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Soumissions

Chapitre 7

Inceste
Pour maintenir ma libido, je suis allé récemment sur un site de rencontre naturiste où je suis tombé sur un soumis qui souhaitait changer de maître pour quelque temps. J’ai trouvé la situation étrange, mais me suis vite pris au jeu en voyant qu’il réalisait tout ce que je lui demandais.
De la réalité de nos échanges décrite dans le premier volet de la série, j’ai rapidement dérivé vers la réalisation de mes obsessions exécutée par un tiers dans les cinq récits suivants, avant de donner libre cours à mes fantasmes de plus en plus hard dans ce nouvel épisode !
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Vendredi soir :
C’est le grand soir pour la fille de la maison. La liaison Skype est en place pour son arrivée avec sa mère. Elle claque la bise à son père en lui disant :
— Je suis prête, papa !— Nous avons le temps, ma fille. Pose-toi un peu et raconte-moi ta semaine !— J’ai fait plein de découvertes avec maman et elle m’a fait un cadeau que je compte bien utiliser ce week-end après que tu auras eu raison de ma virginité !— Je te fais confiance pour me montrer, le moment venu, comment tu l’utilises ! Et à part ça ?— Maman m’a ramené à l’église pour que j’aille à la confesse et me libérer de tous mes péchés de chair !— Tu en avais tant que ça ?— Quelques-uns, oui comme d’avoir sucer les collègues de Léon venus prendre l’apéro ou me faire sodomiser pour la première fois par mon beau-père !— Ah, quand même !— J’ai aussi dû étrenner des sous-vêtements très sexy en les montrant dans un strip à tous les clients d’un sex-shop !— Tu as aimé t’exhiber ainsi en public ? Ils devaient tous bander en te matant ?— Oui, ils se sont même branlés et nous ont éjaculé dessus avec maman venue s’allonger à mes côtés pour cette première douche de sperme pour moi. C’est vraiment ma semaine des premières fois !— Tu es vraiment mignonne, ma fille !— Ah ! Tu as remarqué comme je me suis faite belle pour toi ? Je ne fais pas un peu plus femme comme ça ?— Oh ! Que si ! Si tu vas en classe comme cela, ce ne sont pas les sollicitations qui doivent manquer ?— C’est vrai, et je remercie maman pour cette tenue, car je n’ai jamais eu autant de propositions !
— Tes seins sont vraiment bien mis en valeur ; très pigeonnant ; et avec ton maquillage, tu fais bien 5 ans de plus !— Je t’aime, papa. Tu n’auras qu’à me prendre tout habillée. Tu sais, je ne porte jamais de culotte sauf quand j’ai mes règles. Il me tarde d’être dépucelée pour m’enfoncer des tampons !— Non, déshabille-toi, s’il te plaît. Je ne voudrais pas les froisser ou les tacher. Ils te vont si bien !— D’accord, mais tu me prends aussitôt après. Tu sais, j’ai mouillé toute la journée rien que d’y penser !
Elle se dénude en pliant ses habits neufs sur la table, le soutif posé au-dessus, et va s’allonger directement sur le canapé, jambes écartées en se massant le clito très impudiquement. Sa mère déjà nue la rejoint avec son nouveau jouet, un masseur clitoridien, et commence à la caresser de partout avant d’entamer l’excitation de son clito. Elle ne tarde pas à crier sa jouissance en lui demandant d’arrêter son supplice. Son père, en complète érection, se présente alors à l’entrée de sa grotte inviolée jusque-là et attend que sa femme introduise lentement sa verge dans leur fille !
Ayant pris soin de placer une serviette blanche sous elle au préalable, elle se macule de quelques taches rouges pendant que le massage clitoridien se poursuit. Son père stoppe momentanément son intromission. C’est elle qui lève son bassin pour s’empaler entièrement sur la queue paternelle.
Son père commence un léger va-et-vient sortant entièrement sa queue rougie de sang pour la rentrer de nouveau jusqu’à la garde. Pour qu’elle prenne bien conscience de l’occupation entière de son vagin, ce manège dure un bon moment. Arrive le moment où il accélère ses mouvements et qu’elle le supplie de continuer et continuer tant elle jouit dans un orgasme fulgurant. Elle finit par le remercier en lui disant :
— Tu sais papa, maman me fait prendre la pilule depuis mes 18 ans au cas où par accident, du sperme me pénétrerait. Mais je veux que ce soit toi le premier qui verse ta semence bien au fond !
Il s’agite une nouvelle fois très fort en elle et finit par lui déverser son lot multiquotidien de foutre qu’il ne gaspille pas cette fois pour assaisonner la nourriture à la demande de son autre maître ! Elle lui roule la plus grosse pelle qu’elle n’ait jamais donnée et frotte ses seins sur la poitrine velue de son père en s’agrippant à ses épaules ne voulant pas encore libérer son vagin !
— Merci papa, maman, vous êtes des amours ! Tu sais, papa, que j’ai invité ma copine demain. Elle souhaite, elle aussi, que tu la dépucelles après son cul la fois dernière. Elle te trouve très doux et a confiance en toi pour que cela se passe bien. Je vais la prévenir que tu as été super avec moi !— Tu sembles te disposer du membre de ton père à ta guise, mais je ne ferais que ce qui me plaît, et toi, tu devrais m’obéir ainsi qu’à maman en toutes circonstances. Mais je t’aime, moi aussi, et pour une fois, je vais accéder à ta requête. Mais c’est la dernière !
Sa mère commençant de se rhabiller pour s’en aller est arrêtée par sa fille qui lui demande de rester encore un peu jusqu’au repas, au moins le temps qu’elle lui montre comment elle compte jouer avec son gode ! Elle consent en ce jour exceptionnel à faire plaisir à sa fille et se dénude à nouveau. Sa fille la remercie et toute espiègle la taquine alors :
— Tu veux que je redonne vigueur à papa comme tu me le fais faire à Léon. C’est toujours ton mari après tout, et tu as plus le droit que moi de profiter de sa queue !— C’est gentil, ma chérie, de penser à ma sexualité, mais tu sais, maintenant, je suis assez grande pour m’en occuper ! Mais s’il te demande ou moi de le sucer, tu t’exécuteras aussitôt bien sûr !— Oui, maman.— Alors, Manue, suce ton père et redonne-lui vigueur !
Pendant ce temps, comme si de rien n’était, les parents discutent de leur semaine respective et de son boulot à elle en particulier, lui étant toujours en chômage technique avec sa boîte. Elle lui dit le malin plaisir qu’elle a à dominer l’un de ses jeunes collaborateurs. Elle compte bien l’amener le week-end prochain, à fréquenter avec sa femme très pudique la plage naturiste où il a l’habitude d’aller avec leur fille et sa copine. Elle lui propose pour une fois de l’accompagner pour lui faire la surprise. Elle ne désespère pas non plus de convaincre une autre collègue, chef de service, de les rejoindre avant l’arrivée du jeune couple. Mon soumis est bien sûr partant.
Etant assis côte à côte sur le canapé, sa femme n’a aucun mal pour extraire sa queue durcie de la bouche de leur fille, et continue de le masturber. Ils se regardent alors en souriant et finissent par s’embrasser avant qu’il ne la bascule sur le canapé, sous les yeux de leur fille, toujours assise au sol à la hauteur de leur coït. Elle ne peut s’empêcher de parler pendant qu’ils s’envoient en l’air :
— Maintenant, je suis très contente de savoir ce que tu ressens vraiment avec papa en toi !
Ils baisent un très long moment ensemble, variant toutes les positions pour éduquer leur fille. Sa mère se sodomise elle-même en prenant ensuite appui sur ses jambes pour monter et descendre sur le pieu de son mari et dire à sa fille :
— Tu vois, c’est dans cette position que l’on apprécie le plus, d’être prise en double, car la verge dans le cul s’arrête alors de bouger pendant que le vagin est sollicité !— Il faudra que tu me trouves deux queues qui veulent bien me prendre ainsi. J’ai hâte d’essayer !— Tu as tout ton temps ma chérie.— Mais en attendant, regarde comment je peux jouer avec ton cadeau.
Elle sort alors de sa valise le gode double pénétration qu’elle s’enfile dans le vagin qu’elle n’a pas jugé utile de nettoyer. Le sperme de son père joue alors le rôle de lubrifiant pour qu’elle puisse suffisamment écarter ses chairs et l’accueillir. Elle se masturbe un moment, ainsi assise au pied du canapé où ses parents alternent toujours les positions de coït. Elle essaie tant bien que mal de se l’introduire dans le cul, mais elle ne l’a pas assez préparé pour absorber un tel gabarit. Elle finit par demander de l’aide à sa mère qui lui répond :
— Tu vois bien que je suis occupée avec ton père. Pour une fois que nous pouvons copuler ensemble, il te faut nous déranger. Tu mériterais d’être punie !— C’est promis, je vais essayer de le faire toute seule !— ça ne sert à rien de t’entêter, tu n’y arriveras pas. lui dit son père.— Tu n’as qu’à aller voir les deux vieilles filles. Elles s’occuperont bien de toi et te montreront comment s’en servir, ajoute sa mère.— Mais j’y vais comme ça ?— Oui, et tu garderas le gode en toi durant tout le chemin, ce sera ta punition, répondent-ils en cœur.— Ah ! Ca va être rigolo si je croise quelqu’un. Je vais laisser le gode pendre entre mes jambes. Cela me fera comme une queue. Je n’aurai qu’à dire alors que je vais à une soirée déguisée et que je suis un écureuil !— Si ça te fait plaisir. Mais ne reviens pas trop tard !— Si elles veulent me garder à manger, tu me rejoindras papa ?— Je verrai. Allez file ! Fais attention quand même, car il commence à faire nuit. Prends ton téléphone et envoie-nous un petit SMS pour dire que tu es bien arrivée.
Seuls sur le canapé, ils savourent ce moment d’intimité retrouvé et baisent encore un long moment jusqu’à ce qu’ils se déconnectent et qu’ils viennent me faire un coucou de connivence avant d’éteindre le PC.
C’est comme chaque soir au moment du coucher que ma petite salope me fait son compte-rendu de la journée. Cette fois, elle me joint deux petites vidéos tournées avec son portable. Sur la première, je la vois nue dans la rue avec son gode dans la chatte qui me sourit jusqu’à son arrivée chez les vieilles qui l’accueillent avec surprise. Sur la seconde, un peu plus longue, elle montre son cul avec un plug de plus en plus gros pour écarter ses fesses en finale, et faire jouer son anus avec son trou béant. Je vois ensuite l’aînée des sœurs lui enfiler son gode particulièrement lubrifié dans son cul. Une fois, bien enfoncé à fond, elle enfonce l’autre extrémité dans sa chatte et montre le résultat d’une grande boucle rose allant de son cul à son sexe ! Elle sort alors comme cela dans la nuit sous l’éclairage diffus des lampadaires et retourne chez son père !
C’est de son lit, pendant qu’il est encore sous la douche, qu’elle me montre ses orifices bien distendus par le port du gode pendant toute la soirée, me dit-elle.
— J’attends impatiemment le retour de mon père pour qu’il me prenne avec mon gode planté dans l’autre orifice et vice versa, je veux sentir ce soir, l’impression d’une double pénétration.— Dis donc, tu n’as pas traîné pour te dilater le vagin et le cul depuis ta défloraison de début de soirée ?— Vous savez, je veux rattraper les étapes. J’ai plus de 19 ans, et certaines de mes copines en sont déjà à leur troisième petit copain, et se sont, déjà plusieurs fois, fait prendre en double depuis leur dépucelage à 14 ans !— Vous pouvez remercier vos parents pour les cours accélérés qu’ils vous donnent depuis un mois !— Oui, et je me demande encore pourquoi ils ont attendu mes 19 ans pour le faire !
Elle se masturbe le vagin avec son gode rose tout en me parlant, et finit par couper, sans prévenir, la communication, son père a dû la rejoindre au lit !
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Samedi matin :
Ma soumise m’informe que sa mère veut absolument la voir, avant le repas de midi, en tête-à-tête avant le déjeuner dominical habituel qu’ils doivent prendre exceptionnellement ce samedi, puisqu’ils doivent partir avec son père en excursion du troisième âge, organisée par la paroisse, après la messe, le lendemain. Elle la remercie d’ailleurs d’organiser ce repas chez elle, et que donc, elle aimerait venir l’aider un peu plus tôt pendant que Léon s’occuperait de distraire son père, chez eux. Ne sachant pas la raison exacte de ce tête-à-tête, mais se doutant de la connotation sexuelle de celui-ci, elle me propose d’ouvrir la liaison vidéo Skype pour que je les regarde papoter. Je lui réponds :
— Très bonne initiative. Pour mettre votre mère en condition, vous devrez toutes les deux préparer et servir le repas à poil ! — Cela va être un peu rock and roll puisque ma mère a tenu à inviter aussi le curé pour le remercier d’avoir organiser l’excursion à ND de Lourdes’— C’est papy qui va se pâmer, pas le curé ! je lui réponds.
Ce n’est qu’une petite heure après que la sonnerie d’invitation de connexion Skype retentit. J’ai un bonjour avec un bisou sur la cam à mon intention. Je l’en remercie.
— Ma mère ne va plus tarder. Régalez-vous du spectacle visuel et des commentaires qui ne manqueront pas de fuser pendant le repas !
Petit coup de sonnette, et voilà mamie qui fait la bise à sa fille en lui disant :
— Tu imites ton mari maintenant en vivant nue chez toi ?— Oui, tu as pu apprécier, toi aussi, comme c’était bon de vaquer à ses occupations à poil, non ?— C’est vrai, tu as raison. Nous avons un peu de temps devant nous avant qu’ils arrivent, je vais me mettre en tenue de peau également !
Les voilà à présent, toutes deux, nues, et avant de filer à la cuisine où je vais les perdre de vue, elle interroge sa mère :
— qu’est-ce qu’il y avait de si secret à échanger entre nous pour que tu viennes en avance ?— Et bien ma fille. C’est comment dire, une sorte de retour de jeunesse qui m’habite depuis peu, et au risque de te paraître vulgaire au besoin de bite qui me prend quotidiennement !— Et papa ne t’est d’aucun secours ?— C’est ça. J’ai bien ton mari qui se dévoue de temps en temps, mais je ne peux pas aller chez lui tous les jours. Je suis déjà à court de prétextes auprès de ton père.— Tu veux que je te trouve quelqu’un, c’est ça ?— Pas spécialement, car les deux vieilles filles voisines de ton mari m’ont offert récemment un jouet à télécommande !— Pas une petite voiture tout de même ?— T’es folle ? Tu me vois jouer à mon âge avec une voiture télécommandée ? Non, un œuf vibrant, et je l’ai déjà dans le vagin, comme tu peux le constater avec la boucle antenne qui pend. Tiens, je te passe la télécommande, car c’est plus excitant d’être surprise que de l’actionner seule dans son lit comme je le fais chaque soir, tu sais ! Cela énerve papy quand je m’agite comme ça ! Mais au matin, les draps sont tachés de mouille, tu sais !— Je t’aime maman. Je comprends mieux aujourd’hui pourquoi je suis, moi aussi, avide de sexe, maintenant ! Allez d’accord. J’essaie ce programme !— Ouh là là ! Tu vas trop vite ! Attends ! J’ai une meilleure idée pour que tu puisses appréhender l’effet produit. Je vais te passer mon œuf et te l’introduire dans le vagin. Et je vais te faire tester chaque mode.— Allez, vas-y maman ! Je suis prête. Oh ouiii ! C’est génial. Passe-moi la télécommande, j’ai vu que l’on pouvait programmer des séquences. Je vais te concocter quelques choses de bien, tu vas voir !— Il me faudra planquer la télécommande. A moins que ! Voyons la notice ! Ils disent que l’on peut charger une application qui permet d’utiliser son smartphone en télécommande.— Ah, oui ! Tu n’auras qu’à faire semblant de répondre à un SMS pour me faire jouir à table par exemple !— Bon, voyons, cela m’a l’air fastidieux, mais je vais suivre la notice ; En attendant, viens, que je te remette l’œuf en place !— Tu n’es pas obligée de me masser le clito en même temps ?— Pourquoi, tu n’aimes pas être caressée là ?— Si, beaucoup, plus même que dans le vagin !— Alors, je vais te faire tester un nouveau jouet.
Elle revient cinq minutes après avec son masseur clitoridien et le passe sur sa mère. Elle crie aussitôt sa jouissance :
— Oh putain ! Que t’es bonne ma fille ! Je n’ai jamais autant joui de ma vie. Regarde !
Elle gicle abondamment par jets successifs, mais lui demande de continuer. Elles s’aperçoivent soudain de l’heure qui avance. Pendant que sa mère se précipite à la cuisine, elle télécharge l’application et le programme. Elle vérifie aussitôt l’efficacité depuis le salon et entend alors sa mère :
— Ouh là ! Je ne sais plus où me mettre, j’ai des contractions du ventre, mes jambes flageolent. Tu ne dois pas me faire cela pendant que je suis debout. Je ne pourrais pas me retenir de bouger !— Tu peux venir pour que je regarde si l’on voit l’antenne ?— Oui, en effet, on la voit très nettement qui pend entre tes jambes !— Tu ne comptes quand même pas me demander de rester nue tout le repas ?— Tu l’as bien fait déjà chez mon mari pour l’anniversaire de ta petite-fille !— Oui, mais ici, c’est différent, il y aura Mr le curé, je te rappelle ?— Eh bien, justement pour toutes les absolutions qu’il t’a accordées jusqu’ici, et les coups de goupillon qu’il compte bien te mettre comme à moi, on peut bien lui faire ce cadeau, non ?— Finalement, tu as raison. Ça fera la nique à papy ! Léon ne m’a jamais vue nue, il ne sera pas choqué, tu penses ?— Non, du tout ! Nous nous baladons à poil tout le temps avec ma fille autour de lui !— Ah bon ! Il apprécie ?— Oui, beaucoup. Cela l’excite tellement qu’il me prend sur le canapé devant ta petite fille qui souvent d’ailleurs le suce après, pour qu’il reprenne plus rapidement vigueur.— Tu ne l’as pas laissé quand même la sauter à son tour ?— Non, pas encore, mais tu sais, son père le fait déjà. Alors, pourquoi pas son beau-père dans ces conditions ? — Tu as raison. Quelle famille nous formons désormais !— D’ailleurs, des trois hommes qui vont bientôt arrivés, il n’y aura bientôt plus que ton mari, papa, qui ne m’aura pas sauté !— Tout comme moi bientôt, ma fille. Mais là, pour le coup, le tien, ou plutôt ton ex s’occupe bien de moi ; alors que le curé, je me le ferais bien, tu sais, rien que pour bousculer les convenances !— Ah oui, à ce propos, c’est sûr qu’ils vont remarquer la fine boucle d’antenne. J’ai peut-être une idée. Je vais te la passer entre les fesses et la fixer avec un sparadrap transparent. — Je vais voir si la télécommande fonctionne encore ? — Ah là ! Ca vibre, c’est bon ! — Eloigne-toi pour mesurer la portée.— Un, deux,..., six et sept. Ah là ! Je ne sens plus rien. — Cela devrait suffire pour toujours fonctionner pendant l’apéro, le repas et le café au salon.
Elle range tout. Pendant que sa mère finit de préparer le repas, elle met rapidement le couvert et installe l’apéro au salon. J’ai la chance d’avoir un angle intéressant de vue sur le canapé du salon d’un côté, et la table de salle à manger de l’autre.
Il était temps qu’elles finissent, car la sonnette retentit et ma soumise va ouvrir. Je ne perçois que les voix de surprise du papy et un peu de Léon ; quant au curé, il ne peut s’empêcher de dire :
— Vous êtes ravissante Madame. Je vous préfère ainsi qu’engoncée dans vos habits du dimanche, même si j’apprécie vos tenues qui vous dévoilent un peu plus ces derniers temps ! Mais Madame votre mère n’est pas auprès de vous ?— Si, j’arrive, Monsieur le Curé. Excusez-moi, je suis en cuisine, je n’ai pas eu le temps de me changer !— Cela ne fait rien, vous savez, venez comme vous êtes !
Elle apparaît souriante dans toute sa nudité pour venir lui serrer la main.
— Alors là, si je m’attendais ! Tournez un peu et laissez-moi vous admirer. — Vous pouvez me faire la bise, Monsieur le Curé, vous savez !
Il pose ses mains sur ses épaules et appuie ses avant-bras sur ses petits seins aux tétons tendus pour lui claquer deux bises sur les joues. Sa fille se saisit alors de son téléphone et active une courte série de faibles impulsions qui la font trembler sur ses jambes.
— Je vous fais autant d’effet à mon âge ?— Non, c’est l’émotion, je pense, de me retrouver nue devant le représentant de Dieu. Je cours vite m’habiller !— Tu fais bien chérie. Je ne sais pas ce qui te prend ces derniers temps. Tu trembles bien souvent en effet !— Mais non, ma chère, restez comme vous êtes ? et accompagnez votre fille. Vous satisferez ainsi le regard des hommes ici présents et concernant Dieu, n’oubliez jamais, comme l’écrivait l’apôtre Saint-Paul dans sa 1° lettre aux Corinthiens que vos corps sont les membres du Christ, qu’ils sont le sanctuaire de l’Esprit saint qui habite en vous, sans plus vous appartenir à vous-mêmes !!
Nouvelles séries d’impulsions ; et mamie qui flageole à nouveau dans les bras du curé en se collant à lui.
— Oh la la ! Nous assistons à un miracle en direct où l’Esprit saint se manifeste en vous !— C’est vrai que je suis incapable de me contrôler !
Elle frotte à présent son bas-ventre sur celui du curé qui doit commencer de bander. Il l’enlace alors en la rassurant :
— Ne vous en faites pas, je suis là. Laissez-vous aller totalement que l’on puisse bien tenter de découvrir ce que le Christ veut nous dire au travers de vous !— Vous ne pensez pas tout de même que je vais devenir comme Bernadette à Lourdes et finir sainte ?— Non, mais demain dans le bus pour Lourdes, nous verrons bien s’il se manifeste de nouveau !— Mais je crains qu’il ne se manifeste que lorsque je suis nue. Hein chéri, tu l’as bien remarqué le soir dans notre lit ?— Oui, depuis plusieurs jours. Je n’osais t’en parler pour te demander d’aller voir le médecin. Me voilà rassuré !— Vous ne verrez aucun problème, papy, pour que votre femme fasse le voyage, nue, en tant que représentant de l’Esprit saint ?— Dans ces conditions non, bien sûr ! Même si je dois vous l’avouer, je m’étonne un peu qu’il ait choisi ma femme à son âge pour se manifester ainsi.
Tout le monde se dirige alors vers le salon, le curé s’asseyant bien sûr aux côtés de la future « sainte » sur le canapé face à la webcam. C’est ainsi qu’à intervalles réguliers, le bassin de mamie se met à s’agiter, et ses jambes, à se serrer et desserrer. Il pose alors sa main sur sa cuisse pour mieux sentir la présence du Christ et mieux s’imprégner de son message. Mamie, plus espiègle que jamais avec son mari en face qui la surveille, demande carrément au curé :
— Je crois que c’est surtout à l’intérieur de mon entrejambe qu’il intervient. Touchez, vous allez voir !
Il remonte sa main et commence de caresser la vulve de mamie tout en discutant avec son mari sur le programme de l’excursion du lendemain !
— Vous avez raison, mamie, je sens par intermittence les vibrations qui vous habitent !— Il faudra peut-être alors demain dans le bus que je me mette devant pour que chacun puisse facilement venir constater la présence de Dieu en moi, non ?— Oui, je dois avouer que c’est surprenant. Tenez Léon, constatez par vous-même !
Léon s’assoit sur l’accoudoir de l’autre côté de mamie, et pose sa main sur son ventre qui vibre à nouveau. Il remonte alors sa main jusqu’à ses seins qu’ils palpent allègrement en passant de l’un à l’autre sans que Papy s’en offusque puisqu’il confirme :
— Eh bien, là aussi, vous êtes possédée mamie !— Je dois vous avouer que je ne me suis jamais aussi bien sentie en réunion de famille !— Qu’est-ce que ça va être alors demain, avec tout le bus qui voudra te toucher en même temps ? lui répond son mari.— Je n’ose pas y penser. Regardez comme je coule déjà. C’est une émanation de l’Esprit saint sans doute ?— Laissez-moi y goûter mamie. C’est un peu comme l’Eucharistie incarnée en vous !
Il se met à lécher mamie, avec papy toujours aussi incrédule ! Léon le rejoint bientôt, et finit par dire :
— Venez, vous aussi Papy vous abreuver à la source divine !
Pour la première fois de sa vie, son mari vient lui faire minette et qui plus est en public. Elle en jouit comme jamais et l’arrose bientôt de plusieurs jets qui le trempent des pieds à la tête. Elle en rigole :
— Tu n’as plus qu’à te déshabiller, chéri, pendant que tes habits sécheront !
Et elle lui enlève aussitôt sa chemise avant de défaire sa ceinture et sa braguette pour laisser tomber son pantalon au sol. Son slip présente une bosse inhabituelle que s’empresse d’exploiter sa femme en sortant sa queue pour la sucer aussitôt.
— Vous êtes vraiment habitée par Dieu mamie ?— Là, je pense que c’est le côté femme qui reprend le dessus. Il y a tellement longtemps que je n’ai pas vu bander mon mari que je ne pouvais pas laisser passer l’occasion. Excusez-moi pour mon comportement, mais c’est de l’ordre quasimédical !— Mais non, faites, faites. Vous êtes devenue la fidèle parmi mes fidèles et je souscris par avance à tout ce que vous ferez, maintenant qu’il y a une part de Dieu en vous !
Papy, ressentant tout à coup monter un plaisir, qu’il avait fini par oublier, ne tarde pas à tenir la tête de sa femme et l’encourager à pomper. Leur fille remet un petit coup d’œuf vibrant pour bien mêler Dieu à cette fellation divine comme son père la qualifie avant de décharger dans la bouche de sa femme.
— Merci ma chérie. Pourquoi n’a-t-on jamais pensé à faire cela plus tôt ?— Parce que tu t’y es toujours opposé, même au début de notre mariage ! Allez, viens m’accompagner à la salle de bains pour être plus présentable à l’apéro !
Tout le monde a commencé quand ils reviennent nus main dans la main comme de jeunes ados venant de découvrir l’amour. Leur fille réanime l’œuf quelques secondes et mamie se tourne vers son mari pour lui rouler une pelle en se lovant contre lui !
— Qu’est-ce que vous prendrez, mamie ?— Quelque chose de frais, cette fois, pour la mise en bouche, c’est déjà fait !— Vous avez l’air d’apprécier ce breuvage chaud servi directement du producteur au consommateur, je me trompe ?— Je le découvre vous savez, Monsieur le Curé !— Vous allez y goûter une fois prochaine, sans doute ?— Oui, dès que mon mari sera de nouveau dispo pour le faire !— Mais chérie, je te trouve passablement délurée d’aimer t’exposer ainsi et même notre intimité de couple pour ne pas dire plus !— Tu pensais salope, non ?— Mais, ça ne va pas de prononcer de tels mots devant notre curé !— Oh, vous savez, j’en ai entendu d’autres, bien plus crus en confession. Je ne m’en offusque plus, vous savez !— Mais je ne te reproche pas de l’être devenue, tu sais, car cela m’excite bien, je dois l’avouer !— C’est que je ne l’ai pas été plus tôt, c’est ça ?— Oui. Je m’excuse tardivement de ne t’avoir pas laissé exprimer ce côté-là de toi dès nos premières années de mariage !— Tu vois, il n’est jamais trop tard pour bien faire !— Oui, il me tarde d’être à demain pour te voir peloter par tous nos amis chrétiens, les bigotes surtout !— Tu n’auras qu’à rester au fond du bus et te branler en pensant à moi !— Tu es déchaînée, je vois. Mais tu m’excites, regarde. Branle-moi !
Ils semblent avoir quitté la réunion familiale, ne se rendant même plus compte qu’ils sont au centre de l’attention. Une fois de nouveau en érection, il bascule mamie. Elle se rend alors soudain compte qu’il va devoir partager son vagin avec l’œuf vibrant. Elle se retourne rapidement pour lui présenter son cul après avoir pris soin d’ôter le sparadrap et dégager l’antenne de sa raie pour la tenir dans sa main en simulant une caresse de son clito ! Il n’en revient pas :
— Alors là, chérie. Tu m’offres ta petite porte ? Mais je risque de te faire mal ?— Non, vas-y, tant pis, je veux être ta vieille salope à défaut de l’avoir été jeune !— Tu l’auras voulu !— Oui, c’est bon, vas-y doucement, je te sens bien dans mon fondement. Tu peux t’agiter maintenant, tu sais ?— Oui, je suis serré dans ton étroit conduit !
Et là, leur fille, plus salope que sa mère, fait lentement vibrer l’œuf. Papy ressent alors les vibrations dans sa queue et dit :
— J’ai l’impression que nous sommes deux à te prendre : l’Esprit saint et moi ! Quel pied divin !— Il me faudra découvrir cette sensation aussi un jour ? interroge le curé.— Cela ne dépend que de ma femme, vous savez. Quand elle est habitée ou non par le Christ. Moi je n’y suis pas opposé du moment que c’est une intervention divine en quelque sorte qu’il convient de capter par tous les moyens !— Je veux bien vous accueillir en moi lorsque j’entre en vibration. Il n’y a pas de problème !— Léon pourra tester aussi ? ajoute malicieusement sa fille, en faisant un clin d’œil à la caméra.
Et contre toute attente, je vois défiler les queues raides du curé, puis de Léon dans le cul de mamie qui leur demande toutefois de ne pas décharger en elle. Toute l’assemblée est désormais nue et c’est le curé, le plus vicieux de tous, qui interroge la maîtresse de maison qu’il a déjà culbutée à la sacristie :
— Et vous, Madame, vous n’avez pas hérité du don de votre mère ? — Cela m’est arrivé une fois ou deux, il y a peu de temps en effet ! Je me demandais comme maman ce qui pouvait bien m’arriver. Merci de nous avoir éclairé de votre savoir de théologien.— Vous me permettrez, à mon tour, de vérifier si l’Esprit saint se manifeste de la même façon en vous qu’en votre mère si cela se reproduit ?— Oui, si cela peut faire avancer votre connaissance sur les différentes formes d’expression de Dieu dans nos membres !
Comme l’heure avance, mamie et sa fille demandent à chacun de passer à table pendant qu’elles vont en cuisine dresser les plats et faire réchauffer ce qu’il y a lieu d’être. Je les perçois, en train de rire de leur exploit, avant qu’elles ne réapparaissent à l’écran plusieurs minutes plus tard, tout sourire. Mamie se place entre son mari et Léon tandis que sa fille entre Léon et le curé.
Je ne suis pas surpris de voir après les entrées débarrassées, la maîtresse de maison revenir avec le plat principal et manquer de le renverser quand des tremblements l’envahissent à son tour. Elle fusille du regard sa mère qui lui sourit :
— Tu veux de l’aide ma chérie. Toi aussi, l’Esprit saint vient te rendre visite à ton tour ? — Oui, je ne sais pas ce qui m’arrive, j’ai des spasmes qui envahissent mon vagin !— Bon, donne-moi tout ça, je vais servir pendant que Monsieur le Curé va constater s’il s’agit bien de la même chose qu’à moi tout à l’heure, n’est-ce pas ?— Oui, volontiers. Mettez-vous à genoux sur le canapé avec les bras en appui sur le dossier. J’arrive !
Il se lève en se branlant allègrement pour se redonner vigueur et vient investir le cul offert. La mère le laisse sodomiser sa fille un moment avant de déclencher les premières vibrations lentes d’abord, puis saccadées, et plus intenses. C’est le curé qui ressent le plus l’effet pour s’excuser soudain :
— Je n’ai pas pu me retenir, vous savez, Madame ?— Ce n’est rien, du moment que l’Esprit saint n’a pas mal pris votre geste. Pour ma part, j’ai joui aussi, vous savez !
Elle lui propose d’aller ensemble à la salle de bains. En passant, elle lève son pouce et éteint le PC.
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Samedi après-midi :
C’est avec surprise que je découvre mon soumis en image, sur le portable de sa fille à la plage naturiste avec sa copine en milieu d’après-midi. Elle me dit :
— J’ai passé une nuit incroyable avec mon père qui m’a prise plusieurs fois la nuit par-devant et par-derrière. Je l’ai aussi sucé pendant qu’il dormait !— Et là, sur la plage vous n’êtes que tous les trois avec ta copine ?— Oui, nous sommes à l’ombre des pins, un peu en retrait de la plage derrière les dunes. Papa s’amuse de nous voir nous caresser avec ma copine.— Vous n’avez pas de copains de classe aujourd’hui autour de vous ?— Si, ils font un match de volley sur la plage. Nous comptons les rejoindre plus tard après leur match pour nous baigner ensemble !— Parmi eux, il n’y en a pas un sur qui tu as flashé ?— Si, mais nous sommes toutes les deux sur le coup, et nous n’aimerions pas qu’il choisisse, mais nous prenne à deux en même temps !— Ta copine a déjà couché avec un garçon ?— Non, elle attend que ce soit mon père, et si possible, ce week-end comme moi. Il l’a déjà sodomisée pour la première fois le week-end dernier !— Heureusement que vous l’avez ?— Oui. On va le sucer à deux en attendant d’aller se baigner ! Vous voulez que je laisse le portable allumé pour nous regarder et vous branler ? — Oui, bien sûr !
Je les vois se pencher et entreprendre leur duo de fellation. Mais j’aperçois à quelques mètres, derrière un arbre, un vieux voyeur qui se branle en les matant. Le père l’a remarqué et lui fait signe d’avancer. Une fois à quelques mètres derrière sa fille, il lui lance un préservatif sans que les filles remarquent son manège. Il comprend aussitôt le message et enfile le préservatif. Il fait signe au gars de s’occuper de sa fille pendant qu’il prendra l’autre !
C’est avec un cri de surprise que sa fille relève la tête au moment où le voyeur la pénètre. Son père lui passe une main derrière la tête pour la remettre à l’ouvrage. Elle lève des yeux interrogatifs tout en le pompant de nouveau. Il fait signe à sa copine de venir se faire lécher en s’accroupissant sur sa bouche !
Il la prépare manifestement pour sa défloraison. Il joue beaucoup avec son clitoris pour bien faire monter son plaisir. Quand il la sent à point, il se dégage de la bouche de sa fille et fait allonger sa copine en travers, de façon que sa fille, elle, aussi, la butine avant qu’il ne lui demande d’introduire elle-même le pieu paternel pour sa grande première, sous ses yeux ! Elle lui masse alors les couilles pour que leur bon jus vienne remplir sa copine !
Le voyeur remercie par un pouce levé le papa sans connaître les liens de parenté justement de son partenaire de baise. Il procède avec la même délicatesse qu’avec sa fille, la veille. La serviette rouge carmin ne permet pas à l’intrus de deviner que c’est une première pour elle, car se sentant beaucoup mieux après l’effraction initiale, elle lui demande d’accélérer sa pénétration et de bien s’enfoncer à fond. Au bout d’un moment, il lui demande de se mettre en levrette à son tour en faisant face à sa fille pour qu’elles s’embrassent pendant leur coït.
C’est le voyeur qui fait signe le premier pour changer de partenaire. Mais cette fois, les filles demandent en cœur à être sodomisées. Stupeur du voyeur qui ne demande cependant pas son reste, et encule sa nouvelle compagne après avoir glissé quelques doigts pour faciliter la pénétration. Les deux filles reprennent alors leur baiser langoureux en plantant leurs yeux l’une dans l’autre. Le voyeur finit de remplir son préservatif et se retire en les remerciant. La copine se lève alors pour embrasser le père de sa copine et le remercier très fort. Ils s’écroulent, alors, côté à côte, le père entre les filles, et ferment les yeux. Mais quelques minutes seulement après, deux jeunes font leur apparition et s’écrient :
— Alors les filles, on rêvasse. Vous ne vouliez pas nous accompagner à la mer ?— Oh que si, on a vraiment besoin de se baigner. On vous suit !
Je vois alors des images qui tournent en tous sens. Manifestement, elle a repris son portable, mais l’éteint d’un coup ! Ce n’est qu’une bonne demi-heure plus tard que seul le son, cette fois, me parvient après ces quelques mots laconiques : « De retour du bain »
S’en suit une discussion où je perçois la voix d’un jeune homme, celle du père et des deux filles. Serait-ce le copain convoité par les deux ? C’est le père qui interroge le copain alors :
— Vous êtes dans la même classe que ma fille ?— Oui, depuis deux ans !— C’est la première fois que l’on vous voit ici ?— Oui. J’ai longuement hésité, n’étant pas du tout adepte de naturisme dans ma famille. Je craignais d’être ridicule avec les fesses à l’air !— Mais tu les as très belles, tu sais ! ajoute la copine.— Merci du compliment. Vous êtes très mignonnes aussi, les filles. Même si à l’occasion, j’avais déjà aperçu votre minou glabre !— Tu sais ici, pas besoin de jouer les voyeurs comme en classe ! C’est avec plaisir que nous offrons notre corps au regard des autres.— Quand maman est venue me chercher mercredi midi, je suppose que c’est ta mère qui l’accompagnait puisque tu lui as fait la bise ?— Oui, bien sûr, elles sont toutes les deux chefs de service dans la même boîte. Je crois qu’elles s’apprécient mutuellement..
La série des questions-réponses entre les filles et leur camarade de classe se poursuit jusqu’à ce que le père, ayant soudain tilté, avec la demande de sa femme, pose la question suivante :
— Tu penses être en mesure de convaincre tes parents de nous rejoindre ici, samedi prochain, nous aimerions bien les rencontrer avec ma femme. Ma fille et sa copine seront avec nous bien entendu !— Je vous croyais séparés ?— Oui, c’est le cas, mais ils nous arrivent très souvent de passer des week-ends ensemble avec notre fille ! Mais tu ne m’as pas répondu franchement ?— Je vais essayer de faire tout mon possible, car c’est bien agréable de passer de bons moments avec vous dans cette tenue, disons-le !
Le téléphone est sans doute à court de batteries, car je l’entends soudain biper avant de s’éteindre !
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Samedi soir :
Il est de nouveau chargé au moment du coucher quand un nouvel appel de ma protégée retentit sous forme de SMS cette fois :
— Suis seule dans le lit conjugal, en attendant papa et ma copine qui se lavent avant de me rejoindre’— Comment s’est passée la fin d’après-midi à la plage ? — Nous n’avons pas voulu trop en faire avec ma copine pour ne pas l’effrayer, mais suffisamment, pour qu’il ait envie de revenir avec ses parents la semaine prochaine’— Vous l’avez chauffé un peu quand même ? — Oui, on avait pris le pari toutes les deux de le faire bander sous nos yeux’— Vous avez réussi ? — Il nous a même laissé le caresser un peu, moi, ses couilles et ma copine, la verge’— Et ? — Il a finalement fini par éjaculer sur nous en s’excusant’— Il est très bien élevé, je vois.— Oui, il pourrait faire un excellent mari plus tard d’autant qu’il est très bon en classe’— Tu veux, si j’ai bien compris, en faire ton petit copain officiel bien comme il faut, tout en continuant de te faire sauter par le premier venu comme dans les dunes tout à l’heure.— Vous avez tout compris !’— Mais lorsque tes parents auront jugé que ton éducation sexuelle est finie et qu’il te faut repartir sur des bases plus sereines, côté sexe, tu les écouteras ? — Oui, je leur ai promis de toujours leur obéir !’
Nouvelle coupure inopinée, elle ne doit plus être seule dans le lit.
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Dimanche soir :
C’est ma soumise qui m’appelle pour me faire le compte-rendu de l’excursion à Lourdes de ses parents qu’elle est allée récupérer à leur descente du bus, il y a une heure à peine :
— Vous avez hâte sans doute, comme moi en les accueillant, de savoir comment ils s’y sont pris avec le curé pour que ma mère se mette à poil sans effrayer les paroissiens ?— Oui, évidemment. Mais je lui fais confiance ; vieille salope comme je la perçois aujourd’hui !— Et bien voilà. Elle avait au préalable introduit son œuf vibrant et pris soin de programmer les vibrations selon le mode associé au rythme de la musique ou des applaudissements à l’entour.— Mais pour se dénuder, quel stratagème ?— C’est le curé qui est parti dans un très long prêche associant les apparitions de Sainte Bernadette et les spasmes ressentis par ma mère habitée, elle est carrément par l’Esprit saint selon les paroles de Saint-Paul !— Il a dû finasser pour que tous acceptent sa nudité durant tout le trajet ?— Oui, il les a mis en garde sur la nécessité qu’elle soit nue pour que le phénomène se manifeste et que donc ils ne soient pas choqués en considérant le corps de mamie comme l’émanation charnelle de l’Esprit saint et que bien sûr, ils pourront, tour à tour, s’en approcher et apposer leurs mains s’ils le souhaitent sur cette incarnation de Dieu.— Une fois toutes les questions de morale évacuées, elle s’est exécutée ?— Oui, bien sûr, en se plaçant à l’avant, près du chauffeur qui n’en revenait pas, m’a-t-elle dit. Puis, elle s’est assise au premier rang près de la porte. Chacun a pu se mettre dans l’entrée pour la détailler des pieds à la tête. Elle s’est mise à vibrer en rythme quand le curé a mis des cantiques en musique de fond, et que tout le bus a repris en cœur. Son corps a été caressé de toutes parts. Elle a fait signe à chaque fois qu’il fallait lui toucher le sexe pour mieux sentir. Même si les bigotes n’y croyaient pas, elles ont finalement caressé sa chatte qui coulait de plus belle. Le curé en a rajouté en disant qu’elle pouvait ensuite lécher leurs doigts de la mouille bénite.— Mais tout ça, c’était à l’aller. Que s’est-il passé au retour ?— Le clou du voyage retour a été quand les vibrations sont devenues si intenses qu’elle a une nouvelle fois giclé sa jouissance et que l’un des pèlerins a eu l’idée de jeter l’eau bénite de la petite vierge qu’il venait d’acheter pour la remplacer par la cyprine de mamie. Tout le bus s’est alors précipité pour récupérer le précieux nectar. Le curé est venu en aide à mamie pour lui masser énergétiquement le clito avant de carrément le téter pour que des jets supplémentaires se répandent à nouveau ! — Et le papy dans tout ça ?— Il m’a avoué de découvrir à son âge qu’il était finalement devenu adepte du ‘candaulisme’, puisque tellement excité par la situation, il s’est branlé à fond dans son mouchoir à l’arrière du bus déserté !— Comment vont donc se dérouler les prochaines messes à l’église ?— Ma mère a accepté la proposition du curé qu’elle occupe désormais le confessionnal opposé en face du sien pour s’exhiber et permettre en guise de pénitence à chacune de la caresser où bon lui semble avant de ressentir les vibrations la main sur ses lèvres intimes avec interdiction, a-t-elle exigé, d’introduire un doigt au risque de contrarier l’Esprit saint !— Et surtout de découvrir l’œuf vibrant !— Oui, mais elle a accepté également de recevoir le curé dans son fondement à la fin, à la sacristie !
Sur un tout autre sujet, elle m’informe que sa fille a rencontré le fils de sa collègue avec qui elle a joué pour taquiner le pauvre Guillaume. Son fils a, semble-t-il, le béguin pour sa fille ou sa copine, voire les deux, et a hâte de les revoir à poil à la plage samedi prochain. Sur demande de son mari présent à la plage, il a accepté de faire tout son possible pour convaincre ses parents de se joindre à lui et de la rencontrer avec son mari !
Votre défi de la semaine à venir est tout trouvé :
— Convaincre Guillaume de vous retrouver avec sa femme à la plage naturiste — Oui, d’autant qu’il a réussi le sien en venant, il y a peu, de me faire parvenir les photos de sa femme à poil dans toutes les pièces de la maison. — Il a su être persuasif avec elle, il le sera à coup sûr pour la plage naturiste également !— D’autant que je ne vais pas le lâcher !— Je vous donnerai d’autres défis à réaliser avec lui !— Oui, bien sûr, je vous suis toujours entièrement soumise, vous savez. Je vous joins les photos sur mon cloud tout de suite.— Votre défi de demain est « qu’il vous baise en présence de votre collègue nue ou pas », à elle d’en décider, dans la perspective du week-end à venir dont son fils lui aura peut-être déjà touché un mot !— Je brancherai mon PC de bureau sur skype. Ne soyez donc pas étonnée d’un appel inconnu à la pause déjeuner !— Pour mardi « Vous exigerez de lui qu’il vous envoie des photos de sa femme nue en extérieur avec des passants plus ou moins près, à lui de voir ! »
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Toujours partant pour lire la suite de mes délires ? Faites-le-moi savoir en m’encourageant à poursuivre..
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