La soumission de NathalieChapitre 1 Je regarde le plafond alors que Romain est allongé entre mes jambes pour me besogner de façon mécanique, on dirait un métronome. Pour le stimuler afin d’en finir au plus vite, je geins pour simuler mon plaisir. Lasse, je me dis "Vivement qu’il crache enfin son jus que je puisse m’endormir, je suis crevée !" Romain et moi avons le même âge, à savoir 30 ans. Il est mon compagnon depuis maintenant 6 ans. On s’est d’abord rencontré au lycée alors que nous étions en terminale. J’étais en plein chagrin d’amour après que mon copain de l’époque m’ait quittée pour ma meilleure amie. Romain avait su me consoler et j’admets que son esprit vif, son humour, sa gentillesse ont su me charmer. Très naturellement, il est devenu mon ami, puis mon confident, mais pas mon amant ! Les années suivantes, nos chemins ont divergé, même si nous restions fréquemment en contact. L’un comme l’autre ; nous avons eu des relations plus ou moins heureuses avec différents partenaires. Mais à y réfléchir, il n’y en a pas eu tant que ça ! Lui a fricoté avec quelques filles, mais a toujours été amoureux de moi sans me l’avouer ; quant à moi, je suis toujours tombée sur des abrutis qui ne désiraient qu’assouvir leurs besoins sexuels, sans se préoccuper des miens. Puis, Romain et moi nous sommes rapprochés pour de bon, c’était un 15 mars, je m’en souviens bien. Ce jour-là, j’ai eu un accrochage avec ma voiture et je l’ai appelé au secours pour m’aider à rédiger le constat amiable. En effet, j’étais totalement paniquée face à la mauvaise foi de l’autre conducteur. Malgré l’agressivité du type, Romain a su éteindre le conflit naissant avec beaucoup de maîtrise. Mon véhicule étant trop endommagé, il m’a raccompagnée chez moi. Nous étions très énervés l’un comme l’autre, aussi je lui ai proposé de venir boire un verre à la maison afin de se détendre un peu.À peine la porte de mon appartement refermée, mes nerfs ont lâché et j’ai éclaté en sanglots. Mon ami m’a enlacée, réconfortée, câlinée, puis rapidement nos bouches se sont liées et... deux mois plus tard, nous vivions ensemble. Romain est un homme presque parfait, si je dis "presque" c’est que, malheureusement, au lit, il ne vaut pas grand-chose ! S’il lui arrive parfois de me procurer du plaisir, c’est principalement quand il me lèche la chatte. En revanche, quand il me pénètre, je ne ressens rien. Car, quoi qu’on en dise, la taille du sexe d’un homme a de l’importance ; du moins pour moi ! Et, le pauvre, il n’est pas gâté par la nature de ce côté-là. Il a une toute petite bite par rapport à celles que j’ai pu connaître auparavant ! Pour fixer les idées, les dimensions de son membre en érection sont comparables à celles de mon majeur. En conséquence, pour me satisfaire et stimuler les zones sensibles de mon vagin, il faut que j’utilise un gode, mais ça, je le fais en cachette, car je ne souhaite pas blesser mon chéri dans son amour propre ! Je sais que les quelques filles qu’il avait pu connaître, avant nous soyons en couple, ne s’étaient pas privées de l’humilier. D’autre part, je trouve qu’à mon goût, Romain est un peu trop mielleux au quotidien, trop attentionné, que ce soit avec moi ou même avec mon amie Sarah, il est trop prévenant, trop protecteur.Moi, maintenant, plus le temps passe, plus j’ai envie d’aventures ou plutôt d’un aventurier, un baroudeur, d’un mâle et..., si possible, avec une grosse queue qui soit capable de me défoncer la chatte !Bon, je m’emballe et deviens grossière en évoquant cela, mais c’est souvent à ce genre de personnages auquel je pense quand c’est mon gode qui me fait l’amour.
Tous ces désirs de bonnes grosses bites restent à l’état de fantasmes, car je reste une femme fidèle à mon compagnon. Oh ! Bien sûr, on me siffle dans la rue, je me fais parfois draguer ouvertement par des mecs qui me plaisent, mais je ne donne jamais suite à leurs propositions. Ma copine Sarah m’a dit un jour :" Je ne sais pas si c’est ton cul ou ta peau d’albâtre qui attirent autant les mecs, en tout cas, moi j’aimerais bien avoir autant de succès que toi !" C’est vrai que, comme j’ai le dos plutôt cambré, ma posture fait ressortir mon derrière et donne l’impression d’une poitrine provocante, alors que je ne fais que du bonnet B en soutien-gorge. Quant à ma peau blanche, je n’y peux rien, car je suis rousse, ou plutôt blond vénitien devrais-je dire. Si à l’école on se moquait de ma chevelure, aujourd’hui j’en tire mon parti, car j’ai lu quelque part que ça suscite l’intérêt des hommes, qui y voient là une sorte de "symbole de pureté". D’autre part, mes cheveux longs et ondulés accroissent ma féminité ; toujours selon la même copine. Je pense que, même avec Sarah, j’ai un ticket, mais les filles, ça n’est pas mon truc.
Ah ! Enfin ! Ça y est ! Romain se raidit pour éjaculer, mais il ne s’est pas retiré pour juter dans sa main comme il le fait parfois. Je regrette souvent qu’il n’existe pas de capotes adaptées à la taille de son sexe. Là, je vais devoir me lever pour aller à la salle d’eau afin de me rincer la chatte ! Moi qui voulais m’endormir au plus tôt ! Quand je le rejoins dans le lit, lui s’est déjà endormi.
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Le lendemain, au bureau... Ce vendredi matin, le directeur doit venir dans le service pour nous présenter notre nouveau chef.Le précédent ayant récemment démissionné pour rejoindre sa chérie dans une autre région. Quelle n’est pas ma surprise quand le boss entre dans mon bureau accompagné d’un type sublime ! Une gravure de mode, un George Clooney, un Sean Connery (quand il était plus jeune). Ce mec est véritablement bourré de charmes, ouah !Pour le décrire brièvement : c’est un beau brun, grand, la mâchoire carrée, les yeux d’un marron foncé presque noir. Et, quand il se met à parler pour se présenter, c’est d’une voix grave et suave digne d’un crooner, teintée d’un léger accent britannique. Je crois fondre sur place quand, me tendant la main, il dit : — Enchanté, je m’appelle James. Et vous ?? — Je... je... m’appelle... Nathalie. — Enchanté Nathalie, je suis sûr que nous allons faire du bon travail tous les deux.— Euh... oui... Je bafouille, je suis rouge de confusion tant ce mec m’impressionne par son regard qui me transperce jusqu’à la culotte. Il garde ma main, devenue moite, dans la sienne plus longtemps que je ne m’y attendais, ce qui augmente plus encore mon trouble. Le directeur n’a rien perçu, mais moi je sens qu’il vient de se passer quelque chose de fort avec ce nouveau chef. James me fait un petit sourire complice, à peine perceptible, et avant de quitter mon bureau, il prend le temps de me détailler de la tête aux pieds. Je sens alors une bouffée de chaleur m’envahir et mon vagin dégouliner ! Hélas, je ne le revois plus de la journée. Mais, dès mon retour à la maison, je profite que Romain ne soit pas encore rentré, pour vite filer dans la chambre, ouvrir le tiroir de la commode et me saisir de mon amant en caoutchouc. Avec une fièvre rare, je quitte rapidement mes habits, m’allonge sur le lit et, sans attendre, j’enfourne d’un coup la fausse bite dans mon antre brûlant d’impatience. Je ferme les yeux et fantasme alors que c’est James qui me fait l’amour sauvagement quand, avec force, je fais aller et venir le gode dans ma chatte ruisselante de mouille.Je glisse l’oreiller sous mes reins en m’imaginant que c’est ce bellâtre qui me soulève du lit pour mieux me saillir. Je roule sur le drap et multiplie les positions les plus improbables en me pistonnant vigoureusement tout en modifiant les rythmes de ce rut animal. D’une main qui ne m’appartient plus, je pétris mes seins ; me pince, me tire, me tords les tétons ou maltraite mon clito et... rapidement, j’atteins l’un des orgasmes des plus puissants que j’ai pu connaître. En redescendant du septième ciel, je me dis : — Ce mec, ce James... Je vais tout faire pour qu’il me baise ; et... qu’importent les conséquences ! Vivement lundi, mais là, il faut que je me rhabille vite avant que Romain n’arrive !!!
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