Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 23 J'aime
  • 4 Commentaires

Ma soumission à Katia et Franck

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Je suce donc Franck pendant encore un bon quart d’heure. Durant ce temps, les doigts de l’homme se glissent dans le string de Katia. Il la doigte vigoureusement, ce qui la rend folle. Elle se fait de plus en plus câline avec lui et couvre son torse musclé de baisers passionnés.
De mon côté, je n’ai toujours pas vu la chatte de Katia. Elle a gardé son string depuis le début. Tout ce que j’aperçois du coin de l’śil, tandis que je suis occupé à sucer, ce sont ses poils qui débordent du tissu au rythme des caresses de Franck. J’adore cette belle queue dans ma bouche, mais je vous avoue que là, je donnerais n’importe quoi pour glisser mon visage entre les cuisses de ma déesse... pour renifler encore ce nectar qu’elle est venue déposer sur mon nez tout à l’heure, pour enfoncer ma langue dans tous les replis de sa fente brûlante. Cette chatte, l’objet de tous mes fantasmes durant ces dernières années, n’est qu’à quelques centimètres de moi. Pourtant son accès m’est interdit, autant par le string qui la voile toujours, que par l’autorité que le couple a dorénavant sur moi. Vous verrez plus tard que j’aurai à nouveau l’occasion de goûter au jus de Katia... d’une façon un peu particulière...
Soudain, le couple se lève et se dirige vers la chambre à coucher. Tout en malaxant les fesses de Katia, Franck se tourne vers moi et m’ordonne d’une voix qui ne laisse place à aucune réplique : « Toi tu retournes à ta place et tu attends ! Les grandes personnes ont des choses à faire... »
Ils entrent dans la chambre, en tirant la porte derrière eux, mais sans toutefois la fermer complètement. Je retourne m’asseoir et, d’où je suis, je n’aperçois qu’un tout petit coin du lit. Je les entends rire et s’embrasser.
Bientôt, le bruit du ventre de Franck, claquant contre le cul de Katia, remplit tout l’appartement. En tout cas, j’imagine que c’est ça, j’imagine qu’il la prend en levrette. Ce qui est sûr, c’est qu’il est en train de la baiser sauvagement.
Délicieuse humiliation ! Je me dandine sur ma chaise en espérant apercevoir autre chose que le coin du lit. Mais, malgré toutes mes contorsions, le couple reste invisible pour moi. Ma bite n’a pas débandé d’un millimètre. J’ai une furieuse envie de la sortir et de me branler. J’ai l’intuition que ce serait la meilleure branlette de toute ma vie ! Mais comme on ne m’a pas expressément autorisé à me toucher, je préfère garder ma queue dans mon pantalon et mes deux mains sur mes cuisses. J’ai bien compris que les privilèges que l’on m’accorde ce soir sont tributaires de ma stricte obéissance.
Au bout d’un temps qui me semble à la fois interminable et délicieux, durant lequel je guette les bruits de cul, les râles de plaisir et les gémissements, Franck ressort de la chambre, seul. Il n’a toujours pas débandé et j’en conclus qu’il n’a pas encore joui (contrairement à Katia qui, si je me fie à mon ouïe, a déjà atteint l’orgasme au moins trois ou quatre fois).
Franck vient jusqu’à la table basse et se sert un verre de coca. Je comprends qu’il reprend des forces avant de retourner baiser la femme de mes rêves. Son corps bodybuildé est couvert de sueur. L’odeur de sa sueur me remplit les narines d’une façon presque agressive. Je décèle également sur lui toutes les odeurs de l’acte sexuel. Le tout compose une exhalaison fauve et enivrante.
Toujours avec ce regard à la fois dur et moqueur, il me défie durant de longues secondes avant de déclarer :— T’es toujours là toi ? Avoue que t’aimerais bien être avec nous dans la chambre ! Ça te plairait, hein, de me voir baiser Katia, de voir ma queue remplir sa petite chatte ? En attendant tu vas lécher sa mouille sur ma queue !
Ce disant, il approche son membre viril tout près de mon visage. Je sors ma langue et commence à lécher son sexe sur toute la longueur. Bientôt, j’ai dans la bouche le goût intime de Katia. C’est très troublant d’entrer ainsi en contact avec elle, par le biais de la bite de son mec. Je me régale du jus de ma déesse, et je le fais avec d’autant plus d’ardeur que c’est sur le sexe de son homme que je goûte à son nectar précieux : l’humiliation que j’en ressens décuple mon plaisir et ma gourmandise.
Au bout d’un moment, je n’y tiens plus : je prends le gland tout entier dans ma bouche. Les saveurs mêlées des deux amoureux se répandent en moi. Je suce longuement, me délectant du goût de cet amour qui m’est interdit.Tandis que je suce, Franck me dit tout le bien qu’il pense de mon texto :— Franchement, tu pensais vraiment la conquérir avec un message comme celui-là ? T’as pas dû connaître beaucoup de femmes dans ta vie, ça se voit... on a bien ri, Katia et moi, pendant qu’elle m’a lu ton texto. Qu’est-ce que c’était niais ! Heureusement, je la léchais pendant qu’elle me le lisait. Sa voix tremblait à cause de ma langue et ça rendait le truc intéressant... même plutôt marrant, en fait ! Sans ça, je crois que je serais mort d’ennui rien qu’à l’écouter ...
Quand il en a marre de se faire sucer par moi, Franck repousse ma tête sans ménagement et retourne dans la chambre. Bientôt, c’est à nouveau un concert de râles et de gémissements. Cette fois, j’ai la chance d’apercevoir la chevelure de Katia. Je vois les cheveux aller et venir contre le matelas, au rythme des coups de reins de Franck.
Après ce qu’il me semble être une heure entière, un râle bestial m’annonce que Franck est en train de jouir entre les cuisses de ma déesse. C’est le silence pendant un moment, entrecoupé de rires tendres et de chuchotements, puis Franck sort à nouveau de la chambre.

Cette fois-ci, son sexe repu pend entre ses jambes. Tout en se dirigeant vers ce que je suppose être la salle de bain, il m’annonce que Katia veut me parler, seul à seul dans la chambre.
À suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live