a creusé un peu le sujet et j’en ai conclu qu’elle avait besoin d’une autorité paternelle et que c’était peut-être pour cela qu’elle avait finalement cédé.
— Sache, Steph, que je compatis. Mais qu’en aucun cas, je ne serai ton père. Par contre, si tu recherches une autorité qui peut prendre soin de toi, je suis là.— Merci Fabien. Merci.— Steph... sachant que je m’engage à prendre soin de toi, à être l’autorité que tu recherches, j’aimerais que tu ailles plus loin dans ton action.— C’est à dire ?— Je voudrais que tu sois proactive. Que je voudrais que tu sois force de proposition. Que tu essayes d’anticiper mes désidératas, que tu me demandes de te faire telle ou telle chose.— Ah... euh... Ok, je vais voir et y réfléchir.— J’aimerais que tu deviennes la soumise parfaite, qui anticipe mes demandes, que tu ailles toujours plus loin, mais il faut que tout cela vienne de toi.— Ca va, j’ai compris. Je vais y penser.— Allez, zou, on se fait un café et film.— Yes !
Nous nous installâmes dans le canapé, devant le film, comme un petit couple amoureux, elle, blottie dans mes bras.Je la câlinais et lui caressais les seins au travers de sa nuisette. Quand je sentais ses tétons durcir, je m’arrêtais dessus pour le faire rouler entre mes doigts, les tirer. Elle me dit alors :
— J’ai tellement envie de jouir. Fais-moi l’amour, baise-moi... STP.— Et si tu commençais par me mettre en forme ??
Elle me sourit puis se laissa glisser sa tête jusqu’à mon pantalon, qu’elle déboutonna. Elle fit glisser mon boxer et sortit ma queue qu’elle s’empressa d’embrasser, de lécher, avant de la prendre entièrement en bouche.Elle me faisait bien bander cette petite...
— On reste là où on va dans la chambre ?— Comme tu veux. Tu sais que je suis à ta disposition.— Enlève ta nuisette, enlève ton œuf et vient t’asseoir sur moi. Je veux pouvoir jouer avec ta bouche et tes seins.
Elle ôta ses vêtements et vint se poser à califourchon sur moi. Elle était tellement mouillée que ma queue rentra en elle comme dans du beurre... et ce malgré le fait qu’elle était quand même serrée.Elle se faisait coulisser sur mon membre. Je lui attrapai la tête à deux mains et lui fourrai ma langue dans sa bouche. On se roulait des pelles bien baveuses, comme des ados. Je jouai aussi avec sa langue, ses lèvres, les attrapant entre mes dents pour les lui mordiller.Je lui donnai parallèlement des petites claques sur le cul. Je la sentais monter en puissance.Elle commençait à geindre de plus en plus fort. De mon côté, j’arrivais encore à tenir. Le fait de m’être vidé quelque temps auparavant, m’aidant certainement dans la démarche.
— Oh oui, vas-y, vas-y, je vais jouir.
Je continuais de la pistonner et venais maintenant prendre ses seins à pleine main pour les triturer, malaxer. Je venais aussi lui lécher et mordre les tétons.Elle partit et jouit très très fort. Pour le coup, je me laissais aussi finalement aller et m’épancha dans sa matrice.
— Putain, c’était bon ! Lui dis-je.— Oh, que oui... et elle se mit tout d’un coup à pleurer en posant sa tête sur mon épaule.— Qu’y a-t-il Steph ? Ça ne va pas ?— Je n’ai jamais joui comme ça de toute ma vie. J’en avais tellement envie. C’était si fort. Oh, la vache, que c’était bon. Merci. Merci Fabien.— Tu vois... Je te l’avais dit. Tout vient à point à qui sait attendre. Ce n’est pas te rendre service que de t’accorder la jouissance n’importe quand. Ca se mérite. Là, tu l’as méritée.— Oui... Pfiou... c’était divin. J’ai adoré.— Coll. Tant mieux. C’est pas tout ça, mais maintenant, douche et dodo. Et tu sais quoi, cette nuit, tu dors avec moi. Contente ?— Oui. Ravie même.— Allez, pousse-toi, je file à la douche.
Elle se dégagea de moi et me dis :
— Attends, stp.— Quoi ?
Pour toute réponse, elle me repoussa dans le canapé. Elle resta debout. Elle se saisit du verre de vin vide qui trainait sur la table basse et vint le positionner sous sa chatte. Elle écarta alors les lèvres de son sexe et tout mon jus coula dans le verre.Elle porta le verre à ses lèvres et but mon sperme.
— Tu m’as bien dit qu’il ne fallait pas que j’en perde une goutte, non ?— Excellent !!!!
C’est sur cette dernière action que nous allâmes prendre notre douche et nous coucher, nus, dans le même lit.
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