— Ça va ? Dis-je en m’adressant à Léa.— Oui, ça va, merci. Et toi.— Oh, moi, ça va bien. Je suis tellement content de voir Steph s’éclater. Elle est épanouie.— Epanouie ?? Ce n’est pas le terme que j’aurais choisi, mais si tu le dis.— Tu aurais dit quoi ?— Très honnêtement, je ne sais pas, je ne sais plus. J’ai l’impression de ne plus reconnaitre la Steph d’avant. C’est vrai qu’elle a l’air de bien s’éclater. Elle est en pleine forme. Mais sa façon de faire, de réagir. C’est un aspect d’elle que je ne connaissais pas.— Tu parles de sa manière d’être débridée, libre côté sexe ?— Oui, c’est ça. Tout à fait.— Je plaide coupable. C’est ma faute. C’est moi qui l’ai amenée à devenir ainsi.— Oh, mais je ne te reproche rien, c’est juste que c’est bizarre.— Dis-moi Léa ? Et toi ? Dis-m’en plus ? Tu as un p’tit copain ?— J’avais. On s’est séparé il n’y a pas très longtemps. Depuis, je navigue sur les sites de rencontre pour trouver mon bonheur.— Et c’est quoi ton bonheur ?— J’aimerais trouver quelqu’un de bien, qui soit gentil, attentionné. Qui s’occupe bien de moi. Une relation à long terme.— Le prince charmant que vous cherchez toutes.— On peut dire ça.— Ça te choque ce que fait Steph ?— Un peu... mais pas tant que ça. Je suis un peu curieuse et je t’avoue que l’abus d’alcool me fait voir les choses autrement.— Tu voudrais participer ?— Oh que non ! Je n’ai pas assez bu pour ça.— Ca veut dire, que si tu avais bun un peu plus, peut-être que tu te laisserais tenter ?— Ma foi, je n’en sais pas. Ça m’intrigue. Et comme ça fait un peu plus de trois semaines que je n’ai pas fait l’amour, je suis un peu en manque.— Je peux te poser une question indiscrète ?— Oui, bien sûr. Vas-y, je t’écoute.— Tu suces ?
— Pardon ?— Est-ce que tu suces ? Cela fait-il partie de tes pratiques sexuelles ?— C’est très indiscret comme question, mais oui, je suce... et plutôt bien, parait-il !— Mouais... tu te vantes un peu.— Non, non, c’est vrai. On m’a dit que j’étais une bonne suceuse. Que je faisais de bonnes pipes.— Alors, devinette, connais-tu la différence entre une suceuse et une bonne suceuse ?— Là, comme ça, non. C’est quoi ?— Si tu ne sais pas, c’est que tu ne dois pas être si experte que ça. Je te le dirais plus tard.— Ah ah ah ! Très drôle. Non, mais sérieux...— Allez, tiens, bois un coup. Nous continuâmes notre discussion, en alternant les sujets coquins et concrets, tout en regardant les deux couples copuler. Bien entendu, je forçais Léa à boire...Elle devenait de plus en plus pompette. Son visage rougissait. Je décidais d’y aller plus directement. — Depuis tout à l’heure, je n’arrête pas de regarder ta poitrine. Je me demande quelle taille tu fais ?— D’après toi ?— Je dirais un 85 B.— Non, c’est pas ça.— 90 B ?— Non plus !— Alors, je ne vois pas...— Je fais un 85 C, monsieur.— Non. Pas possible. Steph fait un 95 C/D, et le rendu n’est pas du tout le même. Je ne te crois pas.— Ben regarde, fit-elle en déboutonnant son chemisier.— Désolé, je ne vois pas bien.— Pfiou... mais regarde bien. Elle déboutonna encore plus son chemisier et écarta les pans de ce dernier pour me montrer sa poitrine, enfermée dans un sous-tif blanc pigeonnant. — Ouais, OK. Vu !!— Vu quoi ?— Ta poitrine. Je reste sur mon idée. 85 B. C’est sûr qu’avec un sous-tif pigeonnant, ça peut paraitre plus gros, mais je suis un spécialiste des seins, moi. On ne me la fait pas.— Ok ! Les mecs, vous êtes tous les mêmes ! fit-elle sur un ton énervé. Elle plaça ses mains dans son dos, dégrafa son sous-tif et le retira. — Et maintenant alors ? J’étais arrivé à ce que je voulais. La faire craquer. Je la voyais maintenant devant moi, chemise ouverte, seins à l’air. — Hummm... Tu permets ? lui dis-je en approchant les mains de sa poitrine.— Au point où j’en suis. Au moins, tu vas voir que je ne disais pas de conneries. Mes mains s’emparèrent de ses seins. Des seins en forme de poire, joliment dessinés, je dois le reconnaitre. Des belles aréoles, pas trop grosses, et surtout deux magnifiques petits tétons qui pointaient. J’étais ravi.Je profitai de l’occasion pour lui malaxer un peu plus les seins et tirer un peu sur ses tétons durcis. — Ok. Tu as raison ! Lui rétorquais-je. Tu as de très beaux seins, tu sais. C’est dommage de les laisser enfermés dans un sous-tif de merde.— Que veux-tu... ce sont les diktats de la société. On sort couvert. On en montre le moins possible. Alors qu’elle s’apprêtait à remettre son sous-tif, je l’interpellai. — Là, on est entre nous, tu peux t’en passer, si tu veux ? Ce qu’elle fit, mais elle referma quand même quelques boutons de sa chemise. — Laisse ouvert. C’est tellement plus sympa et agréable. Tu veux bien ?— Bon, d’accord... mais on boit un coup, j’en ai besoin.— Pas de soucis. Les verres resservis, on repartait dans la discussion, mais j’avais un regard bien plus fuyant... vers ses seins, que je trouvais vraiment beaux. Je le lui dis, encore une fois, histoire de la charmer tout d’abord, mais aussi de créer une espèce de petit malaise où elle se sentirait à l’étroit.Devant nous, les couples s’étaient échangés. Seb était passé à Fabienne et Franck sur Steph. Les filles entre elles se roulaient des pelles. Un vrai film porno en direct. Je voyais bien que Léa commençait être bien excitée. — Tu pointes bien dis-moi.— Oups, pardon. C’est la situation...— Ouais, ça t’excite ?— Je dois reconnaitre que oui.— Tu ne veux toujours pas participer ?— Pas comme ça, non !— C’est à dire, pas comme ça ?? Steph me regarda et me fit un clin d’œil avec un sourire. J’avais son approbation pour pousser plus loin. — Pas comme ça. Pas devant tout le monde !— Prends ton verre, viens avec moi. On s’éloigna du salon pour aller sur la terrasse, dont une partie était complètement cachée.Alors qu’elle marchait devant moi et s’arrêta près de la table de la terrasse pour y poser son verre, je l’enlaçais, vint prendre ses seins de mes mains, et l’embrassai dans le cou. — C’est mieux là ? Elle se retourna et vint me rouler une pelle. Je gardais une main sur un sein et l’autre se balada sur ses fesses. — T’as un p’tit cul bien ferme dis donc !— Merci. Embrasse-moi encore. Ce que je fis en faisant totalement tomber sa chemise.Elle était à point !! — Fabien ? C’est quoi la réponse à ta devinette de tout à l’heure ?— Sur la suceuse et la bonne suceuse ?— Oui.— Déshabille-toi entièrement et tu sauras. Elle se déshabilla. Son mot de vénus arborait une petite toison blonde, taillée à ras. Des petites lèvres, quoique charnues, dissimulaient un joli, quoiqu’assez gros clitoris. J’y plaçais mes doigts pour le titiller un peu. Sa tête se renversa en arrière.J’introduisis un, puis deux doigts dans sa chatte. Elle aimait ça. Elle mouillait bien. Je ressortis mes doigts et lui fourra dans la bouche. Elle les suça. — A genoux ! Suce-moi ! Elle défit la ceinture de mon froc, puis le déboutonna pour le faire tomber. J’enlevai mes chaussures pour faire glisser mon pantalon.Elle prit mon sexe bandé avec ses mains et commença à me branler. — Je t’ai demandé de me sucer, pas de me branler. Alors, suce-moi ! Elle me prit en bouche et commença sa fellation. Elle savait y faire, c’est vrai. Je passai un excellent moment, surtout que moi aussi, j’étais bien excité par cette situation.Elle s’activait bien autour de mon pieu, jouant parfaitement avec sa langue sur mon gland. Je n’allais pas tenir longtemps à ce rythme... — Tu veux savoir quelle est la différence entre une suceuse et une bonne suceuse, c’est ça ? Tout en continuant à me pomper, elle me regarda et cligna des yeux, signe que c’était bien ça. — Eh bien, la différence est là... dis-je en lui jouissant dans la bouche une bonne quantité de sperme. Une bonne suceuse, elle avale consciencieusement le sperme. La suceuse, elle recrache. Alors, de quelle catégorie fais-tu partie ? Elle continuait à me pomper pour bien extraire tout mon jus, sortit ma queue de sa bouche, me regarda avec une certaine fierté et avala. — De la catégorie des bonnes suceuses, me semble-t-il ? Non ?— Je confirme. Je dirais même que tu es une excellente suceuse. Tu as un bel avenir devant toi. Bois un coup et reviens me sucer, histoire de me remettre en forme. J’ai envie de te baiser maintenant. Elle se remit à me sucer pour me faire bander bien dur. Elle savait y faire la petite. Une bonne petite salope.Je la tirais par les cheveux et la forçais à se mettre en position de levrette, son p’tit cul bien offert à ma vue. J’entrais et sortais d’elle bien fortement, essayant d’aller le plus profond possible à chaque pénétration. Je lui tirais les cheveux en lui disant :C’est à ce moment que je m’aperçus que nous avions des spectateurs. Steph, Fabienne, Franck et Seb nous regardaient, téléphone portable sorti, en train de filmer. — T’aimes ça, hein, te faire baiser comme une petite chienne ? T’aimes ça, hein !!— Oui, j’aime ça.— T’en veux encore ? Tu veux que je t’encule ?— Oui, vas-y, défonce-moi ! Oh putain que c’est bon !— Dis-le que tu veux que je t’encule et que tu n’es qu’une bonne petite pute.— Oui, vas-y, défonce-moi, bourre-moi. Viens m’enculer, viens enculer la bonne petite pute que je suis ! Je sortis de sa chatte, crachai sur sa rondelle et lui péta le cul dans la foulée. C’était bien serré, mais je la démolissais bien. Elle jouissait fort. Elle était bruyante. — Tu jouis comme une salope.— Oui, oui, oui...— Oh ! Je ne vais pas tarder à jouir. Viens ici et ouvre la bouche, petite pute. Je sortais de son fion, la tira par les cheveux et lui présenta ma queue. Un peu dégoutée, elle n’ouvrait pas la bouche. Je la giflai en lui demandant d’ouvrir la bouche et j’y introduis ma queue.Maintenant, je lui baisai la bouche et jouis dedans. — Oh, putain, que c’était bon. Allez avale moi ça. Ce qu’elle fit, sous les applaudissements des autres participants.