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Soumission douce

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Il ne fait pas chaud à Paris en hiver et nous sommes tous deux en sueur, nus dans le salon. Après quelques caresses, baisers et sourires échangés, je propose rapidement de courir nous réchauffer sous une douche chaude. Sonia acquiesce et prend ma main alors que je l’entraîne vers la salle de bain. La pièce est petite, étroite, parisienne. Mais la douche prend presque la moitié de la surface, ce qui lui confère une belle taille. Largement assez pour y être à deux parfaitement à l’aise. Les parois sont couvertes de petites mosaïques carrées vert foncé.
Nous y entrons, je tourne le robinet, l’eau est froide, nous rions, ivres d’alcool et de plaisir. Rapidement, l’eau devient chaude. Elle aime prendre des douches brûlantes. Je préfère l’eau tiède. C’est donc d’un commun accord que nous stabilisons le jet à une température chaude, mais pas trop. La cascade puissante s’abat sur notre peau, nous prenons le temps de rincer nos visages, nos cheveux et nos corps des traces de nos ébats récents. Ce n’est pas la première douche que nous prenons ensemble et elle sait que j’aime la savonner. Avec un sourire en coin et un air malicieux, elle me tend donc la bouteille de savon liquide. Je ne me fais pas prier et étale le doux liquide sur ses épaules. Je caresse son dos, fais mousser ses bras, son ventre et glisse mes mains sur ses seins ronds et fermes. Je les serre entre mes mains, mais redescends rapidement sur son corps pour enduire ses cuisses et ses fesses de mousse blanche.
Elle me tourne le dos, les mains contre la paroi de mosaïque, laissant l’eau tomber sur le bas de nos jambes et nos pieds. Je la lave avec délicatesse et application. Sa nuque, ses hanches, son cou, je n’oublie rien. Mes doigts s’immiscent entre ses fesses et viennent se frotter contre son petit trou serré et l’entrée de sa chatte. Il me semble que malgré la chaleur de l’eau qui ruisselle sur son corps, je peux tout de même détecter qu’une chaleur toute particulière se dégage d’entre ses cuisses. À moins que ça ne soit que mon imagination.
Mes mains remontent sur son corps. Elles glissent grâce au savon que j’ai appliqué sur sa peau douce et se reposent sur ses seins. Ces deux globes énormes me fascinent depuis la première fois que je l’ai vue nue. Ils semblent irréels. Je m’y attarde. Les presse, les malaxe et les caresse jusqu’à ce que ses tétons pointent de désir. Elle se met à gémir, pencher sa tête en arrière et fermer les paupières. Je sais ce que cela signifie. Je pince ses tétons et les fais rouler entre mes doigts. Je tire dessus de plus en plus fort. Les voir s’étendre et se déformer entre mes doigts vicieux me fait bander. Je pince ses tétons sans ménagement, je ne me retiens pas, car je sais qu’elle adore la sensation de douleur qui attise ses pointes. Une main monte sur son cou et se referme sur la peau fine de sa gorge. L’eau coule le long de son dos, trouve le sillon de ses fesses et poursuit sa vertigineuse descente le long de ses cuisses. Cette vision délicieuse achève ma retenue.
Je place mon gland gonflé contre sa chatte et la pénètre d’un seul coup jusqu’à la garde.
— Oh bon sang ! Aaaahhhhh ! hurle-t-elle.

Je prends ses deux seins à pleine main, plie mes genoux pour m’ajuster à sa taille et commence à la pilonner. Nos peaux mouillées font un claquement sonore qui résonne sur la paroi vitrée de la douche. Ses mains sont plaquées sur le mur de mosaïque et elle se cambre au maximum pour m’offrir sa croupe. Je la baise en grognant et en serrant les dents, à toute vitesse. Seuls le bruit de l’eau et les sons de mon bassin qui frappent son cul se font entendre. Il fait chaud dans cette douche, la vapeur commence à envahir la salle de bain. Je la prends par les hanches et maintiens un rythme effréné derrière elle. Qu’il est bon de défoncer cette petite chatte en sentant qu’elle prend autant de plaisir que moi ! Cette petite chatte juteuse qui ne demande qu’à encaisser de nouveaux coups de bite, sans relâche, sans retenue. Je prends ses cheveux devenus noirs car trempés dans mon poing et la défonce comme un forcené. Je sens ses jambes qui tremblent, ses yeux qui cherchent les miens.
Elle se met à balbutier des mots que je comprends à peine:
— Aaahhh... enco... re... Ohhhh... Bon sang..... Mmmmm..... Je... Je... Je jouiiiis..... Mmmm... Bordel.....
Ses genoux flanchent et se plient. Je la retiens par la taille pour continuer ma pénétration. Mais après quelques va-et-vient, je comprends que cette position n’est plus adaptée. Elle a été emportée par l’orgasme et ses jambes ne la tiennent plus. Pourtant je me sens plein de vigueur ! Encore loin de jouir après notre précédente levrette sur le canapé! Je la pose alors au sol et viens m’assoir à ses côtés.
Là, tout devient trouble. Mes souvenirs me trahissent. Sur le sol de la douche, il fait encore plus chaud. Mais surtout, la buée est omniprésente. Il n’y a plus d’air. Je ne sais plus exactement quelles positions nous avons tenté d’adopter pour faire durer le plaisir sans nous retrouver dans des postures inconfortables. Je me souviens d’un long mélange de plaisir et de douleur. J’ai parfois mal aux genoux alors que ses mains glissent sur mes bras, que sa bouche engloutit ma queue tendue, que mes doigts fouillent sa chatte offerte. Je me contorsionne pour la monter dans toutes les positions. La douche exigüe et glissante nous laisse peu de points d’appui pour tenir une cadence soutenue pendant longtemps. Elle jouit encore. Ou peut-être jouit-elle en continu ? Elle semble emportée. Les joues rouges, la peau luisante et brûlante, ses yeux se perdent dans la vapeur qui nous étouffe. Finalement, nous trouvons une position satisfaisante. Ça, je m’en rappelle bien.
Je me retrouve allongé sur le sol dur de la douche, fait de mosaïques vertes lui aussi. Ma tête est calée entre deux parois, la nuque dans l’angle, pour me relever le buste juste assez pour que mes pieds trouvent appui sur les angles opposés. Elle me monte dessus. Elle s’empale sur ma queue tendue. Le jet d’eau chaude tombe sur elle, sur ses cheveux, sur sa poitrine opulente, sur mon torse. Elle respire un peu mieux, car elle est au-dessus du nuage opaque de vapeur blanche qui m’entoure. Je lui prends la taille, elle s’agrippe à l’armature de la douche pour se surélever un peu. Elle a les cuisses bien écartées au-dessus de moi. Je la prends profondément, je monte et je descends le bassin pour explorer sa chatte encore et encore. Je rentre alors dans un état de transe comme je l’ai rarement été dans ma vie. Je suis au bord de l’asphyxie par buée et pourtant je trouve une énergie brutale pour la baiser comme un sauvage.
Je lui prends les seins et pistonne ma queue à toute vitesse sous son corps pour démonter sa chatte trempée. Je sens sa mouille couler sur mes couilles alors même que l’eau de la douche se déverse en permanence sur nous. Pourtant je la sens se liquéfier sur ma queue. Je ne sais plus si je délire ou si mes sensations sont réelles. J’attrape ses cuisses et lui donne des coups si puissants qu’elle rebondit en permanence sur mes cuisses en hurlant les yeux fermés:
— Ohhhhhhh ouiiii je vais mourir !! Je vais mouriiiiiiir ! Je vais mouriiiiiiiiiiir ! Ahhhhhhhhh.
Je lui claque les seins, les cuisses, le cul. Je la défonce comme un possédé. Nous sommes unis dans une danse intense, aquatique et étouffante. La voir prise par un tel plaisir finit par enfin avoir raison de ma fougue. J’explose en elle en m’agrippant à son corps ruisselant et glissant. Je râle, me tords, me convulse de plaisir dans un orgasme d’une puissance inouïe. Elle tombe sur moi. Presque tout de suite, j’ai le réflexe de couper l’eau et d’ouvrir la porte en verre de la douche. Écrasés au sol par le plaisir, exténués par l’effort, nous respirons une première bouffée, presque frais, enlacés sur les petits carreaux de la douche.
Après avoir retrouvé nos esprits, nous nous rinçons à l’eau froide. Nous laissons l’oxygène nous redonner des forces et nous séchons en nous soutenant et nous touchant en permanence. En sortant de la salle de bain, je regarde mon portable et vois l’heure: 2:30!
— Quoi ??? Il est deux heures et demie ?!— Mais non ?— Regarde ! lui dis-je en lui montrant mon portable avant d’ajouter "Ça fait trois heures qu’on baise en continu ??!!"
Elle me regarde et explose de rire avant de dire: "Bon, on va peut-être aller dormir, non ?"
Nous nous dirigeons vers la chambre en riant, fiers de notre performance et légers comme l’air. Je pense à ce moment-là que nous allons effectivement enfin dormir. Mais la soirée n’est pas terminée...
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