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Soumissions

Chapitre 3

Inceste
Pour maintenir ma libido, je suis allé récemment sur un site de rencontre naturiste où je suis tombé sur un soumis qui souhaitait changer de maître pour quelque temps. J’ai trouvé la situation étrange, mais me suis vite pris au jeu en voyant qu’il réalisait tout ce que je lui demandais.
Il me transmet en effet à chaque fois une petite vidéo sur « whatsapp » pour me faire constater sa soumission totale, ou laisse son ordi portable allumé sur « Skype » pour le voir en direct exécuter mes ordres passés par SMS sur son smartphone.
De la réalité de nos échanges décrits dans le premier volet de la série, j’ai rapidement dérivé vers la réalisation de mes obsessions exécutées par un tiers dans le deuxième récit, avant de donner libre cours à mes fantasmes dans ce nouvel épisode !
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Dimanche soir :
Ce n’est que le dimanche soir, une fois sa fille et sa copine raccompagnées chez elles qu’il me recontacte pour faire le point sur la fin de ce week-end avec tout d’abord, la vidéo naturiste de retour des deux vieilles chez elles qui marchent sans pudeur, aucune aux côtés de mon soumis, en acceptant d’être filmées. Elles ont toutes les deux opté pour le toilettage complet de leur buisson argent. Leurs mamelles ballottent au gré de leur marche et elles rient de bon cœur de s’exposer ainsi. Elles ne manquent pas à l’occasion de branloter leur ami. C’est quand une voiture les double et ralentit lors du dépassement que je m’inquiète un peu, mais le chauffeur ouvre sa vitre et leur crie « Bravo pour l’audace ! »
Il se branche ensuite sur Skype pour me conter les derniers évènements, tout en se branlant jusqu’à l’éjac pour son autre maître. Il me raconte que c’est lui qui, dans la matinée du samedi après la douche, a rasé les chattes des deux vieilles, en prenant soin de glisser deux doigts dans leur vagin pour mieux tendre leurs lèvres. Elles ont tenu également à avoir l’œillet glabre pour qu’il leur fasse une feuille de rose.
Concernant les deux jeunes filles, elles ont fait le repas et nettoyé toute la maison avant de s’occuper de lui. Elles se sont mises à deux pour lui raser les couilles et la bite avant de la sucer à fond. Elles ont offert leur abricot à lécher en s’allongeant l’une sur l’autre, poitrine contre poitrine, tout en se bécotant. Il a entré sa langue le plus profondément possible dans l’antre humide de sa fille, tout en lui pressant le clito avec deux doigts. Elle a beaucoup joui en parlant beaucoup. Il m’a envoyé un extrait audio de ses délires pendant son cunni :
— Oh que tu es bon mon papa chéri ! Il me tarde de recevoir ta queue en moi !
- Tu me promets de ne rien dire à maman à ton retour chez elle ?
- Oui, évidemment. Je ne voudrais pas qu’elle m’empêche ensuite de venir te voir !
- Je vais m’occuper de ta copine. Caresse-toi en attendant.
- Tu peux lui mettre tes doigts dans son cul. Je le lui ai déjà fait. Elle apprécie beaucoup, tu sais !

- Je vais aller chercher du lubrifiant, cela ira beaucoup mieux.
La bande-son s’arrête alors sur un crachotement. Il s’en excuse, et m’envoie une courte vidéo de la suite. Je le vois verser du gel sur le fion de la copine avec sa fille qui regarde. Il entre un, puis deux doigts dans son cul et tourne bien pour dilater la rondelle. Sa fille en profite pour verser du gel sur sa queue et le branler pour obtenir une érection maximale avant de la guider sur l’œillet de sa copine et lui dire :
— Vas-y, papa, elle n’attend que ça. Elle veut que ce soit toi qui lui déflores le cul.
Il pousse légèrement. La rondelle s’écarte un peu. Il se retire et recommence ainsi une dizaine de fois en entrant un peu plus à chaque fois. Il finit par passer son gland et provoquer un léger cri de la copine. Il ne bouge plus pendant que sa fille masse la vulve et le clito de sa copine, tout en l’embrassant avant de lui dire :
- Ca va ma chérie. Je crois que le plus gros est passé. Comment tu te sens ?
- C’est un peu douloureux. Mais laisse-moi m’habituer. C’est très surprenant comme sensation. J’ai l’impression d’être constipée sans pouvoir évacuer si tu vois ce que je veux dire ?
- Oui, je vois que tu dois sacrément serrer la verge de papa !
- Oui, en effet jamais je n’ai été comprimé de la sorte. Tu sais. Je ne bouge pas. C’est à toi de te masturber sur mon sexe comme tu le sens. Vas-y !
Je vois alors le cul de la copine reculer doucement, sans s’arrêter jusqu’à l’enculage complet de ses fesses contre le pubis du baiseur.
— Ca y est, vous pouvez aller et venir maintenant dans mon cul. C’est très bon comme sensation, comme un grand frisson qui se répand depuis mon entrejambe dans tout mon corps.
Il lui tient les deux fesses et se met à la pénétrer en rythme, de plus en plus vite. Elle crie sa jouissance et lui demande de la pilonner à fond et de se répandre en elle s’il veut. Il entre à fond, puis ressort totalement avant de la pénétrer de nouveau. Sa fille ne peut s’empêcher de commenter :
— Tu as l’anus grand ouvert, ma chérie. Tu n’as plus mal ?
- Non. C’est trop bon au contraire. Il te faudra essayer un jour, tu sais !
- Pas tout de suite, non. Je ne voudrais pas que maman découvre que j’ai la rondelle dilatée !
- Pourquoi ? Elle te fait une inspection intime quand tu rentres chez elle ?
- Non, mais elle aime bien de temps en temps prendre le bain avec moi comme quand j’étais petite.
- Elle te savonne partout comme avant ?
- Oui et j’aime bien je l’avoue !
- Elle te laisse la savonner en retour ?
- Non, bien sûr. Mais de sentir ses gros seins contre moi quand elle masse les miens me fait du bien.
- Elle te lave la vulve également ?
- Oui en me disant bien comment faire et en me montrant avec la sienne. Tu sais, papa, elle l’a complètement rasée maintenant à la demande de Léon, m’a-t-elle dit !
- Elle t’a montré son clitoris ?
- Oui et comment le décapuchonner en me disant que le mien était encore trop petit pour s’en occuper !
- Quand elle te caresse, tu mouilles comme avec ta copine ?
- Non bizarrement, je dois me retenir inconsciemment pour lui faire croire que je suis toujours sa gamine et non une femme comme avec toi papa ! Tu peux t’allonger pour me lécher le sexe pendant que ma copine s’enculera sur ta queue !
Quel spectacle que ces deux pucelles découvrant la jouissance avec le père de l’une d’elles ! J’ai la conviction alors que je vais pouvoir élaborer des défis de plus en plus corsés et osés en les invitant qui sait un jour prochain, d’être à leurs tours mes soumises !
Je décide alors en accord avec mon soumis d’être son maître pendant les week-ends laissant le restant de la semaine à son maître originel. J’ai donc la semaine entière pour réfléchir à des scénarii de plus en plus audacieux.
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Vendredi soir suivant :
Ce n’est que le vendredi avant l’arrivée de sa fille et sa femme que je lui envoie le thème du jour :
Les accueillir à poil bien sûr, mais avec les deux vieilles nues également !
Mais, il me répond que cela va être difficile à réaliser puisque c’est l’anniversaire des 19 ans de sa fille et que seront aussi présents ses beaux-parents beaucoup plus vieux jeu que sa femme et très « curetons » ! Il va néanmoins essayer, d’autant que son autre gage par le maître actuel est comme à chaque invitation, d’incorporer son foutre dans l’un des plats et l’une des boissons offertes également. Il doit donc déjà s’astiquer le nœud pour une première éjac qu’il me fait vivre en direct avec l’autre maître à qui il commente ses faits et gestes :
— J’ai pensé agrémenter le sirop d’orgeat dont raffole ma belle-mère avec mon jus comme ceci.
Il a posé un entonnoir sur la bouteille qu’il a posé au sol et se branle directement au-dessus de l’entonnoir. Malgré ses nombreuses branlettes quotidiennes, il déverse une belle quantité de sperme épais dans la bouteille qu’il referme ensuite avant de l’agiter. Son gland et sa verge sont très rouges, signe qu’il a dû les agiter de nombreuses fois depuis le lever !
— Pour le plat de consistance, le meilleur cadeau pour ma fille est d’arroser son gâteau avec mon foutre. Qu’en pensez-vous ?
- Très bonne idée, mais ne le mélangez pas à la chantilly ou toute autre crème. Ejaculez directement dessus en dessinant son prénom avec votre bite, par exemple !
- Il me faudra plusieurs branles pour y parvenir, car il y a neuf lettres à Emmanuelle !!
- Commencez dès maintenant alors ! Vous me montrerez le travail final avant l’arrivée de la famille.
Il sort le gâteau avec un glaçage chocolat et une décoration de fleurs en sucre et commence un nouveau branle ! Il a les yeux et les traits particulièrement tirés. Je ne vais donc pas lui imposer d’éjaculation avant le lendemain ni d’autres défis avant la soirée. Tout à son branle, il téléphone aux deux vieilles pour les inviter à l’apéro d’anniversaire de sa fille. J’entends qu’elles sont d’accord, y compris de venir à poil. Elles se sont pour l’occasion de nouveau épilés mutuellement le sexe, lui ajoutent-elles, car ils les félicitent pour ce geste et les remercient d’avoir accepté l’invitation bien que sa famille habillée sera aussi présente ! Il coupe à présent la liaison Skype en nous disant aux deux maîtres de se reconnecter vers 18H30, juste avant à l’arrivée de la famille.
A l’appel de contact vidéo Skype, je découvre le gâteau en gros plan avec « MANUE » écrit en majuscule. Manifestement, il était à court de jus pour le prénom complet. Son maître originel accepte néanmoins la réalisation de ce défi et lui donne rendez-vous lundi matin pour une nouvelle semaine de soumission. Je le félicite à mon tour pour la prouesse et attends l’arrivée en image de la belle-famille.
C’est bien sûr à poil qu’il les reçoit. Même si ses beaux-parents ne sont pas surpris, ils lui font la remarque :
— Pour le jour d’anniversaire de la petite, vous auriez pu au moins lui faire honneur en vous habillant !
C’est leur petite-fille qui répond tout en montant dans sa chambre pour se changer :
— Vous oubliez que j’ai 19 ans aujourd’hui et que je ne suis plus une gamine. Sachez que c’est moi qui ai demandé à mon père et aux invités de fêter mon anniversaire à poil. Je vais de ce pas me mettre en tenue de peau. Si papy et mamie vous ne voulez pas, maman tu pourrais faire un effort, tu prends bien le bain toujours avec moi, tu serais mignonne de me faire plaisir aujourd’hui !
La grand-mère sermonne alors sa fille :
— Mais comment on t’a élevée ! Tu vas oublier toute l’éducation chrétienne que l’on t’a donnée, si tu t’exposes nue avec ta fille !
- Puisque tu le prends sur ce ton, maman. Je monte la rejoindre pour lui faire plaisir répond la femme de mon soumis.
C’est donc nues et main dans la main que la mère et la fille redescendent l’escalier en souriant. La mère a une toison brune fournie, mais bien entretenue, sa vulve étant glabre tout comme celle de sa fille, dont le pubis est lui aussi rasé ! C’est le grand-père qui manque de suffoquer en les voyant :
— C’est une honte de voir ça. Tu dis que tu n’es plus une gamine, mais tes poils pubiens n’ont pas encore poussé et ta poitrine est toute menue et pas encore complètement à maturité. Allez vous rhabiller immédiatement ou nous quittons sur-le-champ avec mamie cette maison de dépravés !
Elles continuent de sourire toutes deux et vont s’installer côte à côte sur le canapé faisant face aux grands-parents. Le père, sentant l’atmosphère se crisper, se précipite pour servir l’apéro :
— Un jus d’orgeat comme d’habitude mamie ?
- Oui, volontiers. J’ai besoin de me remettre de toutes ces émotions !
- Et vous papy, un « mauresque » comme d’habitude ?
- Avec plaisir, mais ne force pas trop sur le sirop d’orgeat qui risque de masquer le goût du pastis !
Voilà toute la famille apaisée à présent, les grands-parents ne quittant pas des yeux leur fille et petite-fille qui ont ostensiblement ouvert leur cuisse pour exposer leur fente encore fermée pour la jeune, mais avec des lèvres épaisses et entre-ouvertes pour sa mère ! Le père semble découvrir sa fille nue pour la première fois et ne peut s’empêcher de rougir en fixant sa poitrine volumineuse, mais encore ferme avec des aréoles très larges et des tétons démesurés tendus par l’excitation de cette exhibition.
La discussion sur les potins et la météo du jour tente de faire redescendre la pression jusqu’à ce que la grand-mère demande à sa petite-fille si elle a invité d’autres personnes qui lui sont chères. Elle a juste le temps de répondre par l’affirmative que la sonnette retentit, elle se précipite alors pour aller ouvrir. Sa grand-mère tente de l’en empêcher dans cette tenue-là. Mais apparaissent déjà les trois derniers invités, déjà dénudés qu’elle présente à ses grands-parents, sa mère les connaissant déjà :
— Papy et mamie je vous présente deux voisines qui viennent souvent me voir et me raconter leurs souvenirs d’enfance. Je les adore. Et ma copine d’enfance qui ne me quitte pratiquement plus !
- Mais tout le monde est nu ici. C’est une réunion naturiste. Il fallait nous prévenir. Nous ne serions jamais venus !
- Avoue franchement Papy que tu ne le regrettes pas, non ? Vu l’insistance que tu as à nous détailler avec maman depuis que l’on est descendu de ma chambre ?
- S’il n’ose te le dire ma petite, je le connais assez pour savoir qu’il s’est mis à utiliser internet et pas que pour lire son courrier, si tu vois ce que je veux dire ? lui répond sa femme
- C’est peut-être parce qu’il aurait aimé que tu te promènes nue à la maison mamie !
- Mais ça ne va pas de dire cela à tes grands-parents !
- Mais toi mamie, tu es un peu comme maman. Tu n’as jamais osé t’exhiber avec le poids de ta morale chrétienne sur le dos. Regarde mes nouvelles amies plus âgées que toi, elles ont franchi le pas à ma demande. Cela me ferait très plaisir, tu sais, que tu te joignes à nous. Tu verras comme on se sent bien après, libérée de tout le superflu..
Contre toute attente, la grand-mère se lève pour aller aux toilettes à l’étage tandis que le grand-père résiste encore :
— Tu as bien grandi ma petite, car l’an passé tu n’aurais jamais osé parler ainsi à ta grand-mère. Te rends-tu vraiment compte de ce que tu viens de lui demander ?
- Oui bien sûr. D’ailleurs, elle ne s’y est pas formellement opposée ni n’a même cru bon de me remettre en place comme tu le fais. Je ne te demanderais pas la même chose. Je te laisse libre de décider comment finir la soirée !

Il ne répond pas, tant il est atterré par la vue de sa femme qui redescend l’escalier en colimaçon. Elle le fait très lentement sachant qu’elle se découvre petit à petit à l’assemblée en dehors de son mari. Ce sont ses jambes et ses cuisses adipeuses qui apparaissent en premier. Puis en tournant, nous découvrons ses fesses flasques toutes blanches et au virage suivant sa chatte grisonnante éparse et en bataille qui coure jusque sur ses cuisses. Enfin, après son dos couvert de grains de beauté, sa poitrine apparaît menue comme sa petite fille et donc à peine tombante lui donnant fière allure. Elle est anxieuse et ne se met à sourire que sous les applaudissements de tous, sauf son mari qui fait la gueule et demande un nouveau cocktail pour accuser le coup dit-il ! Elle s’assoit face à son gendre qui lui sourit avec un début d’érection qui semble la flatter :
— Vous reprenez quelque chose mamie ?
— Oui, mais avec un peu d’alcool, s’il vous plaît pour me remettre les esprits en place !
- J’ajoute un peu de rhum blanc avec le sirop d’orgeat et un filet de citron vert. Cela vous ira ?
- Avec des glaçons également. Je dois être rouge, non ? Pourtant il ne fait pas si chaud !
- C’est l’émotion, maman. Tu sais, je dois te l’avouer. J’étais un peu dans le même état que toi tout à l’heure en descendant l’escalier. Mais maintenant, je me sens bien. Très bien même comme tu peux le voir toi-même !
Elle ouvre un peu plus ses cuisses et décalotte son clitoris devant les yeux exorbités de son père. Ses lèvres sont très humides et laissent entrevoir le rose de son vagin. Elle continue de faire glisser un doigt le long de sa vulve tout en continuant de parler. Son mari, la voyant, est en érection totale tout en lui répondant :
— C’est vrai, chérie, si tu permets que je t’appelle encore ainsi, qu’il y a longtemps que je ne t’avais pas vu dans cet état de plénitude.
- Je dois te remercier ma fille de nous avoir un peu bousculés avec ta grand-mère, car on se sent vraiment libéré ce soir. Chéri, tu peux me servir la même chose que maman.
La copine de la fille de la maison n’ayant pas trouvé de siège à proximité s’est carrément assise sur l’accoudoir du canapé à côté du grand-père. Elle est aussi décontractée que sa copine d’enfance au point de lui dire :
— Si vous avez de nouveau besoin d’appuyer votre bras, ne vous gênez pas ! Utilisez ma cuisse comme accoudoir. Cela ne me dérange pas, j’ai l’habitude !
Tout en ne se faisant pas prier plus longtemps, il pose son bras et caresse machinalement le genou de la jeune fille avec sa main en lui demandant de préciser :
— L’habitude de quoi ?
- Et bien que l’on me caresse comme avec votre petite fille quand on prend la douche ensemble !
- mais là ce n’est pas pareil. Je suis un homme et pourrais être ton grand-père !
- Oui, je le sais. Mais je sais aussi que cela vous excite les hommes. Regardez votre gendre, il ne se cache pas pour bander lui ? Avouez que vous aimez le contact de ma peau nue si j’en crois la bosse sous votre ceinture !
- Je ne vous permets pas, Mademoiselle. Pour qui me prenez-vous !
- Pour un homme normal doté de tous ses sens. Vous n’avez pas cru bon de retirer votre main qui remonte maintenant le long de ma cuisse à ce que je vois !
- Mais, où tu te crois Lucien ? Devant ton écran à mater les jeunes demoiselles, non ? Je te signale que nous sommes réunis en famille pour fêter l’anniversaire de ta petite-fille et non au lupanar !
- Nous pourrions c’est vrai faire souffler les dix-neuf bougies dès maintenant, car nos voisines doivent nous quitter après l’apéro. Nous pourrons en profiter pour lui remettre les cadeaux relance leur fille.
- Bonne idée, cela ramènera un peu de sérénité à notre assemblée ajoute la grand-mère.
Le gâteau resté au frais est de bonne tenue quant à la décoration initiale et aux mots « Bon Anniversaire » à la chantilly, mais « MANUE » s’est un peu défraîchi à cause du sperme chaud qui s’est mélangé au chocolat ! C’est la grand-mère qui demande pourquoi le pâtissier a raté le prénom. Le papa doit alors avouer qu’il avait oublié de le demander et a dû lui-même faire ce rajout et qu’il s’en excuse. La grand-mère en rajoute :
- On voit bien que vous ne savez pas très bien monter la chantilly !
- Mais si vous voulez me montrer un jour, ce sera avec plaisir mamie ?
- Oui, à condition que vous me montriez d’abord comment vous vous y êtes pris !
- Je veux bien, mais vous risquez d’être très surprise !
- J’ai hâte de voir ça. Si vous êtes libre lundi après-midi, je passerai vous voir.
- D’accord, mais promettez-moi dorénavant de vous habiller en tenue de peau chez moi ?
- Sans problème, j’irai chez l’esthéticienne le matin pour faire meilleure figure, si je puis dire !
- Mais vous êtes belle comme ça, mamie, toute de naturel vêtue !
- Personne ne m’avait fait un tel compliment depuis mon mari lors de nos premières années de mariage !
- A lundi donc, mamie. J’allume les bougies. Tiens-toi prête à souffler tes 19 printemps, ma fille !
Une fois les photos faites et les cadeaux remis, le gâteau a été divisé en huit parts égales que chacun a dégusté avec différents commentaires selon qu’il avait ou non un peu du prénom sur sa part. Les trois qui en avaient, ont, comme le défi l’imposait, été les grands-parents et la maman qui ont successivement déclaré en commençant par le père :
— Vous n’auriez pas confondu le sel et le sucre pour monter votre chantilly ?
- Moi, j’ai l’impression d’avoir déjà goûté quelque chose de la sorte, mais il y a très longtemps. De toute façon, j’attends lundi pour connaître la recette a poursuivi la grand-mère
- Moi, je ne trouve pas le goût désagréable, surprenant au début, mais qui se marie bien avec le chocolat a conclu la mère
Le père se lève alors pour passer devant l’écran en faisant le V de victoire avant d’éteindre. Je lui réponds par un SMS avec un nouveau défi pour la soirée, étant entendu que pour lundi après-midi, il devra se branler jusqu’à l’éjac face à sa belle-mère à poil ! Les nouveaux défis du soir et du matin seront respectivement :
S’arranger pour passer toute la nuit avec sa femme dans le lit conjugal et que les copines dorment ensemble dans le lit de sa fille
Faire en sorte que tous les quatre prennent la douche ensemble et se savonnent mutuellement indépendamment de l’âge, du sexe et du lien de parenté
Il me tarde alors d’avoir la connexion Skype le lendemain matin. Mais c’est une courte vidéo whatsapp et un long message audio qui me réveillent vers une heure du matin où je vois sa femme dans leur lit en 69 en train de le sucer à fond, avant d’avaler et lui dire :
— Ne me dit pas gros dégueulasse que ce que tu nous as fait avaler mes parents et moi provient de tes couilles. Tu es encore plus pervers qu’avant. Je me demande bien pourquoi j’ai pu accepter de partager ton lit !
La vidéo se coupe alors et j’écoute la suite avec le fichier audio :
- C’est une longue histoire que tu ne vas jamais accepter de croire !
- Dis toujours ! Je sais que tu as l’art de trouver toujours une explication à tout !
- Et bien, quelques mois après ton départ en passant d’un site de rencontre à l’autre sur le Net, je suis tombé sur un gars qui m’a d’abord remonté le moral. Et qui, pour me redonner confiance en moi, m’a proposé des défis de plus en plus compliqués au fur et à mesure que je les réalisais !
- Tu ne veux pas me laisser sous-entendre que tu es sous la domination d’un maître, alors que tu m’as toujours reproché de décider de tout à la maison ?
- Et bien si ! Faut croire que j’ai plutôt un tempérament de soumis. J’ai d’ailleurs un deuxième maître depuis peu. Ce qui me complique doublement la tâche ! Mais je suis fier à chaque fois que je réussis à relever le défi.
- Et si tu n’y parviens pas ? Tu es puni, je pense ?
- Oui, je dois par exemple sauter à la corde en agitant exagérément ma queue pour qu’elle tape sur mon ventre et s’allonge avant de me masturber jusqu’à l’éjac plusieurs fois dans la même journée !
- Et bien sûr pour ne pas perdre toute cette semence tu dois l’incorporer dans les repas servis aux invités !
- Tu as tout compris. Si je suis seul, je dois boire mon sperme.
- Et tu es contrôlé pour tout cela ?
- Oui, je dois me brancher sur Skype avec mon PC portable en éteignant l’écran pour ne pas attirer l’attention lorsque je ne suis pas seul !
- Donc, ta fille et sa copine qui vient souvent n’ont plus de secret anatomique pour ton maître, ni je suppose ce soir pour moi et ma mère tout comme les deux vieilles voisines !
- C’est exact. Tu sais tout de moi maintenant. Et toi, je ne t’ai pas reconnue ce soir quand tu as fait face à tes parents en les bousculant, allant jusqu’à te dénuder devant eux. Toi, si pudique jusque-là. C’est ton copain Léon qui t’a décoincée à ce point. J’ai remarqué ton abricot imberbe. C’est pour qu’il te fasse minette plus agréablement ?
- c’est vrai j’avoue que je me sens une nouvelle jeunesse avec lui. Il m’a fait découvrir les bienfaits de l’exhibition et le bien-être que cela procure alors que j’avais toujours refusé avec toi. Tu sais ce soir, je ne me suis jamais sentie aussi bien d’exposer mon sexe et même de me caresser devant mon père !
- Je suis si heureux que tu as pu accepter de partager à nouveau notre lit. Je ne croyais jamais possible une telle chose après ce que tu m’as sorti en claquant la porte dimanche dernier !
- C’est pour partie la succession des cocktails que tu m’as fait ingurgiter, mais également d’être nue au milieu de vous et ainsi libérée de tous mes carcans au point de sentir la jouissance monter si fort en mouillant de plus qu’il me fallait une queue pour l’assouvir. Tu avais la seule disponible dans l’immédiat ce soir. Je savais que tout allait retomber le temps que j’arrive chez moi et que Léon ne me serait alors d’aucune utilité !
Tu veux me dire que c’est juste une passade sexuelle cette nuit ?
- Oui chéri, mais j’aime ta queue tu sais, et particulièrement son jus en direct ou sur un gâteau. Te voilà rassuré ?
- Tu m’ôtes un lourd fardeau que j’ai depuis longtemps sur les épaules à devoir cacher mes relations ambiguës avec mes maîtres. Puisque cela ne te choque pas outre mesure, à ce que je vois ?
- Non, du tout. Tes défis sont toujours à caractère sexuel ?
- Essentiellement, oui !
- Je suppose que tu en as d’autres à relever pour le week-end ? Si je suis concernée, tu peux m’en parler directement. Je commence moi aussi à trouver ce jeu intéressant et si nous y parvenons ensemble, nous aurons des remerciements de la part de tes maîtres ?
- Juste un satisfecit avec l’envoi du nouveau défi !
- OK. Je comprends qu’un soumis n’a que des punitions et des ordres à recevoir. Mais justement quel est celui que tu devras exécuter demain, si ce n’est pas indiscret de te le demander et surtout si tu as le droit de le dire ?
- En fait, j’ai tout loisir pour le stratagème et monter le scénario dans la mesure où je réussis. Sinon, mes maîtres m’imposent la marche à suivre pour le réaliser à nouveau, mais avec des contraintes supplémentaires !
- Tes maîtres savaient-ils que je viendrais ?
- Oui, puisque tu amènes notre fille chaque week-end !
- Ils n’ont donc pas anticipé que je reste dormir alors ?
- Si, bien sûr puisque c’était l’un de mes défis pour la journée.
- Dans ces conditions, je dois également être concernée demain, non ?
- Oui, je ne voudrai en aucun cas t’imposer quelque chose que tu ne souhaiterais pas faire. Le soumis, c’est moi !
- Mais je viens te dire que je suis prête à exécuter leurs ordres à mon égard aussi !
- Dans ces conditions, il nous faut convaincre notre fille et sa copine de prendre leur douche avec nous deux avec bien entendu, une touche sexuelle en ce sens que nous devrons tous les quatre nous savonner mutuellement à tour de rôle chacun s’occupant des trois autres et réciproquement !

- Tu sais avec notre fille, nous continuons de prendre régulièrement des bains ensemble comme lorsqu’elle était gamine et c’est moi qui l’ai rasée entièrement à sa demande pour ses 19 ans, m’a-t-elle dit pour rester gamine à mes yeux avec son sexe imberbe.
- Tu te sens capable d’accepter en retour qu’elle te savonne la vulve en pénétrant ton vagin d’un doigt le cas échéant ?
- Oui, mais voudra-t-elle le faire ? J’ai depuis un moment l’envie de goûter à l’amour lesbien et si ma fille s’y prête je serai la plus heureuse, tu sais ?
- rassure- toi, elle est bien lesbienne et ne s’en cache plus avec sa copine. Elle n’a pas rechigné ce soir à l’accepter dans son lit comme tu as vu !
- Oui, mais toi tu comptes aussi qu’elle te masturbe en te savonnant ainsi que sa copine ?
- Elles l’ont déjà fait pour la première fois la semaine dernière. C’était mon défi !
- Ote-moi d’un doute, tes maîtres ne t’ont tout de même pas imposé de déflorer ta fille ?
- Non, mais c’est elle qui me l’a demandé quand elle se sentira prête. Elle a d’ailleurs assisté à la première sodomie de sa copine, mais ne tiens pas non plus à utiliser cette porte là pour l’instant !
- Ne me dit pas que tu avais pour défi de réaliser cette première sodomie ?
- Non, ce n’était pas un défi, mais une demande de leur part après m’avoir espionné en train de le faire à l’aînée des deux vieilles voisines et que celles-ci leur ont expliqué que c’était douloureux la première fois et qu’ensuite c’était très jouissif !
- Alors là ! J’avais bien raison la semaine dernière de te dire qu’elles vivaient dans une maison de débauchés. Si je l’avais appris alors je t’aurai immédiatement fait retirer les visites de notre fille. Mais je sais bien qu’elle est majeure depuis un an et que c’est à elle de choisir. Je vois bien aujourd’hui qu’elle apprécie de faire son éducation sexuelle en live avec toi !
- Et bien demain, elle appréciera les mains et la bouche de sa mère pour la guider vers d’autres sensations inconnues pour elle jusque-là !
- Si elle accepte bien sûr de jouer ce jeu machiavélique concocté par tes maîtres !
- Nous devrions peut-être leur en faire part. On ne sait jamais. Elles sont peut-être comme moi, curieuses d’être à leur tour soumises à ton maître tant que les bornes ne sont pas franchies !
- Mais chérie le principe de la soumission, c’est justement de te faire franchir des bornes que tu ne pensais ou ne voulais absolument pas dépasser par manque de courage ou morale ancrée en toi !
- Tu te sens vraiment prête à obéir en toutes circonstances à mon maître ?
- Vu comme ça, peut-être pas, mais si c’est pour t’aider à réaliser l’un de tes défis, je m’efforcerais d’outrepasser mes limites fussent-elles physiques, morales ou religieuses !
- Merci pour ton soutien. Pour les filles, n’en parlons pas pour l’instant, mais organisons-nous pour la douche de demain matin avant de dormir un peu, car il est tard !
- Oui, et que surtout tu ne m’as baisée qu’une fois ce soir. Je te connaissais plus endurant !
- C’est sûr, mais tu n’as pas idée de la quantité de foutre que je dois éjaculer chaque jour ! Mais dès qu’on a un plan, tu te mets en levrette et je t’en remets un petit coup, promis !
- Maintenant que tu as sodomisé la petite tu pourras tenter le coup avec la vieille. Tu sais, Léon m’a décoincée de ce côté-là aussi !
La bande-son s’arrête à ce moment-là. Il ne me reste moi non plus que quelques heures avant le réveil de la maisonnée. Je suis sûr qu’ils n’auront aucun mal à aider les filles à se laver sous la douche !
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