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Ma soumise en visite médicale

Chapitre 1

Sabine De Meaux

SM / Fétichisme
Sabine de Meaux était ma nouvelle soumise depuis quelques jours. La précédente, Lara de Jade, m’avait quitté sans préavis, ce qui m’avait surpris et attristé. Notre relation avait été irréprochable, complice et érotique à souhait, et ce, jusqu’au bout. Nos désirs et nos fantasmes s’étaient accordés tout au long de notre idylle libertine et sado-maso. Pourquoi ce choix, cette rupture si brusque ? Je n’en saurai jamais plus, Lara étant retombée dans l’anonymat que l’on s’était promis en cas de rupture du contrat. Après environ un mois d’abstinence, occupé à faire le deuil de cette histoire et à me remettre les idées en place, je m’étais mis à la recherche d’une nouvelle soumise. Je la rencontrai lors d’une soirée libertine aux Bains douches, mon club de prédilection. Sabine de Meaux, c’était son nom de soumise, avait déjà eu l’expérience d’une maîtresse et elle recherchait cette fois-ci la soumission d’un maître. Elle semblait donc avoir encore à apprendre et cela me plaisait.
Je plus après quelques mails de rigueur dans lesquels elle montrait une certaine maîtrise des codes (elle m’appela maître dès les premiers mots, ce qui enflamma mon désir) nous prîmes rendez-vous dans la chambre d’un hôtel discret pour baliser les conditions de notre binôme.
« Bonjour maître, dit-elle simplement en guise d’introduction

Bonjour Sabine, entre, je t’en prie » répondis-je d’une voix grave.
C’était une belle jeune femme de 35 ans, 1m60, cheveux bruns ondulés tombant sur les épaules et regard porté par des yeux marron clair, presque translucides. Pour notre première rencontre, je ne lui avais pas donné d’ordre précis concernant sa tenue, mais elle l’avait choisie avec goût. En effet, elle se présenta avec un décolleté sombre sous une veste en jean cintrée, au-dessus d’une minijupe de cuir et des cuissardes noires. Sa tenue laissait entrevoir des voiles de peau, ceux de ses cuisses blanches charnues et de son buste fin, qui laissaient deviner une poitrine discrète. Ces visions ne manquèrent pas d’éveiller mon désir. J’avais déjà très envie d’aller plus loin, mais nous prîmes le temps de nous asseoir, tandis que je sentais la circulation sanguine de ma verge se densifier.
— Sabine de Meaux, tu as accepté d’être ma soumise. Je suis donc ton nouveau maître. Tu m’appelleras maître George et jamais autrement, sous peine de la rupture de notre contrat. — Bien maître George. — Très bien. Maintenant, j’aimerais que tu me racontes ton histoire Sabine de Meaux. »
D’une voix ressemblant à un chant d’oiseau, elle se dévoila à moi. D’abord engourdie dans une sexualité terne, elle avait été éveillée aux plaisirs SM voilà une dizaine d’années par un amant espagnol, qui l’avait abandonnée au sommet de leur passion sur un lit de braises ardentes. Après cette révélation, elle s’était mise à la recherche de la personne qui pourrait l’accompagner à nouveau dans cette exploration d’une passion mêlant plaisir et douleur. Avec amour, ou sans. Après quelques séances dans un donjon avec une maîtresse, elle accepta donc ma domination, plus intimiste et qui semblait « expérimentée » selon ses dires.
— Sabine de Meaux, je te pose ce collier de cuir, symbole de ta soumission. L’acceptes-tu ? »
En guise d’approbation, elle vint se mettre à genoux devant moi et m’offrit son cou délicat en tenant sa chevelure d’une main.
Je lui proposai alors rapidement une première étape, celle à laquelle je soumets toutes mes partenaires de jeu et qui constitue une de mes originalités : une visite médicale. Celle-ci, un peu particulière, est une sorte d’examen de passage qui permet d’évaluer les capacités de ma nouvelle soumise. Sabine accepta de s’en acquitter, sans condition.
Je confiai cette tâche à un ami libertin prénommé Doc. Spécialiste du fétichisme médical, il possédait un studio équipé de tout ce qu’il fallait pour examiner une patiente soumise. Il était expérimenté, très habile et nous étions complices depuis un bon moment lui et moi. Nous avions travaillé le scénario de la visite ensemble. J’avais donc l’habitude de mettre la soumise entre ses mains expertes et je regardai la séance tranquillement, assis sur un fauteuil, me masturbant à ma guise, tandis que ma soumise était examinée de manière très intrusive. C’était très plaisant. Je pris donc rendez-vous un samedi après-midi. Je me présentai avec Sabine à mon bras, à 14h devant la porte de son cabinet, qui était situé au fond de la cour gravillonnée de sa propriété, bien gardé des regards et des soupçons. Le Doc, un homme d’une cinquantaine d’années, trapu et aux cheveux grisonnants brossés vers l’arrière, nous ouvrit en chemise blanche et pantalon de costume.
Il n’y avait pas de salle d’attente, nous rentrions directement dans la salle d’examen. Le cabinet était lumineux et agréable, les murs blancs vêtus de quelques toiles de gouache abstraites et colorées. C’était une vraie salle d’examen médical que nous avions là, fétichisé au possible. Il était positionné sur le plan de travail divers objets à usage médical et autres instruments en acier chirurgicaux : spéculums, sondes, écarteurs... Si nous n’utilisions pas l’ensemble de ces éléments, je stimulais grâce à eux mon imagination. Nous nous installâmes au bureau et Doc prit les commandes :
— Sabine de Meaux, je suis Doc. Ton maître ici présent te soumet à une visite médicale qu’il m’a confiée. Je vais donc t’examiner sous ses yeux afin d’évaluer ton état physique.
Elle fit un signe d’approbation de la tête. Malgré tout, je la sentais un peu nerveuse. Je mis une main sur sa cuisse en lui souriant.
— Bien, s’il n’y a pas d’objection, nous allons commencer. Sabine, tu vas d’abord remplir ce questionnaire intime.
Ce questionnaire portait sur la fréquence des rapports, le nombre de partenaires, la masturbation, la pratique du sexe anal, les fantasmes, c’était assez varié, mais très intime. C’était un préambule, dirons-nous. Elle prit quelques minutes pour le remplir, levant parfois le regard vers nous, un léger voile pourpre sur les pommettes. Puis elle posa la feuille sur ses cuisses.
— Bien Sabine, si tu as terminé, je vais récupérer le questionnaire et le consulter pendant que tu te déshabilles devant ton maître.
Sabine s’exécuta. Elle se leva de sa chaise et ôta ses vêtements. Elle n’avait en réalité qu’à faire glisser sa robe bleu nuit le long de son corps pour découvrir des sous-vêtements raffinés, dentelés rouge et noir. Elle les fit tomber également. Elle était magnifique.
— Sabine, donne-moi ta culotte, dit Doc d’un ton autoritaire.
Elle s’exécuta et il examina attentivement le fond du bout de tissu en dentelle. Il fit quelques « hum... Hum » avant de faire tomber son verdict.
— Maître, vous avez à première vue une soumise bien docile et bien excitée. La cyprine est fluide. L’odeur est douce, légèrement acide. Tenez, je vous laisse le soin de vérifier par vous-même.
Je pris le temps de sentir la culotte de Sabine, qui regardait droit devant elle. En effet, sa culotte sentait légèrement la mouille, bien qu’une odeur de lessive restait encore prégnante. Doc la fit venir derrière le bureau. Il enfila un gant en latex et lui fit écarter un peu les jambes pour palper son sexe. Elle s’était fait un ticket de métro fin et clairsemé. Elle me jeta un regard que je lui rendis avec un sourire. C’est ainsi que par le passé, dans mon plus jeune âge, une doctoresse m’avait fait baisser mon slip et palper mes testicules sans sommation ni explication. Cet événement était l’origine d’une source fantasmagorique qui ne s’était jamais tarie depuis. Ma consommation pornographique et mon univers masturbatoire s’étaient nourris de ça, pour glisser doucement vers la soumission.
Après ce premier examen, il observa ses doigts légèrement imbibés de sécrétions puis donna à ma soumise un flacon de plastique pour uriner dedans. Il lui fit faire pipi sous nos regards lubriques. Elle remplit d’un jet de liquide doré le récipient et le tendit au doc, qui lui fit signe d’aller s’asseoir sur le divan d’examen. Je me tournai vers eux. Il la mesura, la pesa puis après avoir pris son rythme cardiaque et sa tension (j’étais très attaché à ce genre de détails médicaux, qui participaient à mon excitation), il lui palpa les amygdales et observa son fond de gorge avec un abaisse-langue.
— Sabine, je vais tester ta profondeur de gorge, cela risque d’être désagréable, prévint le doc.
Il mit d’abord deux doigts dans la bouche de ma soumise puis il lui mit un écarteur afin de lui maintenir la mâchoire ouverte. Il prit un gode assez imposant en forme de phallus et lui fit entrer dans la bouche. Bien que quelques larmes commençassent à perler au coin des yeux de Sabine, il continuait à enfoncer jusque ce qu’elle tire au cœur. Alors il retira le gode, accompagné d’un filet de bave. Elle toussa un peu et reprit son souffle. Je regardai cela d’un œil pervers et mon érection se faisait plus intense.
— Une belle profondeur de gorge maître, Sabine est très docile de ce côté-là. On va passer à l’examen des seins » me dit Doc.
Alors il commença à lui pétrir les seins de manière intense, à les palper en tous sens. Il s’arrêta un instant sur les tétons.
— Je vais tester ta sensibilité, dit-il, prévenant.
Il tourna alors les tétons de Sabine qui se raidit sur le divan. Il les tordit dans l’autre sens, elle s’en mordit la lèvre en gémissant.
— C’est sensible ! Qu’est-ce que ça sera sous des pinces tétons ! Mais tu es courageuse. Allez allonge-toi sur le ventre, je vais prendre ta température rectale.
Sabine s’installa, la tête sur les avant-bras. Le Doc prit son thermomètre, une pointe de lubrifiant puis écarta la fesse droite de Sabine pour y enfoncer sans ménagement la tige dans l’anus de sa patiente. Il le laissa un instant avant de rendre son verdict « 37°, tout roule ». L’examen avançait et je connaissais la suite. Sabine me plaisait beaucoup et j’avais hâte de la voir recevoir la suite des réjouissances. L’envie de me branler était très forte, mes couilles pulsaient dans mon caleçon, mais je me contenais encore un peu. Doc avait désormais installé Sabine sur le dos et lui palpait l’abdomen. Elle avait un ventre plat et blanc, presque parfait et qui paraissait très souple sous les doigts délicats du Doc. Il les enfonçait parfois de manière plus intense et sa peau souple se creusait. Il passait sur la vessie et le pubis avant de s’arrêter.
— Bien, maintenant on va passer à l’examen gynécologique. Sabine, veux-tu bien mettre les pieds dans les étriers à ta disposition ? »
Elle s’avança alors sur l’avant du divan et leva ses jambes fines pour se mettre en position gynécologique. Quel délice d’avoir l’intimité d’une jeune femme ainsi à disposition ! Le sexe est là, avec tous ses mystères, de toutes ses évocations, ses fluides, ses odeurs. Et juste en dessous, cette petite rondelle, ce petit anus rosé, serré, qui ne demande qu’à être exploré. Je m’en réjouissais d’avance. Le Doc braqua une lampe sur l’entrejambe de la patiente, se plaça entre et enfila une paire de gants en latex. D’abord, l’examen externe. Le Doc écarta les grandes lèvres, examina l’orifice vaginal, l’état des muqueuses et leur lubrification. Il toucha ensuite le clitoris, l’excita un instant avec son index. Sabine trémoussa sur le divan en gémissant. « Sujet sensible ! » dit-il simplement en se tournant vers moi.
Devant la scène qui se déroulait sous mes yeux, je ne pouvais m’empêcher de secouer délicatement mon membre en érection. Le Doc était passé à l’examen interne et fouillait le sexe de Sabine à deux doigts tandis qu’il lui palpait l’abdomen de l’autre main. Il effectua cette manœuvre un instant avant de prévenir Sabine qu’il allait lui mettre un spéculum pour observer son intérieur. Il en prit un petit qu’il inséra avec précision dans le vagin de Sabine. Ouvert, il pouvait alors observer l’intérieur de ma soumise. C’est tout de même troublant de pouvoir avoir accès ainsi à l’antre d’une femme. Il fit un prélèvement rapide puis la libéra de cette contrainte. Ensuite, il lui passa une sonde à ultrason pour observer sur son écran la modélisation du vagin de Sabine. Il rangea ensuite ce matériel technologique.
— Bien Sabine, je vais passer à l’examen rectal. Avant cela, je vais réaliser un lavement pour bien te vider et pouvoir t’examiner dans de bonnes conditions, dit le Doc en commençant à préparer les ustensiles nécessaires à cette procédure. A cette évocation, Sabine se contenta de faire oui de la tête.
Le lavement est, dans le fétichisme médical, une pratique très humiliante, très intrusive et qui de ce fait, me met en joie. Ici, le Doc opta pour une poche d’eau tiède qu’il fit tenir en haut d’une porte-perfusion. Il y apposa un long tube dont l’extrémité plus fine allait se loger délicatement dans le rectum de Sabine. La canule ainsi installée, il n’y avait plus qu’à tourner le robinet et laisser aller le flux de liquide tiède dans les entrailles de ma tendre. Avant de s’exécuter, il fallait dilater un peu l’orifice. Il la fit mettre sur le côté, une cuisse pas dessus l’autre. Doucement, son index disparut dans le rectum de Sabine, dont le visage se crispait quelque peu. Pourtant, le Doc semblait l’explorer sans souci, il passa d’ailleurs un deuxième doigt sans problème.
— Respire bien pour te détendre. L’anus est bien tonique, les sphincters font leur travail.
Elle prit une grande respiration. Le doc surenchérit : « Je vais devoir passer un spéculum par ici aussi pour y regarder de plus près. Mais d’abord, on va se débarrasser des quelques vilains résidus qui te souillent. »
Après avoir retiré son doigt, il enfila la canule et l’enfonça de quelques centimètres pour ensuite laisser l’eau couler un moment. Sabine émit quelques soupirs de gêne à plusieurs reprises, sûrement soumise à de légères crampes abdominales. Doc regardait régulièrement la poche d’eau dont le niveau baissait doucement. Il ne prit pas le temps de la vider complètement, estimant que Sabine en avait eu assez. Elle eut peine à se remettre sur le dos, engourdi par les quelques centilitres d’eau qui pesait dans ses intestins. Le doc massa l’abdomen de Sabine pour bien répartir l’eau et soumettre Sabine à un petit test de résistance. Elle gémit parfois en fermant les yeux et en retenant son souffle, tentée de laisser échapper quelques giclées d’eau sur le divan d’examen. Lorsqu’il estima que c’était suffisant, le Doc la libéra pour qu’elle puisse aller aux toilettes. Il en profita pour faire un peu de ménage et de rangement.
Elle revint au bout de quelques minutes.
— Comment ça va Sabine ? — Bien, dit-elle simplement avec le sourire.
Parfait, je te laisse t’installer à quatre pattes s’il te plaît, je vais examiner ton anus de plus près désormais.
Il attrapa un spéculum rectal à trois branches pour réaliser l’examen. Une fois passé dans l’anus, il écarta l’instrument qui dévoila les muqueuses ondulées de l’orifice de Sabine. Il les observa un instant et tenta d’écarter davantage pour évaluer sa capacité de dilatation. Sabine se crispa. « Pas davantage Sabine ? », elle fit non de la tête. Alors il retira l’instrument. L’anus de Sabine se referma délicatement.
— Je laisserai le soin à ton maître de te dilater à sa guise lors de vos séances. Je vais tout de même t’observer à l’aide d’un rectoscope, ça risque d’être un peu désagréable, mais normalement pas douloureux.
Il prit le temps d’explorer le rectum de Sabine, malgré ses expressions de gêne évidente. Il est vrai que le tube de l’instrument médical était quelque peu intrusif. Il le retira, immaculé, au bout de quelques minutes.
— Bon, l’examen de base est fait, on va terminer par un test d’orgasme. Sabine, tu vas t’installer sur le dos et te détendre. Mets les pieds sur les étriers. Je vais t’attacher pour cette partie de l’examen, tu es d’accord ?
Sabine se pinça les lèvres et fit oui de la tête. Elle n’était pas très bavarde, se laissait soumettre discrètement, docilement. Cela rendait les choses plus douces, paisibles. Nous étions tous les trois pris dans un plaisir commun, partagé, avec chacun son rôle à jouer dans cette mise en scène médicale que je chérissais tant. Une fois Sabine allongée en position gynécologique, le Doc la contraint avec des sangles au niveau des poignets, des cuisses et des chevilles ainsi qu’au niveau du front. Toujours spectateur dans mon fauteuil Chesterfield, je poursuivais ma branlette de manière plus intense.
Le doc installa des électrodes à l’intérieur des cuisses de Sabine, au niveau de son pubis ainsi que sur ses seins. Deux sondes blanches reliées au boîtier et enduites de liquide conducteur allèrent l’une puis l’autre se nicher délicatement dans l’anus et le sexe de Sabine. Je les vis disparaître progressivement dans les deux orifices, comme avalé par un désir dévorant. Le Doc poursuivit son installation et mit les deux petits tétons de sa patiente sous vide, grâce à des ventouses aspirantes. Ensuite, à l’aide de deux pinces reliées à une chaînette, il écarta les grandes lèvres charnues de Sabine, de fait que son vagin, et son clitoris était bien à vue. Magnifique spectacle que ce corps laiteux, fin et soyeux contraint par la force de fantasmes pervers et d’instrument de soumission. Ces cuisses bien écartées, ce ventre disposé ; chaque muscle, chaque nerf étaient prêts à recevoir les tensions et les vibrations du plaisir.
Le Doc vint parfaire le tableau d’une dernière touche métallique.
— Sabine, ouvre grand ta bouche que je puisse installer l’écarteur.
Elle s’exécuta et le doc installa l’ustensile de la même manière qu’au début de l’examen, de fait que la mâchoire de Sabine restait bien ouverte. Nous entendions ainsi chacun des sons gutturaux qui sortaient de sa bouche, elle ne pouvait pas tricher. Le doc pouvait ainsi mettre à l’épreuve tous ses sens, tous ses orifices et ça allait être magnifique. Elle allait être sollicitée de toutes parts, le but étant de la faire arriver à un orgasme total. Pour suivre de manière fine les réactions de son organisme à ce type de stimulation, il la brancha à un appareil de monitoring. Sa patiente ainsi soumise, le Doc mit en route le boîtier d’électro-stimulation pour lui administrer le début du traitement. Sabine eut quelques sursauts et poussa un gémissement de surprise sous le coup des premières impulsions. Elle semblait bien répondre au test. Rapidement, son bassin se trémoussait sur le divan d’examen. De mon côté, mon plaisir augmentait et mon membre turgescent battait sous mes doigts.
Le doc augmenta l’intensité au bout des électrodes et certaines parties du corps de Sabine se mirent à trembler de manière intermittente. Le Doc m’interpella :
— Maître, voulez-vous venir observer de plus près la réaction de votre soumise ? — Avec plaisir docteur.
Je mis mon sexe au repos et m’approchai de la table d’examen. Les mains derrière le dos, je posai mon regard sur l’entrejambe de Sabine. Le Doc fit quelques réglages et en effet, nous pouvions observer des contractions au niveau du vagin et de l’anus.
— Intéressant, dis-je.— N’est-ce pas ?
Je vins jusqu’à Sabine, tout prise par l’intensité de la stimulation et qui ne pouvait s’empêcher de baver avec l’écarteur de bouche. Elle me jeta un regard interrogateur. Je lui caressais doucement le front et lui dis d’une voix calme qu’elle se débrouillait très bien et que j’allais lui essuyer cette vilaine bave qui coulait le long de son menton. Je pris un mouchoir de soie dans ma veste de costume et tamponnai délicatement sa peau souillée. Je revins ensuite à son entrejambe, où le Doc me fit la proposition de lui stimuler le clitoris à l’aide d’un vibro-masseur. De son côté, il allait s’occuper d’effectuer un constat visuel des réactions corporelles de sa patiente et de lui prendre ses constantes vitales. J’acceptai d’être son assistant pour la fin de l’examen.
J’enfilai une paire de gants en latex que je fis claquer sur mes poignets. Je pris le vibro, m’installai sur le petit tabouret à roulettes et débutai d’exciter cette petite excroissance de chaire. Sabine poussait des cris de plaisir régulier. Le Doc regardait attentivement le moniteur où les constantes de Sabine apparaissaient. Au fur et à mesure que j’apposai et augmentais les vibrations sur son clitoris, le sexe de ma soumise s’humidifiait davantage. L’intérieur de ses cuisses était luisant de cyprine et de transpiration. Son ventre se gonflait puis se tendait, sous les impulsions électriques qui se faisaient de plus en plus intenses à la lisière de la douleur et du plaisir.
Enfin, après de longues minutes d’intense stimulation, un long gémissement sonore se fit entendre tandis que son rythme cardiaque augmentait sensiblement. Ses cuisses se mirent à trembler de manière frénétique. Ses pieds se tordirent de plaisir. Sous l’effet de l’orgasme, elle éjecta le plug anal ainsi qu’une petite rasade d’eau claire, reste de son lavement. Elle se tortillait tant qu’elle le put sur le divan d’examen avant de se calmer et se contenter de respirer fortement. Le doc la soulagea de l’écarteur buccal ainsi que des sangles. Je me retirai de ma position.
— Tout va bien Sabine ? Demanda le doc.— Oui, dit-elle dans un soupir d’après effort.— As-tu apprécié l’orgasme ? demandai-je.— Oui... dit-elle encore essoufflée.— Oui ? — Oui maître George. — Je fais une dernière chose avant de te libérer pour de bon, interrompit le Doc.
Le Doc s’installa à la place qui était la sienne pour prendre sa température rectale et lui administrer un suppositoire à la glycérine. L’anus de Sabine était sensible. Suite à ces derniers traitements d’appoint, le Doc retira ses gants et les mit à la poubelle. Il débrancha complètement Sabine. Une légère coulée blanchâtre coula le long de sa petite fente. Après cela, Sabine s’assit sur le bord du divan pour reprendre ses esprits.
— Maître George, votre soumise semble en pleine santé ! me dit-il.
Se relevant, Sabine vit la silhouette de mon chibre gonfler sous mon pantalon. Sollicité par le doc, je n’avais pas pu aller au bout comme je l’aurai souhaité. Elle me regarda.
— Puis-je vous soulager maître George ? demanda-t-elle poliment.— Avec plaisir Sabine, je t’en prie, fait ce qu’il faut.
Cette initiative me plut beaucoup. Le Doc mit le paravent pour s’absenter tandis que Sabine se mit à genoux pour ouvrir ma braguette, détacher mon bouton et sortir mon sexe qui ne demandait qu’à retrouver son élan. Encore bandant, elle lui fit faire quelques va-et-vient de sa main moite puis le prit délicatement en bouche. Du bord des lèvres, elle effleura mon gland et alla doucement jusqu’à la couronne. La démence n’était pas loin de m’envahir. C’était de la broderie, du grand art. Elle savait parfaitement quoi faire de sa langue, de sa bouche, avec un timing proche de la perfection. Elle sentait mon plaisir monter, en suivait la courbe ascendante. Je mis une main sur ses cheveux soyeux. Quelques effluves de transpiration et de cyprine vinrent me caresser les narines et ajoutèrent au plaisir de l’instant. A plusieurs reprises, elle avala entièrement mon membre en érection. Il était alors enveloppé de son souffle chaud et humide, dans un écrin de douceur.
Sentant les soubresauts préalables à mon éjaculation, elle retira le sexe de sa bouche pour me demander si elle souhaitait que je prenne sa semence en bouche. Quelle délicatesse ! L’envie me prit de lui éjaculer sur le visage.
— Je veux voir mon sperme perler ton joli minois Sabine, acceptes-tu cette offrande ?
Je l’accepte maître George
N’y tenant plus, j’éjaculai et sa peau diaphane fut décorée de mon sperme épais et blanc. Je me mis à genoux et regardai ainsi couler mon fluide sur sa joue.
Il est temps que tu te nettoies, te rhabilles et que nous rejoignons le Doc.
Elle nous rejoignit au bureau, nue, belle comme un cœur, le visage nettoyé. Elle se rhabilla délicatement, mais je l’empêchai de remettre sa culotte, que je glissai dans ma poche. La visite médicale était terminée. Au moment où nous allions nous relever, le Doc me jeta un petit coup d’œil désapprobateur. Il n’eut pas la peine d’ouvrir la bouche, je compris. Où avais-je la tête !?
— Sabine, le paiement ici se fait en nature. Veux-tu bien régler le docteur ? — Comme il vous plaira maître George. Quelle sera la nature exacte du règlement ? — Tu t’es très bien débrouillée à l’instant, je pense que le Doc appréciera tout à fait ce genre de paiement.
Le Doc fit tourner sa chaise de bureau pour en extraire ses jambes et attendit que Sabine s’en approche. Elle se mit à genoux et ouvrit le pantalon du doc, qui regardait d’un air fasciné cet ange tombé du ciel. Je restai à ma place et observai le visage du Doc, dont les expressions laissaient deviner le délectable moment que lui faisait passer ma soumise, disparue derrière le bureau en bois de chêne du Doc. J’entendais de légers bruits de sussions évocateur. Je pouvais ainsi deviner ses lèvres fines glisser le long du pénis en érection, sa main délicate malaxer les bourses chaudes, l’index glisser le long du périnée, le frisson qui s’en suit et qui vous remonte jusqu’à la nuque. Il n’en fallait pas davantage pour rendre un homme fou ou docile.
Le poing du Doc se referma sur le bureau et ses paupières se refermèrent tandis qu’il poussa un râle léger, suivi d’un soubresaut qui fit grincer discrètement son fauteuil de cuir. Un léger silence s’en suivit, puis Sabine se relevait et alla au lavabo pour se rincer élégamment la bouche. Troublé, le Doc se remit à son bureau, se frotta un menton imberbe et se brossa les cheveux vers l’arrière pour se donner de la contenance. Puis il releva les yeux vers moi en souriant. La séance était réglée en bonne et due forme. Nous n’en dîmes pas davantage et nous saluâmes avec le Doc avant de sortir dans le jardin de la propriété. Je sortis de ma poche intérieure une fine laisse et l’attachai au collier de cuir de ma soumise.
— Nous allons pouvoir nous amuser maintenant, rien que toi et moi, dis-je en souriant avant de l’emmener avec moi à la voiture. — Avant de démarrer la berline, je me tournai vers elle pour lui annoncer : — Tu as été très sage, mais tu auras tout de même à une séance de fessée en rentrant. Et pour le retour, tu vas porter ta culotte sur le visage. — Comme il vous plaira maître George.
Comme il me plaira en effet, comme il me plaira...
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