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Ma soumission au sm

Chapitre 2

SM / Fétichisme
« 2eme CHAPITRE : Première soirée à Manheim. »

Quelques temps après, je reçois un appel téléphonique d’un homme parlant avec un fort accent allemand, il est un ami du général, et me demande si je suis intéressée par une soirée dans une nouvelle boîte en Allemagne, près de Mannheim. Une boîte échangiste à tendance SM. Elle est tout récente, c’est la troisième du genre et le général en est le propriétaire et je serai son invitée. Sans trop d’hésitation, j’accepte.
Le vendredi, une voiture avec chauffeur, vient me chercher en bas de mon appartement, pour me conduire jusqu’à cette boîte. Le trajet dure près de deux heures, la voiture s’arrête devant l’entrée d’une grande maison à l’entrée d’un village. Le chauffeur m’accompagne jusqu’à la porte, sonne, et repart.
Lorsque la porte s’ouvre, je suis accueillie par une femme de 35 ans environs, blonde, très souriante, elle ne parle pas français, elle me guide jusqu’à un comptoir derrière lequel se trouve le général. Il est vêtu d’un costume noir, il est très bel homme.
Dans cette maison m’explique-t-il rien n’est obligatoire, chacun peut faire ce qui lui plait. Il y a un bar, un coin repas, un vestiaire, un sauna, un hammam, des douches, différentes salles, une pièce de projection avec films X et une cave dans laquelle aura lieu une messe noire à minuit. Là par contre, tous ceux qui seront présents devront tout accepter.
Il ne propose de me faire visiter son établissement. Au fur et à mesure que nous avançons dans la boîte, nous rencontrons des couples à qui il me présente.
Il m’explique que j’étais la seule femme célibataire, car j’avais été l’élue de la soirée du fort. Je reconnus plusieurs personnes qui étaient à la soirée précédente.
Le général m’emmène ensuite dans le vestiaire, et il me demande de m’habiller avec ce qui se trouve dans une armoire.
Je me déshabille, dans ce vestiaire, où les participants viennent se changer sans gêne, esprit germanique oblige, très en avance sur nous, pour ce qui est de la pudeur. Plusieurs hommes et femmes se changent en même temps, ils revêtent des sous-vêtements sexys, beaucoup de cuir noir.
J’enfile un slip en cuir noir, très échancré, fendu entre les jambes, un soutien-gorge avec les pointes découpées, laissant jaillir mes tétons, et des chaussures à talons, plus des bijoux, colliers et bracelets en perles. Ainsi vêtue, je retourne vers l’entrée pour rejoindre le général, en croisant une dizaine de couples, j’ai l’impression que tous les regards se portent sur moi, cela me gêne.
Au bar se trouvent également plusieurs couples, il semble y avoir au moins 50 personnes. Le général me félicite sur ma beauté. Il me présente un homme, il me semble reconnaître un maître chien de la soirée, un homme très grand, 40 ans environs, blond, cheveux très courts, très bel homme.
— Bonjour Mademoiselle, ce soir je vais vous guider et vous servir de mentor, je m’appelle Peter.
Il parle français, sans accent.
— Vous êtes français ?— Oui, je suis originaire de Paris.
Il me propose de me rafraîchir au bar, nous nous installons près du comptoir, sur de grands tabourets, j’ai l’air d’une hôtesse dans un bar à putes. Plusieurs couples viennent en allemand parler à Peter, visiblement ma présence les intrigue et les femmes semblent très admiratives de Peter. Ensuite, il me conduit à l’étage, il y avait un grand couloir, qui dessert plusieurs portes.
Il me fait franchir la première, j’entre dans une grande pièce sombre éclairée par quelques lumières rougeâtres, le sol est recouvert de matelas, sur lesquels des couples font l’amour, des hommes délaissent leur compagne, pour s’intégrer à d’autres couples, d’autres couples viennent s’occuper des compagnes délaissées.
Seuls des râles de plaisir se font entendre. Trois hommes s’occupent d’une femme, un homme a ses doigts dans la chatte de la femme, un autre se fait sucer, pendant que le troisième lui caresse le corps. Je regarde ce spectacle avec étonnement, et un certain plaisir. Après dix minutes, Peter m’invite à sortir, en me disant : nous reviendrons peut-être tout à l’heure, continuons la visite.
Nous rentrons ensuite, dans une autre pièce derrière un rideau, toujours pas plus de lumière, là juste à l’entrée, une femme est debout, entourée par 3 hommes qui la caressent, pendant qu’un autre, le mari sans doute, lui parle à l’oreille.
Elle est face à un mur dans lequel sont percés des trous à différentes hauteurs. Certains étaient à environ 1 mètre du sol, d’autres 1,50m et encore d’autres jumelés à environ 1,70m. Peter m’explique que ceux du haut sont pour pouvoir regarder derrière la cloison. Je m’avance et je mets mes yeux devant les trous. Je vois derrière la cloison, une pièce peu profonde, recouverte de matelas, des couples font l’amour, au fond de la pièce, une surélévation permet à certains de s’asseoir. Une femme entourée par deux hommes est assise les seins à l’air, les hommes la caressent, et une autre femme à genoux a placé sa tête entre les cuisses et s’occupe de son minou.
Je regarde ce spectacle quand je sens une main me caresser la chatte au travers du trou, qui se trouve juste à bonne hauteur, je me laisse faire en regardant le spectacle. Ensuite c’est la pointe de mon sein droit qui est titillé par des doigts passés par les trous du dessus. Peter n’a pas eu besoin de m’expliquer la raison des différents trous. Bientôt c’est derrière moi que je sens des mains. Je suis debout face à un mur, avec des mains dont je ne vois pas les propriétaires, hommes ou femmes, qui s’occupent de mon corps. Je me laisse faire pendant que je regarde le spectacle de la pièce.
Une femme d’une quarantaine d’années, blonde est à quatre pattes sur un homme du même âge, assez gros, le sexe de l’homme est dans le vagin de la femme. Un homme du même type est derrière cette femme s’activant dans son cul. La femme est occupée à lécher la minette d’une autre femme assise sur le banc, alors qu’une troisième femme s’occupe des ses seins lourds.
D’autres femmes sont allongées tout près d’eux, et des hommes les caressent en regardant l’accouplement.
Deux doigts ont pénétré dans ma chatte par la fente du slip, et me branlent doucement, il me semble, à la grosseur des doigts et à la douceur, que cela peut être une femme.
Quelqu’un m’embrasse dans le cou, tout en se frottant sur mes fesses. Une main me pelote le sein droit, un autre me branle le clitoris.
Je ne sais pas si Peter est l’un de mes caresseurs. Après 5 minutes, je jouis par les deux doigts dans ma chatte. Je quitte le mur, et me retourne, des corps s’écartent de moi, et disparaissent dans l’obscurité de la pièce.
Peter est là un mètre derrière moi, apparemment il ne faisait pas partie de ma troupe. Il me demande :
-Cela va bien Mademoiselle ?
Je suis étonnée de m’entendre appeler Mademoiselle dans de telle circonstance.
— Oui cela va très bien, merci.
Il me tend une serviette blanche qui se trouve sur un tas, près de la porte.

— vous devez aller de l’autre côté de la cloison, et suivre les indications inscrites sur le panneau intérieur, mais déshabillez-vous auparavant, je vais garder vos affaires. La serviette c’est pour ne pas être directement sur les matelas, si vous désirez des préservatifs, vous en trouverez à l’intérieur.
Je me suis mise nue, et je tends mes affaires à Peter, ne gardant que les bijoux. Je vis le regard de Peter détailler mon corps, en souriant. Je prends la serviette, (comme je prends la pilule, alors les préservatifs n’étaient pas à l’époque vraiment obligatoires, cela a beaucoup changé).
Peter m’indique une petite ouverture au bas du panneau, je suis obligée de me mettre à quatre pattes pour pénétrer dans la pièce. Il y faisait chaud, une odeur de transpiration plane, Je vois des petites étiquettes éclairées sur la face intérieure du panneau. Il est écrit en plusieurs langues : « Mesdames vous devez caresser, sucer, branler ce qui dépasse ou se trouve devant les trous. Chaque trou est une surprise ». Je trouve cela charmant.
J’avance jusqu’au premier trou à quatre pattes, une bite à moitié bandée dépasse. Timidement je saisis ce sexe, et fais coulisser ma main le long du membre, qui rapidement gonfle, me permettant de le branler avec plus de fermeté. Un deuxième sexe puis un troisième jaillirent des trous suivants, je m’avance, changeant de main pour le premier sexe, je saisis le troisième de mon autre main, et je trouve, du moins ma bouche se trouve devant celui du milieu. J’hésite, puis, je suce délicatement le troisième sexe. Mon corps accroupi face à ce mur, bras écartés, branlant des deux bras, je dois être un joli spectacle vu de derrière. Maintenant je masturbe, suce trois bites très dures, je pense à Florence à ce moment, elle aurait certainement aimé être à ma place.
La plus long des sexes est celui de ma main droite, et la plus grosse celle que je suce, maintenant j’ai un peu de mal à la mettre entièrement dans ma bouche, j’adore ce qui m’arrive. Je sens une main se glisser entre mes fesses, on me caresse la chatte, une grosse main, un doigt essaye de me pénétrer, il tente de forcer le passage, mais je suis trop étroite et encore sèche. Le doigt insiste quelques secondes, puis renonce. Il se retire, quitte mon entrejambe, et se dirige vers mes fesses, il me titille la fleur de mon trou du cul. Soudainement le doigt se retire.
Le doigt revient à la charge, mais là il est humide, il a été sucé par son propriétaire. Rapidement il retourne l’orifice qu’il a quitté quelques secondes plus tôt. Il pénètre mon petit trou, ce doigt était gros, il s’enfonce profondément brutalement dans mon fondement. Après une légère douleur, je ressens une douce chaleur m’envahir, plus le plaisir monte en moi et plus j’accélère ma vitesse de pompage et de branlage. Le sexe que je suce, est secoué par l’arrivée de la sève de l’homme et ma bouche inondée par la semence chaude et épaisse de cet inconnu, peut-être celle de Peter … j’avale le sperme, c’est la première fois que je le fais sans connaître le propriétaire. Il a un goût d’amande amère. Le second sexe à ma droite fait de même, et je jouis comme une folle, mon entrejambe est inondé par mon jus. J’abandonne le troisième sexe et je m’allonge sur les matelas pour me remettre de tout cela.
A peine, que je suis allongée, les yeux fermés, qu’une bouche me suce la pointe de mon sein droit, gloutonnement, je laisse faire, mon esprit et mon corps se détendent après ce moment de tension sexuelle. Je repense à ce que je viens de faire surtout de subir, je ne saurai certainement jamais le sperme de qui, j’ai avalé, ni qui j’ai branlé, pas de visage à mettre sur ces sexes…
La «bouche » change de sein, une main me caresse le ventre, c’est très doux, la main pénètre mon entrecuisse et glisse rapidement vers mon clitoris. Cette main est très agile, la caresse très experte. Une autre bouche touche mes lèvres, avant d’ouvrir la bouche, je souhaite voir le visage de l’inconnu. C’est un visage de femme, des cheveux bouclés ornent un joli minois, j’entrouvre la bouche, une langue fine et agile s’empare de ma cavité, c’est très bon, cette bouche sent la menthe. Le baiser dure une longue minute, la bouche quitte la mienne et se saisit de mon téton libre. J’ouvre les yeux, trois femmes s’occupent de mon corps, deux femmes d’une trentaine d’année et une autre de quarante cinq. Elles sont entièrement nues. L’une des deux, la plus jeune était la bouche embrasseuse. Elle a un corps mince, des petits seins en poire, la seconde est plus ronde, avec des cheveux mi-longs bruns, et de gros seins aux larges aréoles. La plus âgée est une blonde, aux seins moyens mais visiblement très fermes pour son âge, c’est elle qui s’occupe de mon sexe.
La blonde introduit deux doigts dans mon vagin et me branle, elle active sa main, comme s’il s’agissait d’un membre, ses doigts en rentrant se courbent vers le haut, provoquant un toucher extrêmement excitant, rapidement c’est un troisième doigt qui me pénètre. La fille au goût de menthe, chevauche mon visage, et positionne sa chatte au-dessus de ma bouche, instinctivement, j’embrasse ses lèvres, je sors ma langue, et je lui fais une minette, ma première minette à une femme inconnue. Son corps suit les mouvements de ma langue, prouvant qu’elle apprécie ce que je lui fais.
La main de la blonde secoue ma chatte maintenant, à une cadence infernale, chaque pénétration fait monter la pression, au bout de quelques instants une jouissance extrême arrive, mes cuisses sont inondées par des jets de plaisirs, je une vraie fontaine, la femme fait encore quelques aller et retour plus doux et repris sa cadence, me provoquant un deuxième orgasme immédiatement. Elle retire sa main, et dépose un baiser sur ma chatte et s’éloigne, retournant joindre un homme qui se masturbe en regardant la scène.
Je continue à m’activer sur la minette de la fille, pendant qu’elles me caressent toutes les deux. Je réussis à faire jouir la fille, je sens son corps se tendre sous ma langue, et une odeur épicée envahie son entre jambe. Je viens pour la première fois de faire jouir une femme. Je suis assez fière de moi….
Je suis nue dans cette petite pièce, trois femmes me donnent du plaisir. Cette situation me rappelle les images de harems, et de ces femmes alanguies au bord des piscines fumantes, j’ai toujours imaginé ce qui ce pouvait se passer autour de ses piscines entre toutes ces femmes à moitié nues. Et là j’ai l’impression d’être dans cette situation.
Elle reste près de moi, me couvrant de baisers. Le mari de la femme de 45 ans qui m’a fait jouir, vient vers moi, il se met entre mes jambes, il est gras, très grand, un sexe court et large, il me regarde, cherchant un regard approbateur.
Voyant ma docilité, il présente son sexe devant ma chatte et me pénètre doucement. Il me baise à demi affalé sur moi, j’ai l’impression d’être emprisonnée dans sous un morceau de viande. Les deux autres filles continuent de me caresser, me permettant d’accepter cet accouplement, que normalement je n’aurai pas accepté. Après 1 minute de pénétration, il se retire son sexe du mien et éjacule sur mon ventre. J’ai rien senti dans mon sexe, aucun plaisir, même la sensation d’être possédée. Sa femme se précipita pour lécher et nettoyer mon corps.
Je profite, de me retrouver un moment seule pour me relever ; je récupère mes affaires et je quitte la pièce en repassant par le trou. Peter m’attend, très digne et souriant.
— Cela vous a plu ?— Oui, c’est la première fois que je fais jouir une fille.— Vous avez eu de la chance, j’ai vu qu’elle était très jolie, c’est Valéria.— Vous avez regardé ?— Bien sûr, le général m’a chargé de vous surveiller, et de veiller que vous profitiez au maximum des possibilités qu’offre cette maison. Il m’a dit que vous manquiez d’expérience. Il veut que vous soyez parfaite comme femme soumise…— Ah !— Venez maintenant, il est temps, pour vous de vous rafraîchir et que vous reprendre des forces, la soirée ne fait que commencer.
Il m’emmène prendre une douche, me donne une grande serviette, je me rhabille, et nous redescendons au bar.
Il y a une trentaine de couples regroupés par table de 4 ou 6, les gens discutent en grignotant après s’être servis au buffet : salades, viandes froides, fromages, desserts. Il y a du vin, de la bière à volonté. Peter m’invite à m’asseoir à une table vide, et va chercher de quoi grignoter.
Peter m’intrigue, il est grand, musclé, très soigné, il se déplace avec une classe surprenante, j’adore sa façon de parler.
A suivre...
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