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De la soumission au dressage

Chapitre 1

Trash
De la soumission au dressageChapitre 1Je suis Pam la compagne et la soumise de Maître val. Voici mon histoire et comment je suis devenue pour mon plus grand plaisir sa soumise. J’avais 26 ans à l’époque, j’en ai 37 maintenant.Je suis brune mesure 1m65, j’ai une belle poitrine un 90b voir C selon les sous-vêtements. Je suis plutôt bien faite a en croire le regard des hommes, enfin bref je ne me déteste pas devant une glace ! Nous avons avec Val, toujours eu une sexualité sans tabou mais soft. Notre plaisir était surtout dans le choix des lieux de nos ébats plus que dans le genre. Pas mal d’endroits y sont passés, piscines, vestiaires, cabines d’essayage, sur les airs d’autoroute, le sucer au volant de sa voiture, au bord des torrents, debout contre la voiture au bords d’une route, dans les parkings, à mon bureau, au toilettes chez des amis, en forêt, dans le jardin, dans la douche au camping, bref la liste est longue….Il n’en resta pas moins vrai que de Val aimait déjà beaucoup me mettre une petite fessée très soft, me tenir la tête fermement lors d’une fellation, me prendre sans ménagement a 4 pattes, ou me sodomiser. Ceci dit au passage, la sodomie j’adore, et j’ai toujours aimé. Dès la première fois, et malgré la difficulté que mon partenaire de l’époque avait eu à me pénétrer l’anus, malgré la petite douleur au début, j’ai eu un orgasme énorme et ça a été une révélation.Tout a commencé il y a quelques années durant la grossesse de ma fille. J’ai toujours eu une vessie capricieuse et de petite capacité! J’ai été énurétique jusqu’à très tard, environ 13 ans, et après j’ai régulièrement porté des protections (serviettes épaisses) le jour pour éviter les petites auréoles de pipi au fond de ma culotte. Un fou rire, ou un effort et hop c’était parti pour un petit jet ! Durant ma grossesse le problème s’est vraiment posé a cause du bébé qui appuyait sur ma vessie. Val m’a suggérer de me protéger afin d’éviter ces désagréments. Je n’étais pour ma part pas trop chaude mais un jour il est rentré avec un paquet de protections anatomiques. Après discussion j’ai accepté de les porter. J’avais terriblement honte de devoir porter une protection.Val s’est très vite pris au jeu et moi aussi. Il a donc très vite passé la vitesse supérieure et a acheté des change complets, des vrais couches pour adultes. Il s’est petit à petit occupé de moi , il m’a langer chaque soir et avec un change complet pour la nuit très souvent agrémenté d’un ou deux couches droite à l’intérieure. Cela me faisait un gros derrière comme un bébé !Le jour j’ai continué a porter des couches anatomiques ce qui était très pratique. J’avais très très peur que l’on puisse le deviner sous mes vêtements au début et puis c’est devenu normal. Au bureau je faisais tout de même attention a ne pas trop me mouiller mais en dehors j’ai très vite pris l’habitude de mouiller ma couche.Val m’a ensuite demandé de l’attendre le soir pour me changer, je devais donc rester dans ma couche mouiller en attendant qu’il rentre. Il en était de même le matin. Je me levais et laissais le plaisir de me changer a mon chéri. C’est lui qui décidait du moment. Parfois ma couche était très pleine et du coup très lourde. Elle pendait entre mes jambes. Pour remédier a ça Val m’a ensuite acheter des culottes plastique a pression. Ce cette façon ça a réduit considérablement le risque de fuite et surtout ça maintient très bien la couche en place même pleine.Ce petit jeux me plaisait et m’excitait beaucoup. Je me sentais comme infantilisée et surtout très soumise a ses envies. J’avais vraiment honte de cette situation mais en même temps ça m’excitait beaucoup. Très souvent quand il me changeait, il en profitait après m’avoir nettoyé pour me lécher, me doigter et me baiser, c’était divin et terriblement jouissif. Il savait parfaitement qu’en retardant le moment du lange il augmentait mon excitation. Parfois j’en arrivais même à glisser une main dans ma couche avant qu’il ne me change. Tout a basculé un samedi matin, si je peux dire, un matin ou j’ai été très insistante pour qu’il me change vite. Ma couche était très humide, et j’avais de petits problèmes digestifs. Je devais aller aux toilettes rapidement.— Que t’arrives t-il ce matin ma chérie ?— J’ai mal au ventre mon amour retire moi ma couche et laisse-moi aller aux toilettes— Non ma chérie on va se lever boire notre café, et je te changerais en suite.— Je ne tiendrais jamais je ne rigole pas !— Mais si et puis une couche c’est fait pour ça non ! m’a t’il dit avec le sourire aux lèvres. La situation l’amusait beaucoup. Nous nous sommes levés et il m’a glissé a l’oreille — descend nous le petit déjeuner sur la terrasse en nuisette en en couche, j’adore ton gros derrière et te savoir dans ta couche pleine de pipi. T’es une vrai petite pisseuse Je sais que tu aimes ça.De par ces mots j’étais rouge de honte mais il avait raison, j’aimais ça. Sur ces mots Il est descendu au jardin. Pendant ce temps j’ai préparé le petit déjeuné ma couche était lourde entre les jambes et mon mal de ventre se dissipait un peu. Je suis descendu avec le plateau dans le jardin comme il me l’avait demandé. En ces belles journées de juin il nous arrive très souvent de prendre notre petit déjeuner sur la terrasse la fraîcheur matinale est tellement agréable.Nous nous sommes assis et avons papoté en déjeunant. Mes mots de ventre sont revenu de plus belle et a nouveau j’ai eu une terrible grosse envie.— Val mon chéri il faut vraiment que j’aille au toilette. Faire pipi dans ma couche m’amuse mais pas popo si il te plaît !
— A ce point-là ? c’est très urgent ? — Oui— Alors allons-y, on remonte, mais on en profite pour débarrasser en même temps.— Ok ! lui dis-je avec le sourireNous avons donc débarrassé, il m’a donné le plateau et a posé les bols, confiture, pain, et cafetière dessus. J’ai commencé a me diriger vers la maison, je commençais a avoir beaucoup de mal a me retenir, et marcher me faisait du bien.Dans les escaliers j’ai senti sa main a l’intérieur de ma cuisse qui m’a fait des chatouilles, et qui a commencé a provoquer l’impensable. Sous l’effet des chatouilles mon anus s’est relâché et a provoqué un bruit que jamais je n’aurais voulu émettre.Le plateau dans les mains je ne pouvais plus bouger. Val a passé sa main sous mon gros ventre au-dessus du pubis et a commencé a me masser. En me disant doucement :— Vas-y mon amour lâche toi fais ton gros caca dans ta couche ça fait des semaines que j’attends ce moment.— Non je ne peux pas j’ai trop honte— Mais si ma chérie, aller pousse !Je me retrouvais la impuissante les mains prises par le plateau et lui qui me tenait.N’en pouvant plus j’ai laissé mon corps faire ce qu’il devait. Je me suis retrouvé dans une situation que jamais j’aurais pu imaginer. Une mais a l’arrière de ma couche dans un bruit sourd je me suis vidée. Val me disait alors— C’est bien ma chérie tu es une bonne cochonne.— Ça ne m’amuse pas du tout ! Laisse moi j’en peux plus je dois me nettoyer— Non non pas tout de suite pour le moment je te laisse débarrasser le plateau je vais prendre ma doucheEn occupant la salle de bain il était sûr de pouvoir m’en interdire l’accès Je me retrouvais donc comme une cruche la couche totalement sale, en train de vider le plateau. Profitant qu’il prenne sa douche j’en ai profité pour retirer ma couche sale, suis allé au toilette pour finir ce que j’avais commencé, je me suis nettoyée comme j’ai pu avec de l’essuie tout. Je suis allée chercher une couche anatomique que j’ai posé sur le lit et me suis allongée dessus sur le dos afin de finir de me nettoyer avec des lingettes.Trop choquée sur le moment c’est en me nettoyant et surtout en effleurant de ma main le capuchon de mon clitoris j’ai reçu comme un énorme coup d’électricité. J’ai passé un doigt sur mes petites lèvres, elles étaient totalement gorgées de cyprine. Très bizarrement cette situation bien que terriblement sale et humiliante m’avait vraiment excitée. L’envie était trop forte j’ai commencé à me caresser en repensant a ce qui s’était passé.A peine les yeux fermés a sentir l’orgasme monter, Val rentra dans la chambre et me trouva en train de remuer le bassin contre ma main. Nous avons toujours eu l’habitude de nous masturber ensemble et de nous regarder je ne me suis donc pas arrêtée. C’est val qui a pris ma main et qui l’a retirée.Surprise, je lui demande :— Mais pourquoi tu m’arrête j’allais jouir— Non pas maintenant, viens d’abord recevoir ta fessée tu m’a pas attendu pour te changer !N’ayant jamais rien eu contre je lui souris. Contrairement a d’habitude il ne m’a pas juste allongée sur le ventre il m’a relevé les jambes contre ma poitrine et a commencé a me claquer gentiment les fesses. En me caressant le clitoris, j’étais au bord de l’extase.— Tu a envie de jouir— Oui !!! fais-moi jouir prend moi— Attends j’ai pas fini avec toi, viens te mettre sur mes genoux comme une pisseuse que tu es !Ces paroles m’ont électrisée, le me suis levé et suis venue me mettre en travers sur ses genoux dans un état second.Il a recommencé a me claquer les fesse mais cette fois sans douceur, il m’a administré une fessée de plus en plus forte. C’était la première fois que je me faisait claquer le cul comme ça, et mon excitation montait encore malgré la douleur— Tu aimes ça ?— Oui continue— Tu a aimé faire caca dans ta couche ?— Oui ça m’a excité chéri— Tu es une grosse cochonne ?— Oui— Dis le moi— Non— Dis-le que tu es une cochonne— Oui je suis une cochonne— Tu veux que je te baise ?— Oui— Tu veux que je te baise comment ?— Comme tu veux chéri— Dis-moi comment ! comme une cochonne ?— Oui baise moi comme une cochonneIl me cracha dans la raie et me glissa un doigt dans l’anus, je me sentais proche de la défaillance.— Tu aimes ça te faire enculer ?— Oui j’aime ça— Tu veux que je te baise ou que je t’encule ?— Je sais pas— Dis le moi salope— Encule-moi— Plus fort j’entends pas— Encule-moi !— Plus fort— Encule-moi s’il te plaîtIl m’a alors remise sur le lit les jambes contre la poitrine et m’a sodomisée aussi fort qu’il a pu.Mon cul s’est ouvert immédiatement je me caressai la chatte en me faisant enculer et j’ai jouie comme jamais ça ne m’était arrivé, j’hurlai de bonheur en réclamant— Vas-y chéri encule moi encore, je suis ta cochonneMes propres mots m’électrisaient, je ne me reconnaissais pas.Avant d’éjaculer il s’est retiré de mon cul, et m’a glissé sa queue dans la bouche pour me remplir le fon de la gorge de son sperme chaud. A moitié en train de m’étouffer j’ai tout avalé.Totalement épuisée et souillée je me suis assoupie un instant.
Jamais val ne m’avait traité comme ça, ni parlé comme ça. Mes propres mots m’avaient moi même étonnés, mais terriblement excités. Ça a été une révélation sur notre sexualité a venir.
A suivre
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