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Soumission douce

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Aujourd’hui, je suis particulièrement excité. Je lis depuis longtemps des histoires sur ce site ou d’autres, mais, pour relâcher une partie de cette excitation, j’ai décidé pour la première fois de prendre la plume. L’histoire que je vais raconter est totalement vraie. Elle date d’il y a quelques années.
J’avais une trentaine d’années, elle 24 ans. Nous nous étions rencontrés sur un site de rencontres spécialisé dans le BDSM. Nous étions pourtant tous deux novices. Après une première rencontre sulfureuse, que je relaterais peut-être ici dans un second temps, nous avions appris à nous connaître en parlant beaucoup. En évoquant nos fantasmes, nos envies et nos expériences. Nous ne pouvions pas nous voir souvent, car nous vivions en des lieux très éloignés. Une soirée me reste particulièrement en tête, c’est celle-ci que j’ai choisie de vous raconter. Cette soirée dura très longtemps, c’est pourquoi elle m’a particulièrement marqué.
Nous sommes dans un appartement parisien, charmant, sous les toits. Nous avons bien mangé et un peu bu. Nous sommes sur le canapé à nous embrasser tendrement et à discuter. Elle s’appelle Sonia. Elle est très belle. Des cheveux bruns qui tombent en rouleaux sur ses épaules, de grands yeux bleus charmeurs, une bouche parfaite, des pommettes saillantes et un petit nez rond. Elle ressemble à une princesse de dessin animé. Elle a un sourire ravageur. Elle n’est pas très grande, parfaitement proportionnée. Ses seins énormes sont un atout physique absolument déroutant. Ils sont lourds et très fermes, relevés, bombés. On pourrait croire qu’ils sont faux tant ils semblent défier l’apesanteur. Mais je peux certifier qu’ils sont bien naturels et réels. Surmontés de tétons pointus et foncés, ces deux obus parfaits étaient alors cachés par un gros pull de laine. Elle a des formes généreuses, de belles cuisses, un ventre rond mais plat, un cul parfait. Pour ma part, je suis grand, élancé, brun, musclé sec, on me dit bel homme.

Il est déjà tard, au moins 22h, quand mes mains baladeuses se posent avec plus d’insistance sur son cul couvert par des collants sous sa jupe noire. Je sens l’excitation monter, l’ambiance changer. Elle ne tient pas l’alcool et deux verres de blanc ont suffi à rendre ses joues rouges et ses yeux pleins de désir. Je caresse ses cuisses, ses fesses, ses seins à travers de nombreuses couches de vêtements, de rigueur en plein hiver. Rapidement, je baisse ses collants et sa culotte sur ses cuisses. Je malaxe ses fesses à pleines mains, mes doigts s’aventurent vers l’intérieur de ses cuisses, je sens déjà qu’elle est moite, mais préfère ne pas me précipiter. Je continue à l’embrasser, mes lèvres parcourent son cou, sa nuque, les lobes de ses oreilles. Elle soupire en faisant des petits bruits de plaisir. Elle s’allonge sur moi, restreinte dans ses mouvements par ses collants et sa culotte qui entravent ses cuisses. Je remonte comme je peux son pull sur son ventre jusqu’à atteindre son soutien-gorge. Je le remonte également afin de pouvoir m’occuper de ses seins que j’aime tant. En réalité, ce que j’apprécie tout particulièrement, c’est torturer ses tétons. Ils sont très réactifs et durcissent dès que je les pince entre mon pouce et mon index. Je tire dessus, les fais rouler sous mes doigts. Elle gémit de plaisir en me regardant avec ses grands yeux suppliants. Elle n’attend pas de moi que j’arrête mes sévices, mais que j’aille plus loin, que je lui donne plus de plaisir.
N’y tenant plus, je me rassieds sur le canapé et l’allonge en travers de mes genoux. Je me mets à la fesser en alternant des claques légères sur sa fesse droite puis sa fesse gauche. Sa peau claire rougit rapidement. Je vois sa chatte luisante entre ses cuisses, elle lâche de petits cris à chaque nouvelle claque en tournant sa tête pour trouver mon regard. Je glisse deux doigts dans sa chatte. Elle est complètement trempée. J’adore sentir l’excitation d’une femme avant même que nous soyons passés aux choses sérieuses. Cela fait subitement grossir ma queue qui atteint alors sa taille maximale. Elle peut sentir mon érection contre sa cuisse alors que j’alterne entre fessées sonores et caresses appuyées de mes doigts contre sa chatte. Elle me dit soudainement:
"Tu sais, nous avions parlé de se filmer, ça pourrait être un bon moment ?".
Je souris en entendant sa proposition. Je vois bien que l’excitation et l’alcool font un bon mélange et accepte immédiatement. Je me lève et installe mon téléphone de façon à bien cerner la scène. J’ai d’ailleurs du mal à trouver un moyen de le caler, elle me désigne une pile de livres qui feront un appui parfait.
"Tu as plein de bonnes idées ce soir", lui dis-je en souriant et en enlevant mon pantalon.
Je reviens sur le canapé, à présent en caleçon et t-shirt. Elle me dit: "Frappe-moi encore."
C’est la première fois qu’elle me demande une chose comme ça aussi crûment. Entendre ses mots décuple mon envie. Je sens que je suis moi-même possédé par un personnage que j’ai en moi depuis longtemps, mais que je n’ai jamais laissé s’exprimer librement. Je bondis sur le canapé, tire ses cuisses pour la placer à quatre pattes devant moi. J’embrasse son cul encore un peu rouge, le saisis en le pétrissant et lui dis:
"Tu aimes vraiment ça hein ?"
Elle hoche la tête en signe d’approbation. Je lui flanque alors une vraie belle fessée. L’impact de ma paume sur sa fesse ronde résonne dans la pièce, elle se cambre pour me présenter son postérieur comme une belle petite chienne. Je me répète un peu plus fort sur un ton plus sévère:

"Tu aimes vraiment ça hein ?!""Oh oui !"
Je lui remets une belle claque puissante sur le cul. Puis j’enchaîne, ma main se relève et retombe sèchement avec puissance sur son cul. Les claques tombent et retombent sur sa peau qui rougit. Je la frappe de plus en plus fort, elle mouille abondamment et pousse des cris de douleur et de plaisir à chaque nouvelle fessée. Je prends ses fesses dans mes deux mains et les écarte puis je crache sur sa chatte avant de lui enfoncer deux doigts dans sa fente humide et la pénétrer sans ménagement. Mes doigts coulissent vite dans sa petite chatte, ils se recouvrent de sa mouille luisante. Je reprends mes fessées, son cul est cramoisi. J’écarte à nouveau ses fesses et plonge ma tête entre ses cuisses pour lécher sa chatte couverte de mouille. Elle me dit timidement:
"Crache-moi encore dessus.""Demande le-moi mieux que ça, salope." Lui dis-je en souriant."S’il te plaît, crache sur ma chatte."
Je lui crache dessus, étale ma salive sur ses lèvres entrouvertes en la caressant. Je frotte mes doigts contre son clito, ma main s’active à toute vitesse entre ses cuisses. Je lui flanque deux belles fessées et lui crache à nouveau sur la chatte.
"T’aimes ça hein, salope ?""Mmm oui !"
Je recommence à la doigter avec vigueur alors que mon autre main passe sous elle pour se saisir de ses tétons que je tiraille et pince sans retenue. Je bande comme un dingue, je n’y tiens plus et m’écarte du canapé pour enlever mon caleçon et mon t-shirt. Elle reste docilement en place, à quatre pattes sur le canapé.
Ma queue est dure comme de la pierre. Je m’approche de son visage en tendant mon pieu gonflé vers ses lèvres. Elle me prend en bouche sans attendre. Je prends ses cheveux dans ma main et avance mon bassin pour imprimer le rythme de cette fellation que j’attends depuis longtemps. Sa position l’oblige à tourner la tête vers moi et l’empêche de bien me sucer.
"Tourne-toi un peu."
Elle s’exécute et place ses mains sur le côté pour orienter son buste presque face à moi et ouvre sa bouche en grand.
"Voilà..."
Je place mon gland sur sa langue, la main dans ses cheveux ondulés et je reprends mon va-et-vient. Cette fois, je peux m’enfoncer plus profondément.
"Voilà. Là je peux bien baiser ta bouche de salope."
C’est la première fois que je m’entends lui parler aussi crûment. Ses gémissements de satisfaction m’encouragent. Le plaisir intense que je ressens me fait oublier que la scène est filmée et que malheureusement, la caméra ne verra que mon cul et non pas ma queue qui envahit sa bouche. Nous sommes loin d’un cadrage professionnel !
"Hmmm que c’est bon de te baiser la bouche..."
Je la tiens par les cheveux et donne de grands coups de bassin qui me permettent enfin de plonger toute ma queue dans sa bouche. Je sens mon gland qui s’écrase au fond de sa gorge. Ma bite se plie, se tord dans un mélange de plaisir et de douleur, pour parvenir à entrer complètement dans sa bouche.
"Ouvre bien tes lèvres petite salope."
Je baise sa bouche pendant plusieurs minutes. Le rythme est soutenu, sa bave dégouline sur mes couilles et sur son menton. Je sens son nez contre mon bas-ventre quand j’enfonce complètement mon pieu dans sa bouche. Je sens que je ne peux pas durer éternellement sans exploser dans sa gorge et j’ai trop envie de la baiser. Je me retire donc. Elle garde la bouche ouverte et le regard avide comme si elle en voulait encore. Une attitude de véritable chienne que la caméra saisira parfaitement.
Je me place derrière elle, lui remets une belle fessée et place mon gland contre sa chatte trempée. La mouille a dégouliné sur ses cuisses, arrêtée par ses collants qui enserrent toujours ses jambes. Je la prends par la taille et me mets directement à la pilonner comme un fou. L’excitation avait monté et je n’avais plus de patience. Je voulais la prendre comme un sauvage sans réfléchir. Je me déhanche comme un forcené pour défoncer sa chatte chaude et étroite. Elle se met à crier d’une voix aigüe en se mordant parfois les lèvres:
"Oh mon Dieu ! Oh bordel ! Ahhh... que c’est bon !"
Je continue sur un rythme effréné sans relâche comme si nous étions lancés dans une course à l’orgasme et que nous ne savions pas encore qui de moi ou d’elle allait l’atteindre en premier.
"Ahhhh je mouille comme une folle ! Je mouille partout sur le canapé!"
Ce cri me fait sourire et j’ai le réflexe bizarre de me pencher pour tenter de voir si le canapé est vraiment trempé. Je ne suis ralenti qu’une seconde par cette diversion et reprends mes coups de boutoir. Mes cuisses frappent contre son cul, je la baise à toute vitesse en grognant et soufflant comme un animal. Elle s’effondre en avant, elle n’a pas trouvé de position confortable, car elle est encore presque habillée. Son pull, son haut et son soutien-gorge sont toujours retroussés au-dessus de ses seins et ses collants et sa culotte serrent toujours ses cuisses. Elle semble emportée par l’orgasme en plongeant sa tête vers l’avant ce qui a pour effet d’arrondir son dos. Or j’adore voir son dos bien cambré quand je la prends en levrette. Je lui mets une fessée et appuie sur son dos. Elle ne comprend pas. Je tire sur ses cheveux en lui disant:
"Cambre-toi bien salope !"
Une fois qu’elle se remet en position, je reprends mes assauts. Ma queue est en feu, je martèle sa chatte comme un dingue et sens l’orgasme monter. Je finis par jouir en tremblant et en poussant des râles rauques, en me plaquant contre elle afin qu’elle me sente exploser bien au fond d’elle. Je me penche en avant et embrasse son dos, sa nuque, son cou. Je caresse ses fesses, ses côtes, ses seins et ses bras. Je l’enlace par-derrière dans un geste de tendresse partagée. Nous sommes couverts de sueur, nos corps sont en fusion. Puis je me relève pour aller éteindre la caméra. C’est une vidéo que j’affectionne particulièrement. Mais le reste de la soirée n’est gravée que dans nos mémoires. Et elle ne faisait que commencer...
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