Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 74 J'aime
  • 13 Commentaires

La soumission de Lola

Chapitre 5

SM / Fétichisme
Chapitre 5

Lola a eu du mal à s’endormir, hier soir. Il y a eu d’abord ses appels et ses messages à Chloé, restés d’abord sans réponse. Puis ce mail de sa belle collègue, laconique : tout va bien.
Lola a tourné ces trois mots dans sa tête, pendant des heures, cherchant comment les interpréter : Chloé lui cachait-elle la réalité d’une soirée trop éprouvante ? S’était-il passé des choses qu’elle n’avait pas le droit de raconter ? Sébastien voulait-il l’évincer ?….
Lorsque son réveil sonne, l’un des premiers gestes de Lola est de consulter ses SMS, sur son téléphone. Et là, apparaît immédiatement un message, émanant de Sébastien. Elle est si nerveuse qu’elle doit s’y reprendre à deux fois, avant de parvenir à l’ouvrir, et son cœur bat la chamade.
— Ce soir, tu viendras chez moi, directement après ton travail. Chloé te conduira. Je vais lui donner des ordres pour toi, que tu devras exécuter, sans discuter, comme si j’étais en face de toi. Pour te rendre à ton bureau, tu mettras juste une petite robe d’été, légère et très courte. Elle devra impérativement se fermer devant par des boutons. RIEN en dessous. Et des chaussures, avec les plus hauts talons que tu aies. A ce soir, ma salope soumise.
Les réactions de Lola alternent, entre l’excitation, le soulagement de ne pas se faire "larguer" déjà par son Maître, et l’appréhension lorsqu’elle essaie d’imaginer cette soirée, certainement hard. Elle se rassure, en se disant que Chloé lui en dira sûrement plus, lorsqu’elles s’enfermeront dans son bureau après la pause café du matin.
A demi confiante, elle prend sa douche, se parfume et se maquille soigneusement. Puis elle choisit, dans sa penderie, une robe conforme aux ordres de Sébastien. Elle n’en a qu’une, qui répond à ses exigences, une robe en coton blanc à fines bretelles, qu’elle porte plutôt pendant les vacances, et elle l’enfile devant son miroir.
Elle grimace en regardant son reflet. Les pointes sombres de ses seins marquent un peu à travers le tissu, qui est légèrement transparent dans la lumière. Il faudra qu’elle fasse attention pour ne pas en montrer trop, sur son lieu de travail.
Pour les chaussures, elle sort une paire de stilettos qu’elle avait achetée à l’occasion du mariage d’une amie, et qu’elle n’avait pas remise depuis. Trop inconfortables. Des talons d’une douzaine de centimètres, et des semelles à patins. Heureusement, elle se déplace peu dans la journée, mais elle doit s’avouer que sa silhouette est terriblement sexy.
Elle part dans cette tenue pour rejoindre son travail, et dès qu’elle est arrivée, elle cherche à joindre Chloé. Mais son assistante lui répond que, contrairement à ses habitudes, la jeune et jolie cadre n’est pas encore là, et qu’elle n’a donné aucune nouvelle…
A cet instant, Chloé se réveille chez elle, et s’aperçoit avec horreur qu’elle n’a pas entendu son réveil. Ça ne lui arrive jamais !
Elle se précipite, et consulte ses messages tout en buvant son café. Elle aussi a reçu un SMS de Sébastien.
— J’ai envoyé un SMS à Lola, lui indiquant la tenue à porter aujourd’hui. Tu devras revêtir une tenue similaire : une robe d’été légère, boutonnée devant, sans rien dessous. Je lui ai précisé que je te donnerai des instructions, qui la concernent aussi, et qu’elle devra t’obéir, comme à moi. Voilà ce que tu vas exiger d’elle….
Chloé relit plusieurs fois le message, incrédule. Pauvre Lola. Va-t-elle accepter ? Mais elle n’a pas vraiment le choix. Et cet ordre n’est que le premier de ceux auxquels elles devront se plier ensuite, toutes les deux, elle le devine.
Une fois habillée en suivant les consignes de Sébastien, elle se rend très vite à son bureau. Elle blêmit en remarquant que son string et son soutien-gorge, enlevés la veille avant son départ, ont été déplacés. Ils sont maintenant bien en vue, signe que l’homme d’entretien – et peut-être des collègues – les ont vus et touchés.
Lola essaie de la joindre, mais elle lui fait répondre qu’elle est occupée, et elle ne prend pas sa pause en milieu de matinée, pour rattraper son retard de ce matin.
Les deux femmes se croisent seulement très vite, à l’heure du déjeuner, et Chloé ne répond aux questions pressantes de Lola que par cette simple instruction : retrouve moi au parking, à 17 heures 30.
En fin de matinée, Lola, de plus en plus anxieuse, rejoint Chloé à sa voiture. Le trajet vers la maison de Sébastien, que Lola ne connaît pas encore, commence dans un silence pesant.
Au bout d’une dizaine de minutes, Chloé profite d’un ralentissement pour déboutonner le haut de sa robe, et découvrir sa poitrine. Lola, stupéfaite, regarde les seins durs et gonflés, offerts aux regards des autres automobilistes, et Chloé redémarrer au milieu des embouteillages.
— Fais comme moi, ordonne-t-elle à Lola. Et toi, ouvre entièrement ta robe.— Mais… On va nous voir !— C’est l’ordre de notre Maître. Et si tu veux le savoir, j’ai déjà fait ça en me rendant chez lui, hier.— Tu as fait ça?! Tu devais être morte de honte.— Oui, mais ça m’a excitée en même temps. Allez, dépêche toi, obéis ! On doit lui envoyer des photos par MMS.
Subjuguée, Lola dégrafe sa ceinture, pour pouvoir déboutonner et ouvrir sa robe sur toute sa hauteur, tandis que l’alarme sonore pour défaut de ceinture résonne dans l’habitacle, assourdissante. Pendant qu’elle remet sa ceinture, elle aperçoit les regards égrillards de deux hommes, dans une berline immobilisée elle aussi par le trafic, à leur hauteur. Ils lui font signe de baisser sa vitre, mais elle tourne la tête, honteuse, humiliée.
Chloé ne lui laisse aucun répit.
— Prends nous en photo, avec ton smartphone, et envoie les à Sébastien.
Lola a l’impression d’être arrivée sur une autre planète. Malgré tout, docilement, elle prend trois clichés les montrant toutes les deux, et avant de l’envoyer à leur Maître, elle regarde l’image. Elle a du mal à réaliser que c’est elle, cette fille se montrant à poil, sans pudeur. Ses seins pointent, agressifs, et son petit minou tout lisse se reflète dans le pare-brise.
Comme la veille, le boulevard est saturé, et parcourir les deux kilomètres prend près d’un quart d’heure. Les deux femmes ont maintes occasions de se faire mater, klaxonner. Surtout Lola, qui se demande quand ce supplice prendra fin.
Enfin, elles atteignent le dernier giratoire, et s’engagent sur des petites routes moins fréquentées. Puis, Chloé annonce à sa passagère :
— "Il" habite au bout de cette rue.
Elle se gare, à l’entrée d’une avenue bordée d’arbres, laisse sa robe largement entrouverte, et descend de sa voiture, qu’elle contourne pour ouvrir la portière de Lola, en train de se rajuster.
— Pas la peine de te reboutonner. Enlève ta robe, et laisse la sur ton siège, lui ordonne-t-elle.— T’es dingue ?!— Ce sont les ordres de ton Maître. Tu dois obéir, sinon on va dérouiller. Toutes les deux.— Mais on va me voir à poil, en pleine rue ! Insiste Lola, sur un ton suppliant, au bord des larmes. C’est où, l’entrée de sa maison ?— A deux cents mètres. Ce n’est pas si loin que ça.— Tu ne te rends pas compte !— Grouille. On va finir par être en retard.
Vaincue, Lola défait les trois boutons qu’elle avait refermés, fait glisser sa robe, et la lance à l’intérieur de la voiture. Chloé, soulagée de voir Lola obéissante, fouille son sac à main.
— Attends. Ce n’est pas tout, ajoute-t-elle, en sortant une paire de menottes. Mets tes mains derrière ton dos.— Non, fais pas ça ! Dit Lola, d’une voix blanche, et cette fois, des larmes coulent sur ses joues.
Mais Lola obéit malgré tout, et elle sent les bracelets de métal enserrer ses poignets. Elles sont encore un peu cachées par la voiture jusqu’à ce que, après avoir claqué la portière, Chloé la prenne par le bras pour la faire avancer sur le trottoir.
Elle ne parvient pas à réaliser ce qui lui arrive. Une voiture passe dans la rue, et freine brutalement pour ralentir à la hauteur des deux femmes avant de ré accélérer. Une pensée tourne en boucle, dans sa tête : je suis entièrement nue, menottée, en pleine rue, et tout le monde peut me voir. En même temps, elle se rend compte que sa situation de soumise exhibée "l’innocente" de toute responsabilité, et qu’elle éprouve du plaisir en se sachant regardée.
Une autre voiture ralentit à sa hauteur, et klaxonne. Ses seins sont tendus, elle a l’impression qu’ils ont doublé de volume, tant elle les sent peser et palpiter. Et sa chatte coule, coule…
Elles parviennent enfin devant l’entrée de la propriété de leur Maître, et Chloé sonne au vidéophone.
A l’intérieur de la maison, Sébastien jubile en apercevant sur le petit écran du portier les deux femmes, et surtout Lola, nue. Il fait durer le plaisir, et il bande, en voyant une voiture passer au pas, avant de libérer la gâche du portail.
Poussée sans ménagement par Chloé, Lola pénètre dans le grand jardin, et découvre, impressionnée, la propriété de son Maître. Elle ne peut s’empêcher de penser que ces lieux seront le cadre de son initiation, qu’elle espère et redoute en même temps. Mais après tout, Chloé a vécu la même chose la veille, et ne s’en est pas plainte ? Du moins, pas devant elle.
Lorsque la porte de la maison s’ouvre, Lola se retrouve face à face pour la première avec l’homme auquel elle s’est déjà soumise virtuellement. Elle n’est pas déçue par ce qu’elle voit. Il se dégage de Sébastien une expression de force, de sensualité virile, et d’autorité. Comme la veille, il est moulé dans un pantalon de cuir, et son débardeur noir met en valeur son torse.
Sébastien lui aussi est ravi, bien qu’il n’en laisse rien paraître, de contempler Lola. Sa nudité. Ses seins projetés en avant par ses bras retenus derrière son dos, sa chatte lisse et ses cuisses fuselées. Comme il va prendre du plaisir, en possédant et torturant ce joli corps ! Et ce visage, apeuré, encadré par la chevelure flamboyante de sa soumise, sera du plus bel effet, en photo.
Il ouvre la porte en grand, et Chloé lui offre ses lèvres. Sous les yeux de Lola, qui ne sait quelle attitude prendre, ils échangent un baiser plein de sensualité, avant que les deux femmes le suivent jusque dans le salon.
Toujours menottée, Lola regarde autour d’elle. La pièce lui semble immense. Le grand miroir qui occupe un mur, et qui lui renvoie l’image de son corps sans voile, les photos érotiques sur les murs, tout respire le luxe et la volupté.
— Nous allons nous rendre directement dans la salle des plaisirs, que tu as découverte hier, dit-il à Chloé. Ce soir, tu seras mon assistante, pour dresser ta salope de collègue. Enfin, dans un premier temps…
Tous ses sens en éveil, Chloé cherche en vain à comprendre ce que cache dette dernière phrase. Mais il reprend aussitôt :
— Avant, vous allez vous mettre en tenue. Chloé, enlève ta robe et tes chaussures.
Elle finit de déboutonner sa robe, qui baillait largement sur sa poitrine nue, la fait glisser le long de ses bras. D’un geste gracieux, elle la lance sur un canapé, et retire ses chaussures. Sébastien lui tend une paire de cuissardes, aux talons incroyablement hauts, qu’elle enfile.
Puis, il fixe, comme la veille, un collier autour de son cou, et des bracelets de cuir à ses poignets. Cette fois, une large ceinture de cuir, ornée de gros clous, vient compléter cette tenue. Sébastien la serre au maximum, pour amincir encore sa taille, et mettre en valeur ses hanches et son petit cul cambré.
— Occupe toi maintenant de Lola. Elle va porter les mêmes accessoires de novice que toi, hier. Ils sont là, ajoute-t-il en désignant une table basse.
Chloé attache les mêmes bracelets qu’elle, aux poignets, mais aussi aux chevilles de Lola. Le collier est également identique, avec, comme pour Chloé la veille, une laisse accrochée par un mousqueton, qui pend entre les seins de Lola. Pour finir, elle doit échanger ses chaussures contre des escarpins, aux (très) hauts talons, et aux semelles montées sur des patins.
— Laisse moi m’occuper de sa poitrine, dit Sébastien.
D’une main, il saisit un des tétons de Lola, le tourne, le pince, l’étire, jusqu’à ce qu’une grimace de douleur déforme le visage de Lola. Puis il prend une pince à sein, et la fixe sur le mamelon, en la réglant pour que le petite pointe dardée soit écrasée. Et c’est au tour du deuxième nichon de la jolie rousse d’être maltraité.
Chloé observe ce manège, qui lui rappelle ce qu’elle a subi hier soir. A cette évocation, et au souvenir de ce qui s’en est suivi, sa poitrine gonfle, darde, et sa chatte mouille. Et Lola, à sa grande surprise, ressent les mêmes effets, malgré la douleur.
Mais Lola a droit à un traitement encore plus dur…
Sébastien sort un coffret d’un placard, et s’approche d’elle à nouveau. Il tient deux poids métalliques, en forme de grosses gouttes d’eau, et les accroche aux pinces. Lola sent ses seins tirés vers le bas, les pinces lui font horriblement mal. Son regard surprend son reflet dans le miroir, et elle prend conscience de son humiliation : c’est elle, cette femme exposée nue, en laisse, avec sa poitrine qui pend ?
Mais Sébastien ne la laisse pas réfléchir.
— On va aller dès maintenant dans ma "salle des plaisirs" (Chloé frémit, comprenant qu’il s’agit de la pièce dans laquelle elle a été initiée), et toi, Lola, tu vas être ma servante, docile. Prends ce plateau, et surtout, ne renverse rien.
Tout en parlant, il a disposé sur un grand plat en argent un seau à glace, dans lequel il a placé une bouteille de champagne millésimé, et deux flûtes. Lola le saisit, de ses mains tremblantes, et suit Chloé, qui la mène par la laisse.
Le trio sort, et Lola éprouve à nouveau une excitation qu’elle voudrait refouler, en goûtant la caresse de l’air du soir sur son corps. En quelques pas, ils rejoignent le local où Sébastien a installé son "donjon", pour reprendre le terme consacré dans le monde du BDSM.
Le Maître désigne à sa servante la table sur laquelle elle doit déposer le plateau, et au moment où elle le laisse, elle fait basculer une flûte. Elle la rattrape avant qu’elle ne se brise, mais Sébastien saute sur l’occasion offerte par cette faute.
— Espèce de salope maladroite ! Tu as failli casser cette flûte en cristal. Je ne peux pas admettre ce genre de faute d’une de mes soumises. Attache-la, Chloé !!
Chloé empoigne Lola par les cheveux, et pousse celle-ci, gémissante, vers les cordes suspendues au plafond. Elle lui fait lever les bras, fixe les mousquetons aux anneaux de ses bracelets, et tire sur les cordes. Lola se sent soulevée, c’est à peine si ses pieds touchent encore le sol. Malgré elle, sa tête se penche en arrière, tandis que, malgré les poids, ses nichons sont remontés par la traction sur ses épaules.
Chloé n’en reste pas là. Elle l’oblige à écarter les jambes, pour attacher ses chevilles à des anneaux fixés dans le carrelage en pierre. Lola se retrouve dans l’impossibilité totale de bouger du moindre centimètre, écartelée, offerte dans cette position indécente. Et malgré sa peur et sa honte, un filet de cyprine coule à la naissance de ses cuisses.
Elle blêmit et tremble, quand Sébastien s’approche d’elle, l’œil mauvais.
— Alors, tu ne peux pas faire attention ? Aboie-t-il.
Il accompagne ces paroles de gifles sur sa poitrine. Ses seins ballottent, sous la violence des coups, entraînant les poids qui les déforment et écrasent ses tétons. Elle hurle de douleur, avec pour seul résultat de déclencher de nouvelles paires de claques sonores.
Chloé regarde son amie se faire martyriser, sans oser ni pouvoir réagir. Mais en a-t-elle vraiment envie ? Elle ressent de l’excitation, en regardant la jolie rousse, nue, attachée, livrée à la perversité de leur Maître et amant.
Des larmes roulent sur les joues de Lola, ravageant son maquillage. Sébastien lui laisse un moment de répit, et remplit les deux flûtes de champagne. Il en offre une à Chloé, et porte un toast.
— A toi, Chloé, ma belle soumise. Et à Lola, qui va devenir une fieffée salope pour notre plus grand plaisir. Même si son éducation risque d’être longue et douloureuse.— A toi, mon Maître. Et à Lola, notre élève, répond Chloé en souriant.— Ne te fais quand même pas trop d’illusion, Chloé, ton initiation n’est pas terminée. Mais chaque chose en son temps…
Le sourire de Chloé se fige, ce qui n’empêche pas le couple infernal de porter les flûtes à leurs lèvres, et de savourer le champagne frappé à la température idéale. Et Sébastien revient vers Chloé, la bouteille à la main.
— Je ne voudrais pas te priver du plaisir de goûter à ce délicieux champagne. Même si tu dois le boire comme il convient à une esclave.
Il lève la bouteille, place le goulot dans la bouche de Lola, et la penche. Le breuvage se déverse dans sa gorge, la laissant à peine respirer, et coulant sur son menton et sur sa poitrine.
— Mais tu bois comme une cochonne ! Un champagne de ce prix…
Il repose le flacon, et sort d’un tiroir une roue à pics, qu’il approche de la poitrine de Lola, paniquée.
— Connais tu cet instrument, petite salope ?— Non, mon Maître. Je n’en ai jamais vu... Je ne sais même pas à quoi ça sert.— Eh bien, je vais te montrer !
Tout en sirotant son champagne, Sébastien pose la roue sur le sein droit de la jolie rousse. Bien qu’il n’appuie pas, les pointes acérées piquent sa peau fragile et délicate, et elle pousse un petit cri aigu, en réalisant aussitôt ce qui l’attend.
Il fait tourner la roue autour de son joli nichon dur et tendu, en variant la pression qu’il exerce. Elle cherche à échapper à cet engin de torture en bougeant son buste, avec pour seul effet de joindre le tiraillement des poids sur les pointes de ses seins, aux piqûres de la roue.
— A toi de jouer, Chloé, dit-il en lui passant la roue. Occupe-toi de son sein gauche. Je crois qu’elle commence à aimer…
Et le pire, c’est qu’il a raison, pense Lola. La douleur s’accompagne de plus en plus d’un plaisir trouble et diffus, qui gonfle sa poitrine, et la fait mouiller comme une fontaine. Chloé a pris le relais, et fait preuve de plus de brutalité que son Maître. Les pics roulent et poinçonnent les jolis seins de Lola, venant s’enfoncer dans ses aréoles hypersensibles.
Sébastien ne perd pas une miette du spectacle offert par les deux femmes. La perversité de Chloé le ravit, et le pousse à aller beaucoup plus loin avec elle. Elle sera à la fois son jouet sexuel, et son instrument pour soumettre et humilier Lola, à un point qu’elles ne peuvent même pas imaginer, l’une et l’autre.
Pendant que Chloé continue de la faire souffrir, Sébastien prend la bouteille de champagne, et la place entre les cuisses de Lola. Il écarte de sa main libre ses petites lèvres maculées de mouille, ouvre sa fente déjà consentante, et pousse le goulot dans sa chatte.
Elle pousse une sorte de rugissement sauvage, qui vrille l’air de la pièce, surprise autant par cette pénétration que par le contact avec le verre glacé. La bague renflée lui fait la même impression que le gland d’une queue d’homme, écartant les parois de sa grotte. Encouragé par sa réaction, Sébastien enfonce plus profondément la bouteille, dont le diamètre s’élargissant dilate sa fente de petite salope.
Lola se tortille, suspendue par ses poignets, oubliant la souffrance que provoque les cordes tendues dans ses bras. Ses cris et ses gémissements sont maintenant ceux d’une femme submergée par le plaisir, et Chloé et Sébastien s’en donnent à cœur joie. La roue à pics laboure ses seins, la bouteille coulisse dans son minou.
Sébastien retire le goulot luisant de cyprine, et le place dans la bouche de Lola.
— Goûte, salope. Ton jus mêlé au champagne… Goûte moi ce kir royal à la mouille !
Et Lola boit. Elle tête le goulot de la bouteille, comme si elle dévorait une bite. Chloé, sans se toucher, est au bord de la jouissance, tant ce spectacle l’excite. Sébastien sent un désir animal l’envahir aussi. Il arrache presque ses vêtements, et Lola, du coin de l’œil, découvre le corps nu de son Maître, pour la première fois réellement. Sa queue épaisse et dressée. Elle voudrait la sentir en elle, la baisant de toutes ses forces.
Comme s’il avait deviné ses pensées, il  la détache.
— Allonge toi sur la table, Chloé. Elle va bouffer ta chatte.
Chloé ne demande que ça ! Elle se rappelle de sa soirée torride avec Lola, sur sa terrasse, cette dernière relation virtuelle avec Sébastien, avant que leur "éducation" commence réellement. Sébastien a poussé brutalement Lola, l’a obligée à se pencher, entre les cuisses de Chloé, qui saisit la chevelure flamboyante pour attirer ses lèvres sur son mont de Vénus.
Chloé crie de plaisir, lorsqu’elle sent la langue qui lèche son petit bouton, et s’insinue dans son fourreau inondé de mouille. Derrière Lola, Sébastien saisit ses hanches.
— Cambre toi, ma salope, présente moi ta chatte de cochonne… Mieux que ça, aboie-t-il, en assénant une énorme claque sur ses fesses, y laissant les traces de ses doigts. Demande moi de te baiser.— Oh oui, mon Maître, répond Lola, se cambrant au maximum, et délaissant un instant Chloé. Baise moi.— Dis que tu es ma salope soumise. Que tu veux que je défonce ta chatte. Que je peux faire de toi ce que je veux !— Je suis ta salope… soumise… mon Maître…. Ooooh (Il vient de s’enfoncer en elle d’une seule poussée)… Oui, baise moi… baise moi comme une pute… Je t’appartiens, fais moi ce que tu veux.
Chloé l’a obligée à se taire, en écrasant son visage contre son abricot juteux. Lola la doigte en même temps, tenant difficilement debout, tant Sébastien la pilonne brutalement. Ce sont maintenant des gémissements et des ahanements bestiaux qui remplissent la pièce.
Dominée par Chloé. Soumise à Sébastien, qui met le feu parois de son antre avec les va-et-vient furieux de son pieu bandé. Et ses seins, pendants, qui ballottent sous elle, au rythme de ce coït, et qui viennent frapper le bord de la table. Elle est humiliée, comme elle ne l’a jamais été. Mais cette humiliation participe à son plaisir.
Après de longues minutes, c’est l’explosion. Chloé jouit la première, sauvagement, suivie par Lola. Sébastien parvient encore à se contrôler, et défonce le petit coquillage de Lola, comme un taureau en rut. Et enfin, il décharge dans son minou, le remplissant d’un foutre crémeux, déclenchant un autre orgasme chez Lola, à demi inconsciente.
Sébastien se retire, et elle regrette le vide de son fourreau, au fur et à mesure que la longue tige réapparaît. Mais elle comprend qu’elle n’est pas quitte, lorsqu’il empoigne ses cheveux pour la remettre debout. Sans ménagement, il la conduit face à la grande croix de Saint André, à laquelle elle n’avait pas prêté attention jusqu’à présent, et il décroche les poids accrochés aux pinces à seins.
Il attache ses poignets, ses chevilles, et elle se retrouve écartelée sur l’inquiétant appareil. Chloé, elle, s’est relevée aussi, et s’approche de sa collègue crucifiée. La voir ainsi offerte, sans défense, l’excite prodigieusement, et elle se découvre un instinct de dominatrice.
Sébastien admire, satisfait, ses deux soumises. Elles répondent l’une et l’autre à ses attentes, bien au-delà de ce qu’il espérait quand il avait commencé à chatter avec elles. Et ce n’était qu’un début !
Il retourna vers une des armoires qui meublent la pièce, et l’ouvre. Il en sort une cravache, et un plug anal muni de deux boules, ressemblant à des boules de geisha. Lola réalise immédiatement que ces deux "jouets" lui sont destinés, et la peur la saisit de nouveau.
— Tu ne comptais pas t’en tirer à si bon compte, j’espère, lui dit Sébastien. Tu vas goûter aussi à la cravache. Demande à ta copine, elle a adoré ça, hier. N’est ce pas, ma salope ?— Oui, mon Maître, reconnaît Chloé. Tu m’as fait mal, mais j’y ai pris tant de plaisir.— Bien. Cette fois, c’est toi qui va corriger Lola.
Un large sourire illumine le visage de la jolie brune, lorsqu’elle saisit la longue tige de cuir tressé, terminée par une large mèche. Lola, affolée, la regarde armer son bras, et ferme les yeux en se cambrant, dans l’attente du coup. Mais elle ne peut retenir une longue plainte, lorsque le cuir vient cingler son joli cul.
Chloé sent sa mouille couler, en entendant le claquement sec de la cravache et le cri de la suppliciée, et en contemplant la strie rouge qui apparaît sur ses fesses. La souffrance de Lola la galvanise, et la cravache s’abat une deuxième fois, avec plus de force. Puis une troisième fois, une quatrième… Lola hurle, tandis que ses fesses se marquent d’un rouge sombre.
— Nous allons faire une pause, Chloé, lui annonce Sébastien. Moi aussi, je vais m’occuper de son petit cul, mais différemment… Cambre toi, Lola.
Soulagée que cessent les coups, Lola obéit. Sébastien passe ses doigts entre les cuisses de la jolie rousse, et trouve son abricot bien juteux.
— Ça t’excite, ma salope, de te faire fouetter ?— Oui, Maître. J’avoue…— Rassure toi. Tu n’as pas fini de dérouiller. Cambre toi encore plus…
Lola sent qu’il écarte les globes douloureux de ses fesses, et fait aller et venir un doigt plein de cyprine autour de son petit trou. Elle ferme les yeux, en attendant la pénétration qui, elle le sait, ne va pas tarder. Elle aime se faire enculer. Sébastien le sait, lui qui a assisté grâce à la webcam à son duo avec Chloé. Alors, elle ne retient pas un gémissement de plaisir, lorsque le doigt s’enfonce en elle, et commence à coulisser.
Lola remue imperceptiblement ses hanches, pendant que Sébastien la prépare. Les doigts se font plus nombreux. Leurs mouvements plus rapides. Sa rosette s’ouvre, et son minou coule de plus belle.
Sébastien présente le plug devant ses lèvres. Il lui ordonne de le sucer, de l’enduire de salive, et une fois de plus, elle obéit. Puis Sébastien le glisse entre ses fesses. Elle se cambre, pour accueillir les deux boules de silicone, qui disparaissent sans difficulté dans son petit œillet plissé.
— Vas y Chloé ! Ordonne Sébastien. Elle n’a pas eu son compte.— Avec plaisir, Maître, répond Chloé, en levant la cravache.
A nouveau, la tige de cuir claque sur les fesses de Lola, les zèbre de traces rouges. La malheureuse se cambre, et chaque coup ébranle les billes placées dans les boules du plug, en faisant un objet animé. Pour Lola, la douleur et le plaisir se mêlent, et Sébastien se branle en contemplant la scène.
La jolie rousse se tord sous les coups de sa collègue, et chacun de ses mouvements déclenche un véritable tremblement de terre dans son petit cul. Sébastien écarte Chloé, et l’oblige à s’agenouiller. Celle-ci comprend instantanément ce que veut son Maître, et elle prend son chibre bandé à mort dans sa bouche.
Il sent les lèvres pulpeuses de Chloé s’emparer de son gland, le couvrir de baisers légers, l’engloutir peu à peu. Il à l’impression d’être au paradis. Les yeux mi-clos, il empoigne ses cheveux, pour contrôler le rythme de sa fellation, et de sa main libre, il saisit l’anneau du plug pour le faire coulisser entre les fesses de Lola.
Lola croit devenir folle, tant elle ressent du plaisir à se faire sodomiser de cette manière. Attachée, impuissante, elle est livrée sans défense à son Maître.
— T’aimes ça, hein, salope ?— Oh oui, mon Maître. Je t’en prie, fais moi jouir. Je suis à toi. Je suis ton jouet, ton esclave.
Les grognements étouffés de Chloé, et les mots crus de Sébastien la font exploser de plaisir, sans qu’elle puisse se contrôler. Mais il ne compte pas en rester là. Elle sent le gode se retirer, malgré les contractions de son anus. Et aussitôt, c’est le gland de Sébastien, luisant de la salive de Chloé, qui le remplace.
— Chloé ! Mets toi entre ses cuisses, et bouffe sa chatte pendant que je l’encule !— Oh mon Maître ! Je t’en supplie, sois doux… Mon petit trou est tout serré.— Tais toi, salope ! Tu es mon jouet, tu l’as dit toi même. Et t’avais l’air d’aimer quand c’était le plug. Alors maintenant, c’est ma bite qui va éclater ta petite rondelle.— Oooooh, crie Lola, en sentant le gland s’enfonce dans son étroit fourreau.
Elle a l’impression que sa rosette va exploser. Elle a mal. Elle serre les dents, et son anus se contracte malgré elle, rendant la pénétration encore plus douloureuse. Puis elle commence à se détendre, lorsque le gland de Sébastien a frayé son passage.
C’est seulement à ce moment qu’elle réalise ce que lui fait Chloé. Agenouillée entre ses cuisses, elle dévore son abricot juteux, tout en contemplant la longue tige de Sébastien qui disparaît peu à peu entre les fesses de la jolie rousse.
En quelques secondes, Lola a oublié sa douleur. Un désir irrépressible la submerge, lui fait oublier ce qui lui restait de tabous et de fierté, et elle se cambre en gémissant. Elle sent des mains puissantes empoigner ses hanches, et le dard épais de Sébastien coulisser de plus en plus vite, de plus en plus profondément, dans son petit trou dévasté.
La langue de Chloé lèche son clito, fouille sa chatte, buvant sa sève qui coule. Elle se sent fontaine. Chienne. Elle contracte maintenant volontairement tous les muscles du bas de son ventre et de son anus, pour mieux apprécier les va-et-vient de la queue de Sébastien.
Il ferme les yeux, pour mieux savourer les sensations que le cul de Lola lui procure. Il a l’impression d’un massage sensuel de sa bite, tant le sphincter de la jolie rousse se resserre avec force et se relâche à demi autour de son pieu.
Ce spectacle rend folle Chloé. De désir et de jalousie. Elle tend les bras, saisit entre ses doigts les pinces à seins qui écrasent toujours les tétons de Lola, et les tourne.
Lola pousse un cri aigu, autant de douleur que de plaisir. Elle n’en a pas encore conscience, mais elle a maintenant besoin d’être dominée, maltraitée  et humiliée pour atteindre ces sommets du plaisir.
Elle ondule doucement des hanches, fait bouger d’avant en arrière son bassin, pour décupler ses sensations. Elle ne cherche plus à se retenir, et elle jouit en hurlant, inondant de cyprine la bouche de Chloé. Mais elle ne fait qu’exciter davantage ses partenaires !
— T’aimes ça, hein ma salope ? Gronde Sébastien.— Oh oui… oui, mon Maître.— T’en veux encore ? Dis le !— Oui, j’en veux encore... Encule moi. Plus fort... Fais moi jouir encore, décharge dans mon cul... Je ne suis qu’une petite pute soumise.— Et à moi, tu ne demandes rien, salope ? Intervient Chloé.— Si… Bouffe ma chatte… Tire… Ohlala !… Tire sur mes nichons.
Ni l’un ni l’autre ne se font prier ! Sébastien s’active entre ses fesses, comme un taureau en rut. Quant à Chloé, sa langue s’enfonce dans la grotte gluante de Lola, quand elle ne mordille pas son clito.
C’est à peine si les pieds de Lola touchent le sol, tant ses partenaires la possèdent de toute leurs forces. Son petit œillet est en feu, comme si la pine de Sébastien était une barre de fer brûlante. Son minou coule comme une fontaine. Même étirés et torturés au-delà de ce qu’elle pouvait imaginer, ses seins restent durs comme de la pierre. Et ce plaisir qui monte, monte… Ça ne s’arrêtera donc jamais ?
Sébastien contemple la nuque et le dos de Lola, qui tressaillent à chaque coup de boutoir. Et ces gémissements, ces feulements de bête sauvage, qui remplissent la pièce…. Elle trouve encore la force de serrer spasmodiquement son anus étroit autour de sa tige épaisse et raide. Un délice !… Il sent l’orgasme arriver, et il est décidé à s’y abandonner, à remplir de sa semence ce petit cul de salope. Ses ahanements se muent en grognement. — Je viens, salope ! Prépare toi à recevoir tout mon foutre !— Ouiii… Je viens aussi !… Décharge dans mon petit trou !
Et elle jouit follement, interminablement, juste au moment où le sperme chaud et épais l’inonde. Sébastien continue ses va-et-vient dans son petit trou, faisant couler, entre les cuisses de Lola, sa liqueur, aussitôt bue et léchée par Chloé. Qui jouit aussi, ne pouvant résister à l’excitation qui les emporte tous les trois.
Les murs de la grande salle retentissent longtemps de leurs cris et de leurs gémissements, jusqu’à ce que Sébastien, ruisselant de sueur, se retire du cul de Lola. Son petit trou reste dilaté, et elle s’écroulerait si ses poignets n’étaient pas retenus solidement par les bracelets attachés à la croix de saint André.
Chloé, quant à elle, se relève péniblement, son visage et ses seins maculés du sperme de Sébastien et de la mouille de Lola. Elle a joui, mais elle est tout à la fois soulagée de ne pas avoir du subir ce soir un traitement violent et humiliant, et déçue de ne pas s’être sentie soumise. Elle ne se comprend plus elle-même : serait-elle en train de devenir une adepte de ces jeux SM ?
Sébastien, quant à lui, contemple les deux femmes, ses deux esclaves sexuelles qui répondent à toutes ses attentes. Sans la détacher, il admire le corps nu de Lola, ses fesses zébrées par les coups de cravache, ses seins pincés, son petit cul encore ouvert, ses cuisses où brillent encore les traces de sa semence.
— Dis moi, Lola. Tu n’as pas l’impression que ton amie Chloé a mis beaucoup d’entrain, pour te faire souffrir ?— Oui, Maître, répond elle d’une voix épuisée. Mais j’ai pensé qu’elle vous obéissait.— C’est vrai ! Mais elle y a mis énormément de zèle. Comme si elle y prenait un plaisir sadique. Tu n’as pas envie de te venger ?— Je ne sais pas, Maître.— Et toi, Chloé, tu ne crois pas que ce serait juste que Lola disons… s’occupe de toi, comme tu le mérites ?— Je suis votre salope soumise, Maître, répond Chloé d’une voix blanche. Je me plierai à tous vos désirs.— Très bien. Je vais aller prendre une douche, et à mon retour, ce sera au tour de Lola d’infliger un supplice à Chloé.
Il détache les poignets de Lola, tandis que Chloé blêmit, et sort de la salle, laissant les deux femmes inquiètes.
Diffuse en direct !
Regarder son live