Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 50 J'aime
  • 2 Commentaires

Soumissions

Chapitre 6

Inceste
Pour maintenir ma libido, je suis allé récemment sur un site de rencontre naturiste où je suis tombé sur un soumis, qui souhaitait changer de maître pour quelque temps. J’ai trouvé la situation étrange, mais me suis vite pris au jeu en voyant qu’il réalisait tout ce que je lui demandais.
De la réalité de nos échanges décrite dans le premier volet de la série, j’ai rapidement dérivé vers la réalisation de mes obsessions, exécutée par un tiers dans les quatre récits suivants, avant de donner libre cours à mes fantasmes de plus en plus hard dans ce nouvel épisode !
– 0 –

Mercredi matin :La demande de connexion vidéo Skype de mon soumis me surprend sur les coups de 9h00. Il m’informe de la venue prochaine de la mamie, ses deux voisines étant déjà arrivées et bien sûr à poil pour la recevoir.
La sonnette retentit et c’est la veuve la plus âgée des sœurs qui va ouvrir. Elle lui claque une bise sur le pas de la porte avant que main dans la main, comme de vieilles amies, elles rejoignent sa sœur et mon soumis, pour que sa belle-mère les embrasse à leur tour. C’est sur la bouche qu’elle lui fait la bise en faisant un clin d’œil aux deux autres vieilles avant de dire :
— Bon, d’accord, je vais me mettre en tenue. Je monte dans la chambre de ta fille ?— Ce n’est pas la peine, on va t’aider à le faire ici s’empressent de dire en cœur les deux sœurs.
Sans qu’elle ait le temps de s’exprimer, l’aînée s’occupe d’enlever le haut et sa cadette le bas. Elles ne se privent pas de laisser traîner leurs mains sur ses seins, sur ses fesses puis sur son mont de Vénus grisonnant. Elle n’a aucun mouvement d’opposition à ces intrusions féminines dans son intimité. Au contraire, elle finit par elle aussi de prendre connaissance au toucher de l’anatomie de ses deux partenaires. C’est quand la veuve les a prises dans ses bras pour leur rouler une pelle et frotter ses seins contre les siens qu’elle finit par dire :
— Quel accueil ! — Vous n’appréciez pas ?— Si beaucoup, mais j’ai été si longtemps sevrée de caresse que je suffoque un peu. Mais on peut se tutoyer, nous sommes de la même génération, non ?— Oui, tu as raison.— Vous connaissez mon gendre depuis longtemps ?— De vue oui, mais intimement depuis ce mois-ci seulement !— Moi, également, il a pu se faire la mère après la fille, comme il dit, que lundi dernier. A son grand regret et du mien d’ailleurs !— En effet, c’est très récent. Et tu es venue, je suppose, comme nous, pour en profiter de nouveau.— Tu es très directe. Mais je ne le cache pas. Il y a si longtemps que je n’avais pas fait l’amour.
— Tu sais, tu peux te lâcher avec nous et parler plus crûment, c’est plus excitant, non ?— Je n’ai pas l’habitude !— Mais, tu connais au moins le vocabulaire ?— Oui, un certain nombre de mots seulement, car je n’ai jamais lu de romans cochons, mon mari aurait été outré !— Tu n’es donc jamais allée dans un sex-shop ?— Non, évidemment !— On t’a apporté à tout hasard un certain nombre de nos sex-toys pour que tu les essaies !— On t’offrira celui que tu préfères pour que tu te fasses jouir en solitaire à la maison. Tu verras comme c’est bon !— C’est très gentil à vous d’avoir pensé à moi et à mon bien-être sexuel !— Regarde, ma sœur va te montrer le premier et comment on s’en sert. Si tu n’y arrives pas, elle t’aidera !
Elle s’enfonce un vibromasseur dans la chatte après avoir réglé les vibrations au maximum. Elle demande à mamie de s’approcher pour le voir fonctionner et lui demande de le retirer elle-même pour se l’introduire à son tour en elle. Elles se font face et se sourient. La sœur reprend son objet, sans attarder sa main sur le bouton d’amour de sa partenaire, avant de le sucer pour se délecter de sa mouille en lui faisant un clin d’œil, et lui dire :
— Dis donc, tu mouilles déjà bien et tu as un clito bien développé. Viens me reprendre mon jouet !
Mamie ne se fait pas prier et pensant que c’est comme cela qu’on l’utilise, suce à son tour, le vibro.
— Ta mouille est abondante aussi !— Allonge-toi sur le canapé. On va se mettre en 69 pour que l’on puisse mieux se délecter de la mouille de l’autre et j’ai surtout hâte de téter ton clito !
Mamie ne se démonte pas et prise par ce jeu érotique, s’allonge pour recevoir sa partenaire sur elle. Elle hésite un long moment avant de sortir sa langue prenant le temps de découvrir en gros plan l’entrejambe de la sœur cadette. Elle se met à gémir rapidement sous les coups de langue de sa nouvelle copine. L’aînée vient alors s’empaler sur mon soumis pour les regarder tout en se faisant peloter ses grosses mamelles pendantes. Elle ne tarde pas à jouir une première fois, et décide de faire tester un nouveau jouet : un gode double- pénétration, de couleur noire ; très impressionnant ; de plus de 40 centimètres à vue d’œil, et très large ; qu’elle s’enfile déjà à moitié, avant de demander à sa sœur de l’enfiler dans le vagin de mamie. Celle-ci sursaute à l’intromission vu l’épaisseur, mais reprend vite son léchage de moule comme elle se surprend à dire !
C’est donc l’aînée qui la baise, allant petit à petit jusqu’à faire entièrement pénétrer l’engin pour coller sa vulve sur la sienne et faire légèrement tourner l’engin dans leur vagin par un frottement circulaire de leurs lèvres, simulant un long baiser ! Mamie ne peut s’empêcher de suffoquer de plaisir en disant :
— Je n’ai jamais été aussi remplie, et mon vagin aussi dilaté, depuis mon accouchement !— C’est sûr. Tu as l’équivalent d’une belle bite de noir entièrement enfoncée en toi. Commence de bouger à ton tour à ton rythme !— Ah ouiii ! C’est super jouissif !— Tu sais, tu peux entrer tes doigts dans mon vagin et les agiter très fort. Cela me fait très jouir, tu verras !
Le résultat ne se fait pas attendre, mamie est arrosée sur tout le visage. Elle ose même ouvrir la bouche pour recueillir le jet suivant. Le manège à trois dure une bonne dizaine de minutes jusqu’à ce que l’aînée retire le gode. L’entrée du vagin de mamie peine à se fermer. Il est grand ouvert, on distingue ses chairs roses à l’intérieur. Ses lèvres intimes sont rouge carmin et gonflées par le frottement. Elle réclame alors une pause. Je lui propose son cocktail favori au rhum blanc avec sirop d’orgeat et citron vert. Les deux sœurs veulent bien essayer aussi cette mixture. La discussion reprend et mamie est curieuse de voir tous les autres jouets. Elle flashe sur un plug noir dont elle demande l’usage exact, vu sa forme. C’est l’aînée à nouveau qui lui répond :
— Cela s’enfile dans l’anus, et l’on peut ainsi le garder en vaquant à ses occupations. C’est surtout quand on s’assoit que c’est le plus agréable, on a l’impression d’être sodomisé, tu vois quel genre de sensation ?— Non, justement. On ne m’a jamais prise par là !— Nous te ferons essayer tout à l’heure des plugs anaux de taille de plus en plus large pour détendre ta rondelle. Si tu te sens prête alors, ton gendre t’enculera. Tu verras comme c’est bon !— Oh là ! là ! Heureusement que mon mari ne fait pas l’inspection de mon entrejambe au retour, il serait surpris de voir mes deux orifices dilatés !— Tu nous laisses entendre donc que tu es prête à faire l’essai ?— Oui, bien sûr. D’autant que maintenant j’ai la conscience plus tranquille ; mon confesseur adorant que je lui raconte dans les moindres détails mes escapades chez mon gendre. Et s’il est suffisamment excité, il est prêt pour ma pénitence à me baiser sur la table de la sacristie comme il l’a fait hier à ta femme !— Elle avait tant de pêchés que ça à se faire pardonner ?— Faut croire ! Car pour elle ce n’est pas une sinécure de devoir se taper un vieux de 80 ans ! — Allez ! Mamie, pendant que tu sirotes, commence à familiariser ton cul avec un plug. Pose ton verre, et mets-toi à quatre pattes. Tu as du gel lubrifiant chez toi ?— Oui, je te l’amènes.— Je te donne déjà le plug le plus fin, tu l’enfileras à ta belle-mère avant, je l’espère y mettre ta bite !
Mamie se met en place et attend sagement son gendre. Il glisse un doigt enduit de gel dans le conduit très étroit, semble-t-il. Mais y parvient. Il le fait tourner doucement avant d’y glisser le plug bien lubrifié. Il est immédiatement avalé jusqu’au frein qu’il place délicatement dans la raie.
— Vous pouvez vous rasseoir mamie. Comment vous sentez-vous ?— Ce n’est pas désagréable. On a l’impression un peu d’être constipé.— Il te faut faire des mouvements comme pour l’aspirer, mais ne jamais pousser pour l’expulser !— Alors, comme ça, tu vas avoir un nouvel amant en la personne du curé ?— Non, du tout. C’est mon gendre qui va me faire redécouvrir ou découvrir tous les plaisirs du sexe.— A votre service mamie.— Pendant que l’on discute, tu peux tester celui-là dans ton vagin. Tu seras ainsi prise en double pour la première fois, je suppose ?— Oui, je n’ai connu que mon mari jusqu’à cette semaine !— Je te l’enfile et donne la télécommande à ton gendre. Tu n’auras qu’à nous dire ce que tu ressens !— Ah ouiii ! Oh là là ! Pas si fort. J’ai des spasmes qui se répercutent dans mon cul qui se serre alors sur le plug. Ah ! Là maintenant c’est bon ! Je crois bien que c’est celui-là que je vais prendre !— Même si tu peux actionner toi-même la télécommande, c’est bien plus jouissif d’être surprise quand c’est un partenaire qui s’en charge. Tu envisages de la confier à qui ? Pas à ton mari, je suppose ?— A mon gendre adoré évidemment, comme maintenant.— Vous seriez prête à l’utiliser lors du prochain repas familial ?— Pourquoi pas ? Cela romprait pour une fois la monotonie de ce genre de réunion.— Il faut essayer, je pense, le diamètre supérieur du plug, ma chérie. Si tu veux bien que je t’appelle ainsi ?— D’accord. Mais je garde celui qui est dans mon vagin. Ah oui ! Je le sens déjà plus présent, j’ai l’anus plus dilaté !— Attendez Mamie, je vais jouer avec la télécommande pour mettre un programme très doux.— Ah oui ! C’est bon. Je ne ressens déjà plus rien, côté cul !— Sœurette, tu peux mesurer la bite de notre hôte ?— Elle n’est pas très gaillarde ?— Tu peux sucer ton gendre s’il te plaît ?— Oui, mes trois orifices vont ainsi être remplis pour la première fois. Dis donc, je te fais autant d’effet pour bander aussi vite ?— C’est surtout la perspective de vous enculer bientôt !— Je suis impatiente moi aussi de devenir ta vieille salope !— Bravo ! Mamie, continue de te lâcher !— Eh bien, le diamètre est 4,5 centimètres. Ça tombe bien, je crois que c’est ton plug habituel non, sœurette. Tu pourras lui prêter tout à l’heure. — Un autre verre mamie ?— Volontiers, cela me donnera du courage pour te recevoir dans mes entrailles. Tu pourras t’y décharger si tu veux !
La discussion se poursuit sur toutes les expériences vécues par les unes ou les autres, celle de mamie se cantonnant au lit conjugal uniquement ! L’ainée, ne perdant pas le nord, fait pencher sa sœur pour récupérer le gros plug et aller le rincer à la cuisine avant de venir l’échanger avec le précédent dans le fion de mamie :
— Ouh là là ! Ca commence à me tendre les chairs. — Comme ça, cela va mieux. Votre vagin s’irradie à nouveau ?— Oui, accélère la cadence des vibrations ! Parfait, le plaisir monte inexorablement.— Alors, mettez-vous à genoux sur le fauteuil en prenant appui sur le dossier. Attention ! Je vais retirer le plug, il y a un passage difficile !— Oui, cela va mieux maintenant.— Ecartez de nouveau vos fesses avec vos mains en posant votre tête sur le dossier pour ne pas perdre l’équilibre. Une giclée de plus, de gel, et voilà, j’entre en vous mamie !— Vas-y doucement quand même !— ça y est ! Mon gland est passé !— Alors, là, je n’ai rien senti ! — Je me glisse en vous. C’est toujours bon ?— Oui ! Continue ! C’est bon, finalement la sensation est indescriptible !— Voilà ! Vous sentez mes couilles ?— Tu es entièrement entré ?— Oui, ma vieille salope, tu viens de te faire enculer à fond par ton gendre !— Quel pied ! Tu peux à présent te branler avec mon cul serré et me juter dedans !— Tu es magnifique ma chérie ! Laisse-nous te téter les seins. Comment te sens-tu ?— Un vrai garage à bites qui risque maintenant de les collectionner !
C’est sur son cul régurgitant le trop-plein de foutre que l’image s’arrête avec le pouce levé de mon soumis !
– 0 –
Mercredi soir :C’est un SMS de ma soumise à l’essai, cette fois, qui me sort de ma torpeur après le dîner. Elle m’informe que le défi a été réalisé en tout point et que la vidéo du sex-shop en HD a été copiée finalement sur une clé USB, car elle est trop lourde pour être attachée en fichier. Je lui propose de me l’envoyer par mail avec mon numéro de portable comme adresse et de la poster sur le cloud de l’opérateur. Elle est de plus en plus fière de sa fille et de sa mère désormais, ajoute-t-elle. Je lui demande si elle est disponible pour une discussion whatsapp.
En réponse, je la découvre finalement au bain avec sa fille qui me sourit sans se douter bien sûr que je suis son confident du soir. Sa mère repasse alors en mode texto pour répondre à ma question sur sa demi-journée au boulot :
— Ayant donné sa journée à Guillaume, son pseudo-violeur, pour qu’il puisse conditionner sa femme à toute éventualité de défi la concernant, elle a pu expédier les affaires courantes rapidement pour se libérer pour sa fille, qu’elle était allée chercher à son lycée, avant le déjeuner même’— Vous avez pu remplacer votre garde-robe ? — J’ai même surpris les vendeuses en laissant entrer ma fille dans la cabine d’essayage pour m’aider à les passer’— Vous ne lui avez acheté aucun vêtement pour le lycée ? — Si bien sûr. Un ensemble qui met particulièrement en évidence son nouveau corps de femme avec un soutif pigeonnant assorti’— Vous l’avez à votre tour aidée à le mettre ? — Oui et c’est ce qui a décontenancé la vendeuse quand elle a entrouvert le rideau un peu trop tôt et découvert ma fille nue face à elle avec mes mains sur seins en les soupesant pour lui dire : « tu vas voir comment ta poitrine va paraître plus grosse relevée comme ça » !’ — Pour la surprise de la fin d’après-midi au sex-shop, il me faudra attendre, je suppose de visionner la vidéo sur le cloud ? — Vous devriez bientôt recevoir par mail le lien pour y accéder. Mais avant son show en cabine, nous avons parcouru les différents étals du magasin pour qu’elle se fasse une idée de tous les accessoires disponibles pour une sexualité plus épanouie. Elle a finalement flashé sur un gode double-pénétration rose très souple qui lui permettra de se goder ensemble ses deux orifices, une fois qu’elle sera complètement déflorée !’
« Votre défi pour dimanche soir à son retour de week-end de dépucelage chez son père sera de lui montrer comment l’utiliser à deux avec vous ! »
— Je vais couper, car ma fille s’impatiente pour que je lui lave justement la chatte et se demande bien avec qui je peux chatter à une heure aussi tardive !’
Une demi-heure plus tard, c’est justement sa fille qui me fait le compte rendu habituel de sa journée, avec toujours sa main en premier plan de l’image qui caresse son bouton d’amour pour tenter de le faire grossir un peu plus chaque jour. Elle me dit alors :
— A partir de dimanche, je n’utiliserai plus ma main vous savez, car maman m’a acheté un gode pour me satisfaire toute seule au lit avant de m’endormir. Regardez comme il est gros ?— Effectivement, il ne va jamais rentrer dans une aussi petite chatte que la tienne !— Mais si ! Maman m’a assuré que la nature est bien faite et que le vagin s’adaptait automatiquement à ce qui le pénétrait dans un sens pour la fécondation ou dans l’autre pour l’accouchement !— Comment s’est passée ta journée ?— Nous avons déjeuné ensemble avec maman en terrasse d’une brasserie et l’on s’est amusé chacune à aguicher les passants à celle qui ferait détourner le plus de têtes. Je crois que j’ai gagné quand ma jupe était entièrement relevée avec mes jambes écartées pour offrir mon abricot à la vue de tous, tout en continuant, comme si de rien n’était à papoter avec maman !— Ta mère doit être fière de toi que tu l’écoutes bien lorsqu’elle te conseille ?— Oui, et surtout que je lui obéisse en toute circonstance. Car elle m’a obligée à danser dans un sex-shop avec des mecs qui me mataient derrière un miroir sans tain !— Tu n’as pas aimé ?— M’exhiber en me déshabillant petit à petit, oui. Mais quand elle les a laissés entrer dans la pièce ; j’ai pris peur de voir toutes ces queues dressées en branle !— Mais, ta mère est restée pour te protéger ?— Oui, mais j’avais en fait surtout peur d’être dépucelée sauvagement et ne plus pouvoir offrir ma virginité à papa après-demain !— Cela s’est bien passé finalement ?— Oui, ils ne m’ont finalement que douché avec leur sperme comme ils ont dit en me traitant de petite salope. J’ai bien aimé. Cela m’a fait penser à vous qui m’appeliez gentiment toujours comme ça !— Tu as aimé exciter tous ces hommes ?— Oui, beaucoup, je me sentais l’espace d’un instant dans la peau de Justine, l’héroïne de Sade, mais en plus soft bien sûr !— Qu’as-tu pensé de tous les accessoires présentés dans le magasin ?— Et surtout dans les salles de tortures au sous-sol, vous voulez dire !— Tu en dis quoi justement, toi qui as déjà lu l’œuvre du Marquis ?— Et bien qu’il pourrait très bien placer aujourd’hui ses récits dans ce genre d’endroit !— Tu t’y vois un jour, les yeux bandés avec tes quatre membres attachés sur la Croix de St André offerte à tous les mâles en rut autour !— Cela m’a traversé effectivement l’esprit en la voyant, mais après le spectacle de ces mâles en rut justement se branlant sur moi, je crains d’être beaucoup trop malmenée !— Il y a des limites à tout bien sûr ! Et si ta mère te le demandait quand même, comme aujourd’hui ton streap ?— Je le ferai, car je lui voue une totale confiance. Elle ne mettra jamais sa fille en danger !— Il se fait tard. Tu dois te reposer pour tes cours demain !— Oui, mais j’ai déjà hâte de pouvoir faire bisquer mes copines avec la nouvelle tenue que maman m’a offerte avec un soutif qui met particulièrement en valeur mes petits seins !— Tu comptes continuer à ne pas mettre la culotte assortie ?— Bien sûr, il n’y aura que pendant mes règles que j’en porterais une !— Bisous sur votre gland.— Bonne nuit ma petite salope adorée !
J’envoie ensuite un SMS à sa mère pour lui donner le défi du lendemain ; sa formation de soumise, ne devant souffrir d’aucun répit :« Demain, vous exigerez de votre violeur, Guillaume, qu’il vous apporte des photos de nues de son épouse dans des positions très suggestives et vous continuerez de l’aguicher en lui interdisant de vous toucher !»
– 0 –
Jeudi matin :Ce n’est qu’à mon réveil que j’ai lu sa réponse avec un mot d’excuse de ne pas l’avoir fait aussitôt étant alors en train de se faire sauter par Léon. Elle était en mode avion : elle, au 7e ciel, et son portable, en veille !
Je décide de laisser mon soumis au repos, ce jour, pour qu’il soit en forme demain afin de s’occuper de sa fille. J’en profite pour visionner la vidéo du sex-shop. Ma petite salope y est magnifique. Elle fait son streap comme une pro, sa mère a dû la conseiller, je pense. Je la découvre plus belle que jamais avec des dessous latex très excitants. Sa chatte et son cul blanc ressortent à merveille des découpes judicieusement positionnées dans le noir général de son corps recouvert de latex. Ses seins tout aussi blancs semblent plus ronds que jamais comme juste éclot chacun d’un trou noir !
C’est quand elle se penche à la fin en écartant bien ses fesses blanches pour faire admirer sa rondelle striée de brun, puisque fraîchement dépucelée, qu’elle est la plus salace !Je vois alors sa mère entrer nue et la prendre dans ses bras avant de la coucher au sol et de s’allonger à ses côtés pour la rassurer et l’embrasser sur la bouche, durant un long baiser, pendant que tous éjaculent sur elles. Aucun ne s’avisait dans ces conditions de tenter de forcer leurs bouches pour y répandre leur semence !
Une vidéo supplémentaire sur son compte cloud attire mon attention, elle émane du même sex-shop où manifestement elle est venue en repérage quelques jours avant. On la voit en discussion avec le gérant demandant des explications sur la salle de « tortures » !
Elle se prête volontiers aux essais de plusieurs instruments en s’installant nue sur la Croix de St André, un bandeau sur les yeux. Elle se fait ainsi fouetter les seins et la chatte, fixer les tétons et ses lèvres intimes avec des pinces reliées entre elles à des chaînes et enfin bâillonner la bouche avec une boule fixée solidement par une sangle attachée à son cou ! Le gérant fait alors passer un masseur clitoridien vibrant sur son sexe ouvert en s’attardant sur son bouton d’amour qui la fait instantanément réagir par des soubresauts de plus en plus saccadés. Il fait durer son plaisir un long moment avant de sortir sa queue et de la pénétrer. Il continue néanmoins le massage de son clito tout en la besognant jusqu’à l’éjac que l’on découvre dans sa capote quand il se retire !
Une fois libérée, elle le remercie pour ce moment intense. Il lui propose ensuite de tester un système de suspension où elle se retrouve en l’air avec les chevilles attachées. Pour l’écarteler, trois sangles de maintien ; deux, sous chaque cuisse ; et une, sous les reins ; l’obligeant de se cambrer et de laisser sa tête pendre à la renverse avec les bras ballants. Il lui bande à nouveau les yeux et reprend son massage clitoridien avec le vibro. Elle ne tarde pas de gémir de plus en plus jusqu’à réclamer d’urgence qu’on la baise. La porte s’ouvre et tous les clients présents ce jour-là défilent alors dans son vagin, sa bouche, ou se font branler. Elle s’occupe ainsi de quatre bites à la fois sans pouvoir se dérober. Les plus excités lui prennent carrément la tête entre les mains pour lui baiser la bouche avant de maculer son visage ou de la remplir de leur foutre. Elle en est rapidement couverte sur tout le corps.
Ceux qui lui investissent le vagin en sortent à temps pour retirer leur capote et se finir à la main sur son ventre. Ceux qui sont branlés tiennent à se finir tous seuls pour bien l’arroser de partout. Ses aréoles brunes disparaissent sous la couche de sperme qui les recouvre bientôt !
Tout ce beau monde finit par quitter les lieux et le gérant libère ma soumise en la remerciant d’avoir testé jusqu’au bout tous les accessoires présentés, et surtout d’avoir accepté d’être filmée pour la promotion du magasin ; une copie de la vidéo lui sera remise en sortant. Pour la rassurer, il lui dit que ses yeux bandés lui assurent un certain anonymat ! Il tient donc pour sa prestation exceptionnelle, à lui donner un accès gratuit à vie à tout son magasin.
Elle le remercie en retour pour ce cadeau et surtout pour le plaisir procuré qu’elle n’avait jamais ressenti aussi violent. Il lui offre son masseur clitoridien dont il est sûr maintenant qu’elle fera bon usage. Il lui montre le chemin de la douche dont il lui fait remarquer qu’elle est aussi entourée de miroir sans tain avec des cabines à péages. Il n’y a pas de petit profit, ajoute-t-il. Vous pouvez vous y rendre nue, cela attirera le client pour les cabines, je pense. Je vous apporte vos vêtements.
Je suis sûr à présent que ma soumise le restera après sa période d’essai. Elle a voulu me le prouver en laissant à dessein cette vidéo sur son cloud !C’est vers midi qu’elle me demande de discuter en vidéo whatsapp. Elle est assise à son bureau avec sa nouvelle veste de costume, mais sans chemisier. Ses seins sont très libres et apparaissent de temps à autre selon ses mouvements. Elle me montre ensuite ses dessous ou plutôt leur absence, car elle est nue jusqu’à la taille. N’ayant à sa table aucune planche pour masquer le bas de son corps quand elle est assise ainsi face à la porte. Nul doute que celui qui entre est tout de suite mis dans le bain érotique de ce bureau. C’est comme cela, me dit-elle, qu’elle va convoquer Guillaume pour lui annoncer son premier défi de soumis ! Elle me demande :
— Avez-vous pu visionner ma fille au sex-shop ?— J’ai également vu votre prestation à ses côtés !— Ah oui ! Comment me trouvez-vous ?— Vous avez admirablement su préserver votre fille des excès toujours possibles dans ce genre de lieu et de situation !— Euh ! Oui c’est la moindre des choses pour une mère. Je me dois de préserver sa virginité jusqu’à ce qu’elle décide de franchir le pas !
Elle a eu un moment d’hésitation dans sa réponse pensant sans doute à l’autre vidéo dont bien évidemment je n’ai pas parlé. Elle bouge alors son téléphone pour le poser sur un support me permettant de voir la porte d’accès à son bureau. On frappe soudain à la porte :
— Entrez !
Et la surprise, c’est sa collègue, chef du service matériel et entretien qui apparaît avec une tête effarée. Ma soumise la rassure aussitôt :
— Tu sais, pendant la pause, j’aime me mettre à l’aise, il fait si lourd aujourd’hui. La clim n’a pas l’air de fonctionner !— Je te le confirme, on devrait l’avoir à nouveau opérationnelle en début d’après-midi.— Tu sais, chez moi je fais du naturisme, mon mari et ma fille également. Tu n’as jamais fréquenté de plage réservée ?— Non, mais mon mari me tanne pour que je l’y accompagne !— Tu sais quand tout le monde est nu, on ne fait plus du tout attention à l’absence de vêtement des uns et des autres. C’est plutôt l’inverse qui choque !— C’est justement de penser au regard insistant sur mon anatomie qui me paralyse pour franchir le cap !— Moi, c’est plutôt l’inverse, c’est de m’exhiber qui m’excite !— Oui, je vois que tes lèvres sont déjà bien humides !— Tu n’as pas envie, avant de suivre un jour ton mari à la plage, d’essayer aujourd’hui avec moi comme seule témoin ?— Tu es folle !— Tu veux que je t’aide à faire le premier pas.
Sans attendre de réponse, elle se lève et ôte le boléro de sa collègue qui rougit.
— Allez ! Laisse-toi faire. Tu vas voir comme on se sent bien après !
Elle poursuit en défaisant un à un les boutons de son chemisier avant de le faire glisser au sol. Elle passe alors derrière son dos et avant qu’elle n’ait eu le temps de réagir, elle a dégrafé son soutien-gorge et glisse déjà les bretelles le long de ses bras. Elle l’écarte d’elle en la faisant tourner :
— Tu sais que tu es belle. Je n’aurai jamais soupçonné que tu as une aussi jolie poitrine bien ferme !— Je te l’ai dit, je fuis les regards inquisiteurs sur mon anatomie et porte donc des sous-vêtements très chastes !— Mais là, vas-y, marche naturellement dans le bureau en me regardant et enlève-moi tes mains devant ta poitrine. Tiens, regarde, j’ôte ma veste à mon tour !— Mais, toi tu as l’habitude de circuler à poil chez toi !— Allez ! Approche-toi, que je m’occupe du bas !— Je ne peux pas !— Pourquoi ? Tu as tes menstrues ?— Non, mais comment dire ?— Ton buisson est en friche, c’est ça ?— Oui, Il n’a rien d’esthétique, tu sais !— Mais, l’essentiel aujourd’hui, n’est pas de me plaire, mais bien pour toi, de te sentir à l’aise en discutant nue avec moi, non ?— D’accord, tu es vraiment sympa d’essayer de me libérer de ce carcan qui m’obsède !
Elle vient donc présenter son pantalon à déboutonner pour le laisser tomber à ses pieds puis l’enjamber.
— Vas-y, promène-toi en culotte dans le bureau et dis-moi comment tu te sens. — Bien, finalement, Tu as raison. Je commence à m’habituer d’avoir les seins à l’air.— Alors, tu vas baisser toi-même ta culotte et me la lancer après l’avoir fait tourner autour de ton doigt pour marquer ton entrée officielle dans le naturisme !
Elle ne rougit même plus cette fois en dévoilant effectivement un pubis brun très dru qui n’a manifestement jamais été taillé. Elle continue de déambuler fièrement en souriant à ma soumise. C’est à ce moment-là que l’on frappe à la porte ; la collègue se précipite pour tenter de récupérer tous ses vêtements éparpillés dans la pièce ; quand ma soumise crie :
— Entrez !— T’es folle ou quoi. On est à poil toutes les deux !
Guillaume apparaît encore plus ahuri que l’avant-veille en voyant cette fois une autre collègue à poil !
— A ! Vous voilà. Vous auriez pu choisir un autre moment. Je vous rappelle que l’on est en pause.— Mais, Madame, vous oubliez que c’est vous qui m’avez demandé de passer maintenant.— Ah oui ! C’est vrai. J’avais oublié. Mais il est bien entendu que vous ne direz aucun mot sur ce que vous venez de voir. Je viens de faire une photo où je pourrais facilement prouver aux autorités que vous vous apprêtiez à nous violer dans mon bureau !— Tu me l’enverras s’il te plaît au cas où il s’en prendrait aussi à moi !— Je n’en ferai jamais rien, mesdames, je vous le jure.— J’espère bien, car c’est ta femme qui en aurait aussi une copie !— Ah non ! Ne la mêlez pas à nos affaires de boulot !
La collègue, une fois rhabiller, s’éclipse en lui envoyant un baiser de la main en remerciement ! Ma soumise, en la raccompagnant, en profite pour fermer à clé son bureau.
— Tu t’es pourtant engagé à m’obéir, non ?— Oui, je suis prêt à tout pour ne pas perdre ma place.— Tu t’es bien rincé l’œil tout à l’heure. Alors tu vas m’envoyer sur mon portable avant la fin de la semaine une série de photos de ta femme dans des positions très suggestives !— Vous voulez dire pendant que je la baise ?— Oui, par exemple, mais aussi dénudée dans toutes les pièces de la maison et pas seulement la salle de bains !— Elle n’acceptera jamais. Ne la mêlez pas à notre deal, je vous en prie !— Vous allez m’obliger à envoyer la vidéo de mon viol d’avant-hier à votre femme !— Vous êtes vraiment machiavélique !— J’attends tes photos pour samedi soir au plus tard.— Je m’y engage Madame !— Maintenant que nous sommes de nouveau seuls, que penses-tu de rejouer la scène ? Je suis déjà en tenue comme tu vois !— En plus d’être machiavélique, vous êtes perverse !— Allez ! Un petit coup vite fait pour te venger sur moi de tout ce que je te fais subir !— Vous allez encore me filmer pour faire pression sur moi !— C’est déjà fait, alors tu ne risques plus rien !— Avec vous, je ne sais jamais à quoi m’attendre, vous soufflez tout le temps le chaud et le froid !— Qu’est-ce que tu aimerais me faire ou faire faire que ta femme refuse ?— C’est délicat !— Dis toujours ?— Une feuille de rose !— Alors, déshabille-toi ! Tu te branleras pendant que je m’occupe de glisser ma langue dans ton anus. J’espère qu’il est propre !— Oui, Madame depuis ma douche ce matin.— Tu aimes que l’on te caresse là. Que penses-tu du stylo qui entre et sort ?— C’est bon. Continuez Madame ! — Je prends ma règle carrée en bois maintenant !— Ouiii ! C’est bon quand vous la tournez pour m’élargir la rondelle !— Tu as déjà eu des rapports avec hommes ?— Oui, en pension au Lycée, une seule fois avec un camarade !— Et tu es prêt à retenter l’expérience, si elle se présente un jour ?— Oui, Madame !— Tu vas jouir bientôt ? Où veux-tu éjaculer ? Tu peux te répandre en ou sur moi, là où ta femme te le refuse !— Votre poitrine !— Alors, vas-y mon petit Guillaume arrose bien ta Maîtresse !
Elle est couverte encore de foutre avec une stalactite qui pend d’un téton quand il est parti et qu’elle vient face à la cam du téléphone pour lever son pouce et couper la communication !
– 0 –

Toujours partant pour lire la suite ? Faites-le-moi savoir en m’encourageant à poursuivre..
Diffuse en direct !
Regarder son live