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Soumission humide

Chapitre unique

Trash
Il est marié et père de deux enfants. Il s’appelle Hubert et son épouse Florence. Leur petite famille mène une vie ordinaire. Du moins, en apparence. Les apparences, c’est la spécialité d’Hubert. Cet homme potelé, au physique enjôleur inspire à ceux qui le rencontrent, une sympathie immédiate. Si vous le rencontriez là maintenant, vous auriez envie d’aller boire un verre avec lui ou de l’inviter lui et sa famille, à diner chez vous. Et vous ne vous douteriez jamais qu’il porte un masque. Le genre de masque que portent ceux qui ne s’assument pas. Et que l’on porte pour cacher son vrai visage. Même Florence ne le connait pas. C’est une femme aimante, très soignée. Mais qui a tendance à toujours se sentir coupable. Peu à peu, au fil des ans, elle s’est renfermée. Elle n’a plus aucune amie qui pourrait lui faire comprendre qu’elle n’est pas responsable de tous les malheurs du monde. Elle se dévoue totalement à ses enfants, son mari et son emploi.
Hubert n’a jamais eu d’ami. C’était un enfant timide, puis il est devenu le souffre-douleur de son collège. Cela ne s’est pas amélioré au lycée. Mais c’est à ce moment-là, qu’il a trouvé de quoi tenir le coup. Pour certains, cela aurait été l’alcool, le foot, les motos, que sais-je encore… Pour Hubert, ce sera la pornographie. Le jour-même de ses dix-huit ans, il entre pour la première fois dans un Sex Shop. À cette époque-là, où Internet balbutiait, on ne parlait pas encore de « boutiques érotiques ». Il n’était pas chic d’entrer dans ce type de commerce. Les femmes y étaient rares. Elles n’échangeaient pas à propose de sextoys. Celle qu’allait fréquenter assidument le jeune Hubert, s’appelait la Librairie Robinson. En apparence, c’était un petit magasin de presse. On venait y acheter le dernier Lui ou Hustler. Mais derrière une porte barrée d’un rideau rouge, se trouvait la véritable librairie, totalement dévouée à la pornographie.
On y trouvait des revues cochonnes venues d’Europe du Nord ou des USA (et bien entendu de France). Des revues souvent spécialisées. Gros seins, filles ados, femmes poilues, femmes enceintes, transsexuels, urologie, sadomasochisme, bondage, scato allemand… Hubert hésitait toujours longuement avant d’y entrer. Malgré la bienveillance du taulier, il était nerveux et avait toujours beaucoup de mal à choisir le magazine qu’il allait ramener chez lui. Pour ses dix-huit ans, il s’en offrit un, qui compilait des photos dans des genres très divers. Et un autre qui ne montrait que des photos de dames léchant et gobant les bourses de leur partenaire. Sortir de la boutique était encore plus difficile que d’y entrer. Hubert craignait les regards des passants. Il se sentait mis à nu. Ce soir-là, il rentra chez lui rouge de honte. Il se masturba longuement en imaginant Florence, qu’il venait à peine de rencontrer, appuyant son nez entre ses couilles.
— Hmmm... J’adore l’odeur de tes couilles, Hub.
Puis elle en goberait une. Elle la sucerait délicatement. Puis, elle lécherait l’autre et prendrait les deux dans sa bouche.
— Tu veux que je te lèche aussi l’anus ? Ça ne me dérange pas, tu sais. Tu es si chaud entre tes fesses.
Il se branlait frénétiquement son pénis, si court qu‘il ne pouvait le branler qu‘avec deux doigts. Il n’avait jamais connu un plaisir aussi intense. Le porno pour la masturbation, c’était bien mieux que les catalogues de sa mère. Les pages lingerie féminine de La Redoute et des 3 Suisses avaient été les supports de ses premières masturbations. Il imaginait maintenant son pénis dans la bouche de Flo. Elle le suçait goulument. Elle en raffolait visiblement. De temps en temps, elle le sortait de sa bouche pour en sniffer le gland, en lécher la hampe. Puis elle le reprenait entièrement dans sa bouche (dans son délire, son pénis était bien plus long).
— Tu veux bien jouir dans ma bouche ? Je veux goûter ton sperme, Hub. S’il-te-plaît. Donne-moi tout. Je ne veux gâcher aucune goutte. Tu veux ? Dis, tu veux ? Allez ! J’en ai trop envie ! Fais-moi plaisir. Donne-moi tout ton foutre à bouffer. Oh lala ! Qu’est-ce que tu me rends cochonne avec ta grosse queue !
Il éjacula. Deux pauvres gouttes sur son ventre mou. Mais il voyait Flo dans son rêve, la bouche inondée d’une telle quantité de semence, que l’on aurait dit qu’elle buvait du lait, en se vidant une brique entière dans la bouche. Elle avala et déglutit bruyamment.
— Hmm ! Miam miam ! C’est si bon, mon chou ! Tu veux bien m’embrasser ?
Il l’embrassa à pleine bouche et sentit le goût de son propre sperme. Il adora. Tout en sachant que jamais, dans la réalité, il n’aurait le cran de faire une telle chose. Quant à Flo, jamais elle ne se comporterait ainsi. Elle lui avait de toute façon annoncé qu’elle ne coucherait pour la première fois avec lui, que le soir de leurs noces. Elle l’avait regardé ensuite avec un air de défiance. Attendait-elle qu’il insiste ? Qu’il la bouscule un peu ? Il n’avait pas osé. Il avait bêtement changé de sujet. Tout le monde répétait que les femmes étaient compliquées. Bref, c’est bien le soir de leurs noces que leur premier rapport eut lieu. Flo cacha sa déception devant le pénis ridiculement petit de son époux. Hub fit ce qu’il put pour la pénétrer et ne pas éjaculer dans la seconde. C’était pathétique. Il parvint tout de même à lui faire deux enfants. Deux filles qu’il adorait. Mais il ressentait toujours une grande frustration.
Dès qu’il était seul, il se réfugiait dans le porno qui envahissait maintenant Internet en haute définition, depuis que le réseau était passé au haut débit. Fini les visites gênantes à la Librairie Robinson. Désormais, il surfait sur le web porno et sauvegardait une quantité affolante d’images et de vidéos sur son disque dur. Il aimait toute sorte de porno. Mais par-dessus tout, il aimait ces scènes où un homme obèse se faisait humilier par des femmes.

Parlons, boulot. Quoi ? Vous n’êtes pas venu ici pour ça ? Attendez un peu, avant de protester. Si mon histoire vous a intéressé jusque là, la suite pourrait vous plaire. Hubert était chef d’atelier chez un fabricant de volets roulants (bon, OK, ce n’est pas très intéressant, là, je le reconnais, mais il faut bien situé le cadre, non ?). Il n’avait vraiment pas le profil d’un chef. Il se demandait chaque jour pourquoi on lui avait confié ce poste. Avec son caractère timide, voir effacé, il manquait clairement d’autorité. Il n’était pas très respecté par les grandes gueules et les brutes. Ses collègues femmes ne lui prêtaient aucune attention. Mais lui, était très attentif à leurs faits et gestes. En particulier, lorsqu’elles se rendaient aux toilettes. Car voyez-vous, les toilettes des dames, dans cette entreprise, n’étaient séparées du bureau d’Hubert que par une fine cloison.
Si fine, que lorsqu’elles allaient faire leurs besoins, il les entendait pisser, à gros flots ou par petits jets. Il n’en perdait pas une… goutte. Il les entendait s’essuyer. Il ne pouvait pas s’empêcher d’imaginer leurs chattes ouvertes et se demandaient si elles étaient rasées ou velues. Si leurs grandes lèvres étaient joufflues ou fripées. Parfois, il surprenait un pet. Assez souvent, le « SPLOSH ! » d’un étron tombant dans le fond de la cuvette, le déconcentrait. Et il devait reprendre son travail depuis le début, la tête en feu. Le soir, il attendait que Flo soit endormie pour se relever. Il allumait l’ordinateur et cherchait une galerie de photos ressemblant à la collègue dont les bruits l’avait le plus excité. Et il se masturbait, assit nu dans son fauteuil grinçant en similicuir. Lorsqu’il se recouchait, Flo murmurait : « Tu as encore mal à l’estomac, mon chou ? »
Le chef du personnel lui a présenté la nouvelle. Elle s’appelle Milena. Elle vient d’un pays de l’Est et parle avec un accent. Elle avait accompagné son mari en France lorsqu’il y fut muté. Ils sont en train de divorcer. Avec son regard très direct, ses cheveux (mal) teints en blond et sa poitrine visiblement augmentée, elle ressemble à une pornstar hongroise. On l’a engagée pour préparer les commandes. Hubert est en train de lui expliquer l’organisation des ateliers, lorsque Céline de la compta se met à pisser de l’autre coté de la cloison. Elle devait avoir une envie très pressante. Elle ne cherche pas à être discrète. On l’entend éclabousser le fond de la cuvette. On l’entend dérouler du papier toilette et le froisser en s’essuyant la minette.
— Merde ! On entend tout ici. C’est dégueulasse ! s’exclame Milena, visiblement choquée.— Euh, d’habitude j’écoute la radio… Euh, alors j’entends rien, bredouille Hubert en rougissant.— C’est cochon ! Très cochon. Je suis dégoûtée. Berk ! Berk !
Elle laisse Hubert seul et honteux, dans son petit bureau. Il pose son smartphone sur son bureau et lance une playlist. Le volume n’est pas assez élevé pour couvrir le bruit des chutes du Niagara, mais si quelqu’un lui fait encore la réflexion, il pourra au moins prétendre ne rien entendre. Il sent que les choses s’engagent mal avec la nouvelle. Elle est trop directe. Elle le fixe d’un regard insolent, dès qu’il entre dans les ateliers. Lorsqu’il retourne dans son bureau, elle le suit et lance à ses collègues : « Je reviens. Je dois faire pipi. »Elle fixe Hubert tandis qu’il retourne s’asseoir en tremblant dans son bureau. Il monte le son de son smartphone et soudain, plus de son. Il est déchargé. Hubert entend Milena ouvrir la porte des toilettes. Il entend le froissement de son pantalon et de sa culotte qu’elle descend sur ses chevilles. Elle lâche un petit gémissement de satisfaction. Puis, elle laisse couler sa pisse.
— Oh, putain ! J’en avais besoin, là.
Hubert comprend qu’elle joue avec lui. Son pouls augmente. Son souffle se coupe. Il se sent au bord de l’évanouissement. Jamais, une femme n’avait était aussi directe et crue avec lui. Il craint de recroiser le regard de Milena lorsqu’elle sortira des toilettes. Il attrape sa veste et fonce au bureau de la secrétaire.
— Il faut que j’y aille ! Flo a appelé. Elle vient d’avoir un accident.
Et il part sans attendre de réponse.

Cette nuit-là, alors que Flo et les filles sont endormies, Hubert allume son ordinateur. Il cherche une galerie de photos avec une fille de l’Est, blonde, gros seins et très trash. Il découvre Fanny Steel. Elle semble allemande. Il adore les pornstar allemandes. Elles sont aussi belles que les françaises, mais en plus d’être belles, elles sont trash. Sur les photos Fanny Steel urine sur la bite de son partenaire, puis le suce. Elle se fait éjaculer sur le visage par deux grosses queues allemandes en même temps. Elle est éclaboussée et pourtant, elle ne cille pas. Avec une autre fille, elle pisse sur un mec assit sur un banc. Une fille lèche ses pieds enduits de… Hubert n’aime pas trop le scato. Même s’il se demande parfois quel effet ça fait de se faire déféquer dessus par une très belle femme. Fanny Steel est une fausse blonde, comme Milena, mais ses gros seins semblent naturels.
Hubert se branle sur toutes les photos qu’il trouve d’elle jusqu’à une heure avancée de la nuit. À trois heures du matin, après avoir éjaculé cinq fois, il décide qu’il est plus que temps de se coucher. Il se détache difficilement de son fauteuil, sa peau collant au similicuir. La sueur de son dos ruisselle entre ses fesses. Il se dégoûte lui-même. Il prend une douche avant de rejoindre sa femme dans son lit. Demain, il devra inventer une histoire pour expliquer son départ précipité.
Il travaille dans son petit bureau lorsque, sur le coup de dix heures, Milena passe lui dire : « Je vais aux chiottes.
— Tu fais ce que tu veux, marmonne-t-il sans la regarder.— Je veux que tu te bouches les oreilles.— J’ai du travail. Je ne dois pas être dérangé maintenant. »
Comme tous les jours maintenant, il l’entend gémir en abaissant son pantalon et sa culotte. Elle pisse par petits jets, qu’elle entrecoupe de gémissements vicieux.
— Oh… Que c’est bon de pisser ! Hmm… Ça me fait drôle dans la chatte… Aah… Mais j‘arrête plus…
Hubert entend tout. Mais il a appris à ignorer le bruit des pisseuses et se concentre sur son travail. Soudain, elle l’appelle !
— Hubert, tu m’entends ? Je sais que tu es là.
Il ne répond pas et rougit à nouveau. Il tremble. Elle insiste.
— Hubert, tu écoutes ? Il n’y a plus de papier. Sois gentil. Viens m’en apporter.— Et merde !
Il se lève et prend un rouleau dans l’armoire. Hubert est pervers, mais il est aussi serviable. Il entre dans les toilettes des dames et laisse tomber le rouleau. Milena l’attend, la porte de la cabine grande ouverte. Elle est à moitié nue. Sous la ceinture. Ses jambes écartées dévoilent sa chatte ouverte, telle une fleur éclose. Elle est rasée, mais elle a gardé un petit triangle noir bien taillé sur le pubis. Il s’approche lentement, les yeux rivés sur son intimité crûment exposée. Il ne peut s’empêcher de porter la main à sa braguette et se met à se tripoter. Il est excité, c’est la première fois qu’il se caresse devant une femme. Le moment qu’il attendait tant, secrètement, est enfin arrivé. Celui où il peut tomber le masque et se montrer tel qu’il est. Pervers, libidineux et laid.
— Mets-toi à genoux Hubert, et approche.
Il obéit et murmure : « Oui, maîtresse.
— Viens, plus près. Tu as peur de moi ?— Non, maîtresse. Enfin, si. Un peu.— Approche et ouvre la bouche. »
Il obéit, et un jet de pisse vient exploser sur ses lèvres.
— Avale tout, espèce de porc ! Bois ma pisse !— Je ne veux pas faire ça, maîtresse.— Obéis ou je te fais mal. Très mal ! Maintenant, bois ! Bois ma pisse, horrible porc !
Un nouveau jet entre droit dans sa bouche. La pisse de Milena est chaude et un peu visqueuse. Elle a un goût de jus de pamplemousse chaud. Il avale. Il déglutit. Il fait la grimace.
— Quoi ? Tu n’aimes pas le Champagne de ta maîtresse ? Si tu n’aimes pas, tu sais ce qui va se passer ! Bois encore !
Elle remplit encore sa bouche. Les joues gonflées, il hésite à avaler. C’est sa première fois. Une larme perle au coin de son œil. Alors, elle le gifle. Et sa pisse gicle de sa bouche et vient la souiller.
— Regarde ce que tu as fait ! Mon pantalon est plein de pipi, à cause de toi ! Tu n’es pas obéissant. Tu es sale et insolent !— Pitié ! Non !
Il fait mine de refuser, mais espère intérieurement qu’elle insiste. Qu’elle le gifle encore. Il vit en ce moment précis son plus grand fantasme. Surtout lorsque le pied de Milena vient se poser sur son scrotum et commence à presser dessus.
— Avale où je te les écrase ! Oh, mais elles sont toutes petites ! Et je trouve pas ta bite. Elle est où ?
Elle lâche encore dans sa bouche, l’équivalent d’une belle gorgée de pipi et le regarde l’avaler docilement.
— Là, c’est bien. Tu vois que tu peux être obéissant…— Oui, maîtresse.— Tu es un bon avaleur de pipi. J’ai presque fini de vider ma vessie. Tu veux bien avaler ce qui reste, chef ?— Oui, maîtresse.
Voilà comment Hubert est devenu le soumis de Milena. Ils se donnent rendez-vous de temps en temps, dans un hôtel près de l’autoroute. Ils vont dans la salle de bain après s’être dévêtue et Milena se soulage sur le corps de son chef d’atelier. Lui, se masturbe. Ils ne font jamais l’amour au sens classique. Elle le regarde caresser son minuscule pénis et lui crache dessus. Parfois, elle s’assied sur son visage et pisse ou lâche des pets. Elle refuse de lui chier dessus parce que on attrape des maladies en jouant avec le caca.Parfois, elle urine dans la gourde qu’il emmène au travail. Et la nuit, seul dans son vieux fauteuil, il laisse couler le contenu sur sa poitrine, sur son ventre et son sexe. Et il se masturbe encore et encore et encore, devant les images de Fanny Steel.
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