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Soumissions

Chapitre 5

Inceste
Pour maintenir ma libido, je suis allé récemment sur un site de rencontre naturiste où je suis tombé sur un soumis qui souhaitait changer de maître pour quelque temps. J’ai trouvé la situation étrange, mais je me suis vite pris au jeu en voyant qu’il réalisait tout ce que je lui demandais.

De la réalité de nos échanges décrite dans le premier volet de la série, j’ai rapidement dérivé vers la réalisation de mes obsessions, exécutée par un tiers dans les trois récits suivants, avant de donner libre cours à mes fantasmes de plus en plus débridés dans ce nouvel épisode !

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Lundi matin :
Le premier message du lundi matin est en provenance de mon soumis qui me fait le compte-rendu de son week-end et me fixe un rendez-vous sur Skype vous visionner sa belle-mère. Il a passé une très agréable nuit avec sa fille qui l’a câliné de partout en le suçant à plusieurs reprises et lui offrant son abricot à lécher. Il lui tarde de la dépuceler. Sa femme l’a contacté à ce sujet et lui a proposé de le faire en sa présence dès le vendredi suivant quand elle l’amènera. Comme cela, elle pourra faire part de son expérience à sa copine quand elles se verront le lendemain et qu’il devra sans doute remettre cela pour la déflorer devant sa fille.

En attendant, sa femme lui a confirmé la complète docilité de leur fille qui est d’accord pour sucer le curé pendant qu’elle se confessera à lui mardi après-midi. Elle a accepté également d’aller en cours ce jour, sans dessous, à sa demande. Elle a également sans broncher sucé à fond Léon à sa demande. Du coup, elle pense bien l’obliger à se faire sodomiser par Léon avant la fin de la semaine.

Mon soumis me remercie d’avoir réussi en si peu de temps à faire tomber absolument tous les tabous chez sa femme et surtout sa fille qui est prête désormais à lui offrir sa virginité ce qui lui permettra, dit-elle, ensuite de se goder avec sa copine, voire même, avec sa mère.

Je lui ai répondu que compte tenu de son obéissance sans faille à ses parents, les défis futurs la feront le plus souvent intervenir et que son accomplissement tiendra à son pouvoir de persuasion sur sa fille pour qu’elle les réalise, quel qu’en soit le degré de difficulté ou d’avilissement ! Il en sera de même quand sa femme sera également concernée. Il se soumettra comme toujours en son nom propre, mais désormais aussi pour les siens.

Concernant les défis du jour, sa belle-mère doit arriver seule avec le bus vers 9 heures. La webcam sera allumée dix minutes avant. Il a préparé sa mousse de rasage, remis une lame neuve à son rasoir et prévu des ciseaux pour élaguer le plus gros d’abord. Il pense lui garder une toison légère pour ne pas trop la perturber, même si son abricot redeviendra glabre comme dans sa jeunesse. Pour le reste, il compte improviser au fur et à mesure.

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L’appel de connexion Skype retentit. Mon soumis est là qui saute à la corde pour son autre maître. Peu de temps après, c’est la sonnette qui résonne. Mamie fait son apparition, et mon soumis est tout surpris comme moi de la voir arborer un chemisier plus ou moins transparent sans soutif dessous qui laisse clairement entrevoir sa poitrine menue, certes un peu tombante, mais avec des tétons très tendus. Elle lui fait la bise en lui expliquant sa tenue inhabituelle :

- C’est ta femme qui m’a convaincue de ne plus porter de sous-vêtements quand je sors. Et c’est amusant, malgré mes 72 ans bien sonnés, de voir les têtes se tourner à nouveau sur mon passage.
- Puisque vous appréciez désormais d’exhiber votre corps, pourquoi ne pas m’imiter, mamie ?
- Tu as raison. Tu veux bien m’aider ? N’en profite pas quand même pour me caresser !
- Avouez mamie que cela vous ferez plaisir, non ?
- Il y a si longtemps que Papy ne s’est pas intéressé à moi que j’en ai oublié le bien-être que cela procure.
- Vous vous êtes à nouveau regardés dans une glace. Vous ne trouvez pas que quelque chose cloche, surtout si vous exposez votre entrejambe ?
- Tu as raison. Mais je ne vais pas aller chez l’esthéticienne à mon âge. Tu veux bien m’aider ?
- Oui, bien sûr.
- Je vous apporte une serviette de bain pour vous allonger dessus sur le canapé. Avec la tête sur un coussin et un autre sous vos reins, vous allez être bien. Installez-vous. Je reviens avec le matériel..

Elle s’allonge. Ses seins menus sont encore très appétissants et son mont de Vénus ressort bien quand elle a ses reins ainsi creusés.
- Vous êtes magnifique mamie après le toilettage, vous serez sublime !
- Tu n’es pas en train de me draguer quand même, tu sais, j’ai passé l’âge des galipettes !
mais dans votre tête, le souvenir de vos orgasmes est toujours bien présent, non ?
- Qu’est-ce que tu es en train de manigancer ? Allez ! ne perds pas de temps, commence le défrichage..
Il passe son peigne dans la toison et coupe tout ce qui dépasse à 1 centimètre environ au-dessus de son pubis. Pour sa vulve, il coupe plus court encore. Une fois l’excédent de poil évacué, il badigeonne tous les endroits qui seront rasés avec sa mousse onctueuse. Seul un triangle grisonnant reste intact. Il commence d’ailleurs par le pubis et l’aine de chaque côté. Le ventre de mamie a un peu plus fière allure. Il s’attaque aux grandes lèvres et aux débordements sur les cuisses. Enfin, il tire sur les petites lèvres en glissant deux doigts dans son vagin que semble-t-il, légèrement humidifié en la prévenant :

- C’est pour éviter de vous blesser et bien tondre vos lèvres !
- En effet, j’imagine qu’elles sont bien chiffonnées, aujourd’hui ?

Elles n’ont pas été mises l’épreuve depuis longtemps pourtant !

- C’est sûr, mais vous pouvez continuer vos caresses. Cela me fait du bien, vous savez !
- Mais j’ai fini mamie ! Je veux bien poursuivre plus profondément mon intromission des doigts, si vous appréciez.
- Oui, s’il vous plaît, faites pour le mieux pour me faire jouir. Il y a si longtemps que je n’ai pas ressenti ça !
Il astique franchement le vagin de la vieille de plus en plus violemment. Elle finit par crier sa jouissance tout en projetant deux petits jets. Il ne demande pas son reste et pose sa bite à l’entrée de sa grotte. C’est elle qui soulève son bassin pour aller au-devant du gland qui écarte déjà son antre. Il n’a plus qu’à s’enfoncer doucement jusqu’à la garde. Elle lui tient les hanches pour imprimer son rythme. Elle se met à couiner de plaisir en lui disant de bien la labourer. Le moment venu de son éjaculation, il se retire et présente son gland devant son visage :

- Allez ! Vas-y mon grand, décharge tout sur ma gueule. Tiens, je tire la langue pour que je puisse y goûter au moins une fois dans ma vie. Ayant toujours refusé la fellation à mon mari.
- Branlez-moi mamie. C’est vous qui allez déclencher les vannes. Tétez mon gland, vous vous imprégnerez également de vos sucs intimes.
- C’est très doux sous la langue en effet. Je m’y prends bien ?
- Aspirez comme si vous me tétiez et branlez-moi plus fort.
- Oh là là ça y est !
- Bloquez mon jus avec votre langue pour que je ne vous asperge pas le fond du palais !
- Merci, cela va beaucoup mieux maintenant que j’ai pu tout ingurgiter. C’est vrai que l’odeur est un peu ragoûtante, mais au goût c’est un peu sucré-salé. Quelle expérience vous venez de me faire vivre !

- Je vais vous aider à vous relever pour prendre une douche, car je vous en ai mis sur les seins aussi.
- Si ce n’est pas trop vous demander au point où on en est tous les deux, vous pourriez venir m’aider à me savonner le dos... et partout ailleurs si ça vous chante. Je retrouve soudain ma jeunesse et mes premiers émois que ta fille doit ressentir aujourd’hui !

Il quitte alors le champ de la caméra après un dernier gros plan sur le travail de barbier effectué. Un dernier pouce levé pour valider les défis avant coupure de la liaison.
Ce n’est que le soir que j’ai le compte-rendu séparé de la mère et sa fille sur leur impression d’avoir passé la journée sans dessous. Un selfie avec les collègues de la mère assis autour d’elle sur son bureau montre sans équivoque l’absence de culotte et la joie qu’elle en retire de s’exposer ainsi.

Quant à sa fille, elle a beaucoup mouillé chaque fois qu’un nouveau prof découvrait à l’évidence sa nudité sous la jupe. Sa copine assise à ses côtés a tenu à en faire autant. Elle a carrément retiré sa culotte pendant le cours, consciente que le prof la fixait. Au dernier cours, elles n’ont pas pu se retenir de passer une main sur la vulve de l’autre pour recueillir sa mouille et sucer leurs doigts ensuite ostensiblement. C’est quand ce dernier prof leur a demandé de rester qu’elles ont commencé à flipper. Il leur a dit :

- Vous êtes de trop bonnes élèves pour continuer à vous distraire ainsi en cours. Attendez l’interclasse pour vous retrouver aux toilettes et reprendre vos attouchements. Mais je vous apprécie trop toutes les deux pour vous signaler à la direction. Faites bien attention à l’avenir, car tous les profs ne sont pas aussi conciliants que moi. Que vous ne portiez pas de culotte ne me dérange pas. La vue est agréable depuis l’estrade, mais ne gâchez pas votre année scolaire devant d’autres, plus prudes. A l’avenir avec eux, gardez vos jambes serrées et coincez votre jupe entre vos cuisses..

Elles étaient fières néanmoins d’avoir eu l’audace de relever le défi de sa mère ! Mais elle m’annonce déjà une épreuve supplémentaire pour la soirée, car Léon a invité des collègues de bureau à l’apéro, et sa mère compte bien l’exciter une fois encore pour se faire sauter ensuite sous ses yeux dans d’autres positions, pour qu’elle s’instruise.

Pour le faire sans l’avoir prévenu, elle a l’intention de les accueillir, puis de les servir avec elle, toutes les deux à poils comme elles ont pris désormais l’habitude de vivre à la maison. Elle a également ordonné à sa fille de ne pas repousser les mains qui pourraient éventuellement la caresser et de continuer de servir comme si de rien n’était. Si l’un d’entre eux finissait par sortir sa queue et l’inviter à le sucer. Elle devrait s’exécuter jusqu’à boire son jus comme elle en a désormais l’habitude !

Fort de cette indiscrétion de sa fille, j’envoie un SMS à sa mère pour lui demander de visualiser sa soirée, son mari étant entre les mains de l’autre maître, c’est tout naturellement que je me tourne vers elle. Elle me demande quel défi elle doit relever pour passer ainsi en vidéo Skype. Je lui demande donc :

« Vous devez exciter Léon, avant de vous faire prendre sur la table du salon en guise d’apéro, vous le sucerez ensuite toutes les deux avec votre fille jusqu’à l’éjac que vous vous partagerez dans un baiser sensuel »

Je suis prête à le faire, ma fille aussi, mais c’est Léon qui me pose souci, car il a invité deux collègues à l’apéro justement !
« S’il est défaillant ou ne sent pas capable de vous culbuter devant ses collègues, vous vous ferez prendre en double par eux en les finissant à la bouche chacune, votre fille et vous, jusqu’à l’éjac que vous garderez en bouche jusqu’au moment où vous pourrez vous échanger les semences dans un long baiser sensuel »

Je ne promets rien, mais au moins l’un des scénarios sera exécuté !
Une heure après, la liaison Skype est établie, la table du salon et le canapé sont visibles. Les verres, les amuse-gueules et les bouteilles sont déjà sur la table. Tout à coup, Léon se rend compte de l’heure qui tourne et que dans dix minutes ses copains vont sonner. Il demande aux femmes de la maison de se dépêcher d’aller se rhabiller, même sans sous-vêtement, si elles veulent. Elles continuent néanmoins toutes deux à aller de la cuisine au salon avec un bol d’olives ou de cacahuètes, comme si elles n’avaient pas entendu jusqu’à ce que la sonnette retentisse. Je le vois rouge de confusion, se précipiter pour ouvrir, mais sa compagne le devance et introduit les invités tout surpris de l’accueil :

- Tu aurais pu nous prévenir, Léon, que c’était un apéro à thème, on se serait habillé en conséquence ?
- Rien ne vous empêche de le faire encore lui répond la maîtresse de maison
Puis elle appelle sa fille pour la présenter. Ils la détaillent des pieds à la tête. Elle leur sourit en retour et s’approche innocemment pour leur faire la bise. Le plus téméraire pose carrément une main sur son sein droit. Elle le laisse faire. Sa mère intervient alors :

- Si vous le souhaitez, ma fille peut vous aider à vous mettre à l’aise, n’est-ce pas ma chérie ?
- Oui maman, je commence par vous si vous voulez bien ?
Elle s’agenouille et défait la ceinture puis les boutons de son 501 avant de descendre le tout, y compris le caleçon directement sur les chevilles. Elle profite pour retirer les chaussures et les chaussettes au passage de chaque jambe de pantalon. Une verge déjà en belle érection se retrouve nez à queue pendant toute l’opération. Elle ne fait rien pour l’empêcher de se caresser sur ses joues. C’est quand il lui saisit la tête entre ses mains qu’elle tourne les yeux vers sa mère qui lui fait signe d’ouvrir la bouche et de tirer la langue. Elle s’exécute. Il enfourne directement sa bite et se masturbe avec sa bouche. Léon s’est assis, hébété sur le fauteuil. Aucun son ne peut sortir de sa bouche.

L’autre invité se présente alors naturellement devant la mère qui imite sa fille en s’accroupissant, elle aussi, jusqu’à sucer cette bite à son tour. Ils finissent par éjaculer assez rapidement et la fille, les joues gonflées et les lèvres serrées, se relève pour se diriger vers sa mère qui une fois debout embrasse sa fille à pleine bouche. Elles ont du mal à tout contenir et bientôt, leur menton et leur poitrine reçoivent le trop-plein qui n’a pu être avalé. La mère sourit alors aux invités :

- Qu’est-ce que vous boirez ? Pour nous, c’est déjà fait. Comment as-tu trouvé notre prestation, chéri ?
- Et bien Léon tu aurais pu nous prévenir de l’accueil chaleureux qui nous attendait ?
- Je suis tout aussi surpris que vous. Elles ont manigancé tout ça dans mon dos, vous savez.
- Et cela t’excite, je suppose, de voir ta femme s’occuper ainsi d’inconnus sous tes yeux ?
- Tu peux te désaper à ton tour pour que l’on en juge par la fermeté de ton érection ajoute l’autre
- A moins que tu préfères que la jeune fille s’occupe de toi ?
- C’est vrai ma fille, tu pourrais aider ce pauvre Léon à se mettre en tenue de soirée !
Toujours aussi docile, elle se dirige vers son beau-père et s’agenouille entre ses jambes. Elle dézippe sa braguette et défait sa ceinture avant de commencer à baisser son pantalon. Il lève légèrement son bassin pour lui faciliter la tâche. Elle attrape au passage l’élastique de son slip et tire le tout jusqu’aux chevilles. Puis consciencieusement, elle lui ôte les chaussettes avant de se relever pour passer à sa chemise qu’elle déboutonne méticuleusement avant de la lui retirer. Il ne lui reste plus que le maillot de corps à faire passer au-dessus de sa tête. Le voilà aussi nu que ses camarades qui ont continué leur effeuillage dans le même temps. Le plus âgé ne peut s’empêcher de commenter la situation :

- Et bien Léon, si tu nous avais prévenus, nous aurions répondu à ton invitation plus tôt. Tu ne dois pas t’ennuyer tous les jours avec deux femmes comme ça à la maison..
D’entendre qu’on la prend enfin pour une femme fait rayonner la fille qui demande à Léon :
- Tu veux que je te mette en forme ? Tu n’as pas l’air très à l’aise avec ton sexe aussi ramolli ?
- C’est vrai ça Léon, nous qui comptions t’exciter au contraire avec notre petite cérémonie d’accueil ! ajoute sa mère
- Chérie, je crois que là, tu as poussé le bouchon un peu loin ! finit par dire Léon avec un ton viril
- Mais interroge tes collègues, je pense au contraire qu’ils sont très ravis, non ? lui répond sa compagne nullement impressionnée
- On le serait à moins, Madame !
- Qu’est-ce que je vous sers, le temps de retrouver quelques forces ?
- Ma fille, tu peux t’occuper de Monsieur pendant ce temps ?
Toujours dans le trip du début de soirée, elle s’assoit entre ses jambes et entreprend de le sucer à nouveau !
- Mais non, demande-lui ce qu’il veut boire !
-Excusez-moi, Monsieur ! Vous voulez boire quelque chose ?
- Si ce n’est pas trop demandé et vue l’ambiance, j’aimerais goûter la cyprine de la maîtresse de maison, si elle veut bien ?
- Léon, qu’en penses-tu ? Je lui fais ce plaisir ?
- Je ne pensais vraiment pas qu’un jour tu puisses aller aussi loin, coincée du cul que tu étais encore il n’y a pas si longtemps !
- Tu aimes voir ta compagne s’occuper d’un autre sous tes yeux ? C’est bien ce que tu me surines depuis quelque temps pour que notre couple retrouve un peu de peps, n’est-ce pas ?
- Oui, je l’avoue. Mais de te voir passer à l’acte avec une telle conviction me laisse pantois !
- Allez Léon, sois cool, prête-moi ta femme. Elle en meurt d’envie, je crois ?
- Je suis bien incapable de la satisfaire en ce moment. Je la laisse décider !
Pour toute réponse, elle demande à sa fille de l’aider pour allonger le collègue chanceux sur le canapé avant de s’agenouiller de part et d’autre de sa tête pour lui présenter son abricot glabre à lécher. Elle demande à sa fille de s’occuper de lui redonner vigueur pendant ce temps. Léon n’en croit pas ses yeux, tant il pensait qu’elles se calmeraient :

- Vous me jouez quoi toutes les deux ?
- Tu nous as demandé d’être attentionnées pour tes collègues. Ce n’est pas ce que tu voulais ?
- Vous allez arrêter immédiatement ce petit jeu !
- Tu ne vas pas prendre la mouche Léon et gâcher la soirée !
- Vous allez me faire le plaisir de vous rhabiller et de déguerpir. Nous en reparlerons demain au boulot !
- Quant à vous deux, nous allons avoir une explication de texte dès que nous serons seuls !
- Mais chéri, cela commençait à m’exciter de te rendre jaloux avec le secret espoir que tu finisses par t’exciter avant de me culbuter ensuite là devant eux sur la table !
- Tu ne paies rien pour attendre, tu sais ! Quant à vous, bonsoir et à demain !
L’atmosphère devenant subitement électrique, je m’attends au pire. Pourtant dès les convives partis, il se calme et demande à la petite de lui faire une gâterie en interrogeant sa mère qui se détend à son tour :

- Tu aurais été prête à aller jusqu’où ?
- Et bien me faire prendre en double sous tes yeux pendant que ma fille te suçait.
- Mais, ôte-moi d’un doute, à part ton mari et moi, tu as accepté combien d’autres bites dans le ventre ?
- Aucune, j’étais vierge à mon mariage !
- Et tu étais prête à franchir le pas aussi simplement ?
- A vrai dire, je voulais surtout te provoquer et voir jusqu’où tu serais capable de me laisser faire. Ce petit jeu m’a beaucoup excitée, tu sais !
- Mais tu y as entraîné ta fille très loin également ! ça ne te gêne pas de sucer des inconnus devant ton beau-père, qui plus est ?
- Si maman me le demande, c’est qu’elle pense que ce sera bon pour mon éducation. Tu sais Léon, je ne suis pas si naïve que cela. Mes lectures et notamment les ouvrages du Marquis de Sade m’ont bien ouvert les yeux sur ce que les hommes attendent vraiment des femmes ! Tu aimes à ce que je vois que ta belle-fille aspire ta queue, non ?

- Oui, tu deviens très experte grâce aux conseils de ta mère !
- Cela me plaît beaucoup tu sais de te faire plaisir !
- Tu serais capable de me le faire n’importe quand et n’importe où sur simple demande de ma part sans en référer à ta mère ?
- Oui, si elle en est d’accord là maintenant ?
- Pour l’instant, je veux continuer de surveiller tes expériences sexuelles. Je te dirai le moment venu quand tu seras prête pour offrir ton corps !
- Mais maman, tu sais que toute cette soirée m’a terriblement excitée. Tu veux bien que Léon me fasse couler très fort en frottant mon clitoris ?
- D’accord, et si tu es aussi émoustillée, je vais te faire connaître de nouvelles sensations. Ecarte bien tes lèvres pour qu’il insinue sa langue le long de ta fente, puis présente lui ton œillet en écartant bien tes fesses. Je reviens.

Elle est de retour avec un gel lubrifiant. Elle se penche sur le cul de sa fille pour commencer à détendre sa rondelle et y glisser un doigt de plus en plus profond :
- Oh ! Merci maman. Tu me fais beaucoup de bien. Continue. Je suis si contente de savoir que le moment est venu d’offrir enfin mon cul à Léon !
- Laisse-moi bien te préparer, je ne voudrais pas que tu aies un mauvais souvenir de ta première sodomie. Léon, tu devras bien suivre mes directives lors de l’intromission..
La jeune femme est à présent en levrette avec les reins bien creusés en appui sur les avant-bras. Son abricot est légèrement ouvert et coule de cyprine. Elle est surexcitée. Ce sont les deux doigts de sa mère qui s’enfoncent à présent dans son fondement.

- ça va ma chérie. Comment te sens-tu ?
- Ce n’est pas désagréable comme sensation. J’ai même l’impression d’un bien-être qui se diffuse dans tout mon corps quand tu entres complètement tes doigts !
- Léon, tu peux maintenant présenter ton gland et pousser lentement pour voir s’écarter son anus !
- Tu n’hésites pas ma chérie à lui dire de stopper quand tu as trop mal.
Je vois le gland faire petit à petit son chemin. Il est complètement passé à présent et le sphincter s’est resserré pour l’enfermer. Elle ne dit toujours rien. Le pieu s’enfonce alors inexorablement. Elle gémit doucement et se caresse le clito pour compenser la douleur. Quand ses couilles touchent sa chatte, il ne bouge plus :

- Bravo ! ma fille, te voilà à demi femme !
- Je peux bouger maman ?
- Oui, masturbe-le avec ton cul serré, il va adorer !
Elle fait sortir lentement cette queue jusqu’au gland avant de se pénétrer d’un coup avec un souffle rauque. Elle recommence de plus en plus vite :
- Oh que c’est bon, maman !
- Il va mettre ses mains sur tes fesses et te pilonner à son rythme jusqu’à l’éjac. Allez ! Jouis ma file !
La séance dure un bon moment. Léon est aux anges :
- Merci les filles, cette soirée se termine bien mieux qu’elle a commencé  !
- Mais tu n’es pas complètement opposé à ce qu’un jour une autre bite me pénètre ?
- Il me faudra être particulièrement excité, je pense. Mais l’expérience me tente !
- Pendant que tu encules ma fille, je peux bien m’envoyer en l’air avec un autre ?
- Ah oui maman ! Avec mon petit copain, par exemple. Je te le prêterais volontiers, maintenant que Léon pourra s’occuper de moi quand j’en aurai envie !
- Pour l’instant, tu ne lui offriras que ta bouche et ton cul tant que ton père ne t’a pas déflorée !
- Merci maman pour ce gentil cadeau d’anniversaire de m’offrir ton compagnon, quand bon lui semble, à charge de revanche lorsque j’en aurai un ! Dès que papa m’aura baisée, il pourra également me prendre quand il veut. J’adore me sentir ainsi le jouet sexuel des hommes de la famille ! Je ressens un peu les émois de Justine décrits par Sade. J’en suis ravie. Vas-y Léon, décharge en moi !

La séance d’initiation touche à sa fin quand Léon se retire et que le fion de la petite commence à régurgiter l’excédent de foutre et qu’il lui tape sur la fesse pour la remercier ! Sa mère en profite pour lever le pouce et éteindre son PC. Je lui envoie aussitôt un texto pour lui signifier que le défi n’a pas été réalisé. Même si j’ai apprécié son initiative d’initier sa fille à la sodomie, elle devra être punie si elle compte toujours continuer la phase d’essai de sa soumission ! Elle s’excuse alors de s’être emportée dans l’euphorie du moment de voir sa fille jouir avec son compagnon et se dit prête à subir son châtiment... quel qu’il soit !

Je lui textote alors :
« Vous devrez vous faire violer par votre plus fidèle collaborateur sur votre bureau à la pause déjeuner de demain. Sans oublier le défi de l’après-midi, quelques heures après, de faire jouir le vieux curé avec votre fille ! »

‘J’accepte, mais comment vous prouver que je l’ai fait ?’

— Vous laisserez votre téléphone en communication avec moi et vous commenterez en direct ce qu’il vous fait subir et vos sensations !

‘Vous me laissez entendre que je devrais l’aguicher tout en me refusant à lui pour finalement le laisser me pénétrer de force, y compris dans le cul !’

— Vous avez tout compris !

‘Ce sera difficile, mais je vais faire mon possible pour continuer de vous obéir

— J’espère bien. Sur ce, bonne nuit, votre journée de demain sera longue.

Avec tout cela, j’en aurai presque oublié son mari, mon soumis, qui heureusement doit répondre également à son maître originel. Il est déjà tard quand je le contacte par téléphone :
- Alors, la belle-mère est un bon coup ?
- Elle a effectivement retrouvé sa sexualité de jeunesse m’a-t-elle dit !
- Elle vous apprécie alors plus que jamais ?
- Oui, son mari ne la touchant plus, elle ne compte plus que sur moi, maintenant qu’elle a retrouvé ses sensations ! Elle n’est plus non plus aussi rivée sur ses contraintes religieuses depuis que le curé lui a donné l’absolution après sa révélation de s’être dénudée en famille. Il attend avec impatience ses prochaines confessions si elle est aussi délurée que sa fille..

- Cela tombe bien, car votre prochain défi pour mercredi sera :
« Invitez de nouveau votre belle-mère avec les deux sœurs de sa génération pour les baiser toutes les trois à tour de rôle pendant qu’elles gouinent ensemble ! »
Au moment de me coucher, nouvel appel, cette fois en vidéo Whatsapp de sa fille. Elle est nue en levrette et me montre son œillet fraîchement dépucelé :
- ça y est, je suis à demi femme comme dit maman. Léon m’a dépucelée le cul, pour mon vagin ce sera avec mon père vendredi prochain ! Je suis si heureuse !
- J’en suis également heureux pour toi que tu prennes aussi bien toutes ces nouvelles pratiques sexuelles que te font découvrir tes parents !
- Cela me plaît beaucoup de leur obéir. J’y retrouve un plaisir supplémentaire à me surpasser pour eux. Vous savez, j’ai sucé deux collaborateurs de Léon venus prendre l’apéro. Je les ai laissés explorer mon corps avec leurs mains. Je suis certaine aujourd’hui que lorsqu’ils me demanderont de m’offrir à un inconnu je le ferai sans hésitation !

Elle me dit ensuite, tout en se caressant la chatte en gros plan qu’elle continuera d’aller sans soutif ni culotte à l’école, mais évitera de s’exposer devant les profs vieux jeu. Elle ne discute pas plus longtemps, une longue journée l’attend le lendemain où elle doit sucer le vieux curé :

- Si papy et mamie savaient, ajoute-t-elle avec malice en rigolant
- Alors, bonne nuit petite salope et fais de beaux rêves
- Bonne nuit à vous et branlez-vous bien en pensant à moi !
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Mardi matin :
C’est sur le coup de midi et demie que mon apprentie soumise m’appelle pour me montrer, dit-elle, sa punition. Elle a prévu des vêtements de rechange et a déjà passablement chauffé son jeune collaborateur qui n’a d’yeux que pour elle depuis qu’il a remarqué qu’elle ne porte plus de sous-vêtement. Son chemisier du jour laisse nettement apparaître ses mamelons foncés et ses tétons tendus par l’excitation. Elle s’est arrangée pour qu’il ait vu sur son entrejambe à plusieurs reprises, allant même jusqu’à monter sur un escabeau qu’elle lui a demandé de tenir pour pouvoir prendre un dossier sur l’étagère du haut.

- Je crois qu’il est chaud à point et doit être persuadé de parvenir à ses fins dans les minutes qui viennent puisqu’il doit me remettre un rapport urgent ! Mon bureau, consistant en une table assez longue, devrait lui permettre de visualiser ma chatte dès l’ouverture de la porte puisque j’ai pris soin de relever ma jupe jusqu’en haut des cuisses !

- Parfait, j’attends votre description en live de la scène pour l’exciter à nouveau, et n’interviendrait plus du tout jusqu’à la fin des ébats ! Amusez-vous bien avec lui !
J’entends peu de temps après frapper à la porte :
- Entre mon cher Guillaume. Tu as fait vite. Je t’en remercie, car c’est très urgent !
- Je ne voulais pas vous faire attendre, Madame !
- Mais dis donc, tu veux bien me regarder dans les yeux quand tu me parles !
- Mais Madame, vous essayez de m’aguicher depuis ce matin.
- Je ne te permets pas de me parler ainsi.
- Mais vous me faites bander Madame, c’est plus fort que moi. Votre main qui caresse votre sexe est un appel non ?
- Vous me prenez pour qui ?
- Pour ma supérieure qui a envie de se taper le petit jeune du service, si vous me passez l’expression !
- Alors là, tu dépasses les bornes. Allez, approche-toi que je te corrige comme un gamin que tu es !
- Votre sein droit s’est malencontreusement échappé de votre chemisier. Laissez-moi le remettre en place !
- Ah non ! Ne commence pas à en profiter pour me peloter !
- J’adore vos nichons. Laissez-moi les mettre à l’air libre !
- Ne me touche pas !
- Qu’ils sont encore fermes !
- Veux-tu arrêter de me pincer les tétons, je pourrais être ta mère. Tu n’as pas honte ! Allez, ça suffit. Tu as assez joué. Laisse-moi tranquille maintenant et retourne dans ton bureau !
- Vous m’en avez trop donné à voir et à palper. Je ne vais pas partir sans vous avoir mis un petit coup. J’en ai tant rêvé depuis ces jours derniers !
- Mais pour qui te prends-tu ?
- Pour un jeune excité qui va se payer une vieille. Allez, ne fais pas ta mijaurée, approche que je t’enlève toutes tes frusques.
- Mais, vous délirez Guillaume !
- C’est ce qu’on va voir. Si vous ne vous laissez pas faire, je vais devoir employer la force pour parvenir à mes fins !
- Non, laisse-moi, ne tire pas comme ça sur mon chemisier, il est fragile !
- Trop tard, j’ai un morceau en main qui s’est déchiré. Il n’y a plus qu’à l’enlever entièrement.
- Ah non ! Arrête ! Mes seins ne sont pas de la pâte à modeler que l’on triture ! Lâche-moi et va-t’en !
- Sûrement pas avant de t’avoir baisée, salope. Tu aguiches, puis tu n’assumes plus. Tu vas voir ce que tu vas prendre. Tu t’en souviendras longtemps.
- Non ! Ne déchire pas ma jupe, il y a une fermeture éclair sur le côté
- Trop tard, tu m’excites trop, je n’ai pas le temps de finasser. Allez ! mets toi à genoux !
- Jamais
- Tu l’auras voulu poufiasse. Prend cette baffe, la prochaine est pour tes seins !
- Non, jamais je ne me laisserai faire. Si tu continues, je crie et appel à l’aide !
- Tu l’auras voulu. Je vais te faire fermer la gueule. Prend ce bout de chemisier dans la bouche et mets tes mains dans le dos que je les attache ensemble avec les manches du reste du chemisier..

- Ah là on respire. On n’entend plus tes cris de vierge apeurée.
- Allez, pose ton cul au bord du bureau que je te broute la moule. On voit que tu l’utilises souvent, tes lèvres sont très chiffonnées. Laisse-moi goûter ta liqueur. Tu mouilles comme une salope, ça t’excite en fait que l’on te bouscule..

- Allez ! Lève les pattes et pose-les sur mes épaules que je t’enfile. Putain ! Que t’es bonne à baiser. Pourquoi n’ai-je pas tenté ma chance plus tôt ? Il faudra que je passe le mot pour qu’on te partage entre les potes ! Ca glisse tout seul. Tu me parais être une bonne truie qui aime la baise..

- Voyons ton cul. Mais c’est que Madame à l’œillet tout plissé qui a l’air, lui aussi, de servir souvent. Lubrifions-le avec un peu de mouille. Ah ! oui, il est très détendu et accepte sans problème trois doigts !

- Place à ma queue. Ah ! On est mieux dans ce conduit qui enserre mieux ma bite. Je vais me masturber dedans, j’irai plus vite pour jouir.
- Ne me regarde pas avec ces yeux exorbités ! Ne t’inquiète pas, je vais bientôt libérer ta bouche pour que tu puisses avaler mon foutre !
- Ah que c’est bon ! Pompe-moi bien. Je comprends mieux l’urgence du dossier, tu avais une trop folle envie de baiser avec un jeune !
- Allez ! Avale bien tout ! Ca va mieux maintenant, non ?
- Tu n’es qu’un gros dégueulasse Guillaume, qui a profité d’une faible femme ! Mais je reste ta chef et tu es viré ! Je vais appeler la sécurité pour faire constater le viol. Tu seras poursuivi en justice !

- Ah non, Madame, pas ça. J’ai trop besoin de ce job. Nous venons de faire construire avec ma jeune épouse, nous devons rembourser nos traites mensuelles. Je ferai tout ce que vous voudrez.
- Alors, tu acceptes à l’instant même de te soumettre à toutes mes exigences, y compris sexuelles, ici ou chez toi en présence ou non de ta femme !
- C’est trop me demander, Madame !
- Bon, je fais le numéro de la sécurité. Je suis à poil. Ils auront vite fait de comprendre avec mes vêtements déchirés au sol. Je viens de faire d’ailleurs une vidéo de la scène de viol que j’envoie à un ami. Si tu ne te soumets pas sur-le-champ, et ne réalises pas à l’avenir l’un de mes défis, je diffuse la vidéo et porte plainte pour viol !

- Vous êtes machiavélique. Vous m’avez provoqué. Vous m’avez laissé profiter de vos charmes pour finalement faire de moi votre soumis !
- Tu as tout compris, alors regagne ton bureau et surtout ne te vante pas à tes copains, ma vengeance serait terrible. Allez, file Guillaume et ne t’avise plus de m’approcher aussi près, sans que je t’en donne l’ordre. Sache quand même que tu m’as fait jouir !

La porte se referme et j’entends le tour de clé pour la condamnée.
- Alors défi réussi ?
- Vous avez été parfaite et vous vous êtes gardées la possibilité de baiser au boulot comme bon vous semble !
- Tout à fait !
- Mais vous oubliez que je suis toujours votre maître et même à l’essai vous me devez obéissance ! Aussi, je compte bien soumettre ce Guillaume au travers de vous !
- Je suis bien sûr toujours votre obligée !
- Il vous faut remettre de l’ordre dans votre tenue pour aller à l’église en milieu d’après-midi !
- Oui, j’ai apporté de quoi me changer pour aller à la confesse !
- N’oubliez pas, toujours sans soutif, ni culotte tout comme votre fille !
- Oui, bien sûr. Elle m’a proposé de faire une vidéo Whatsapp de nos ébats avec le curé pour l’envoyer dit-elle, à son mentor du net à qui elle confie tous ses émois et qui la rassure. Pas besoin donc que je laisse cette fois mon téléphone allumé !

- Non bien sûr, je viens de prendre connaissance de votre vidéo du bureau sens dessus dessous et de vous sans dessous avec vos vêtements éparpillés et déchirés ! Encore bravo pour la prestation ! J’attends la vidéo de votre fille et ses commentaires sur la montée du curé au 7° ciel. Au fait, elle a beaucoup apprécié sa première sodomie avec Léon hier soir. Elle vous en remercie et continue de vous faire confiance pour son éducation !

C’est encore une fois quand elle se retrouve seule dans sa chambre que sa fille me contacte en vidéo Whatsapp après m’avoir envoyé le film de leurs exploits à l’église. Le scénario monté par sa mère consistait d’abord à ce qu’elle aille se confesser, en excitant un maximum le vieux prêtre avec ses descriptions d’activité sexuelle très suggestive. Une fois, le sentant suffisamment chaud, elle a fait signe à sa fille par le rideau d’aller investir le box central du confesseur en prenant soin de bien refermer la porte derrière elle, ayant toujours son téléphone en mode enregistrement vidéo. Je l’ai vu malgré l’obscurité, remonter sa soutane, puis lui extraire sa queue demi-molle, sa mère continuant d’égrener ses péchés de chair que j’entends distinctement. Une fois la queue en bouche, sa fille le branle sans que l’ecclésiastique manifeste le moindre geste d’étonnement. Il doit penser que son excitation monte naturellement.

Soudain, un bruit dans l’autre box me fait penser à une bigote qui vient se confesser à son tour !
La confession de sa mère touche à sa fin puisqu’il lui dicte sa pénitence alors que sa fille pompe toujours. Le volet du premier box se ferme. Le curé découvre alors la tête de la fille entre ses jambes. Il se sent si bien comme jamais qu’il lui appuie dessus pour faire accélérer le rythme avant d’ouvrir le deuxième box pour écouter une nouvelle série de péchés. Quelle n’est pas ma surprise d’entendre la voix de la grand-mère ! Sa petite-fille, tout aussi surprise, relève la tête, mais les mains du curé la ramènent à son ouvrage. S’ensuit la description détaillée de la saillie de son père et le final avec sa première fellation et absorption de la semence. Le curé l’absout à son tour lui disant qu’elle fait honneur à sa famille. Elle ne comprend pas sur le coup jusqu’au moment de sortir du confessionnal et de découvrir sa fille qui récite sa série de « notre père ». Je l’entends lui dire à voix basse :

- Qu’est-ce que tu fais là ?
- Et toi donc ?
- Je suis venue me repentir de tous mes péchés de chair !
- J’ai bien entendu maman ?
- Oui, je peux te l’avouer maintenant que je l’ai fait au curé et que ma conscience est soulagée. J’ai laissé ton mari me faire la toilette de mon buisson lorsque je suis allée le voir pour sa recette de chantilly.

- Et il te l’a donnée ?
- Mieux que cela, il me l’a fait goûter toute fraîche !
- Tu as aimé ?
- Il y a longtemps que je ne m’étais pas sentie aussi bien. Je crois que j’irai le revoir de temps en temps.
- Mais ce n’est qu’un péché de gourmandise d’abuser de la chantilly, pas de chair ?
- Tu sais, sur le gâteau d’anniversaire, ce n’était pas non plus de la chantilly !
- Tu peux me dire comment il a fait son soi-disant chantilly. Je suis après tout sa femme et ta fille. Tu peux tout me dire, tu sais. Je suis prête à tout entendre venant de sa part ?
- Et bien, il s’est masturbé sur le gâteau de sa fille pour que nous goûtions son sperme !
- Et qu’en dit le curé ?
- Il ne s’en est pas ému outre mesure.
- Tu ne l’as pas trouvé particulièrement euphorique cet après-midi. D’ailleurs, il n’a plus d’ouailles à confesser et tarde à sortir de son box !
- Il a dû s’assoupir.
- Allez, maman, je te raccompagne dehors.
Le film montre la fille en plein branle qui tête toujours le gland et le curé qui l’encourage. Quand soudain la lumière entre et que sa mère intervient :
- Mais tu n’as pas honte ma fille. Quand je t’ai dit d’aller te confesser, ce n’est pas dans le box du curé qu’il faut aller, mais ceux adjacents.
- C’est ma faute, Madame. J’aurais dû l’éconduire aussitôt. Mais elle a su rapidement me mettre à l’aise, et me faire ressentir un bien-être total.
- Vous mériteriez que je vous dénonce à l’évêché. Malgré votre âge, ils me croiront, je pense !
- Non, pas ça. Je suis prêt à faire tout ce que vous voulez !
- D’accord, mais continuons cette discussion à la sacristie !
La fille continue sa vidéo avec son téléphone. Je les vois entrer dans la sacristie et sa mère ordonner :
- Allez ! Déshabillez-vous et continuez de vous masturber. Et au lieu de vous en prendre à une jeune, vous allez me baiser là sur la table.
- Vous n’y pensez pas ?
- J’ai l’air de plaisanter ? C’est ça ou je vous dénonce pour pédophilie, même si ma fille est majeure !
Sans répondre, il ôte sa soutane et son tricot de peau ayant laissé son slip au confessionnal ! Il commence son branle. La mère l’aide un peu en le suçant à son tour. Quand il est suffisamment raide, elle s’allonge, les fesses en bord de table, les deux pieds posés dessus pour offrir sa chatte. Il ne se fait pas prier plus et l’enfile, en la besognant :

- Oh seigneur ! Bénissez cet acte et donnez-moi la force de le mener à bout !
- C’est votre premier coït ?
- Non, bien sûr. Mon ancienne bonne a toujours été d’un grand réconfort pour moi !
- Et vous bénissiez tous vos actes sexuels ainsi ?
- Oui, car elle pensait que cela lui donnait des indulgences pour l’au-delà !
- Allez, mettez-y plus de cœur ! Vous voulez que ma fille vous suce les couilles ?
- Ah oui ! Que vous êtes bonnes toutes les deux ! Je sens que ça vient ! Oh là là ! C’est trop bon !
C’est à ce moment-là que la grand-mère fait son apparition :
- Mais qu’est-ce que vous faites là tous les trois ? Je te cherchais partout ma fille ?
- Eh bien, tu vois je fais mon acte de contrition et j’accomplis ma pénitence pour tous mes péchés !
- Ah ! Ca alors ! Je n’en reviens toujours pas ! Je n’ai pas dû assez pécher, car j’en suis toujours restée aux récitations de prières et pourtant avec la disette au lit que ton père m’a fait endurer pendant toutes ces années, j’aurai bien mérité, moi aussi, des indulgences comme votre bonne, non ?

- Mais il n’est pas trop tard pour rattraper le temps perdu. Mais pas ce soir, j’ai donné tout ce que j’avais dans les bourses !
- Il vous faudra faire la quête pour les remplir !
- Vous êtes taquine Madame. Mais on ne sait pas : « qui quête » pour y arriver ?
- J’espère au moins que vous n’avez pas touché à la petite ?
- Non, c’est elle qui m’a réveillé le goupillon pendant que je vous confessais !
- Tu as tout entendu ?
- Oui, mamie. Je te trouve super de reprendre du service à ton âge. Tu peux dire merci à papa.
- Quelle famille tuyau de poêle nous formons !
C’est sur l’image de la grand-mère qui nettoie avec un kleenex le surplus de sperme qui s’écoule du vagin de sa fille que la séquence s’arrête.
Ayant visionné tout cela une heure plus tôt, je demande à la jeune soumise de sa mère comment elle a réagi en attendant la confession de sa grand-mère et surtout quand celle-ci les a surprises toutes les deux avec le curé. Elle me répond avec toujours sa chatte en gros plan et son clito qu’elle tente de faire gonfler entre ses doigts :

- J’étais en fait contente de savoir que mamie avait pu prendre son pied avec papa. Il me tarde donc maintenant que ce soit mon tour pour que papa puisse me baiser pour boucler la boucle en ayant pu ainsi s’occuper des trois générations..

- Tu en as l’obsession, je vois ?
- Oui, et je suis trop contente, puisque c’est prévu pour vendredi soir !
- Tu n’as pas eu peur de décevoir ta grand-mère quand elle t’a surprise en train de sucer les couilles du curé ?
- Non, maman me l’ayant demandé, j’ai pensé qu’elle en assumait toutes les conséquences même si un voyeur nous surprenait
- Mais là, il s’agissait de TA mamie !
- Maman a su trouver les mots pour rassurer sa mère. Je ne serai étonnée pas d’apprendre qu’elle couche avec le curé bientôt !
- Ta mère ne t’a rien ordonné pour demain?
- Non, car je n’ai cours que le matin et l’après-midi, elle compte faire les courses avec moi. Elle doit renouveler sa garde-robe pour son boulot, m’a-t-elle dit, et veut me faire une surprise !
- J’attends ton appel demain soir pour le compte-rendu ! Allez, bonsoir ma petite salope qui s’éveille au sexe de jour en jour !
- Bisous sur votre sexe qui doit continuer de grossir en voyant le mien !
- Tout à fait, ma belle !
Je réalise soudain que je n’ai pas proposé de défi à ma soumise pour le lendemain. Je lui textote immédiatement :
« Emmenez dès que vous le pourrez votre fille dans un sex-shop et achetez-lui des dessous sexy qu’elle devra mettre sur place avant de se dénuder en cabine dans un ‘peep show’ pour exciter les voyeurs abrités derrière les miroirs »

La réponse est instantanée :
‘Nous sommes vraiment maintenant sur la même longueur d’onde, car je comptais l’y emmener demain après-midi pour lui acheter des sex-toys à utiliser le week-end prochain chez son père, une fois dépucelée par ses soins en ma présence !’

‘Mais c’est d’accord, elle aura ses dessous affriolants également pour un strip en cabine. Nous verrons sur place si je laisse entrer les voyeurs pour une douche blanche finale !’

— Je tiens à ce que vous me transmettiez une copie de la vidéo tournée par la direction.

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les défis vont crescendo, cela vous plaît-il toujours ?
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