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Soumise, sinon rien.

Chapitre 12

Erotique
La nuit fut longue et reposante.Elle s’était endormie dans mes bras.Le lendemain matin, je sentis une bien agréable sensation me sortir de ma torpeur.Steph était en train de me réveiller, gentiment, en me prodiguant ma pipe matinale.J’ouvrais les yeux et lui caressa la tête.
— Bonjour toi.— Mhhbonjourmmmmhh...— Vas-y, suce-moi bien, bonne petite pute accro au jus de couilles. Vas-y. Viens prendre tes protéines matinales.
Plus les pipes passaient, meilleure elle était devenue dans sa pratique. Si bien qu’au bout de sept/huit minutes, je lui lâchai ma crème dans la bouche, qu’elle avala aussitôt.
— Miam. Merci Fabien. Tu sais, c’est vrai. Je crois que tu as raison. Je deviens accro au sperme. Surtout au tien.— Tu ne peux pas me faire plus plaisir.— Dis, on fait quoi aujourd’hui ?— Alors, pour toi, c’est journée blanche. Tu peux faire ce que tu veux. De mon côté, j’ai quelques obligations familiales. Je pars vers 11h30 et je rentrerai vers 17n00.— Et je fais quoi, moi ??— Ce que tu veux... A moins que tu ne préfères que je t’attache pour le reste de la journée. Il fait beau. Profite, va prendre l’air, va te baigner, profite de la piscine de la résidence. Va faire du sport. Comme tu veux.— Tu ne veux pas m’emmener avec toi ?— Non Steph, c’est encore trop tôt. Ma famille ne comprendrait pas. Mais bientôt, oui. Aujourd’hui, profite. C’est pas toutes les semaines que tu auras du temps de libre. OK ?— Ok, OK. Tu as raison. Je vais aller faire bronzette à la piscine et faire un peu de sport. Je peux avoir mon téléphone pour appeler ma famille, mes amis ?— Oui, tu l’auras. Par contre, pour la piscine, c’est topless, évidemment. Et si tu sors, tu mettras ta robe blanche, moulante. Bien entendu, je te rappelle que les sous-vêtements sont proscrits !— Evidemment !!!— Tiens, voilà ton téléphone. Pour ton info, j’ai envoyé une photo de toi à ton ex.— Mouais. Ce n’était pas la peine...!!
— J’avais juste envie de lui montrer à côté de quoi il était passé.— Oh, mon Dieu ! C’est la photo que tu lui as envoyée ? me dit-elle en me montrant dans ses SMS, la photo d’elle, à quatre pattes avec la trayeuse sur les seins.— Oui, c’est ça ! T’a-t-il répondu ?— Oui. Je te le lis. "Pauvre Steph. Tu es tombée bien bas. Je ne te reconnais même pas. Qu’as-tu fait ? Heureusement qu’on s’est séparés, car je ne vois pas ce que j’aurais pu faire avec une trainée pareille. T’es vraiment qu’une grosse pute ! Honte à toi !!"— Pas content le Marc !!!— Non, pas vraiment.— Tu sais quoi, on va l’inviter à diner un de ces quatre, histoire que tu t’expliques clairement avec lui. Qu’en penses-tu ?— C’est pas la peine. Je n’ai plus rien à lui dire.— Eh bien moi, je trouve que ça pourrait être intéressant. Donc, je vais lui balancer une invitation. Après, il accepte ou il décline... Mais je vais le faire.— Comme tu voudras Fabien.— Bon, sur ce, je vais me prendre un p’tit déj et je file à la douche. Je te laisse te débrouiller.
Je quittai donc l’appartement, la laissant seule. Je profitai d’un moment pour envoyer une invitation à Marc.[SMS]> Bonjour Marc. Je suis Fabien, la personne qui est avec ton ex, Stephanie.> Afin de clarifier les choses et qu’il n’y ait pas de mésentente, je te propose de venir diner, un prochain soir chez nous.> En tout bien, tout honneur.> Je ne souhaite pas que tu aies une mauvaise image d’elle.> Dans l’attente de ta réponse.> FabienLa réponse ne tarda pas.[SMS]< Bonjour.< Ok pour diner. Je suis dispo vendredi prochain.< Merci de confirmer et d’envoyer l’adresse.> OK pour vendredi prochain, 20h00> Je t’envoie l’adresse dans la foulée.> A vendredi.Voilà une bonne chose de faite. J’allais pouvoir jouer un peu...
Le reste de ma journée familiale fut d’un ennui total et je me languissais de rentrer.Demain, reprise du boulot... et il me fallait encore traire ma "vache".C’est donc sur les coups de 17h30 que je réintégrais mes pénates. Steph était avachie dans le canapé en train de regarder la télé.
— Ola, je suis rentré.— Coucou.— Alors, bonne journée ?
Je l’embrassai. Puis, elle me raconta sa journée. D’abord, petite séance de sport, en allant courir, puis abdos-fessiers. Ensuite, elle est rentrée se changer pour se mettre en monokini et aller faire un plouf dans la piscine. Elle m’a d’ailleurs dit que les gens la regardaient bizarrement. Ensuite, escapade au bord de mer pour profiter du soleil et se faire une salade. Elle a flâné, a passé quelques coups de fil à sa famille et elle est rentrée.
— Eh bien, tu vois, tu as passé une bonne journée.— Oui, c’était cool finalement. Mais tu sais quoi. Je suis contente d’être là et heureuse que tu sois rentré. J’ai envie que tu t’occupes de moi.— Ben justement, c’est l’heure.— L’heure de quoi ?— L’heure de la traite. Alors, à poil et à quatre pattes sur la table basse, comme hier. Je vais chercher le matos.
De retour au salon, j’enduisis rapidement ses seins de lubrifiant et y apposai les deux pompes à vide. A nouveau, je voyais ses tétons s’étirer puis se rétracter, preuve que la machine fonctionnait.Je m’installai pour ma part dans le canapé pour regarder moi aussi la TV.
— Pendant que j’y pense. Tu prendras RV avec ton gynéco afin qu’il te fasse une ordonnance pour la pilule que tu prends sans interruption et qui annihile les règles.— Ok. Je vais essayer d’y penser.
Je voyais toujours la douleur et la crispation sur son visage. Pour la soulager, je décidai donc de lui réintroduire son œuf et de jouer avec.
— Ca fait longtemps que je ne t’ai pas enculé, non ?— Avant-hier soir !!— Oui, c’est bien ce que je dis. Ca fait une éternité. Je vais remédier à ça. Dis-je en me déshabillant.
Je lui ôtais son plug, qu’une fois encore, je lui fourrais dans la bouche, pris un peu de lubrifiant pour en tartiner sa rondelle, puis pénétra son fondement.Ca rentrait bien, mais ça restait serré. Je la limai ainsi, pendant 15 minutes, en regardant la TV. J’aurais voulu me décharger en elle, mais je me retins, afin de préférer sa bouche.Je sortis donc de son cul, lui retirait le plug de la bouche qu’en lieu et place, je remplaçais par ma queue... pas super propre. Tant pis, ça lui apprendra.
— Suce bien ma salope. T’avais pas le cul très propre, hein !! Ça t’apprendra. Allez, suce, prends bien tout...!!! Oh oui, putain, je jouis, je t’inonde la bouche, salope !!... Humm, c’est bon. Allez, régale-toi ma petite.— Beurk... La vache !! C’était infâme.— Je t’ai dit d’avoir toujours le cul propre. En permanence ! C’est de ta faute.— Oui, c’est vrai. D’ailleurs, ne faudrait-il pas que me punissiez, Maître ??
J’hallucinais... Elle prenait des initiatives.
— Mais si, tout à fait. Choisis ta punition.— J’ai le choix entre quoi et quoi ?— Alors soit boire un bol de mélange de sperme, pisse, crachat, soit la wax sur le corps.— C’est quoi la wax ?— Cire de bougie chaude. Dans les grandes lignes, tu es pieds et poings liés et je te fais couler de la cire chaude sur le corps. Endroits privilégiés, tes seins, ton ventre et ton sexe. La séance dure 20 minutes.— Ça revient à choisir entre la peste et le choléra !!!— C’est toi qui l’as demandé, je te rappelle. Alors, quel est ton choix ? Il me faut une réponse avant la fin de ta traite... sinon, ce sera les deux !!
Il lui restait cinq minutes pour se décider.
— J’ai choisi. Ça sera le bol. J’ai trop mal aux seins.— Je m’occuperai de tes seins après, t’en fais pas. Et ta mixture, tu la prendras ce soir. Tu viendras me pomper et tu recracheras mon sperme dans le bol que je te présenterai. Il contiendra déjà un peu de pisse. Je n’aurais plus qu’à y ajouter un peu de crachat, tu remueras et tu pourras te régaler.— Merci... Je n’en attendais pas moins de ta part.— Je t’en prie. Tu sais, quand il s’agit de rendre service...
J’arrêtai alors la trayeuse. Elle avait les seins rougis et les tétons tout durs et tout étirés. J’augmentai la vitesse de vibration de son œuf et lui proposai un doux massage des seins. Elle ne fut pas contre.Elle se laissa faire et je lui massai délicatement ses seins endoloris. Elle commençait à y prendre du plaisir.Le soir venu, avant d’aller me coucher, je préparai son bol.
— Allez, viens prendre ton sucre d’orge, BB.— J’arrive, mon chou...
J’arrêtai sa fellation lorsque je fus bien bandé, pour venir la prendre en levrette et la faire jouir. Sa jouissance fut contenue. Tout comme la mienne que je déversai dans sa bouche. Elle recracha le tout dans le bol, posé devant elle.J’y ajoutai, comme promis un bon crachat et lui tendis une cuillère pour mélanger le tout. Elle tourna, tourna et tourna encore ce mélange...
— Bon, ça doit être assez mélangé maintenant. Allez, bois.— J’aurais mieux fait de me taire. Ça a l’air vraiment dégueulasse.— Plus vite c’est fait, mieux c’est fait. Allez, bouge-toi. Avale-moi ça.— Pfiou... avant de prendre le bol. Elle prit une grande respiration, et en apnée, déglutit tout le bol.— C’était vraiment dégueu !!!— Allez, c’est fini, brosse-toi les dents et au lit. Demain, c’est boulot et une grosse journée t’attend !!— Je dors avec toi ?— Oui, tu dors avec moi... Pas envie de crier demain matin pour que tu viennes me réveiller avec ma pipe matinale.
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