Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 129 J'aime
  • 1 Commentaire

Soumise, sinon rien.

Chapitre 18

Erotique
Léa se déshabilla. Elle enleva son chemisier, celui qu’elle avait hier, et son pantalon. Elle ne portait plus aucun sous-vêtement. Les siens étant restés ici. J’aimais toujours ces seins, que je me mis à peloter à pleine main.Je lui intimai alors l’ordre, de se mettre à genoux devant son amie Steph, qui elle, était debout dans sa position de soumise, et lui faire un cunnilingus... avec interdiction de la faire jouir. Il fallait que le plaisir monte, c’est tout.Pendant ce temps, je m’affairais à mettre la table, pour trois, et nous servis à manger.
— Léa, c’est bon. Laisse-la. Viens manger.— Et Steph ?— Steph, au pied !
Steph se mit alors à quatre pattes et vint à côté de moi. Je lui caressai la tête en lui disant que c’était une bonne chienne. J’en rajoutai, évidemment, devant Léa.
— Steph, passe sous la table et rend la pareille à notre invitée, et toi Léa, bon appétit.
Je surveillai la situation, ne voulant pas non plus que Léa jouisse. Je la faisais juste monter en pression.Steph s’appliquait à lui lécher l’abricot, rentrait sa langue à l’intérieur le plus profondément possible, venait appliquer une succion sur le clitoris pour le prendre en bouche et le titillait de sa langue.Je voyais Léa qui montait de plus en plus. Je demandais à Steph de ralentir la cadence.
— Pourquoi lui as-tu dit d’arrêter. C’était bon.— Justement. Pas trop vite, c’est beaucoup mieux. Tu es intéressée pour voir, on veut jouer avec toi. Tu as sûrement une grosse envie de jouir, et je peux te garantir que tu vas jouir. Mais pour ça, tu dois le mériter. C’est ainsi que cela marche.
Puis m’adressant à Steph, je lui demandai, tout en restant sous la table, de venir aussi me sucer, doucement, lentement.
— Dis-moi Léa, qu’est-ce qui t’intéresse dans ce que l’on fait ?— Je suis curieuse en fait. Je connais Steph depuis quelques années maintenant. Je ne l’ai jamais vue ainsi. Changée oui, mais épanouie, surtout. Je la vois faire des choses que je ne l’aurais jamais imaginé faire et elle semble y prendre du plaisir. Elle a beau être "soumise", comme tu dis, elle est heureuse.— Oui, elle a accepté de devenir ce qu’elle est. Tout est question d’acceptation, de don de soi. Tout donner, pour en retour, être heureuse et épanouie.— Et tu penses qu’elle est heureuse d’avoir la tête rasée, de se faire traire, de se faire poser des anneaux ?
— Je pense oui. En tout cas, maintenant, je pense que sa réponse est un grand OUI. Je pense même qu’elle est fière. Mais demande-lui, ça sera plus simple.
M’adressant à Steph, je lui demandai de stopper sa fellation et de venir s’attabler avec nous.
— Steph, as-tu entendu les questions que se posait Léa à ton sujet ?— Oui Fabien, je les ai entendues. Et tu as parfaitement répondu.— Dis-lui, STP, en face, et de vive voix. J’ai l’impression qu’elle ne me croit pas.— Léa, tout cela est vrai. Je suis heureuse, je suis épanouie. Tu n’imagines pas combien. Certes, il m’a fallu passer par des étapes difficiles, mais j’en suis tellement heureuse aujourd’hui. De plus, je suis choyée, protégée, nourrie... dans un sens, aimée.— Je te crois Steph. Ça se voit... C’est juste que cela ne te ressemblait tellement pas. Ça me fait juste bizarre. Dis-moi, jusqu’où es-tu prête à aller.— Honnêtement, je vais te dire, n’importe où. Tant que Fabien me demande de le faire, je lui fais une confiance totale. Même si cela peut faire mal, je sais que j’en ressortirai grandie et vainqueur... et que surtout, il va me faire prendre un pied inimaginable.— Ok. J’entends ce que tu me dis Steph. Je reste un peu sceptique, cependant.
Je demandai à Steph de prêter son œuf à Léa. Elle le sortit de son vagin, le mit en bouche pour le rendre bien propre et demanda à Léa la permission de lui introduire. Cette dernière accepta.Léa se recula avec la chaise et écarta les cuisses. Sa vulve était bien mouillée. Steph n’eut aucun mal à lui insérer l’œuf. Je le mis en route instantanément, doucement d’abord.
— Tu vois Léa, le but est de monter crescendo dans l’excitation et la jouissance, te faire arriver à un point où tu es tellement excitée que tu n’as plus qu’une seule envie, qu’un seul désir, qu’une seule volonté, c’est de jouir. Que quand tu arrives à ce point-là, tu es prête à tout accepter pour arriver à tes fins. Même à avoir mal. Le plaisir n’en est que décuplé.— Je dois dire que côté excitation, je reconnais que tu as raison. Entre le cunni de Steph et l’œuf, ça commence à bien me chatouiller.— Tu veux pousser l’expérience plus loin.— Pour l’instant, je suis là. Autant en profiter, non ?— Steph, va chercher ton petit rosebud, celui que tu avais à l’origine.
Elle revint avec son petit bijou. En métal doré avec une grosse pierre brillante rose sur le dessus. Elle l’enduisit d’un peu de lubrifiant et demanda à Léa de se pencher en avant et de bien écarter les fesses.Elle lui prodigua au passage une jolie feuille de rose, bien imbibée de salive. Elle ne força quasiment pas pour introduire le plug.
— Léa, te voilà prête maintenant. Je vais faire monter en toi l’excitation, tout doucement.
Et de ce fait, j’augmentais légèrement la vitesse de l’œuf.
— Ah, j’oubliais. Il serait dommage de négliger tes seins. Et pour éviter que tu ne te touches, je vais te menotter les mains dans le dos. Cela te convient-il ?— Allons-y.
Je menottais donc Léa, les mains dans le dos. J’allais chercher un glaçon et vins caresser ses tétons avec. Ils durcissaient et étaient bien tendus. Je lui pinçai alors les tétons avec une pince à linge sur chaque.Pour finir, je récupérais son shorty, qui traînait dans le salon, en fit une boule et lui inséra dans la bouche. Je lui demandai de se lever et l’accompagnai sur le tapis du salon pour l’y mettre à genoux. Je profitai pour changer le programme de l’œuf. Je passai sur le mode intermittence avec puissance variée.
— Et maintenant, tu vas regarder, Léa. Steph, viens me voir.— Oui Fabien.— J’ai une idée, histoire de te faire souffrir un peu, voire beaucoup. Attention, juste par plaisir. Le tien et le mien. Ce n’est absolument pas une punition. Qu’en penses-tu ?— Pourquoi pas ? Tu veux faire quoi ? M’attacher et suspendre.— Non, ça, ce sera pour après. Tu as vu qu’au magasin de bricolage, j’ai acheté une petite planche et des clous. Que pourrais-je faire avec ?— Sincèrement, je ne vois pas.— Que penserais-tu de l’idée de te clouer les seins sur la planche, pour que toute une soirée, tu la passes à genoux et que la planche, retenue par tes seins cloués, serve de repose verre ?— Tentant comme idée. Mais ça va faire mal. Je le sens.— Tu préfères qu’on le fasse à ta copine, Léa ?— Non. Mais quitte à la faire, je veux bien passer en deuxième. Je verrais bien Fabienne y passer d’abord, puisque tu m’as dit qu’elle devrait aller plus loin, à la vue de son expérience déjà bien grande.— Ok. Alors, je le garde pour Fabienne... si jamais elle se décide. Pour l’instant, je vais monter le crochet et la poulie, pour nos jeux d’après. Toi, pendant ce temps, je veux que tu te mettes à genoux devant ta copine, que tu lui retires son shorty de la bouche et les pinces à linge de ses tétons, et que tu la chauffes un max.
Que tu lui roules des pelles, que tu lui lèches les seins, mordille les tétons, que tu caresses son clito. Chauffe-la à blanc... mais interdit de la faire jouir, OK ?
— Pas de problèmes, Maitre.— Attends, je vais lui enlever les pinces moi-même.
Je m’avançai vers elle, la regardai dans les yeux, et lui mis 1 petite gifle sur chacun de ses seins. Gifle douce, mais avec relativement de puissance pour faire sauter, d’un coup, les pinces.La douleur qu’elle ressentit la fit crier dans son bâillon improvisé. Mais à côté de ça, l’œuf la maintenait dans un état d’excitation assez palpable.
— Steph, je te laisse la télécommande de l’œuf. Tu en as la charge. Je te rappelle qu’elle a interdiction de jouir. Sinon, tu seras punie. Et tu connais déjà la punition. La planche et les clous sur tes seins !! Donc, à toi de jouer.— Je vais faire au mieux Fabien, promis.
Je n’en doutais pas une seconde. Steph s’approcha de son amie, à genoux. Elle s’agenouilla devant elle et lui massa gentiment les seins, tirant sur ses tétons, délicatement. Puis elles vont les lécher, toujours délicatement, suavement même. Elle mordillait de temps en temps ses tétons, puis les tétait. Elle voyait le regard de Léa qui semblait la supplier.Elle lui ôta son bâillon, le shorty roulé en boule, de sa bouche, lui attrapa la tête à deux mains et vint l’embrasser. D’abord des petits bisous sur la bouche, puis les bouches se sont ouvertes et les langues se sont mêlées. Elles se roulaient maintenant de bonnes pelles.Puis avec une de ses mains, Steph vint lui caresser la chatte. De son autre main, elle agissait sur ses seins. Elle l’allongea sur le dos et lui écarta les cuisses afin de venir lui brouter l’abricot.Puis, à nouveau, elle recommençait avec la bouche et le cinéma se poursuivait... Et moi, pendant ce temps, je perçais mon plafond pour y ancrer solidement un anneau muni d’une poulie. Et je les regardai faire.Finalement, j’étais bien avec ces filles-là. Je bandai bien. Je décidai donc de me déshabiller moi aussi et demandai à Léa de se mettre à genoux. Steph s’approcha de moi et me suça, histoire de me faire bander bien dur.
— Enlève-lui l’œuf, j’ai envie de la prendre par-derrière.
Steph inséra deux doigts dans la chatte de Léa, dégoulinante et en ressortit l’œuf. Pour ma part, je relevais le cul de Léa et poussais sa tête en avant. Ainsi, elle avait le cul relevé et la tête par terre. Ses mains étaient toujours liées dans son dos et j’entrais en elle.Je la pistonnais, doucement, lentement. J’agrippai ses seins pour venir la plaquer contre moi, puis la rejetai en avant. J’avais aussi de mon côté, envie de faire monter la pression, sans pour autant jouir. Alors, je sortis de sa chatte. Je fis signe à Steph de lui remettre l’œuf et de venir me nettoyer la queue de toute cette mouille.Elle n’en perdit pas une miette. Puis Steph s’allongea devant Léa, les jambes de chaque côté de son corps et lui demanda de venir lui bouffer la chatte. Elle aussi avait envie de monter en pression.Je la laissais faire cinq minutes, le temps pour moi d’aller chercher des petits mousquetons, ainsi que petites chaines et cordes.De retour, j’annonçai à Steph qu’on allait jouer un peu. Elle vint se mettre debout, près de moi. Je nouais ses pieds avec de la corde. Ses genoux aussi. Je lui attachai des mains dans le dos, puis les coudes. Ensuite, j’écartai les lèvres de sa chatte et fis passer la corde par deux fois à cet endroit, en faisant le tour autour de son cou. J’espérais que la friction de la corde, qui était en contact avec son clitoris, l’excite.
Suite à quoi, je faisais passer deux longues mais fines chaines au travers de la poulie au plafond. A l’extrémité de chacune d’elle, je fixai un petit mousqueton, que je reliai à ses anneaux, sur ses seins. Je mis l’ensemble en légère pression. Elle était debout, avec un équilibre précaire. Ses tétons étaient tirés vers le haut et la corde frottait sur son clitoris.
— Surtout, Steph, tu te tais. Je ne veux pas entendre un bruit. Juste de ta part, un signe de tête ou un clignement des yeux.
Elle acquiesça d’un signe de tête. Elle avait certainement un peu mal, mais je la sentais en même temps, terriblement excitée. Les anneaux tiraient bien sur ses tétons. J’allais alors chercher un petit fouet, à multiples lanières, puis vins la fouetter, doucement. Son cul, son ventre, ses seins, ses cuisses.Je m’adressai ensuite à Léa, lui demandant si elle aimerait subir ce genre de choses. Elle me répondit que ça l’excitait beaucoup, mais qu’elle ne savait pas si elle pourrait sauter le pas.Je la laissai à sa réflexion... Je laissai Steph dans sa position, puis vins m’asseoir dans le canapé et demandai à Léa de venir me sucer un peu, doucement. Je désirai qu’elle prenne son temps. Qu’elle savoure ma queue sur son ensemble. Elle s’appliquait bien. Elle était douée. Elle faisait même des gorges profondes. C’était bon.Cependant, là encore, je l’arrêtais dans son action. Elle me demanda alors :
— Fabien. J’en peux déjà plus. Je suis hyper excitée. J’ai envie de jouir.— C’est bien Léa, c’est le but. Que serais-tu prête à faire pour que j’accède à te demande ?— Tu veux quoi ? Me baiser, m’enculer ? Vas-y, fais-toi plaisir.— Là, c’est surtout à toi que je ferais plaisir...— Tu veux quoi alors ?— Je veux que tu sois ma chienne. Tu es une chienne de compétition. Tout ton corps sent la baise. Tu es bonne à baiser par tous les trous. Te faire remplir de foutre.— Steph, elle est quoi ? Soumise, c’est ça ?— Oui, tout à fait.— Et c’est quoi la différence ?— La différence, c’est que tu ne vis pas ici. Que je ne m’occupe pas de toi, que je ne te protège pas, que je ne prends pas particulièrement soin de toi. Tu ne seras pas non plus tondue ni torturée pour le plaisir. Pour tout le reste, c’est pareil. Je te siffle, tu accours. Tu seras baisée tout le temps, par moi, par des potes, par des inconnus, par des animaux. Ce que je peux te promettre, c’est de jouir comme tu n’as encore jamais joui, et ce, pendant tout le temps où tu seras ma chienne. Par contre, pas de contrat, tu pars quand tu veux. Sans possibilité de retour.— Ouais, les inconvénients, finalement, mais pas les bienfaits. Steph, en tant que soumise, fait pareil, mais elle est choyée. C’est quelque chose d’enviable, quand je te vois faire avec elle. Et tu m’accepterais comme soumise ?— Pour t’accepter, il faudra me prouver que c’est ce que tu souhaites vraiment. Tu en parleras à Steph. C’est une obéissance totale que je veux. Mais je ne suis pas contre, à condition que tu sois acceptée. Par moi, par Steph, et certainement par Fabienne.— Donc, mon choix, c’est chienne, soumise ou rien.— Tu as tout compris.— Je suis tellement excitée que j’ai envie de te dire, là maintenant, le mot "soumise"... Mais il ne faut pas que je laisse parler le sexe. Ma chatte dit oui, ma tête, non.— On a le temps... en attendant, je vais te rebaiser un peu. Voire t’enculer. Ton cul me fait envie.
Diffuse en direct !
Regarder son live